Marcinelle est la deuxième plus grande section de Charleroi en nombre d'habitants (derrière Jumet). Sa partie nord-ouest est essentiellement industrielle et abrite des industries lourdes (sidérurgie, électricité lourde), la partie sud-est étant plus résidentielle, voire verdoyante et cossue. Cette dernière accueille le Centre de délassement de Marcinelle.
Marcinelle se situe légèrement au nord de la « Faille du midi » qui court du nord de la France à Liège presque à l'horizontale. Le sous-sol de de Marcinelle est constitué d'une variété de composants comportant des gisements de houille.
La Villette. Au XIIe siècle, la partie nord-ouest de Marcinelle est très peu peuplée et constituée en grand partie de marécages. Elle comprenait toute la partie ouest de l'actuelle gare de Charleroi-sud jusqu'à la Sambre (actuel Boulevard Joseph Tirou)[5]. La chaussée de Mont-sur-Marchienne (actuelle Avenue Pastur) ne fut tracée qu'en 1840 et la Chapelle Beausart, dédiée à Saint Roch. était la seule construction que l'on rencontrait sur le côté nord de la rue Jules Bordet, alors rue Chapelle Beausart, à une trentaine de mètres de la grand-route actuelle. C'est vers 1860 que Michel Leclercq, tenancier d'un café situé à mi-côte de l'avenue Pastur (no 125-127), donnait le nom de « Villette » à un débit de boissons. La paroisse fut érigé en 1899, à l'initiative d'un vicaire de la paroisse-mère Saint-Martin, Monsieur l'abbé Deventer qui devin curé-fondateur. Elle fut placé sous le signe de Notre-Dame des VII douleurs[5].
Marcinelle-Centre.
Le XII ou Marcinelle-XII. Le no XII a pour origine le douze puits creusé en 1865 par les charbonnages de Marcinelle- Nord[6]. Aujourd'hui il y a des grandes surfaces sur le site de l'ancien puits.
Hauchies. Le hameau des Hauchies s'est formé au début du XIXe siècle, comme la Tombe, au carrefour des vieux chemins de la Tombe, Destrée et Huart-Chapel. C'est dans ce quartier que Huart-Chapel érigea, en 1823, l'usine des Hauchies, comprenant plusieurs fours à puddler, des laminoirs, une fonderie, un marteau, le tout mû par la première machine à vapeur utilisée en métallurgie dans le pays de Charleroi. En septembre 1827, le premier haut-fourneau au coke du pays, adjoint à l'usine, fournit la première coulée de fonte de moulage. Les terrains et le château occupés par les usines de l'énergie, appartenaient au Prince-Évêque[7].Vue aérienne du quartier des Bruyères à Marcinelle et une partie du village de Jamioulx.
La Bruyère. Le quartier de la Bruyère est un plateau sablonneux d'une superficie de 20 hectares, situé sur le point culminant de la commune. Il tire son nom des bruyères qui font la parure depuis les temps les plus reculés[7]. Quartier qui se situe au sud de Marcinelle, un sanatorium avait été construit en 1929. Aujourd'hui le bâtiment a été démoli pour cause de vétusté, un nouveau bâtiment a été construit et sert maintenant une résidence pour personnes âgés[8].
Les Haies. D'origine médiévale, le hameau de Marcinelle-Haies était né de la volonté d'un seigneur de procéder en cet endroit à un défrichement forestier en vue d'y créer une « ville neuve ». Les lieux seraient restés agricoles, n'aurait été, milieu du XIXe siècle, l'exploitation de houille d'abord dans des cayats, ensuite dans des fosses de plus en plus profondes. À partir de 1860, la demande croissante en main-d'œuvre par le charbonnage du Bois du Cazier contribua largement au peuplement du hameau. En 1863, la construction d'une école communale est décidée. Les milieux ecclésiastiques décidèrent en 1869 d'y implanter une église : une école libre et le presbytère verront le jour à ses côtés[9].
Cherbois. Le hameau du Cherbois, appelé autrefois les Trieux, est une agglomération remontant aux premier âges de Marcinelle[10].
