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Trois Couleurs : Blanc

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Trois Couleurs: Blanc

Réalisation Krzysztof Kieślowski
Scénario Krzysztof Kieślowski
Krzysztof Piesiewicz
Musique Zbigniew Preisner
Acteurs principaux
Sociétés de production MK2 Productions
France 3 Cinéma
CED Productions
Eurimages
Canal+
CAB Productions
Tor Production
Pays de production Drapeau de la France France
Drapeau de la Pologne Pologne
Drapeau de la Suisse Suisse
Genre Drame
Comédie
Art Et Essai
Durée 92 minutes
Sortie 1994

Série

Trois Couleurs : Bleu
(1993) Trois Couleurs : Rouge
(1994)

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

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Trois Couleurs: Blanc est un film de comédie dramatique psychologique artistique franco-helvético-polonais réalisé et co-écrit et co-produit par Krzysztof Kieślowski, sorti en 1994.

C'est le deuxième volet de la trilogie Trois Couleurs (Bleu/Blanc/Rouge) qui explore successivement les trois termes de la devise de la France : « Liberté, Égalité, Fraternité ».

Le film a été largement acclamé par la critique et a été sélectionné comme candidature polonaise pour le meilleur film international 67e cérémonie des Oscars, mais n'a pas été accepté comme nommé.

Blanc parle d'égalité, avec le film mettant en scène Karol Karol, un homme timide qui, après avoir été abandonné par sa femme dans des circonstances humiliantes à Paris, perd son argent, sa résidence et ses amis. En tant que mendiant profondément honteux à Paris, Karol commence son effort pour restaurer l'égalité dans sa vie par la vengeance.

Synopsis

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À Paris, Dominique obtient le divorce d'avec son mari polonais immigré, Karol, pour mariage non consommé. Dans des conditions rocambolesques, celui-ci regagne la Pologne où, profitant d'un capitalisme débridé, il fait rapidement fortune. Toujours amoureux de Dominique, il se fait passer pour mort dans l'espoir de la revoir. Dans un étrange retour de flammes, Dominique finit en prison en Pologne.

Kieślowski s'intéresse au bouleversement économique qu'a connu la Pologne depuis la chute du mur de Berlin ; il aborde ce thème à travers une histoire d'amour qui évoque les liens entre l'Est et l'Ouest.

« C'est une histoire sur la négation de l'égalité. Le concept d'égalité suggère que nous sommes tous égaux. Or je pense que ce n'est pas vrai. Personne ne veut vraiment être l'égal de son prochain. Chacun veut être plus égal. »

— Krzysztof Kieślowski[1]

Fiche technique

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 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.

Distribution

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 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.

Réception

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Trois Couleurs : Blanc a été tellement acclamé par la critique ; il détient une note de 89% sur Rotten Tomatoes, avec une note moyenne de 7,6/10, basée sur 55 avis. Le consensus se lit comme suit : « Prenant un ton plus léger que les autres films de la trilogie Trois Couleurs, Blanc est une comédie pleine d'esprit et douce-amère avec des thèmes plus lourds en tête qu'on pourrait le penser au premier abord »[12]. Sur Metacritic, il a reçu une note de 91 sur 100, basée sur 11 critiques, indiquant une « reconnaissance universelle »[13].

Distinctions

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Icône signalant une information Source : Internet Movie Database[14] et Allociné[15]

Récompenses

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Nominations

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Éditions en vidéo

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En France, le film Trois Couleurs : Blanc est sorti en DVD le [16]. Une version DVD accompagné d'un CD de la bande originale du film est sortie le [17]. Une version Blu-ray est sortie le [8]. Le film est également sorti en VOD le [8].

Autour du film

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  • Chaque plan du film recèle au moins un objet de couleur blanche, clin d’œil évident au titre de l’œuvre.
  • Juliette Binoche qui joue dans Trois couleurs : Bleu fait une brève apparition au début du film dans la scène du tribunal, scène qui se trouve également dans Bleu, mais vue du point de vue du personnage de Juliette Binoche. Ce sont ces deux très courtes séquences qui lient les deux films concrètement. Dans Bleu, Julie est à la recherche de Sandrine au tribunal et veut entrer dans une salle pendant une audience, celle du divorce de Karol et Dominique de Blanc.

Notes et références

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  1. ↑ Krzysztof Kieślowski, Le Cinéma et moi, éditions Noir sur Blanc, janvier 2006 (ISBN 2-88250-173-0), p. 254-255
  2. ↑ a b c d et e « Casting du film Trois Couleurs : Blanc », sur Allociné (consulté le ).
  3. ↑ « Virginie Viard » (présentation), sur l'Internet Movie Database
  4. ↑ « Teresa Wardzala » (présentation), sur l'Internet Movie Database
  5. ↑ a b et c (en) « Lumiere - Sociétés de distribution », sur lumiere (consulté le ).
  6. ↑ « Trois Couleurs : Blanc  », sur premiere.fr (consulté le ).
  7. ↑ « « Trois Couleurs : Blanc - Dates de sortie » » (dates de sortie), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
  8. ↑ a b et c « Trois Couleurs : Blanc » (fiche film), sur Allociné (consulté le ).
  9. ↑ « Visa et Classification - Fiche œuvre Trois Couleurs : Blanc », sur CNC, (consulté le ).
  10. ↑ « Trois Couleurs : Blanc », sur cinebel.dhnet.be (consulté le ).
  11. ↑ « Guide Parental belge », sur kinepolis.be (consulté le ).
  12. ↑ (en) « Three Colors: White | Rotten Tomatoes », sur www.rottentomatoes.com, (consulté le )
    Taking a lighter tone than the other films of the Three Colors trilogy, White is a witty, bittersweet comedy with heavier themes on its mind than one might at first realize.
  13. ↑ (en) « Three Colors: White », sur www.metacritic.com (consulté le )
  14. ↑ « « Trois Couleurs : Blanc - Distinctions » » ((en) récompenses), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
  15. ↑ « Palmares du film Trois Couleurs : Blanc », sur Allociné (consulté le ).
  16. ↑ « Sortie en DVD », sur dvdfr.com (consulté le ).
  17. ↑ « Sortie en DVD + CD », sur dvdfr.com (consulté le ).

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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Années 2020
L'année indiquée est celle de la cérémonie.
Les films sont ceux qui sont proposés à la nomination par la Pologne ; tous ne figurent pas dans la liste finale des films nommés.
v · m
Films sortis en 1993 et 1994, réalisés par Krzysztof Kieślowski, coécrits avec Krzysztof Piesiewicz et produits par Marin Karmitz.
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