« Rue Piat » : différence entre les versions
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* {{Numéro}} 37 : Après ce numéro, se trouvait la grille de l'entrée de la Villa Ottoz, aujourd'hui démolie. Cette villa fut la résidence du critique d'art [[Jean Dolent]] (1835-1909) qui y tenait un salon artistique. Il y recevait les défenseurs du [[Symbolisme (art)|symbolisme]] et ses nombreux amis: [[Paul Gauguin]], [[Auguste Rodin]], [[Gustave Geffroy]], [[Roger Marx]], [[Gustave Kahn]], [[Julien Leclercq (poète)|Julien Leclercq]] et le peintre [[Eugène Carrière]] qui y venait en famille. |
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== Accès == |
== Accès == |
Version du 19 mai 2016 à 11:41
20e arrt Rue Piat
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Situation | ||
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Arrondissement | 20e | |
Quartier | Belleville | |
Début | 1 rue des Envierges | |
Fin | 64 rue de Belleville | |
Morphologie | ||
Longueur | 370 m | |
Largeur | 5 m | |
Historique | ||
Dénomination | ||
Géocodification | ||
Ville de Paris | 7352 | |
DGI | 7393 | |
Géolocalisation sur la carte : Paris
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Images sur Wikimedia Commons | ||
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La rue Piat est une voie située dans le quartier de Belleville du 20e arrondissement de Paris, en France.
Historique
La rue porte le nom du notaire bellevillois Jean-Jacques Piat, qui fut par ailleurs conseiller municipal de l'ex-commune de Belleville dans les années 1830-1840. L'étude (n° XXXVII au minutier central des Archives nationales) qu'il tint de 1835 à 1847 se situait aux 58-60, rue de Paris (de Belleville de nos jours). Il était propriétaire de terrains avoisinants.
Sites particuliers
- Elle constitue une sorte de « balcon » sur le sud de la capitale, avec une vue qui s'étend du quartier de Bercy au parc André-Citroën.
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Rue au niveau du belvédère du parc de Belleville.
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Belvédère surplombant le parc.
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Parc et panorama vus depuis le belvédère des rues Piat et des Envierges.
- Accès à la villa Faucheur.
- no 37 : Après ce numéro, se trouvait la grille de l'entrée de la Villa Ottoz, aujourd'hui démolie. Cette villa fut la résidence du critique d'art Jean Dolent (1835-1909) qui y tenait un salon artistique. Il y recevait les défenseurs du symbolisme et ses nombreux amis: Paul Gauguin, Auguste Rodin, Gustave Geffroy, Roger Marx, Gustave Kahn, Julien Leclercq et le peintre Eugène Carrière qui y venait en famille.
- no 51 bis : Siège social de la société Studec, l'une des principales sociétés d'ingénierie documentaire en France.
- no 53 : site l'ancienne fabrique de chaussures Andromaque. Dans la première moitié du XXe siècle, Belleville était l’un des principaux centres français de la chaussure, avec Romans, Limoges et Fougères[1]
Accès
La rue de Piat est desservie par les lignes à la station Belleville et à la station Pyrénées, ainsi que par la ligne de bus RATP 26 à Pyrénées-Belleville. La nuit, ce sont les Noctiliens N12 et N23 qui desservent la rue grâce aux arrêts Belleville et Pyrénées. La station Velib' la plus proche est située au no 30 de la rue.
Sources
- Dictionnaires des noms de rues, par Bernard Stéphane, paru en 1977. Paris, Édition Mengès, 786 pages. (ISBN 2-8562-0454-6)
- « A Belleville, les chaussures Andromaque », lafabriquedeparis.blogspot.fr, (consulté le )