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====La ville et le château====


* Le '''[[Château des Évêques-du-Puy]]''' ([[Monument historique (France)|ISMH]]), abrite l'Office de tourisme et des salles d'exposition. De ses '''jardins''' classiques, démembrés et en partie bâtis, ne subsistent aujourd'hui que les allées.
Dominant la vieille ville et le ruisseau de Piat, le ''[[Château des Évêques-du-Puy]]'' est le principal monument de la commune. Construit du {{XVe siècle}} au {{XVIIIe siècle}}, il sert de résidence d'été aux Évêques du [[Le Puy-en-Velay|Puy]] jusqu'à la Révolution. Il abrite aujourd'hui l'[http://pagesperso-orange.fr/ot-monistrol.com/ Office de tourisme], la [http://amischateau.ifrance.com/shm.htm Société d'histoire de Monistrol] et des salles d'exposition. De son parc classique, qui comprenait autrefois un jardin botanique, un temple et des statut, ne subsiste aujourd'hui que les allées.


La ''Collégiale Saint-Marcellin'', au centre de la vieille ville, remonte au {{s|VIII|e}}. Elle est surtout connue pour chœur roman et son clocher classique, ainsi que pour le remarquable [[reliquaire]] doré de Saint-Marcellin, patron de la commune, réalisé au Moyen-Âge. D'autres monuments rappellent l'ancienne emprise des évêques sur la ville, comme le Couvent des [[Ursulines]], qui abrite le [[rétable]] en bois doré de ''La Mort de Saint-Joseph'', chef d'œuvre du sculpteur Vaneau ({{s|XVII|e}}), ou l'ancien couvent des capucins.
* '''Collégiale Saint-Marcellin''', chœur roman ([[Monument historique (France)|ISMH]]), [[reliquaire]] doré de Saint-Marcellin ([[Monument historique (France)|MH]]), et clocher classique.


Le ''Donjon'', ancien corps de garde de la porte de l'Arbret, est un des derniers vestiges du mur de ville, chargé de protéger certains quartiers comme celui du [[Château des Évêques-du-Puy|Château]], aujourd'hui très dégradé.
* '''Couvent des [[Ursulines]]''', et son [[rétable]] en bois doré du {{s|XVII|e}} ([[Monument historique (France)|MH]])


* Ancien corps de garde de la porte de l'Arbret, dit '''Le Donjon''', récemment restauré.

* Il y a aussi l'Ancien Couvent des Capucins, autrefois petit séminaire, aujourd'hui Lycée professionnel privé, et les Vieux quartiers du Château, de l'Arbret et du Monteil, parfois très dégradés.
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Image:chateaufaçade.jpg|<small> ''Entrée du [[Château des Évêques-du-Puy|Château]]. A gauche, Tour Barbe.''
Image:chateaufaçade.jpg|<small> ''Entrée du [[Château des Évêques-du-Puy|Château]]. A gauche, Tour Barbe.''

Version du 24 mars 2008 à 15:57

Monistrol-sur-Loire
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Arrondissement d'Yssingeaux
Intercommunalité Les Marches du Velay
Maire Guy Granger
Code postal 43120
Code commune 43137
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 36″ nord, 4° 10′ 22″ est
Altitude Min. 434 m m
Max. 874 m m
Élections
Départementales Canton de Monistrol-sur-Loire
Localisation
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Monistrol-sur-Loire
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Monistrol-sur-Loire

Monistrol-sur-Loire est une ville française du Velay, deuxième centre urbain du département de la Haute-Loire.

Située sur l'axe de Lyon à Toulouse par le Massif central, elle est la capitale d'un pays actif et dynamique, la Marche du Velay. Elle a connu une forte expansion depuis les dernières décennies du XXe siècle.

Ses habitants sont appelés les Monistroliens.