La Tombe. Ce nom a été donné à l'origine à un tumulus gallo-romain. Ce tumulus est situé à la cote 160, à la bifurcation des plus anciens chemins de Marcinelle. Quelques modestes habitations et une ferme existaient, dès le XVIIIe siècle, au croisement des ces routes[11].
La Sambre quitte Marchienne pour atteindre le territoire de Marcinelle à la limite Ouest des importantes usines de Thy-le-Château[12]. Avant la construction du chemin de fer de Braine-le-Comte à Charleroi, en 1843, le ruisseau du Maheury faisait, en cet endroit, la limite entre les deux communes. Après avoir longé, sur une distance de près d'un kilomètre, les vastes installations précitées, Ia rivière passe en vue de l'ancienne chaîneterie, à demi enfouie par suite de l'affaissement de terrain occasionné par les travaux miniers, et atteint bientôt la nouvelle écluse. Celle-ci, construite sur le territoire de Marcinelle, en amont du pont de Louvain, mesure 110 mètres de longueur sur 12,50 mètres de largeur. avec un mouillage minimum de 3 mètres. Ces chiffres étaient respectivement, pour l'ancienne écluse: 42 mètres, 5,20 mètres et 2 mètres, Cette écluse permet le passage, en une seule manœuvre, d'un remorqueur tirant deux bateaux de 600 tonnes et deux de 300 tonnes. Ce travail d'art fut mis en service après le chômage de la navigation sur les biefs 12 et 13, situés en aval de l'écluse de Charleroi, qui permit de démolir l'ancienne écluse et d'approfondir les passes des ponts de Gare et de la Prison[13],[14].
L'on note une présence romaine dans l'Antiquité dans le quartier de la Tombe. La rue de la Tombe, à cheval avec le territoire de Mont-sur-Marchienne conduit à un tumulus gallo-romain du 2e siècle apr. J.-C..
La paroisse de Marcinelle est mentionnée pour la première fois en l’an 980 (Église Saint-Martin)[16]. Par le polyptyque de l'Abbaye de Lobbes. Comme Marchienne-au-Pont, elle faisait partie de la Principauté de Liège.
Lors de l'attaque surprise des troupes napoléoniennes peu avant la bataille de Waterloo, le général Pajol est le premier en action : parti à 2 heures et demie du matin, dans la grisaille d'un "petit jour brumeux et lourd", le , il réussit le premier mouvement qui le mène à Marcinelle, à 8 heures et demie[17]. En 1878, les habitants du hameau des Haies souhaitaient séparer le hameau des Haies de la commune de Marcinelle pour en faire une nouvelle commune.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, le 28 octobre 1942, les Allemands opèrent de nombreuses arrestations dans les rangs des résistants belges de la Légion Belge de Charleroi dont le commandant de celle-ci, Alfred Servais. Ils sont condamnés à mort par le Tribunal de Guerre de Charleroi et fusillés par les Allemands au Tir de Marcinelle-Villette, le 2 juin 1943. Le corps d'Alfred Servais a été transféré au cimetière de Marcinelle, où il repose toujours, près de la pelouse d’honneur. Des commémorations patriotiques ont lieu périodiquement en souvenir de cet épisode au cimetière de Marcinelle. En juin 1957, un mémorial a été érigé derrière le stand de tir de Marcinelle où ont été exécutés Alfred Servais, le commandant Massart et cinquante patriotes belges[20]. Les autorités communales marcinelloises ont donné son nom à une rue de Marcinelle : la rue Major Alfred Servais[21].
Le matin du 8 août 1956, la plus grande catastrophe minière de l'histoire de la Belgique se produisait au charbonnage du Bois du Cazier à Marcinelle. Elle fait 262 morts de 12 nationalités différentes, principalement d'origine italienne (136) et belge (95) et laissant derrière eux des centaines de veuves et d'orphelins. Cette catastrophe va à nouveau mettre à l'avant-plan les pénibles conditions de travail et de vie des mineurs, et déboucher sur l'arrêt de l'envoi de travailleurs italiens vers la Belgique pour travailler dans les mines ; 50.000 mineurs italiens avaient jusqu'alors déjà fait le voyage. La réglementation concernant la sécurité du travail va être également renforcée par la suite[22].
