BPCE
Groupe BPCE | |
Tours Duo dans le 13e arrondissement de Paris, siège social du groupe BPCE depuis 2022. | |
Création | : fondé comme Caisse Centrale des Banques Populaires
: fondé comme Caisse Nationale des Caisses d'Epargne |
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Dates clés | : fondé comme Groupe BPCE |
Forme juridique | Société anonyme à directoire et conseil de surveillance |
Slogan | Coopératifs, banquiers et assureurs autrement. |
Siège social | 7, promenade Germaine Sablon, 75013 Paris France |
Direction | Nicolas Namias |
Actionnaires | 50 % Banques populaires (dont Crédit Coopératif, CASDEN et BRED) 50 % Caisses d'épargne |
Activité | Banque et assurance |
Produits | Banque |
Société mère | Fédération nationale des Banques Populaires (d) Fédération nationale des Caisses d'Épargne (d) |
Filiales | Banque Palatine (100 %) Oney (50,1 %) Natixis (100 %) (dont Natixis Investment Managers, Natixis Wealth Management et Natixis Corporate & Investment Banking) |
Effectif | 99 814 |
SIREN | 493455042 |
TVA européenne | FR26493455042 |
Site web | www.groupebpce.com |
Capitalisation | Non cotée |
Fonds propres | 82,5 milliards d’€ (2022)[1] |
Dette | 1 448 milliards d’€ (2022)[1] |
Chiffre d'affaires | 22,1 milliards d’€ (2022)[1] |
Actifs sous gestion | 1 079 milliards d’€ (2022)[1] |
Bilan comptable | 1 531 milliards d’€(2022)[1] |
Résultat net | 4 milliards d’€ (2022)[1] |
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Le groupe BPCE est un groupe coopératif de banque universelle et d’assurance. Il est composé des Banques Populaires, des Caisses d’Epargne et de BPCE. BPCE réunit l’organe central et ses directions, les métiers au service du retail et à dimension mondiale et les groupements de moyens. Le groupe BPCE est issu de la fusion en 2009 de la Caisse nationale des caisses d’épargne et de la Banque fédérale des banques populaires.
Le capital de la BPCE est détenu à parité par les sociétaires des 14 Banques populaires (50 %) et des 15 Caisses d'épargne (50 %)[2].
En 2018, le groupe BPCE est la seconde institution bancaire coopérative française derrière le Crédit agricole[3]. Il est le deuxième acteur bancaire en France.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le groupe BPCE puise ses racines dans une longue histoire puisque ses deux marques fondatrices, Caisse d’Epargne et Banque Populaire, ont respectivement plus de 200 ans et près de 150 ans. De son côté, Natixis est notamment issue du Crédit National fondé en 1919[4].
Création et débuts de BPCE (2009-2015)
[modifier | modifier le code]En réponse aux conséquences de la crise bancaire et financière de l'automne 2008 et de différentes erreurs de gestion commises par chacun des deux ex-groupes Caisse d'épargne et Banque populaire, notamment des pertes massives dans leur filiale commune, Natixis, BPCE est fondé le [5].
Juridiquement, sa création procède des tenues des assemblées générales extraordinaires des groupes Caisse d'épargne et Banque populaire, qui ont entériné la création du nouvel organe central[6].
BPCE est ainsi devenu l'organe central du groupe BPCE. Il est chargé de l'élaboration de la stratégie, de la gestion des risques, de la trésorerie et des ressources humaines.
L'État français a détenu des actions de préférence, sans droit de vote. BPCE avait reçu de la part de l'État 7,05 milliards d'euros, dont 4,05 milliards d'euros de titres super subordonnés (TSS) et 3 milliards d'euros d'actions de préférence. Depuis le 23 mars 2011, BPCE a intégralement remboursé l'État[7].
