Ceci est une version archivée de cette page, en date du 22 mai 2011 à 00:52 et modifiée en dernier par Romaine(discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
De nombreux tumuligallo-romains subsistent en Belgique.
La plus grande concentration de ces tumuli se situe de part et d'autre
de l'ancienne chaussée romaine Bavay-Tongres-Cologne.
Certains tumuli ont fait l'objet de fouilles et ont été reconstitués, comme le tumulus visitable du Trou de Billemont, d'autres ont perdu leur tertre mais leur trace est visible depuis le ciel.
Une partie des tumuli de Belgique ont été classés par la Commission royale des monuments et des sites.
2e colonne (n° Ferraris) : référence aux cartes de l'atlas de Ferraris (1777), indiquée au moyen d'un numéro et d'une référence à une grille, consistant en deux lettres (par ex. Ba ou Bd). Les majuscules A et B désignent respectivement la page de gauche ou de droite d'une carte. Les minuscules a,b,c,d indiquent respectivement le coin supérieur gauche (a), le coin supérieur droit (b), le coin inférieur gauche (c) et le coin inférieur droit (d) de chaque page.
3e colonne (n° IGN) : référence aux cartes topographiques de la Belgique éditées par l'IGN. L'IGN a utilisé une grille de 72 cases pour couvrir toute la Belgique. Chaque case est divisée en 8 sous parties (de 1 à 4 pour la partie supérieure et de 5 à 8 pour la partie inférieure) divisées à leur tour en Nord (N) et Sud (S).
4e colonne (#) : nombre de tumuli sur le site.
Le nom du tumulus indiqué sur la carte de Ferraris de 1777 diffère parfois du nom actuel, principalement parce que le nom du hameau ou du village que porte le tumulus a évolué depuis.