À la suite du drame du Bois du Cazier, des mesures ont été prises, notamment par la CECA. Aujourd’hui propriété de la Région wallonne et géré par l'ASBL « Le Bois du Cazier », l’ancien charbonnage, requalifié grâce aux fonds européens de l'Objectif 1, est un site culturel majeur du pays de Charleroi.
Aujourd'hui, les activités minières ont cessé, seuls restent les terrils pour témoigner de celles-ci, dont le terril du Bois du Cazier. Celui-ci est aujourd'hui classé comme site de grand intérêt biologique à cause des nombreuses espèces végétales et animales qu'on y retrouve[23].
Vues du Bois du Cazier et du haut-fourneau n°4.
Le haut-fourneau n° 4 en voie de démantèlement (2020).
Monument à Jules Destrée; Situé sur la Grand-Place de Marcinelle et adossé à un muret derrière l’église romane Saint-Martin, un petit monument à Jules Destrée a été le lieu de commémorations liées au Mouvement wallon, à l’initiative de la commune de Marcinelle, à partir de 1950. Un autre exemplaire de ce buste, en pierre, se trouve au palais des Académies à Bruxelles et un troisième, en bronze lui aussi, est installé dans un des halls du palais de Justice de Bruxelles[28].
Un pavillon de la cité de l'enfance.Hôtel de ville, avenue Eugène Mascaux. L'Hôtel de Ville de Marcinelle avait été construit dans le style Second Empire, un classicisme éclectique alliant les architectures de l'antiquité gréco-romaine au néoclassicisme de l'Ancien Régime[29]. Cet hôtel de ville se trouvait sur la grand'place derrière l'église Saint-Martin, il est détruit par une bombe largué par erreur. L'actuel hôtel de ville a été construit sur l'avenue Mascaux, la première pierre fut posée en 1956 et inaugurée en 1963.
Église Notre-Dame des sept Douleurs : elle se situe dans le quartier de La Villette. Sanctuaire néo-gothique en briques et calcaire bâti en 1905 par l'architecte Leborgne de Gilly[30].
Résidence Albert, bâtiment construit en 1938 par Marcel Leborgne. Classé en 2010[31]. Au rez-de-chaussée on trouve un local du Cercle Royal de Bridge de Charleroi (jeux de cartes).
Église Saint-Louis, elle se situe dans le quartier des Haies construite en 1875 en style néo-gothique par l'architecte Émile Riez[32]. Une tour épaulée par une tourelle à pans coupés précède les collatéraux et une nef à cinq travées[33].
Siège de la société ACEC Transports, réaménagé par les architectes Dulière et Dossogne en 1989[34].
Église du Sacré-Cœur (ou du Quartier n°XII). Eglise décanale en moellons de grès dessinée par l'architecte J. André en 1927-1928[35].
Temple protestant. Construit pour les fidèles de l'Eglise réformée en 1906.
Cité de l'Enfance, ensemble de pavillons, construite par l'architecte Marcel Leborgne en 1938. C'était un ancien orphelinat reconverti en quartier résidentiel.
Le Home Joseph Cappelen, du nom du directeur gérant d'Amercœur (ainsi que du Bois du Cazier), était destiné à accueillir les ouvriers mineurs italiens célibataires ou isolés. Sa capacité était de 47 chambres à 2 lits et de 13 chambres à 4 lits, soit un total de 146 places. Inauguré le 6 janvier 1948 par le ministre Jean Duvieusart, le phalanstère du Bois du Cazier entra aussitôt en service et fonctionna comme tel durant de nombreuses années. C'est aujourd'hui un bâtiment scolaire dépendant de la Haute Ecole Provinciale de Hainaut-Condorcet[36].
L'École de Marcinelle, autour du dessinateur Jijé est adepte de l'humour et de la caricature, et d'un dessin « au trait dynamique, naïf et tout en rondeur ». Les principaux dessinateurs de ce courant sont Franquin, Morris, Will, Tillieux, Jean Roba, Jidéhem, Peyo, Gos[40].