L'espace monistrolien

  • Une improbable situation

Au rebord oriental du Massif central, sur le socle granitique des monts du Vivarais, la région monistrolienne est une région de forêts résineuses qui lui valurent le nom de Pays delà-les-bois au Moyen-Âge. Le plateau, à 800 mètres d'altitutde, ne bénéficie pas de l'axe des gorges de la Loire trop encaissées et connaît un long isolement. Monistrol appartient dès l'origine au pays du Velay.

  • La forme d'une ville

Monistrol s'impose précocément comme place de sûreté pour les environs. Au confluent des ruisseaux de Saint-Marcellin et de Piat, un château-vieux s'implante et une ville se développe sous sa protection. Cité close dotée d'un mur de ville, dont quelques vestiges subsistent, Monistrol voit le développement de faubourgs industriels à l'est, le long de la route royale de Lyon à Toulouse nouvellement percée (XVIIIe siècle), et au sud, comme au Monteil.

Le pont suspendu de Confolent sous le Viaduc du Lignon (RN 88)

Le renouveau urbain des dernières décennies est pavillonnaire et s'oriente vers l'est (quartier du Mazel et zone de Chavanon) et surtout vers le sud (quartiers du Kersonnier et du Pêcher). La référence à la Loire est une nécessité administrative (la distinction avec Monistrol-d'Allier) et n'implique pas une quelconque influence du fleuve sur le développement urbain.

  • Du désenclavement à la polarisation

La ville bénéficie de sa place sur la route royale de Lyon à Toulouse, qui permet l'ouverture d'un bureau de poste dès 1755. Améliorée dans la perspective d'un désenclavement global du Velay, la route impériale puis nationale 88 est finalement aménagée progressivement en voie rapide à la fin du XXe siècle. Désormais à 20 minutes de Saint-Étienne, la ville est le point de départ de migrations pendulaires vers le bassin stéphanois. La gare de Bas-Monistrol place la ville à 3h29 de Paris-Gare-de-Lyon par TGV*.

  • En quête d'identité

La région de Monistrol a toujours constitué une interface entre Velay et Forez, et a ainsi bénéficié d'influences contraires. La frontière nord de l'occitanie est située au nord de la commune et les toits à génoise, caractéristiques des régions méridionales, sont nombreux dans la vieille ville. A l'opposé, le château abrite le seul plafond à la fougère, spécialité forézienne, connu en Velay. L'influence du Lyonnais et du Forez s'est surtout manifestée par l'activité économique. Le développement proto-industriel du XIXe siècle (passementerie, métallurgie, etc.) tient à la proximité de Saint-Étienne et de Lyon. Bien que le département de la Haute-Loire soit rattaché à la région Auvergne, la ville appartient à la zone d'influence de Saint-Étienne et tire sa prospérité de l'aire urbaine stéphanoise. L'expansion démographique résulte d'un phénomène de périurbanisation en provenance de la région stéphanoise. La région monistrolienne se définit dès lors comme la Marche du Velay, zone d'interface en développement rapide.


*meilleur temps de parcours avec correspondance à Saint-Étienne-Chateaucreux

Le passé d'une cité

Armes de Monistrol
Monistrol-l'Évêque

Les armes de Monistrol sont aussi celles du Velay. A travers les symboles de la crosse et de l'épée, elles rappellent le double pouvoir, spirituel et temporel, de l'évêque. La devise de la cité est Ad utrumque paratus, qui signifie "prêt pour les deux choses", nouveau renvoi au double pouvoir du comte-évêque du Velay. Sous l'Ancien Régime, la ville est parfois appelée Monistrol-l'Évêque. La Révolution la rebaptise Monistrol-en-Velay puis Monistrol-sur-Loire, appellation qui s'est imposée sous la Monarchie de Juillet.

La cité à la veille de la Révolution, d'après le lavis de Louis Menier conservé à la Bibliothèque nationale (1788)


L'antique Monasterolium se développe au Moyen-Âge. La ville abrite les reliques de Saint-Marcellin, qui attirent de nombreux pélerins. Seigneurs de la cité après la Première Croisade, les Évêques du Puy font du château leur résidence estivale et de Monistrol la deuxième ville du Velay.

