Facel Vega FV3 et FV3B

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Facel-Vega FV3
Facel-Vega FV3B
Facel Vega FV3 et FV3B
Facel Vega FV3B coupé, modèle 1958,
présenté en 2017 au Grand Palais.

Marque Drapeau de la République française Facel-Vega
Années de production 1956 - 1958
Production 46 puis 92 exemplaire(s)
Classe GT
Usine(s) d’assemblage Drapeau de la République française Colombes
Moteur et transmission
Moteur(s) V8 Chrysler
Cylindrée 4 527 puis 4 940 cm3
Puissance maximale 200 puis 253 ch
Boîte de vitesses BV mécanique Pont-à-Mousson à 4 rapports
BV automatique Chrysler à 2 puis 3 rapports
Masse et performances
Masse à vide 1 660 kg
Vitesse maximale 172 à 203 km/h
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Coach
Cabriolet
Dimensions
Longueur 4 570 mm puis 4 590 mm
Largeur 1 760 mm puis 1 800 mm
Hauteur 1 360 mm
Empattement 2 630 mm puis 2 660 mm
Chronologie des modèles

La Facel-Vega FV3 puis FV3B est une voiture française de Grand Tourisme produite par la société Facel entre 1956 et 1958.

Elle poursuit l’évolution de la série des coupés FVS démarrée en 1954.

Historique[modifier | modifier le code]

La FV3 dont la production démarre en , se distingue du modèle précédent par une nouvelle calandre avec grille centrale plus fine et des grilles de côté élargies avec une barre médiane. La face avant dispose de gros projecteurs superposés sans enjoliveur.

Le moteur Chrysler V8 de 4,5 litres (277ci) développe une puissance (à la baisse) de 200 ch réels[réf. nécessaire].

Un seul cabriolet est construit par l’usine sur la base de la FV3[réf. nécessaire].

En mars 1957, le modèle évolue et prend l’appellation FV3B. L’apparence est semblable mais la caisse est élargie et légèrement plus longue. La cylindrée du moteur est augmentée à 4,9 litres (301ci) pour 253 ch réels[réf. nécessaire].

Le modèle disparaît du catalogue en au profit de la HK 500.

Le [1], Albert Camus trouve la mort dans un accident de voiture à bord d'une FV3B[2] conduite par Michel Gallimard.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Pierre-Louis Rey, Camus, L'homme révolté, éditions Gallimard.
  2. Rétroviseur n°283, novembre 2012.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]