Marcel Pélissou
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| Marcel Pélissou | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (2 ans, 10 mois et 16 jours) |
|
| Élection | 2 janvier 1956 |
| Circonscription | Tarn |
| Législature | IIIe (Quatrième République) |
| Groupe politique | COM |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Carmaux |
| Date de décès | (à 83 ans) |
| Lieu de décès | Valence-d'Albigeois |
| Résidence | Tarn |
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Marcel Pélissou, né le à Carmaux et mort le à Valence-d'Albigeois, est un syndicaliste et homme politique français.
Biographie[modifier | modifier le code]
Il travaille aux mines de Carmaux dès l'âge de 11 ans. Il adhère tôt au syndicat des mineurs puis, en 1918, aux Jeunesses socialistes. Il s'engage au PCF en 1920.
Arrêté avec son père Léon et sa mère Blanche - qui mourront à la suite de leur déportation dans des camps français - au début de la Seconde Guerre mondiale, il est libéré en 1942 et entre dans la clandestinité. Membre du comité insurrectionnel, il organise en 1944 une grève contre l'occupant sur le puits de mine de La Tronquié à Blaye-les-Mines, dans l'agglomération de Carmaux.
A la Libération, il est élu secrétaire du syndicat des mineurs de Carmaux et, en 1947, membre du comité fédéral du parti communiste. Il accède au poste de secrétaire général de l'Union départementale de la CGT en 1949.
Il est élu député du Tarn en 1956. Candidat en 1958, il perd son siège au profit du candidat MRP Édouard Rieunaud. En novembre 1962, dans la même circonscription et après avoir obtenu 21 % des suffrages exprimés au premier tour de scrutin, il se désiste en faveur du candidat de la SFIO, André Raust, qui est élu.
