Danielle Pletka
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Femme politique, éditrice, magazine writer |
Danielle Pletka (née le à Melbourne, Australie) est une femme politique américaine.
Positionnement politique[modifier | modifier le code]
Vice-présidente du think-tank néo-conservateur de l'American Enterprise Institute (AEI), elle est spécialisée dans les études de politiques étrangères et de défense, notamment au Moyen-Orient et en Asie du sud, expert de l'EAI pour l'Irak. Fletka est aussi membre de la commission de libération de l'Irak.
Elle s'intéresse aussi de près au terrorisme et à la prolifération nucléaire.
Elle se fait remarquer en janvier 2013 lorsqu'elle pose la question d'un supposé antisémitisme du républicain Chuck Hagel, désigné par Barack Obama comme secrétaire d'État[1].
En septembre 2020, elle affirme préférer voter pour Donald Trump plutôt que pour Joe Biden, même si elle déteste les « mensonges chroniques », « la grossièreté » et « les prises de positions erratiques » du premier[2].
Parcours professionnel[modifier | modifier le code]
- Membre du Comité des affaires étrangères du Sénat des États-Unis de 1992 à 2002 en tant que collaboratrice parlementaire de Jesse Helms[3].
- Écrit pour l'Insight Magazine de 1987 à 1992
- Assistante éditoriale au Los Angeles Times et pour Reuters depuis Jérusalem entre 1984 et 1985.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Ali Gharib. Danielle Pletka's Bogus Charge Sheet Against Chuck Hagel. Daily Beast, 11 janvier 2013. Lire en ligne
- Jake Bittle. The Media’s Obsession With the Mythical Republican Swing Voter. The New Republic, 16 octobre 2020. Lire en ligne
- Isaac Chotiner. Why a Never Trumper Changed Her Mind. The New Yorker, 20 septembre 2020. Lire en ligne
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la vie publique :
