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Entente sportive Besançon féminin

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ES Besançon
Logo du ES Besançon
Généralités
Nom complet Entente sportive Besançon féminin
Surnoms Les Engagées
Noms précédents Entente sportive bisontine (1970-1992)
Fondation 1970
Couleurs Rouge et blanc
Salle Palais des sports Ghani-Yalouz
(3 380 places)
Siège Palais des sports
42 avenue Léo Lagrange
BP 51 183
25003 Besançon Cedex 3
Championnat actuel Ligue Féminine de Handball
Président Daniel Hournon
Entraîneur Sébastien Mizoule
Site web ESBF.fr
Palmarès principal
National[1] Championnat de France D1 (4)
Championnat de France D2 (1)
Coupe de France (4)
Coupe de la Ligue (2)
International[1] Coupe des coupes (1)

Maillots

Domicile

Extérieur

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
Ligue Butagaz Énergie 2023-2024
0

Dernière mise à jour : 18 décembre 2023.

L'entraïneur Sébastien Mizoule donne ses consignes à Aleksandra Roziak. 16 février 2022.

L'Entente sportive Besançon féminin[2], ou ESBF, est un club de handball féminin français fondé en 1970 à Besançon. Il évolue en Division 1 F. Dans les années 1990-2000, le club fait partie, avec le Metz Handball, des meilleures équipes de handball en France. Il est également un des rares clubs français à avoir remporté une coupe d'Europe, à savoir la Coupe des Coupes 2003.

Les débuts du club (1970-1995)

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Le club mixte de l'Entente sportive bisontine est fondé en 1970, à la suite de la scission provoquée au sein du HBC Besançon. En 1981, l'AS Chemaudin[3] de la famille Demonge est Champion de France de Nationale 1B[4] et est ainsi promu en première division. Faute d'infrastructures, une fusion[5] est réalisée entre les deux clubs et c'est alors l'ES Besançon qui participe au Championnat de France 1982-1983[6].

En 1988, les coéquipières de Florence Sauval décrochent le premier titre national du club en devenant le championnes de France. Le 4 mai 1992, Jacques Mariot, président du club depuis une dizaine d'années, prend l'initiative de séparer les sections masculines et féminines du club, donnant ainsi naissance à l'Entente sportive Besançon masculine (devenu le « Grand Besançon Doubs Handball ») et à l'Entente sportive bisontine féminin[7].

Une place forte du handball féminin français (1995-2005)

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Un match de l'ESBF au Palais des sports de Besançon.

Le club prend alors peu à peu son envol dans l'élite du handball féminin français : avec le club de Metz, l'ESBF règne alors sans partage sur le championnat et les coupes nationales : au terme des dix exercices réalisés de 1995 à 2005, Besançon présente ainsi un bilan de trois titres de champion de France et 7 titres de vice-champion, quatre coupes de France et deux coupes de la Ligue tandis que son voisin lorrain fait à peine mieux avec sept titres de champion de France, trois titres de vice-champion, deux coupes de France et une coupe de la Ligue. Les deux clubs raflent tout et ne laissent même pas une miette à leurs concurrents, les derbies entre lorraines et franc-comtoises représentant alors l'attraction majeure du handball féminin français. Par ailleurs, les deux clubs sont les deux principaux pourvoyeurs de l'équipe de France qui est sacrée championne du monde en 2003 : Valérie Nicolas, Sophie Herbrecht, Raphaëlle Tervel, Véronique Pecqueux-Rolland, Myriame Saïd Mohamed et Sandrine Delerce sont alors les cadres de l'équipe.

En 2003, les joueuses bisontines vont jusqu'à réaliser un quadruplé inédit dans le handball français en remportant le championnat de France, la coupe de France, la coupe de la Ligue et la coupe d'Europe des vainqueurs de coupes. Le club bisontin est alors le premier club féminine de handball français à décrocher une couronne européenne. Jacques Mariot, président emblématique du club, démissionne de son poste de président en 2002.