Les ex-groupes Caisse d'épargne et Banque populaire entérinent le l'arrivée à leur tête (président du directoire) de François Pérol, ancien secrétaire général adjoint de la présidence de la République[8]. Après l'injection de 4 à 5 milliards d’euros par l'État, François Pérol qui avait traité le dossier à l’Élysée est nommé à la tête du groupe le 2 mars[9],[10]. En raison du conflit d'intérêts, la nomination fait l'objet d'une importante polémique et la commission de déontologie de la fonction publique « envisage une démission collective »[11], mais seuls les deux membres représentant la Cour des comptes rendent leur mandat[12].
Acquisitions et changement de périmètres (depuis 2015)
[modifier | modifier le code]En , le groupe BPCE vend une participation de 10,7 % dans Nexity pour 206 millions d’euros, ainsi qu'une participation de 4,66 % dans Banca Carige pour 32,7 millions d’euros. Après cette opération BPCE possède 22,7 % du capital de Nexity et 5,10 % de Banca Carige[13]. En , BPCE annonce la vente de 7 % supplémentaires de Nexity[14].
En , le groupe BPCE annonce l'acquisition de la banque en ligne allemande Fidor Bank pour 150 millions d'euros[15], créée en 2009 et ayant 120 000 clients[16].
En , Natixis cède à BPCE SA ses métiers de services financiers[17]. Par ailleurs, le groupe BPCE devient le premier partenaire premium des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024[18] pour un coût situé entre 60 et 100 millions d'euros[19],[20].
En , le groupe BPCE annonce l'acquisition d'une participation de 50,1 % dans la banque en ligne Oney Bank, détenue par Auchan[21].
En , BPCE annonce l'acquisition de la participation de 29,3 % qu'il ne détient pas dans Natixis, pour 3,7 milliards d'euros[22]. Natixis n'est plus cotée en Bourse à compter du . En fin d'année, BPCE cède à La Banque postale sa participation de 16,1% dans CNP Assurances[23].
En , Bimpli, filiale du groupe BPCE, est cédée à Swile, dont le groupe BPCE est devenu le premier actionnaire[24].
En , le groupe BPCE annonce la signature d'un accord avec la Société générale pour reprendre sa filiale Société Générale Equipment Finance (SGEF), spécialisée dans les activités de financements spécialisés, pour un montant estimé à 1,1 milliard d'euros[25].
Composition du groupe
[modifier | modifier le code]Depuis la création de l'organe central BPCE SA, les deux réseaux Caisse d'épargne et Banque populaire poursuivent leurs activités de banque de détail, ou « de proximité », et commercialisent des produits, parfois identiques, sous leurs propres marques. Au , le groupe BPCE compte environ 8 000 agences bancaires, 35 millions de clients et 9 millions de sociétaires. Les établissements bancaires du groupe représentent environ 20 % de parts de marché dans la banque de détail en France[26].
BPCE est composé des entreprises des deux anciens groupes Banque populaire et Caisse d’épargne qui ont fusionné le . L'organe central est détenu à 100 % par les banques régionales, Banques populaires ou Caisses d’épargne.
BPCE détient à son tour les filiales suivantes :
- Natixis
- Banque Palatine
- Oney Bank
- les filiales regroupées dans le pôle Solutions et expertises financières.
Activité de lobbying
[modifier | modifier le code]Aux États-Unis
[modifier | modifier le code]Selon le Center for Responsive Politics, les dépenses de lobbying de la BPCE aux États-Unis s'élèvent en 2017 à 320 000 dollars[27].
Auprès des institutions européennes
[modifier | modifier le code]BPCE est inscrite depuis 2014 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Elle déclare en 2017 pour cette activité des dépenses annuelles d'un montant compris entre 900 000 et 1 million d'euros[28].
En France
[modifier | modifier le code]Pour l'année 2017, BPCE déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant n'excédant pas 300 000 euros[29].
Directions
[modifier | modifier le code]Direction générale
[modifier | modifier le code]Présidences
[modifier | modifier le code]- François Pérol : 2009[30]-2018[31],
- Laurent Mignon : 2018[31]-2022[32],
- Nicolas Namias : depuis 2022[33].