Après les Guerres de religion, elle connaît un âge d'or au XVIIe siècle. Humaniste, amoureux des lieux, MModèle:Gr Armand de Béthune, neveu de Sully, enrichit alors le château et le parc adjacent, et attire des artistes comme le sculpteur Vaneau.

Loyale sous la Révolution, elle voit cependant la sous-préfecture lui échapper. L'industrie, en particulier textile et métallurgique, se développe largement au XIXe siècle. Après un long déclin, la population double dans les dernières décennies du XXe siècle.


  • Voir la thèse d'Auguste Rivet, La Vie politique dans le département de la Haute-Loire de 1815 à 1974, éd. des Cahiers de la Haute-Loire, 1978, l'ouvrage de Marcel Romeyer, Monistrol de l'ère nouvelle, Court imp., 1994, et les différents numéros des Chroniques Monistroliennes et des Cahiers de la Haute-Loire.

Les mutations économiques

La proximité de deux foyers industriels, Lyon et surtout Saint-Étienne, a déterminé le développement précoce de l'industrie sur les plateaux du Velay, sans doute dès la fin du XVIIIe siècle. Le textile et la métallurgie, spécialisations dominantes, sont en effet des secteurs caractéristiques de la première industrialisation.

Tout au long du XIXe siècle, l'activité industrielle s'est implantée dans les gros bourgs du nord-est de la Haute-Loire, comme Sainte-Sigolène ou Saint-Didier-en-Velay. Il est difficile de distinguer la part de l'initiative locale et des donneurs d'ordre extérieurs, lyonnais et stéphanois, mais il est certain que la proximité a joué un rôle décisif, notamment pour les débouchés commerciaux.

À Monistrol, le tissage, la passementerie et la rubannerie étaient très répandus. Il s'agissait d'une activité essentiellement féminine, pratiquée sur de hauts métiers à tisser. Selon Yves Lequin, les produits étaient ensuite revendus à Lyon, centre de cette activité. L'industrie mécanique est quant à elle liée à Saint-Étienne. Elles se pratiquait dans des entreprises locales (Martouret, Clémenson) ou dans des filiales d'entreprises stéphanoises (Limouzin). Au début du XXe siècle, la boulonnerie, la coutellerie et l'industrie du cycle dominaient. La polyactivité des ouvriers, qui conservaient une activité agricole, s'est maintenue très tardivement. Contrairement à la région stéphanoise, on ne peut pas parler de formation d'un prolétariat en Velay. Les comportements politiques témoignent d'ailleurs de la faible implantation du communisme en Haute-Loire, région très marquée par le catholicisme social et le syndicalisme chrétien.

Cette industrie traditionnelle s'est maintenue jusqu'à la seconde moitié du XXe siècle, avant de décliner progressivement. Une étape importante a été la fermeture des usines Martouret, principal employeur de Monistrol, à la fin des années 1980. Cependant, aujourd'hui encore, des entreprises de mécanique de précision, en particulier de décolletage (Lisi, Deville), et de rubannerie spécialisée (le leader mondial a son siège sur la commune), sont implantées sur la commune.

Dans la seconde moitié du XXe siècle, le renouveau industriel est principalement le fait de la plasturgie. En 1955, Abel Barbier fonde à Sainte-Sigolène la première usine de plastiques. Cette commune proche de Monistrol est aujourd'hui le coeur d'un véritable système productif local, deuxième producteur de plastique français après Oyonnax. La plasturgie s'est implantée plus tardivement à Monistrol et elle est aujourd'hui critiquée pour son impact environnemental. Les Établissements Barbier n'en demeurent pas moins le principal employeur de la commune.