Une descente en enfer (2005-2009)

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Après le fabuleux quadruplé de 2003, le club connaît une descente aux enfers. Les joueuses internationales partent une à une : la gardienne de l'équipe de France Valérie Nicolas rejoint le club danois de Viborg HK en 2003, imitée par l'internationale roumaine Carmen Amariei qui part également pour le Danemark l'année suivante, Sophie Herbrecht est engagée par Le Havre Handball en 2004, Raphaëlle Tervel, Véronique Pecqueux-Rolland, Myriame Said Mohamed et Sandrine Delerce quittent le club en 2006 respectivement pour l'Espagne, Dijon et Vesoul pour les deux dernières citées. Parallèlement, le club est en proie à des difficultés financières qui contraignent la Commission Nationale de Contrôle et de Gestion (CNCG) à prononcer la rétrogradation en deuxième division et l'interdiction de recruter à deux reprises en 2005 et 2006. Une nouvelle équipe dirigeante est alors mise en place avec l'arrivée de Laurent Maillard en tant que président tandis que l’entraîneur Christophe Maréchal quitte son poste en 2007, remplacé par Jan Bašný. La saison 2007-2008 est celle du renouveau puisque le club réintègre la première partie du classement (6e place) après deux exercices décevants en 2005-06 et 2006-07 (8e et 9e places et aucun titre).

À l'issue d'une saison 2008-2009 remporté par le HB Metz métropole qui, lui, domine toujours le championnat de France, le club termine à la 6e place mais est relégué en Division 2[8],[9].

Une difficile remontée (2009-2014)

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Le club parviendra dès sa première saison en Division 2 (D2F) à remonter dans l'élite. Mais chaque saison, elle échappe de très peu à la relégation, ne devant notamment son maintien à l'issue de la saison 2011-2012 qu'à la liquidation de l'Arvor 29. En juin et juillet 2012, le club recrute 4 internationales ou ex internationales, Patricia Alonso (Espagne), Slađana Pop-Lazić (Serbie), Jelena Popović (Serbie) et Mirjana Milenković (Monténégro). Malgré un recrutement intéressant et des ambitions affichées de retrouver une coupe d'Europe, le club se maintient difficilement à la toute dernière journée des Play-downs. Une victoire à domicile face à Toulon, combinée à une défaite de Dijon à domicile face à Nice, offre un maintien inespéré aux bisontines, quand le voisin dijonnais prend le chemin de la D2 F.

L'été 2013 voit le départ de nombreuses joueuses dont plusieurs cadres, Audrey Bruneau, Christelle Manga, Alice Lévêque, Julie Godel, Jelena Popović et Mirjana Milenković.

Après l'arrêt de Florence Sauval, l'équipe est confiée à son adjoint Camille Comte, qui axe son recrutement sur de jeunes joueuses : Maria Munoz, Moniki Bancilon, Ewa Palies et Natalya Vasileuskaya viennent enrichir l'effectif du club. Malgré un budget loin de ceux des cadors de la Ligue Féminine de Handball, l'ESBF remporte plusieurs succès probants à domicile, mais après avoir raté ses Play-downs, se retrouve relégué en D2 F.

Un retour au premier plan (2014-..)

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Durant l'été 2014, le club constitue son dossier VAP (Voie d'Accession à la Professionnalisation) et ambitionne la remontée directe en LFH, tout comme 3 autres équipes : Brest (tout juste promu en D2 F), Chambray et Cannes. L'intersaison voit les départs d'Ewa Palies, de Patricia Alonso et de Natalya Vasileuskaya, sans pour autant qu'il n'y ait d'arrivées supplémentaires.

Lors de la première journée, les bisontines trébuchent d'entrée à Stella Saint-Maur, l'un des promus de la poule. En décembre 2014, c'est un mastodonte du handball féminin français qui vient enrichir le staff du club en la personne de Raphaëlle Tervel, qui devient adjointe de Camille Comte. En avril 2015, devant un palais des sports plein comme un œuf l'ESBF bat Cannes et s'offre le titre de Champion de France de D2 F et la remontée en LFH pour la saison 2015-2016.

