Discussion utilisateur:Francis Vérillon

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.


Bienvenue sur Wikipédia, Francis Vérillon !


Wikipédia est un projet de rédaction collective d'une vaste encyclopédie réalisé actuellement dans 249 langues différentes de par le monde. Pour t'aider à tout moment, chaque page du site possède en haut à gauche un lien vers l'aide de Wikipédia.

N'hésite pas à consulter les premières indications pour modifier, rédiger et créer des pages dans Wikipédia avec la syntaxe appropriée. Le bac à sable est tout spécialement destiné à accueillir tes essais.

Tu peux t'inscrire au projet de parrainage pour qu'un contributeur plus expérimenté puisse t'aider lors de tes premiers pas dans le monde wikipédien. Si tu le souhaites, tu peux également te présenter sur le journal des nouveaux arrivants et indiquer, sur ta page utilisateur, quelles langues tu parles et d'où tu viens, quels sont tes centres d'intérêt...
Sur une page de discussion, n'oublie pas de signer tes messages, en tapant ~~~~ . Mais fais aussi attention à ne pas insérer ta signature dans des articles encyclopédiques, leurs auteurs sont connus par le biais de l'historique.

Je te conseille un petit tour par les principes fondateurs et les recommandations à suivre (règles de neutralité, règles de citation des sources, critères d'admissibilité des articles, conventions de style, éviter les autobiographies, etc.), ainsi que les pages projets, où il y a sans doute un sujet qui t'intéressera.

Tu es le bienvenu si tu désires insérer une image ou enrichir les articles, mais il est impératif de respecter des règles très strictes sur l'utilisation des images et le respect des droits d'auteurs. Il existe même des Wikigraphistes prêts à améliorer tes images sur leur Atelier graphique.
Enfin, le plus important, je te souhaite de prendre du plaisir à contribuer au projet !

Si tu as d'autres questions, tu peux voir cette page ou bien me contacter.  

Nicolas Ray 27 mars 2007 à 18:43 (CEST)[répondre]

Demande d'aide pour insérer une photo dans un article[modifier le code]

Bonjour,

Je travaille sur l'article "Nicolas Boulte", récemment créé par un autre contributeur. Mon objectif est de le compléter par des photos, plus de texte et une réorganisation partielle des paragraphes. Pour y parvenir, je vous demande, SVP, de m'aider à faire apparaître une photo qui actuellement ne fonctionne pas, elle correspond au fichier "Https://commons.wikimedia/wiki/File:Manifestation-du-21-fvrier-1968-photo.jpg". La licence qui conviendrait est CC-BY-SA (licence libre compatible, certains droits réservés) et la catégorie serait : "Manifestations 1968 Paris". Merci d'avance. Cordiale poignée de main. FV--Francis Vérillon (discuter) 4 août 2018 à 12:00 (CEST)[répondre]

Contravention aux droits d'auteur sur «  Hugues Delautre »[modifier le code]

Bonjour.

Vous avez copié sur la page Hugues Delautre un contenu protégé par le droit d'auteur. Cette modification constitue une contrefaçon, qui engage votre responsabilité juridique ainsi que celle de l'hébergeur de Wikipédia, la Wikimedia Foundation (en savoir plus).

La majorité des ressources disponibles sur le Web ou sur papier sont protégées par un droit d'auteur incompatible avec Wikipédia. En effet, Wikipédia est publiée sous une licence libre, ce qui veut dire qu'il est possible de modifier tout ou partie de l'encyclopédie, de la copier et même de la commercialiser. Le fait d'avoir « le droit » de copier la ressource ne constitue pas un motif valable permettant la copie.

Votre modification a donc été retirée et masquée. Nous vous remercions de ne pas réitérer ce type de copie sous peine de blocage de votre compte.

En revanche, vous restez libre d'exploiter la source d'information que vous avez copiée en extrayant les faits, en les synthétisant ou en les reformulant de manière significative, si tant est qu'elle soit une source de qualité.

Si vous souhaitez de l'aide, n'hésitez pas à poser vos questions sur le forum des nouveaux ou à me contacter directement.