On ne peut parler à Monistrol, contrairement à Sainte-Sigolène, de mono-industrie. Le secteur des services domine en effet à Monistrol : commerce, éducation, banque et assurances, etc. L'importance de ces activités tertiaires est liée au développement démographique de la région, qui a imposé Monistrol comme capitale de la Marche du Velay. D'autre part, beaucoup d'actifs monistroliens travaillent dans la région stéphanoise avec la périurbanisation.

L'image de la montagne-atelier s'estompe ainsi progressivement.


  • cf. les ouvrages de Jean Merley, L'Industrie en Haute-Loire de la fin de la Monarchie de Juillet aux débuts de la Troisième République, éd. du Centre d'histoire économique et sociale de la région lyonnaise, 1972, et Yves Lequin, Les Ouvriers de la région lyonnaise, Presses universitaires de Lyon, 1977.

Démographie et urbanisme

Après un déclin continu dans l'après-guerre, la population monistrolienne connaît une forte expansion depuis 20 ans. Plusieurs étapes jalonnent ce développement : la construction par le maire Joannès Laval du Domaine de La Rivoire, l'aménagement en voie rapide de la RN 88, qui place la ville à 20 minutes de Saint-Étienne, et l'ouverture en 1994 du Lycée Léonard-de-Vinci, unique lycée public de l'arrondissement. Cette croissance s'est accélérée sous la mandature de Guy Granger. Elle n'est pas sans nécessiter la création de nouveaux équipements (écoles, crèches, infrastructures) ; surtout elle pose aujourd'hui des problèmes aigus de circulation dans le centre, réduit et contraint par les dénivellations. Une des solutions a été la déconcentration des activités commerciales dans des zones périphériques (zoning fonctionnel).

L'expansion urbaine s'effectue principalement sur le mode pavillonnaire. La périurbanisation a profondément modifié l'aspect d'une commune autrefois rurale et industrielle. Aux fermes, aux quartiers d'artisanat et d'industrie ont succédé les lotissements. Certains n'hésitent pas à parler de mitage.

Modèle:DemogFR


Données administratives

Robert Valour, professeur des écoles, succède en 2008 au conseiller général Guy Granger. Ancien secrétaire de la section locale du Parti socialiste, il était à la tête d'une liste de large rassemblement face au maire sortant, à la tête de la ville depuis 1989.

Les maires depuis 1971
Période Identité Parti Qualité
depuis 2008 Robert Valour DVG professeur des écoles
1989 - 2008 Guy Granger DVD* professeur en classes préparatoires
1988 - 1989 Yves Néron-Bancel DVD* ingénieur
1983 - 1988 Joannès Laval DVD* expert-comptable
1971 - 1983 Georges Boscher DVD* agent d'assurances
*Classifications de la Préfecture de la Haute-Loire

La commune est le centre de la Communauté de communes des Marches du Velay et appartient au Pays de la Jeune Loire et de ses rivières, qui regroupe le nord-est de la Haute-Loire.

Monistrol relève du Tribunal de grande instance, du Tribunal de commerce et du Conseil de prud'hommes du Puy. Elle appartient à la première circonscription de la Haute-Loire pour l'élection des députés.

Établissements scolaires

Avec l'ouverture du Lycée Léonard-de-Vinci en 1994, qui s'ajoute au Lycée Notre-Dame-du-Château, Monistrol est devenue un important centre scolaire, qui accueille près de 4000 élèves, de la maternelle à bac +2, dans les 6 établissements monistroliens :

  • École du Prévescal
  • Ecole du Kersonnier (en construction)
  • Collège du Monteil
  • Lycée général et technologique Léonard-de-Vinci
  • Ecole, collège, lycée général et technologique Notre-Dame-du-Château (enseignement catholique)
  • Lycée professionnel privé (enseignement catholique)

Monuments et sites


La ville et le château

Dominant la vieille ville et le ruisseau de Piat, le Château des Évêques-du-Puy est le principal monument de la commune. Construit du XVe siècle au XVIIIe siècle, il sert de résidence d'été aux Évêques du Puy jusqu'à la Révolution. Il abrite aujourd'hui l'Office de tourisme, la Société d'histoire de Monistrol et des salles d'exposition. De son parc classique, qui comprenait autrefois un jardin botanique, un temple et des statut, ne subsiste aujourd'hui que les allées.