Raphaëlle Tervel est promue coach (au détriment de Camille Comte, remercié par le club) et Sandrine Mariot-Delerce devient adjointe. Après avoir enregistré 2 départs, Slađana Pop-Lazić et Moniki Bancilon, le club recrute 4 joueuses dont 3 espagnoles : Jessica Alonso, María Núñez, Patricia Elorza et Julie Dazet. La saison 2015/2016 tient toutes ses promesses, une 5e place synonyme de Play-offs et 2 joueuses (Amanda Kolczynski et Julie Dazet) appelées à rejoindre les rangs de l'équipe de France. À noter les départs de Jessica Alonso et Patricia Elorza et les arrivées d'Alice Lévêque et Anna Manaut.

Le début de saison 2016-2017 confirme la tendance aperçue la saison précédente, bien dans son handball, l'ESBF signe des succès probants à domicile et à l'extérieur.

Le 1er mars 2016, alors que Besançon reste sur une probante série de victoires, les bisontines s'inclinent sur le parquet des messines, au-delà de la défaite, l'ESBF perd coup sur coup dans ce match, son ailière droite titulaire Amanda Kolczynski et arrière droite titulaire Anna Manaut, toutes deux touchées aux ligaments croisées. Cependant, il faut moins de 15 jours aux dirigeants bisontins pour trouver 2 jokers, Apolline Feuvrier puis Aïssatou Kouyaté rejoignent la Franche-Comté jusqu'en 2018. L'ESBF valide sa belle 4e place et son ticket pour les Play-offs par une victoire face à Nice, sa bête noire en avril 2017. Lors des 1/4 de finale des Play-offs, les bisontines retrouvent Nantes et s'inclinent 19-18 au match aller. Le match retour tient toutes ses promesses, dans sa salle, Besançon réalise un début de match canon et s'adjuge le match 26-23, accédant pour la toute 1re fois aux 1/2 finales des Play-offs et l'assurance de retrouver une coupe d'Europe pour la saison 2017/2018. En 1/2 finales, Besançon retrouvera Metz Handball.

Compétitions nationales Compétitions internationales

Bilan saison par saison

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Saison Niveau Compétitions nationales Coupes
d'Europe*[10]
Championnat Coupe de France Coupe de la Ligue
1982/1983 1 7e - pas de compétition -
1983/1984 1 3e - -
1984/1985 1 6e 1/4 de finale C3 : 1/4 de finale
1985/1986 1 3e Finaliste -
1986/1987 1 3e ? C2 : 1/8 de finale
1987/1988 1 Champion Pas de compétition C3 : 1/8 de finale
1988/1989 1 3e C1 : 1/8 de finale
1989/1990 1 6e ? C3 : 1/8 de finale
1990/1991 1 9e Pas de compétition -
1991/1992 1 ? ? -
1992/1993 1 11e Phase de poules -
1993/1994 1 9e 1/2 finale -
1994/1995 1 4e Pas de compétition -
1995/1996 1 2e C4 : 1/2 finale
1996/1997 1 2e C2 : 1/16 de finale
1997/1998 1 Champion Finaliste C2 : 1/8 de finale
1998/1999 1 2e 1/4 de finale C1 : 1/4 de finale
1999/2000 1 2e Pas de compétition C3 : 1/4 de finale
2000/2001 1 Champion Vainqueur C2 : demi-finale
2001/2002 1 2e Vainqueur C1 : Groupes
2002/2003 1 Champion Vainqueur Vainqueur C2 : Vainqueur
2003/2004 1 2e pas de compétition Vainqueur SE : 4e
C1 : 2e tour
C3 : 1/8 de finale
2004/2005 1 2e Vainqueur 1/4 de finale C2 : 3e tour
2005/2006 1 8e 1/4 de finale 1/4 de finale C2 : 1/4 de finale
2006/2007 1 9e 1/8 de finale 1/4 de finale -
2007/2008 1 6e pas de compétition 1/4 de finale -
2008/2009 1 6e[13] 1/8 de finale 1/4 de finale -
2009/2010 2 3e 1/16 de finale - C4 : 1/4 de finale
2010/2011 1 10e 1/8 de finale 1/16 de finale -
2011/2012 1 10e 1/4 de finale - -
2012/2013 1 9e 1/8 de finale 1/8 de finale -
2013/2014 1 10e 1/8 de finale 1/8 de finale -
2014/2015 2 Champion 1/8 de finale - -
2015/2016 1 5e 1/8 de finale 1/4 de finale -
2016/2017 1 4e 1/4 de finale pas de compétition -
2017/2018 1 6e 1/8 de finale C2 : 3e tour
2018/2019 1 5e 1/8 de finale C2 : Phase de groupe
2019/2020 1 7e (arrêté) 1/8 de finale C2 : 3e tour
2020/2021 1 3e 1/8 de finale -
2021/2022 1 4e Finaliste C2 : 1/4 de finale

