Undercover : Une histoire vraie
Titre québécois | White Boy Rick |
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Titre original | White Boy Rick |
Réalisation | Yann Demange |
Scénario |
Logan Miller Noah Miller Andy Weiss |
Acteurs principaux |
Richie Merritt |
Sociétés de production |
Protozoa Pictures Studio 8 LBI Productions |
Pays d’origine |
![]() |
Genre | Policier |
Durée | 116 minutes |
Sortie | 2018 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Undercover : Une histoire vraie ou White Boy Rick au Québec (White Boy Rick) est un film policier américain réalisé par Yann Demange, sorti en 2018. Il s'inspire de la vie de Richard Wershe Jr[1].
Synopsis[modifier | modifier le code]
À Détroit, dans les années 1980, Richard Wershe Jr. n'est encore qu'adolescent mais traîne avec les plus gros trafiquants de crack de la ville. Dans ce milieu dirigé par les Afro-Américains, le jeune homme est rapidement surnommé « White Boy Rick ». Il importe ensuite de la cocaïne depuis Miami. Il amasse des fortunes et passe notamment des week-ends à Las Vegas.
À l'âge de quatorze ans, Richard est recruté comme informateur par une unité anti-drogue du FBI et piège des dealers et des flics ripoux, arrêtés grâce à lui. Mais à dix-sept ans, en 1987, lorsque le FBI le lâche, « White Boy Rick » est envoyé en prison à vie, après avoir été retrouvé en possession de huit kilos de cocaïne.
Fiche technique[modifier | modifier le code]
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
- Titres original et québécois : White Boy Rick
- Titre français : Undercover : Une histoire vraie
- Réalisation : Yann Demange
- Scénario : Logan Miller, Noah Miller et Andy Weiss, d’après une histoire réelle de Richard Wershe Jr.
- Direction artistique : Stefania Cella
- Décors : Audra Avery, Bryan Felty et Laura Obiols
- Costumes : Amy Westcott
- Photographie : Tat Radcliffe
- Montage : Chris Wyatt
- Musique : Max Richter
- Production : Darren Aronofsky, Scott Franklin et Jeff Robinov
- Sociétés de production : Studio 8, Protozoa Pictures et LBI Entertainment
- Sociétés de distribution : Columbia Pictures (États-Unis), Sony Pictures Releasing France (France), Sony Pictures (Québec)
- Pays d'origine :
États-Unis
- Langue originale : anglais
- Format : couleur
- Genre : policier
- Dates de sortie :
- États-Unis : (Festival du film de Telluride) ; (sortie nationale)
- Québec :
- France :
Distribution[modifier | modifier le code]

- Matthew McConaughey (VF : Emmanuel Curtil) : Richard Wershe, Sr.
- Richie Merritt (VF : Antoine Fonck) : Richard Wershe, Jr.
- Bel Powley (VF : Camille Donda) : Dawn Wershe
- Jennifer Jason Leigh (VF : Marie-Laure Dougnac) : l'agent du FBI Alex Snyder
- Brian Tyree Henry (VF : Günther Germain) : l'inspecteur Jackson
- Rory Cochrane (VF : Gilles Morvan) : l'agent Frank Byrd
- RJ Cyler : Rudell « Boo » Curry
- Jonathan Majors (VF : Mohad Sanou) : Johnny « Lil Man » Curry
- Eddie Marsan (VF : Mathieu Lagarrigue) : Art Derrick
- Taylour Paige (VF : Géraldine Asselin) : Cathy Volsan
- Bruce Dern (VF : Georges Claisse) : Grand-père Roman « Ray » Wershe
- Piper Laurie (VF : Nicole Favart) : Grand-mère Verna Wershe
- Ishmael Ali (VF : Enzo Ratsito) : « Freaky Steve » Roussell
- YG : Leo « Big Man » Curry
- Kyanna Simone : Brenda Moore
- LaShawn Little (VF : Enrique Carballido) : Leon Lucas
- James Shinkle (VF : Patrick Mancini) : William « Bill » Bufalino, Jr.
- Brad Carter (VF : Emmanuel Karsen) : Bob, le revendeur d'armes à feu
Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage[2]
Production[modifier | modifier le code]
Accueil[modifier | modifier le code]
Critiques[modifier | modifier le code]
Site | Note |
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Allociné | ![]() |
Périodique | Note |
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Le Parisien | ![]() |
Première | ![]() |
Le film reçoit une note moyenne de 3.2 sur les critiques de la presse recensées par Allociné.
Pour Télérama, « si les ingrédients du polar sont là, c’est le portrait de la ville de Detroit qui saisit »[réf. nécessaire]. Première écrit : « Un destin hors du commun qui contraste avec le manque d’aspérité de ce film, proprement réalisé, pas désagréable à regarder, mais auquel il manque le souffle qu’avait su insuffler Yann Demange à son formidable ‘71 »[réf. nécessaire].
Notes et références[modifier | modifier le code]
Article connexe[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à l'audiovisuel :