Affaires judiciaires et controverses
[modifier | modifier le code]Affaires touchant aux pratiques managériales et aux discriminations
[modifier | modifier le code]En , Natixis, principale filiale financière de BPCE SA, est condamné pour discrimination raciale[34].
En 2013, la nouvelle direction de la Banque Populaire Loire et Lyonnais est perçue comme brutale ; elle se traduit par des départs massifs[35]. En 2017, cette banque régionale fusionne avec deux autres[36].
En puis de nouveau en , BPCE est pointé pour ses « pratiques infractionnistes » en matière de durée du travail, en raison du manque de mesure des temps de repos des salariés[37].
En 2014, la Caisse d'épargne de Lyon se voit condamnée en appel pour ses pratiques managériales[38].
En 2015, l'Inspection du travail met en évidence des actes « offensants et humiliants » exercés à la direction du secrétariat général et de la direction juridique (SGDJ) de BPCE SA[39], matérialisés notamment par des "discriminations" fondées soit sur l'âge, soit sur l'appartenance syndicale[40]. Ces actes entraînent des maltraitances de salariés ; ils se traduisent même par des licenciements individuels, jugés sans cause réelle et sérieuse par la Cour d'appel de Paris.
En , le DRH est remplacé[41]. Le , un nouveau directeur juridique[42] prend ses fonctions[43].
Condamnations disciplinaires
[modifier | modifier le code]Plusieurs Banques populaires ou Caisses d'épargnes de BPCE ont fait l'objet de condamnations par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).
En , la Banque populaire des Alpes est condamnée par la Commission des sanctions de l'ACPR[44].
En , la Banque populaire de la Côte d'Azur est condamnée par la Commission des sanctions de l'ACPR[45]. Le Conseil d’État rejette le pourvoi formé par la banque.
En , la Caisse d'épargne du Languedoc-Roussillon se voit, à son tour, sanctionnée disciplinairement[46].
Affaire François Pérol
[modifier | modifier le code]Le , François Pérol est mis en examen pour prise illégale d’intérêts[47],[48].
Le , le parquet demande au juge d'instruction de renvoyer François Pérol devant le tribunal correctionnel, pour « prise illégale d'intérêts »[49], réquisition suivie le [50].
L'audience publique se tient du au au tribunal correctionnel de Paris. Elle offre l'occasion de décrire « un système poreux entre sphère privée et sphère publique »[51] selon les journalistes, de critiquer la présidence de Nicolas Sarkozy[52], ou encore, plus substantiellement, de dénoncer la proximité malsaine entre les grands corps de l’État et les banques[53].
Les réquisitions du parquet sont sévères : deux années de prison et 30 000 € d'amende. La procureure affirme : « Il nous appartient donc d'affirmer la responsabilité de celui qui a transgressé la valeur fondamentale qui est l'impartialité de celui qui agit dans la sphère publique au nom de l'intérêt de l'État »[54], ajoutant que « ce niveau de responsabilité appelait une exemplarité sans faille et rien ne vient justifier l'entorse commise. Elle n'en est que plus grave. » Pour l'analyste de l'économie sociale et solidaire, Michel Abhervé, la situation décrite durant ce procès résulte de l'éloignement des groupes bancaires concernés, notamment Banque populaire, des valeurs coopératives[55].
Après la relaxe de François Pérol[56], le parquet fait appel en [57]. Cette procédure installe des dissensions durables à l'intérieur du groupe BPCE[58].
L'affaire François Pérol est jugée en appel, à partir du [59]. Le , le parquet réclame, en appel, les mêmes peines que celles requises en première instance : deux années de prison avec sursis, 30 000 € d'amende et l'interdiction d'exercer une fonction publique[60]. Le , il est relaxé par la cour d'appel de Paris[61].
Gestion pour compte de tiers
[modifier | modifier le code]- La gestion du fonds commun de placement (FCP) « Doubl'Ô Monde » créé une affaire judiciaire, classée sans suite par l'Autorité des marchés financiers (AMF) au motif de la prescription de l'action civile. L'affaire est relancée judiciairement en .