* C1 = Coupe des clubs champions/Ligue des champions, C2 = Coupe des coupes, SE = Supercoupe d'Europe
0 C3 et (C2 depuis 2016) = Coupe de l'IHF/Coupe de l'EHF/Ligue européenne, 0C4 = Coupe des Villes/Coupe Challenge

Effectif actuel

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Effectif de la saison 2022-2023
Joueuses Encadrement technique
No  P. Nat. Nom Date de naissance Taille Sélection Au club depuis
Gardiennes de but
12 GB Drapeau de la Norvège Haug Lerstad, TonjeTonje Haug Lerstad  (28 ans) 1,76 m Norvège 2022
21 GB Drapeau de la France Bonnet, FlorenceFlorence Bonnet   (26 ans) 1,80 m - CDF
87 GB Drapeau de la Norvège Drapeau du Japon Hauge, SakuraSakura Hauge  (37 ans) 1,74 m Japon 2019
Ailières
14 ALD Drapeau de la France Cordier, EmaEma Cordier   (21 ans) 1,70 m - 2017
28 ALD Drapeau de la France Granier, LucieLucie Granier  (25 ans) 1,67 m France CDF
31 ALD Drapeau de la France Drapeau de l'Algérie Zazaï, SabrinaSabrina Zazaï  (29 ans) 1,70 m Algérie 2021
13 ALG Drapeau de la France Aoustin, CamilleCamille Aoustin  (34 ans) 1,70 m France 2021
15 ALG Drapeau de la France Tshimanga, KiaraKiara Tshimanga   (21 ans) 1,65 m - CDF
55 ALG Drapeau de la France Pobelle, LéaLéa Pobelle   (23 ans) 1,68 m - 2018
Arrières
4 ARD Drapeau de la France Roy, MathildeMathilde Roy   (22 ans) 1,72 m - CDF
39 ARD Drapeau de la Pologne Nosek, NataliaNatalia Nosek  (26 ans) 1,79 m Pologne 2021
20 ARD Drapeau de la Croatie Dežić, IvanaIvana Dežić  (30 ans) 1,79 m Croatie 2022
8 ARG Drapeau de la France Mairot, ClarisseClarisse Mairot  (23 ans) 1,70 m - CDF
43 ARG Drapeau du Monténégro Ćorović, NadaNada Ćorović  (22 ans) 1,80 m - 2022
75 ARG Drapeau de la France Dembele, AudreyAudrey Dembele  (23 ans) 1,83 m - 2021
99 ARG Drapeau de la France Sidisina, LauryLaury Sidisina   (23 ans) 1,86 m - 2022 (CDF)
Demi-centre
07 DC Drapeau de la France Frécon, AlizéeAlizée Frécon  (30 ans) 1,63 m - CDF
30 DC Drapeau de la France Faure, JulietteJuliette Faure  (24 ans) 1,64 m - CDF
Pivots
9 P Drapeau de la France Cuenot, LéaLéa Cuenot   (23 ans) 1,76 m - CDF
10 P Drapeau de la France Cusset, LouiseLouise Cusset  (26 ans) 1,82 m - CDF
23 P Drapeau de la France Robert, PaulinePauline Robert Capitaine  (27 ans) 1,72 m - CDF
74 P Drapeau de la France Chardaire, ClémentineClémentine Chardaire   (20 ans) 1,80 m - 2020
Entraîneur(s)
Entraîneur(s) adjoint(s)
Préparateur(s) physique(s)
  • Charles Fostel
Analyste vidéo
  • Fabien Vidal