La Collégiale Saint-Marcellin, au centre de la vieille ville, remonte au VIIIe siècle. Elle est surtout connue pour chœur roman et son clocher classique, ainsi que pour le remarquable reliquaire doré de Saint-Marcellin, patron de la commune, réalisé au Moyen-Âge. D'autres monuments rappellent l'ancienne emprise des évêques sur la ville, comme le Couvent des Ursulines, qui abrite le rétable en bois doré de La Mort de Saint-Joseph, chef d'œuvre du sculpteur Vaneau (XVIIe siècle), ou l'ancien couvent des capucins.

Le Donjon, ancien corps de garde de la porte de l'Arbret, est un des derniers vestiges du mur de ville, chargé de protéger certains quartiers comme celui du Château, aujourd'hui très dégradé.

Dans la commune

  • En plein coeur de la ville, le ruisseau du Piat s'écoule dans les Gorges de Bilhard, théâtre d'une légende confrontant un ermite au diable Billard.
  • Gorges de la Loire (en partie), site classé Natura 2000
  • Château du Chambon, ruiné
  • On citera également les autres châteaux de la commune : Château du Flachat, et son parc, fief de la famille Néron-Bancel, Château de Martinas, Château de Foletier, qui abrite chaque été un festival de piano, Ancienne Viguerie du Betz et Château de Paulin, ruiné.

Personnalités

  • Jean Chassanion, humaniste protestant, né à Monistrol et mort à Genève, est l'auteur d'œuvres apologétiques inspirées des écrits de Calvin.
  • MModèle:Gr Armand II de Béthune (1635-1703), neveu de Sully, est nommé en 1661 évêque du Puy. Humaniste, amoureux des lieux, il donne au Château et à son parc son visage classique au fil d'incessants travaux. Honnête homme, il s'entoure de l'architecte Coppin et de l'érudit Théodore, tous deux ermites dans les Gorges de Bilhard, et fait appel à des artistes de talent.
  • Pierre Vaneau le Grand, dit Vaneau de Monistrol, est de ceux-ci. Sculpteur né à Montpellier, il s'installe dans la cité et y réalise La Mort de Saint-Joseph, rétable en bois doré de la Chapelle des Ursulines.
  • MModèle:Gr Marie-Joseph de Galard de Terraube est le dernier seigneur de Monistrol. Homme de cour, fidèle à Louis XVI, il refuse la Constitution civile du clergé et se réfugie dans la cité avant d'émigrer.
  • Les poètes monistroliens Hyppolite de Chabron (XIXe siècle) et Eugène David (1876-1956), l'auteur des Fleurs vellaves et stéphanoises, exaltent la beauté discrète d'une cité classique devenue industrielle. En revanche, le chansonnier Rémi Doutre (XIXe siècle) ne fait que peu de références à sa ville de naissance.
  • Emmanuel de Chabron (1806-1889), général issu d'une des plus vieilles familles monistroliennes, s'illustre lors de la prise de Constantine et la guerre de Crimée.
  • Marc Bouchacourt (XIXe siècle) témoigne de la vie monistrolienne à la Belle Epoque. Juge de paix, il croque la ville et ses habitants dans ses tableaux et dessins.
  • L'homme politique Edouard Néron (1867-1945), est membre d'une longue lignée de notables monistroliens, bienfaiteurs de la ville, la famille Néron-Bancel. Maire à la Belle Epoque, il parvient à devenir député puis sénateur de la Haute-Loire sous l'étiquette de la Fédération républicaine.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes