Utilisateur:Leonard Fibonacci/Monobaze (dynastie)

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Monobaze (Monbaz dans le Talmud) est le nom d'une dynastie qui régna sur l'Adiabène au Ier siècle. Elle débute vraisemblablement peu avant le début de l'ère chrétienne et se termine peut-être en 71 mais des descendants d'un roi Izatès d'Adiabène sont donnés comme régnant à Édesse jusqu'en 167. Elle est surtout connue parce que ses souverains se sont convertis au judaïsme, se faisant construire des palais en Judée. À Jérusalem, ils possédaient au moins deux palais, ainsi qu'un tombeau qui semble avoir été très célèbre dans la littérature des premiers siècles.

La dynastie des Monobaze s'est même engagée aux côtés des révoltés juifs allant jusqu'à participer à la révolte juive en Judée contre l'Empire romain en 66–70. Plusieurs rois d'Osroène sont toutefois mentionnés par la suite comme descendants d'un roi Izatès d'Adiabène. C'est ainsi le cas d'Abgar VII d'Édesse, de Ma'Nu VII et de son fils Ma'Nu VIII Bar Ma'Nu.

Le nom Monobaze[modifier | modifier le code]

Dans la dynastie Monobaze d'Adiabène deux rois portent le nom Μονόβαζος, le mari de la reine Hélène d'Adiabène, Monobaze Ier[1], dont le règne se termine probablement au début des années 30 et Monobaze II, qui succède à son frère Izatès II[1]. Flavius Josèphe mentionne aussi un certain Monobaze, parent du roi Monobaze II qui s'est conduit héroïquement avec d'autres au cours d'une des toutes premières batailles contre les Romains lors de la Grande révolte juive[1] en 66. Le nom Μονόβαζος quoique rendu en grec par Flavius Josèphe et d'autres auteurs antiques et attesté dans la littérature rabbinique sous la forme Munbaz[1], est rendu sous la forme Manaḇaz dans des inscriptions d'Assur[1] qui sont justement situées dans la région qui est le cœur historique de l'Adiabène. Marquart comprend ce nom comme "Manu-bazu" et le compare à Τειριβαζος (Tiri-bazu), nom du satrape arménien que Xenophon donne dans sa forme latinisée (Tiribazus)[1]. Τειριβαζος (Tiri-bazu) peut être comparé avec Tiri-date, nom de plusieurs rois d'Arménie et de l'empire Parthe de la période. Victor Langlois retrouve dans le premier terme de "Manu-bazu", l'appellation syrienne Ma'nu (Maanou) portée par de nombreux rois d'Édesse, ainsi que par Ma'nu Saphul roi à Nisibe jusqu'à environ 10 - 4 av. J.-C. et père du roi Abgar V qui règne à Édesse[2] jusqu'à environ 50 de notre ère. Selon Justi, Μονόβαζος est un proche parrallèle de l'arménien Manavaz[3],[1]. Dans l'espace Perse, un nombre important de rois, satrapes, dynastes, ou nobles ont des noms en deux parties qui se terminent par "baze" ou "vazde" ce qui se prononcent quasiment pareil puisqu'en grec le "béta" (β) se prononce comme le "v" latin (ou le "v" français). Dans les deux siècles qui entourent le début de l'ère chrétienne un très grand nombre de rois d'Arménie et d'Atropatène — deux royaumes ayant une frontière commune avec l'Adiabène — portent le nom d'Artavazde[4].

Néanmoins, Marciak ainsi que d'autres critiques considèrent que le nom Monobaze est d'origine iranienne[1]. « Un composé grammaticalement parallèle peut être trouvé dans les papyrus d'Avroman: Δηνοβαζος (Dénobazos), qui est interprété comme une adaptation grecque de l'iranien Dainā-Vāzah (et Daēnāuuāzah)[5],[1]. » Ces papyrus en langue parthe et en grec, datant de 88/87 av. J.-C. à 33 apr. J.-C., ont été retrouvés dans une grotte au Kurdistan iranien[6].

Il y a un accord pour dire que le nom est composé de deux parties. Mais que ce soit à partir du syriaque, de l'arménien ou de l'iranien plusieurs interprétations du sens de ce nom ont été proposées sans emporter le consensus.

Histoire de la dynastie[modifier | modifier le code]

Le territoire de l'Adiabène sous les Monobaze[modifier | modifier le code]

Avec Izatès Ier ou son successeur Monobaze Ier, l'Adiabène passe sous la domination d'une dynastie héréditaire appelée « Monobaze » tant dans le Talmud (Monbaz) et d'autres textes de la tradition juive, que par Flavius Josèphe. Le royaume d'Adiabène, avec Arbèles pour capitale, s'étend sur l'ancien territoire de l'Assyrie[7].

Sous Monobaze Ier, la région de la rivière Khabour (Chaboras) qui dépendait de l'Osroène à l'époque de Tigrane II, tout comme la région de la ville de Carrhes (encore dépendante de l'Osroène à l'époque de la bataille de Carrhes (-53)), appartiennent ou sont vassales de l'Adiabène[8]. Plusieurs territoires qui appartenaient à l'Osroène à l'époque de Pompée étaient aussi passés sous le contrôle du royaume d'Adiabène, par exemple le territoire de Singara. Ce mouvement de territoires de l'Osroène vers l'Adiabène est encore renforcé par le don de Nisibe par Artaban II probablement en 36[9] ou peut-être un peu avant dans les années 30. Par ailleurs la Corduène avait été rattachée à l'Adiabène après l'invasion de l'Arménie par Pompée, en -63. Javier Teixidor estime qu'à cette époque, les rois d'Adiabène ont peut-être aussi contrôlé Hatra[10],[11], toutefois cette interprétaion est en débat et plusieurs critiques estiment que Hatra n'a jamais été possédée par l'Adiabène.

Conversion au judaïsme[modifier | modifier le code]

Après la mort de Monobaze Ier, une de ses femmes, Hélène d'Adiabène et un de ses fils qu'il a choisi pour lui succéder, Izatès II, révèlent qu'ils se sont convertis au judaïsme[12]. Izatès se fait même circoncire[13]. Tous ses autres frères se convertissent eux aussi presque simultanément, ainsi semble-t-il que leurs proches[14]. Vers 36, le roi parthe Artaban II fait cadeau de Nisibe (et du territoire de Mygdonie environnant) à Izatès II qui, par son autorité, lui a permis de retrouver son trône, alors que sa noblesse avait mis en place un autre roi pour le remplacer[9],[15].

Entrée ouest du tombeau des Rois. XIXe siècle
Le sarcophage d'Hélène d'Adiabène.
Reconstitution du palais d'Hélène d'Adiabène à Jérusalem.

Après sa conversion au judaïsme, la reine Hélène d'Adiabène s’installa à Jérusalem et fit construire un palais pour elle et ses sept fils (en particulier Izatès II et Monobaze II) dans la partie nord de la colline de l'Ophel[16],[17]. Son fils Monobaze II se fit lui aussi construire un palais non loin de celui de sa mère[18],[19]. Un troisième palais situé dans le quartier de l’Ophel, appartenait à la princesse Grapté qui selon Heinrich Graetz aurait été la petite-fille de la reine Hélène[18].

Hélène et ses fils se sont aussi fait construire un tombeau monumental à Jérusalem qui était célèbre dans les premiers siècles de notre ère, avant d'être oublié puis redécouvert au XIXe siècle[15],[20].

L'Adiabène redevient vassale de l'Arménie[modifier | modifier le code]

Des sources juives et arméniennes ainsi que Plutarque racontent que vers 59, Monobaze II a envoyé un contingent de soldats en Arménie pour soutenir le candidat des Parthes, Tiridate, contre Tigrane VI, qui venait de faire une incursion dans le territoire de l'Adiabène[21]. Les troupes de Monobaze ont cependant été repoussées lors de la bataille de Tigranocerte[21],[9]. Cette intervention de Tigrane contre Monobaze II servit toutefois de prétexte au roi des Parthes, Vologèse Ier, pour intervenir et rétablir sur le trône son frère Tiridate[22].

Monobaze était aussi présent lorsque la paix a été conclue à Rhandeia entre les Parthes et l'Empire romain en l'an 63[9],[23]. Ce traité accordait que l'Arsacide Tiridate resterait sur le trône arménien, mais comme client des Romains[22]. La vassalité de l'Adiabène au royaume d'Arménie était réaffirmée[22].

Les Monobaze aux côtés des révoltés juifs[modifier | modifier le code]

Selon le Talmud, Hélène d'Adiabène et Monbaz donnèrent des fonds importants pour le Temple[24]. Cette référence à Monbaz est parfois considérée comme désignant non pas le monarque mais la dynastie[25] et donc les deux souverains et leurs enfants[26]. Il pourrait à la fois désigner la dynastie et le fils aîné d'Hélène appelé Monobaze (Monbaz en hébreu), celui qui a assuré la régence en attendant le retour de son frère Izatès II et qui lui succède ultérieurement. Lors d'une famine à Jérusalem, Heleni envoya des navires pour chercher du blé ou d'autres céréales à Alexandrie et chercher des figues sèches à Chypre, et les fit distribuer aux victimes de la famine[27].

Lors de la révolte juive contre Rome et la première Guerre judéo-romaine (6670), seule l’Adiabène envoya des provisions, des troupes et des généraux pour soutenir les insurgés[28]. Il est probable que Monobaze II participa lui-même aux opérations militaires, ainsi que plusieurs autres membres de la famille.