Lomita (discuter) 8 juillet 2023 à 15:59 (CEST)[répondre]

Bonjour Lomita,
Je ne comprends pas ce qui se passe, plus précisément, de quelle contravention il s'agit.
En vous demandant de l'aide, je vous soumets ci-dessous le texte que j'ai préparé pour créer l'article "Hugues Delautre". Les liens hypertextes vers d'autres articles Wikipédia restent à faire. Deux photos libres de droits déjà importées sur Wikimedia Commons seront incorporées à cet article.
D'avance merci.
Francis Vérillon
Hugues Delautre est un prêtre franciscain de l'ordre des Frères Mineurs (ofm) né le 3 août 1922 à Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais) et mort le 3 décembre 2008 à Juvisy (Essonne).
En 1976 à Vézelay (Yonne), il a découvert, dans la Basilique Sainte Marie-Madeleine de Vézelay, l'alignement des taches solaires au centre de la nef le jour du solstice d'été, révélant ainsi que non seulement l'axe d'orientation de la nef mais aussi sa structure interne, cet espace limité par l'architecture et empli de lumière, ont été déterminés en tenant compte de la position de la Terre par rapport au Soleil.
Biographie [1]
Jeunesse et formation
Frère Hugues, Jean Delautre, est né à Nœux-les-Mines (Pas-de-Calais), le 3 août 1922.  Après ses premières études, il fit un apprentissage de pâtissier auprès de son père. Il garda toute sa vie ce savoir-faire qui lui permit de rendre beaucoup de services dans les communautés auxquelles il appartint. En 1947, il entra dans la section des « vocations tardives » au Petit séminaire franciscain de Fontenay-sous-bois, pour achever ses études secondaires et s’initier au latin, afin de devenir franciscain et prêtre.
Il entra au noviciat franciscain, à Gillevoisin, en 1950,  et y fit sa profession simple en 1951.
De 1951 à 1953, il résida au couvent de Mons-en-Barœul, pour étudier la philosophie scolastique, puis il fit sa théologie à Champfleury et ensuite Orsay, de 1954 à 1958. Il fut ordonné prêtre dans l’église de La Clarté-Dieu, à Orsay, le 28 juin 1958.
Prêtre
De 1958 à 1966, il fut professeur de lettres, à Fontenay-sous-bois. Il travaillait d’arrache-pied, pour préparer son travail d’enseignement auprès de jeunes adultes qui appréciaient sa simplicité et son attention à tous. La fermeture du collège de Fontenay, en 1966, le rendit disponible pour un nouveau ministère.
En 1966, il est nommé vicaire à la paroisse de Vézelay où il demeurera jusqu’en 1981.  Ces quinze années passées à Vézelay ont été les plus fécondes de son ministère. Il se passionna très vite pour la basilique de Vézelay qu’il faisait visiter aux pèlerins et aux touristes avec une compétence inégalée. Très consciencieux, il a recherché avec beaucoup de persévérance, tout ce qui pouvait lui permettre de comprendre l’histoire, la technique, les symboles, les figures de l’art roman, dont Vézelay demeure une des plus belles réussites. Parallèlement à cette recherche artistique, il se passionna également pour la figure de Marie-Madeleine, dans les évangiles, comme dans la tradition artistique de l’occident. Il publia un guide de Vézelay, illustré de nombreuses photos [2]. Il était consulté par de nombreuses personnes qui reconnaissaient en lui un spécialiste, bien que sa timidité, et même ses scrupules lui interdisaient de laisser deviner ses compétences. Il avait découvert avec émerveillement le chemin du soleil dans la nef de Vézelay, à midi du solstice. Jusqu’à la fin de sa vie, le Père Hugues Delautre fut habité par la lumière de la basilique Sainte-Marie Madeleine de Vézelay (hyperlien à faire).
De 1981 à 1987, il fut gardien de la fraternité de Fontenay-sous-Bois.
En septembre 1987, il vint résider au couvent Saint-François de la rue Marie-Rose, à Paris. Il y rendit de nombreux services, comme adjoint de l’économe, et souvent, comme remplaçant du cuisinier. Il fut l’assistant spirituel d’une fraternité séculière et il participa activement à l’accueil des jeunes religieux étrangers qui venaient étudier à Paris. Il donnait des cours particuliers de français, il relisait les mémoires et thèses des étudiants et restait toujours disponible pour leur rendre service. Dans la communauté, on appréciait sa discrétion, sa disponibilité, sa présence très fidèle à la prière communautaire, et son affection  fraternelle à l’égard de tous les frères.