Légende
  • P. : Poste
  • Nat. : Nationalité
  • Capitaine : Capitaine
  • Joueuse en prêt entrant : Joueuse prêtée par un autre club
  • Joueuse au centre de formation : Joueuse au centre de formation
———

Dernière mise à jour : juin 2022

Léa Pobelle, Ema Cordier, Laury Sidisina, Mathilde Roy, CLÉMENTINE Chardaire.

Le budget de l'ESBF s'élève à environ 1 500 000 euros annuellement en 2021[16]. Le club dispose de subventions de la part de la ville de Besançon qui les octroie aux clubs selon des contrats d'objectifs. Pour la saison 2020/2021, cette subvention s'élevait à 390 000 euros[17].

Personnalités historiques du club

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Entraîneurs

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Joueuses célèbres

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Identité du club

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Équipementiers

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Période Équipementier Ref
? – ? Hummel [19]
? – 2016 Adidas
2016 – 2021/07 Kappa [20]
2021/07 – 2024 Le Coq Sportif [20]

La mascotte de l'ESBF est une panthère rouge appelée "Taïma"[21].

Notes et références

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  1. a et b Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. Le club est parfois appelé Entente sportive bisontine féminin.
  3. « Avec les féminines de l'AS Chemaudin », Hand-ball : bulletin fédéral, Fédération française de handball, no 109,‎ , p. 11 à 13 (lire en ligne, consulté le )
  4. « 1/2 finales et finale de Nationale 1B féminine 1982 », Hand-ball : bulletin fédéral, Fédération française de handball, nos 182/183,‎ , p. 102 (lire en ligne, consulté le )
  5. « Association Sportive de Chemaudin », sur Site de la ville de Chemaudin (consulté le ).
  6. « Saison 1982/1983 de l'ES Besançon », Hand-ball : bulletin fédéral, Fédération française de handball, no 184,‎ , p. 49-50 (lire en ligne, consulté le )
  7. « Joyeux Anniversaire, l'ESBF! », .
  8. « Le CNOSF dit non à Issy et Besançon », sur handzone.net, (consulté le ).
  9. « Besançon quitte l'élite », sur handzone.net, (consulté le ).
  10. « Déjà 100 matchs de Coupe d’Europe dans l’histoire de l’ESBF », France Bleu, (consulté le ).
  11. « Le CNOSF dit non à Issy et Besançon », sur handzone.net, (consulté le ).
  12. « Besançon quitte l'élite », sur handzone.net, (consulté le ).
  13. En 2009, le club est rétrogradé à cause de problèmes financiers[11],[12].
  14. « Composition de l'équipe - D1 », sur esbf.fr (consulté le ).
  15. « Composition de l'équipe - D1 », sur esbf.fr (consulté le ).
  16. Étienne Goursaud, « L’ESBF Handball : Au cœur d’un des emblèmes du handball français », sur sans-filtre.fr, (consulté le ).
  17. Éric Barbier, « Besançon : 1,6 M€ de subventions pour les clubs de sport de haut niveau », sur estrepublicain.fr, (consulté le ).
  18. Jean-Louis Le Touzet, « A Besançon, des filles élevées au ballon », Libération, (consulté le ).
  19. « SQUADLFH – Besançon, cet historique de l'élite ».
  20. a et b « Le Coq Sportif devient l'équipementier officiel de l'ESBF ».
  21. Ianis MISCHI, « Déguisé en vachette ou en panthère : les jolis numéros du décathlonien bisontin Baptiste Scalabrino », L'Est républicain,‎ (lire en ligne)

Liens internes

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Liens externes

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