Le nord-ouest, jouxtant Charleroi et Marchienne-au-Pont où l'on trouvait traditionnellement des industries lourdes accueille désormais également de grandes entreprises internationales de haute technologie :
Sous l'ancienne législation, il était de principe dans la région que les richesses minérales enfouies dans le sol étaient le domaine seigneurial. Le seigneur seul avait le droit de les extraire ou de les concéder moyennant certaines redevances réglées par conventions. Déjà en 1251, dans l'accord entre l'abbé de Lobbes et Nicolas, évêque de Cambrai, la permission d'ouvrir la terre dépend du seigneur. Toutefois, en certains endroits, des houillères appartenaient à la communauté. Il en était ainsi à Dampremy, à Jumet, à Châtelineau, à Gilly, à Auvelais. À Gilly, la communauté possédait des veines au Louvy qui étaient mises en adjudication chaque année, au début de janvier. En d'autres endroits, à Auvelais par exemple, les propriétaires pouvaient utiliser, sans autorisation spéciale, les affleurements. Mais on ne savait, en ce cas, où s'arrêtaient les droits du propriétaire superficiel, ni où commençaient ceux du seigneur. L'usage finit par consacrer que la houille proprement dite gisant d'ordinaire à une certaine profondeur, appartenait au seigneur et que la houille de la surface revenait aux particuliers[42].
Antérieurement à la concession du Bois de Cazier, accordée le 30 septembre 1822 à Mme. la douairière Desmanet, née vicomtesse de Propper, propriétaire des bols de Cazier et de l'Hublinbu, l'exploitation des affleurements situés principalement dans le Bon Bois, les bois de la Patte et de l'Hublinbu, a dû prendre une certaine importance d'après les excavations précitées[43].
Le un incendie dans la mine du Bois du Cazier fait 262 victimes. Le site a été récemment refondé et restauré en centre culturel et musée. Une marche funèbre porte le nom de « Marcinelle » en hommage aux victimes de cette catastrophe.
Chassis à molette du Bois du Cazier.
Entrée de la mine du Bois du Cazier.
Monument international dédié aux victimes du travail érigé sur la Grand'Place de Marcinelle en 1960.
Bien que l'exploitation de la concession (1 681 ha) qui fut accordée aux Charbonnages de Marcinelle-Nord commença après celle du Bois du Cazier, son expansion fut beaucoup la plus rapide grâce à sa fusion avec une usine métallurgique de Couillet, elle-même avantageusement située en bordure ou à proximité des voies de communication, qu'elles soient routières, fluviales ou ferroviaires. Dans ce but, la société minière avait procédé au fonçage d'un grand nombre de puits numérotés de 1 à 12 dans le sous-sol marcinellois. À la veille de la Première Guerre mondiale, des cinq sièges d'exploitation en activité que possédait encore la Société des Charbonnages de Marcinelle-Nord, trois les nos 10 (Le Cerisier), 11 et 12 étaient situés à Marcinelle (les deux autres, ceux du Péchon, nº 5, puis 25, et des Fiestaux, n° 24. se trouvaient à Couillet). En 1921, la société, avec l'ajout de diverses concessions sous les localités voisines, disposait d'une superficie de 2.300 ha. À la suite de sa fusion avec Monceau-Fontaine, furent fermés en 1932 les puits nos 11 et 12. Seul resté en activité, le puits n° 10 (Le Cerisier) arrêta l'extraction de charbon en 1966[44].