Après le chapitre de 2008, en raison de sa santé défaillante, il devait rejoindre une fraternité de religieux âgés. Mais en juillet, sa santé s’aggrava subitement, et après plusieurs séjours à l’hôpital, il fut confié à la maison des aînés des Frères des Écoles chrétiennes, où, résidaient quelques autres frères franciscains  et des prêtres du diocèse de l’Essonne. Il y fut soigné et accompagné avec dévouement jusqu’à son décès, le 3 décembre 2008.
La Madeleine de Vézelay : architecture cosmique et mystique de la lumière
Découverte
En 1976, après plus de huit siècles, Hugues Delautre découvre que chaque année, la fête de Jean-Baptiste, précurseur du Christ dont la statue se dresse au trumeau du portail central du narthex, révèle les dimensions cosmiques de cette église : au plein midi du solstice d'été, entre le 21 et le 24 juin, quand le soleil est en culmination par rapport à la terre, la lumière venue des fenêtres sud projette des flaques lumineuses qui s'établissent dans le plein milieu de la nef avec une rigoureuse précision,,, et [6]. Qu'avant lui, on ait rien vu, rien remarqué, constitue pour ceux que l'on appelle les « spécialistes » un excellent rappel à l'humilité [5, p. 109]. Après avoir retiré toutes les chaises de la nef, le Père Hughes, ayant rendez-vous avec le soleil, fait photographier sa découverte par François Walch le 23 juin 1976 à 14h27 (photo ci-contre). Depuis lors beaucoup d'autres images de ce « chemin de lumière » tendent à devenir emblématiques du sanctuaire de Vézelay.
Interprétation
Pour atteindre la signification de ce signe objectif, à l'intérieur de la basilique, le Père Hugues Delautre s'est référé aux textes du XIIe siècle (Suger, Pierre le Vénérable, Honoré d'Autun) et a habité longuement le monument avec la mentalité symbolique de l'époque pour laquelle le sens se révèle à partir des signes sensibles par la voie anagogique (littéralement ascension vers l'Incréé) où le regard dépasse la réalité du signe pour atteindre cet au-delà du signe qui est Dieu et son mystère. Se laissant informer progressivement par la lumière de Vézelay, il conclut ainsi : « Le bâtisseur, fasciné par la beauté de l'univers qu'il reconnaît être l’œuvre de Dieu, n'a-t-il pas édifié cet "atrium du Ciel" à l'image de Dieu qui a créé "dans l'ordre, la mesure et la beauté" ? Il pourrait affirmer comme Salomon qui a construit le Temple de Jérusalem dans une totale soumission aux normes directrices fixées par Dieu : "Tu m'as ordonné de bâtir un temple, sur ta montagne sainte... une copie de la Demeure sacrée que tu fondas dès l'origine" (Sagesse 9, 8). La nef est l'expression de la soumission admirative de l'homme roman à l'égard de l'ordonnance du plan divin exprimé dans la création tout entière. "Les Cieux racontent la gloire de Dieu et l’œuvre de ses mains le firmament la clame" (Psaume 18, 2) ».
Au solstice d'été, la fête de Jean-Baptiste marque le triomphe de la lumière, selon les derniers versets du Cantique prononcé par Zacharie, son père : « Et toi petit enfant, tu précéderas le Seigneur pour donner à son peuple la connaissance du salut, œuvre de la miséricordieuse tendresse de notre Dieu qui nous amènera d'en haut la visite du soleil levant, afin d'illuminer ceux qui se tiennent dans les ténèbres et l'ombre de la mort, afin de guider nos pas dans le chemin de la paix » (Luc 1, 76-79).
Notes et références
[1] Extrait du site http://franciscains-paris.org, Frères qui nous ont quittés (inhumés à Paris), Hugues Delautre.
[2] Hugues Delautre, La Madeleine de Vézelay, texte extrait du bulletin de la Société d’études d'Avallon (SEA), 70ème volume publié au deuxième semestre 1981 ; ce texte est celui d'une conférence présentée à la SEA le 17 juin 1979 et illustrée de quelque deux cents diapositives.
[3] Hugues Delautre, Solstices à Vézelay, Zodiaque no 122, Abbaye Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire (Yonne), Les ateliers de la Pierre-qui-Vire, dépôt légal 1240-3-79, octobre 1979, p. 1-6 (Regard renouvelé sur l'église de la Madeleine) suivi de p. 7 à 16 (Entretien au sujet des éclairages des solstices à Vézelay).
[4] Hugues Delautre et Jacqueline Gréal, La Madeleine de Vézelay, Guide et plans, Éditions Franciscaines, Lescuyer, Lyon, ISBN 2-85020-001-8, 1981, p. 27-29 (Architecture cosmique et mystique de la lumière).
[5] Raymond Oursel, Lumières de Vézelay, Éditions Zodiaque, Abbaye Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire (Yonne), ISBN 2-7369-0203-3, 1993, p. 21 et 105-109 (Les tâches solaires).
[6] Damien Voreux, Vézelay, Editions Ouest-France, Edilarge, Rennes, ISBN 2-7373-1608-1, 1994, p. 15-18 (Les jeux de la pierre et du soleil). Francis Vérillon (discuter) 8 juillet 2023 à 17:00 (CEST)[répondre]