Maouki

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Maouki
Publication
Auteur Jack London
Titre d'origine
Mauki
Langue Anglais américain
Parution New York (États-Unis)
The Macmillan Co
1911
Recueil
Traduction française
Traduction Paul Gruyer et Louis Postif
Parution
française
1928
Intrigue
Lieux fictifs Ontong Java (Salomon (pays))
Nouvelle précédente/suivante

Maouki (titre original : Mauki) est une nouvelle américaine de Jack London publiée aux États-Unis en 1909.

Historique[modifier | modifier le code]

En , en escale sur l'atoll de Lord Howe (ou Ontong Java), on présente à Jack London un Mélanésien condamné « pour une litanie de crimes à vous glacer le sang »[1]. Suivra la nouvelle intitulée Mauki, inspirée par ce personnage.
La nouvelle est publiée initialement aux États-Unis dans le Hampton’s Magazine en avant d'être reprise dans le recueil South Sea Tales en .

Résumé[modifier | modifier le code]

Enlevé, réduit en esclavage, échangé contre du tabac, rien ne sera épargné à Mauki. Après de multiples évasions, de retour à Malaita, il se proclame « chef de tous les villages » et pourra payer en souverains d'or à la compagnie des savons Moongleam les huit ans et demi de travail qu'il lui devait.

Éditions[modifier | modifier le code]

Éditions en anglais[modifier | modifier le code]

Traductions en français[modifier | modifier le code]

  • Maouki, traduit par Paul Gruyer et Louis Postif, in le Masque, n° 1, périodique du .
  • Mauki, traduit par Aurélie Guillain, Gallimard, 2016[2].

Sources[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Charmian London, in Journal de bord du Snark'.
  2. Jack London, Romans, récits et nouvelles, tome II, édition publiée sous la direction de Philippe Jaworski, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2016 (ISBN 978207014648-2)