La Société de Marcinelle-Nord introduisit, en janvier 1912, une demande d'extension de concession qui ne devait avoir sa résolution qu'après la guerre, le 12 janvier 1921, date à laquelle fut accordée la concession des mines de houille gisant sur une étendue de 325 Ha 98 ares, sous le territoire des communes de Couillet, Bouffioulx, Loverval, AcozGerpinnes et Joncret, portant la superficie de la concession à 2307 Ha 39 ares. Enfin, le 3 octobre 1922, une petite rectification de la limite du Charbonnage de Cazier apportait à la Société une augmentation de 9 Ha 29 ares, élevant la superficie totale à 2.316 Ha 68 ares. En 1930, la Société Anonyme des Charbonnages de Marcinelle-Nord exploitait son gisement par cinq puits. La division de Couillet comportait deux sièges d'extraction: le N° 4, Sainte-Marie des Fiestaux, et le No 5, Blanchisserie. Ce dernier a été mis en creusement en 1910. La division de Marcinelle comportait trois sièges: les No 11, 12 et 10, dit Cerisier, qui a repris l'exploitation de l'ancienne concession de la Réunion de Mont-sur-Marchienne. L'extraction a été de 444.500 T., avec un personnel de 2.944 ouvriers. Les produits sont des charbons demi-gras et trois quarts gras. La fusion de Marcinelle-Nord avec Monceau-Fontaine, décidée par les assemblées générales extraordinaires tenues à Bruxelles les 2 et 22 décembre 1930, fut très funeste à l'industrie houillère de Marcinelle. Le puits d'extraction du Cerisier, avec un personnel de 370 ouvriers. reste seul en activité[45].
↑Jean-Louis Delaet, Rina Margos et Chantal Lemal-Mengeot, Hôtels de Ville et Maisons communales de Charleroi, Ministère de la Région wallonne et Ville de Charleroi, coll. « Carnets du patrimoine » (no 11), , 64 p., p. 48-52
↑Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 31
↑Bernard Lejeune et Jean-Claude Pirson, Reflets du passé marcinellois, Edition du Syndicat d'Initiative de Nalinnes ASBL, , p. 9
↑Ministère de la Région Wallonne, Direction Générale de l'Aménagement du Territoire et du Logement, Division des Monument, Sites et Fouilles, Le patrimoine monumental de la Belgique : Wallonie, vol. 20 : Province de Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 600 p. (ISBN2-87009-588-0), p. 154
↑Le même architecte qui avais construit l'église de Lodelinsart aujourd'hui démolie.
↑André Bultot, L'histoire de Marcinelle, André Bultot, , 233 p., p. 177
↑Ministère de la Région wallonne, Direction Générale de l'Aménagement du Territoire et du Logement, Division des Monuments, Sites et Fouilles, Le patrimoine monumental de la Belgique : Province de Hainaut Arrondissement de Charleroi, vol. 2, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 600 p. (ISBN2-87009-588-0), p. 148
↑Ministère de la Région Wallonne, Direction Générale de l'Aménagement du Territoire et du Logement, Division des Monument, Sites et Fouilles, Le patrimoine monumental de la Belgique : Wallonie, vol. 20 : Province de Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 600 p. (ISBN2-87009-588-0), p. 151
↑Bernard Lejeune et Jean-Claude Pirson, Reflets du passé marcinellois, Nalinnes, Edition du Syndicat d'Initiative de Nalinnes, , 125 p., p. 93
Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN2-87009-588-0, lire en ligne)
Redécouvrir son quartier sous un autre regard... Charleroi : Section de Marcinelle, Charleroi, Espace Environnement, , 22 p. (lire en ligne)
Emmanuel Brutsaert (Rédacteur en chef), Gilbert Menne (Secrétaire d'édition) et Johan De Meester (Mission photographique), Histoire et patrimoine des communes de Belgique : Province du Hainaut, Bruxelles, Éditions Racine, , 608 p. (ISBN978-2-87386-599-3), p. 157-159
André Bultot, L'histoire de Marcinelle, Marcinelle, André Bultot, , 233 p.
Louis Clause, Aperçu historique de la commune de Marcinelle, Charleroi, Éditions J. Dupuis, fils et Cie, s.d., 239 p.
Jean-Claude Pirson et Pierre Baudoux, Reflets du passé marcinellois, Nalinnes, coll. « Publication du syndicat d'initiative de Nalinnes » (no 12), , 126 p.
Tulia Adam, Marcinelle fleur du Pays Noir, Syndicat d'initiative marcinellois, , 29 p.