- En , les pratiques de Natixis Asset Management font l'objet d'audits approfondis, notamment quant à des « réserves » qui auraient été constituées au détriment des épargnants, via des fonds à formule. Selon Mediapart, près de 100 millions d'euros auraient été prélevés sur des fonds à formule, outre des anomalies dans leurs méthodes de gestion[62], alors que l'Agefi relève pour sa part qu'un audit externe réalisé par le cabinet Ernst&Young « n’aurait pas mis au jour d’irrégularités graves »[63].
- Le , Natixis annonce le remplacement du dirigeant de Natixis Asset Management, après son départ précipité, le [64]. Le , l'AMF envoie Natixis Asset Management en commission des sanctions[65].
Lors de sa séance de Commission des sanctions du , l'AMF réclame 35 millions d'euros de sanction contre Natixis Asset Management[66], précisant : « Il n'y a aucun doute que ces commissions de rachats bénéficiaient à Natixis AM, en contradiction avec ce qui figurait dans le prospectus de présentation du fonds », jugeant « particulièrement choquant » le fait que les principes fondateurs de la gestion d'actifs aient ainsi été remis en cause. La décision finale de la Commission des sanctions est attendue.
Activités financières
[modifier | modifier le code]Dans un arrêt du , la cour d'appel de Paris condamne Natixis, filiale bancaire cotée du groupe BPCE, à réintégrer un lanceur d'alerte[67]. C'est alors la première fois, en France, qu'un tribunal condamne une entreprise ayant licencié un lanceur d'alerte à le réintégrer dans ses effectifs, à poste équivalent.
Discrimination femme-homme en matière salariale
[modifier | modifier le code]En , le magazine d'investigation Cash Investigation diffuse un sujet sur les discriminations de salaire entre les hommes et les femmes, mettant en exergue les inégalités de rémunération au sein de deux entités du groupe BPCE, Natixis et Caisse d'épargne, avec un écart de rémunération respectif de 43 % et 18 %[68]. À ce sujet, une action de groupe est lancée en 2019 au sein de Caisse d'épargne par la Confédération générale du travail (CGT)[réf. nécessaire].
Impact carbone
[modifier | modifier le code]En , l'ONG Oxfam France publie en collaboration avec Les Amis de la Terre - France un rapport indiquant que les principales banques françaises ont une empreinte carbone très importante : « en 2018, les émissions de gaz à effet de serre issues des activités de financement des quatre principales banques françaises – BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et BPCE – dans le secteur des énergies fossiles ont atteint plus de 2 milliards de tonnes équivalent CO2, soit 4,5 fois les émissions de la France »[69].
Dans une étude publiée par l'organisation britannique InfluenceMap, la BPCE se distingue aux côtés de BNP Paribas et Aviva Investors pour un lobbying en faveur des réglementations européennes sur la finance durable[70].
Implication dans des investissements financiers climaticides en Colombie
[modifier | modifier le code]BPCE est mis en demeure en par l'ONG Tierra Digna pour son implication dans des investissements financiers climaticides dans l'entreprise suisse Glencore, accusée « de graves dommages à l'environnement, notamment en termes de santé publique » en Colombie. L'ONG reproche à Glencore d'avoir contaminé « des sources d'eau, tant superficielles que souterraines, par des matériaux tels que le plomb et d'autres substances toxiques » à travers des activités irrégulières dans les mines de La Jagua et de Calenturitas[71],[72].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « universal registration document of groupe bpce 2022 and annual financial report », sur groupebpce.com (consulté le ).
- « Organisation Groupe BPCE : organigramme et ses 4 grands métiers », sur Groupe BPCE (consulté le )
- « World Cooperative Monitor 2018_EN », sur monitor.coop (consulté le )
- Patrick Gilormini, enseignant chercheur, « Aux origines du groupe Banque Populaire Caisse d’Epargne : Philanthropie libérale et solidarisme républicain », Electronic Working Paper Series ESDES-Recherche Université catholique de Lyon, (lire en ligne )
- « Banque Populaire-Ecureuil devient BPCE : notre dossier sur la naissance d'une nouvelle banque » , La Tribune, (consulté le ).
- Organe central sur le site officiel BPCE (page consultée le 6 août 2009)
- Bertille Bayart et Anne de Guigné, «BPCE ne doit plus un euro à l'État» , Le Figaro, (consulté le ).
- Anne Michel et Emeline Cazi, « Autour de la naissance du groupe BPCE, l’appétit des conseillers du « prince » », Le Monde, (lire en ligne , consulté le ).
- François Pérol, portrait du conseiller de Nicolas Sarkozy devenu directeur de banque, Politique.net, 26 février 2009
- Claire Gatinois et Anne Michel, « Malgré la polémique, François Pérol mènera la fusion Banques populaires-Ecureuil », Le Monde, (lire en ligne , consulté le ).
- Derek Perrotte, « Affaire Pérol : la Commission de déontologie a failli démissionner », Les Échos, .
- AFP, « Affaire Pérol : deux membres de la Commission de déontologie démissionnent », Le Monde, (lire en ligne , consulté le ).
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- Marion Heilmann, « Clap de fin pour Fidor Bank, la fintech allemande de BPCE » , Les Échos, .
- (en) « French lender BPCE buys German fintech flagship Fidor », Reuters, .
- « BPCE engage une opération à 2,7 milliards avec Natixis », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ).
- « Paris 2024 décroche son premier sponsor avec BPCE », Les Échos, (consulté le ).
- « JO 2024 : Le groupe BPCE casse sa tirelire pour Paris 2024 », sur L'Équipe (consulté le )
- « JO : partenaire de la première heure de Paris 2024, BPCE rêve de devenir la banque du sport », Les Echos, (lire en ligne)
- Delphine Cuny, « BPCE va acquérir 50,1% de la banque d'Auchan Oney », La Tribune, .
- Romain Gueugneau et Anne Drif, « BPCE prêt à retirer Natixis de la cote pour 3,7 milliards d'euros », Les Échos, .
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- Charlie Perreau, « Avec le rachat de Bimpli, Swile a atteint 138 millions de revenus en 2022 » , Les Échos, (consulté le )
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- « CFTC BPCE SA : Rapport d'enquête de l'Inspection du Travail : Constats accablants dans une direction de BPCE Sa. », sur cftcbpcesa.blogspot.fr
- Robin Carcan, « Échanges tendus chez BPCE suite à une enquête de l'inspection du travail », sur miroirsocial.com.
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- « La vengeance de François Pérol, le patron des Banques populaires et des Caisses d'épargne », Capital, .
- « BPCE : le procès en appel de François Pérol se tiendra en mars 2017 », Les Échos
- Denis Cosnard, AFP, « Deux ans de prison avec sursis requis contre François Pérol », Le Monde, .
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- Laurent Mauduit et Martine Orange, « Natixis cherche à abuser ses clients, la presse et l'AMF », Mediapart, .
- « L’AMF ouvre la boîte noire des fonds à formule », Agefi, .
- Laurent Mauduis, « Crise ouverte à la direction de Natixis Asset Management », Mediapart, .
- « L’AMF envoie Natixis AM en Commission des sanctions pour ses fonds à formule - Actualités Asset Management », .
- « Actualité financière, informations marchés financiers », sur boursorama.com
- « Natixis condamnée à réintégrer un lanceur d'alerte ».
- « Cash Investigation Égalité hommes femmes : balance ton salaire » [vidéo], sur France.tv (consulté le ).
- Nabil Wakim et Véronique Chocron, « L’empreinte carbone « colossale » des banques françaises », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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- « BNP Paribas, Crédit agricole et Banque populaire Caisse d’épargne (BPCE) dans le collimateur d’une ONG », Capital, (consulté le ).
- Géraldine Hallot, « Trois banques françaises mises en cause pour leurs financements de l’industrie du charbon », sur France Inter, (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives aux organisations :
- « BPCE engrange des résultats quasi-record en 2022 mais cale en fin d'année », Le Figaro, (consulté le ).