Les participants à la révolte[modifier | modifier le code]

Lors du premier affrontement avec les Romains[modifier | modifier le code]
Aggeras fils de Nabataios[modifier | modifier le code]

Pendant la Grande révolte juive, le seul Adiabènien qui n'appartient pas à la famille royale d'Adiabène mentionné par Flavius Josèphe est appelé fils de Nabataios[29] (τις υίός Ναβαταίου). Ilan soutient que ce nom « indique probablement une provenance ethnique arabe[29]. » Dans la Bible le correspondant hébreu de Nabataios est d'ailleurs utilisé pour nommer le fils premier-né d'Ismael[29] réputé être l'ancêtre des Arabes. Nabataios serait donc l'origine du père de cet Adiabènien[30] et équivaudrait à « fils de l'Arabe ». Pour Michał Marciak, au plan onomastique ce cas « est très instructif car il s'oppose aux simples étiquettes fondées sur des distinctions claires entre ce qui est autochtone et ce qui vient de l'extérieur et, par conséquent, étranger. [Cet homme] est considéré comme juif, mais est également caractérisé comme Adiabènien, et son père porte un nom de provenance arabe[30]. »

Outre cette appellation de « fils de Nabataios », Flavius Josèphe donne son surnom « qu'il devait à une infirmité[31] » et qui signifie « boiteux »[32]. On rencontre toutefois une grosse variabilité sur ce nom dans les manuscrits. On trouve χαγειρας, mais Ilan et d'autres traducteurs lisent ἀγίρας ou ἀγηρας qui selon S. Reinach et J. Weill serait une forme grecque de l'arménien haggera qui signifie bien « boiteux », comme l'indique d'ailleurs Flavius Josèphe[33]. L'Adiabène étant située aux confins du sud de l'Arménie et étant d'ailleurs théoriquement à l'époque vassale du royaume d'Arménie. Vassalité tout à fait théorique, car en jouant habilement sur les contradictions entre les Romains, les Parthes et les Arméniens, l'Adiabène se comporte au Ier siècle comme un royaume indépendant.

Selon Güderman, ce fils de Nabataios du livre V de la Guerre des Juifs (474) est le même que celui que l'on louange dans la littérature rabbinique pour exactement le même type d'exploits pendant le siège de Jérusalem[29].

Grapte, parente de la reine Hélène d'Adiabène[modifier | modifier le code]
Les parents du roi Iza d'Adiabène[modifier | modifier le code]

Disparition[modifier | modifier le code]

Après la défaite juive de 70, l'Adiabène disparait de l'histoire. Néanmoins, vers 110, le roi parthe Pacorus II, vend le royaume client d'Osroène à Abgar VII, dont il est signalé qu'il est le fils d'Izatès, roi d'Adiabène[34]. Ma'Nu VII est lui aussi mentionné comme fils d'Izatès d'Adiabène et frère d'Abgar VII[35].

Le tombeau des Rois[modifier | modifier le code]

Entrée ouest du tombeau des Rois. XIXe siècle

Le Tombeau des Rois caractérise un territoire qui contient un ensemble de tombes monumentales taillées dans le roc, situé à Jérusalem (rue Saladin), 820 m au nord des murs de la Vieille ville.

La grande taille du site a conduit à la croyance erronée que les tombes avaient été autrefois le lieu de sépulture des rois de Juda, d'où le nom de Tombeau des Rois[36], mais les tombes sont maintenant connues pour être le tombeau de la reine Hélène d'Adiabène[37]. Ce monument imposant présente un mausolée monolithe comprenant un escalier monumental, une cour immense, un vestibule et des salles hypogées renfermant trente et une tombes.

Les souverains de la dynastie Monobaze d'Adiabène[modifier | modifier le code]

  1. Izatès Ier (v. 15 apr. J.-C.) ;
  2. Bazeus Monobaze Ier (20 ?–30 ?), Ma'Nu Bazeus ;
  3. Hélène d'Adiabène (Tzada Machalta, reine Tzada) (v. 30–58) ;
  4. Izatès II bar Monobaze (v. 34–58) ;
  5. Monobaze II bar Monobaze (58 – vers 70) Ma'Nu Bazeus, probablement Ma'Nu VI d'Osroène ;
  6. Izatès III ? (v. 70 ?) ;
  7. Inconnu ? (v. 71 - 90) (peut être Abgar VI Bar Ma'Nu (roi d'Osroène de 71 - v. 90)) ;
  8. Abgar VII Bar Izatès (109 - 116), roi d'Adiabène et d'Osroène ;
  9. Ma'Nu VII Bar Izatès (123 - 139), roi d'Adiabène et d'Osroène ;
  10. Ma'Nu VIII Bar Ma'Nu (139 - 163, puis 165 - 167), roi d'Adiabène et d'Osroène ;

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i Marciak 2014, p. 181.
  2. Victor Langlois, Collection des historiens anciens et modernes de l' Arménie, p. 92, note n° 2.
  3. Justi 1963, p. 189.
  4. Arta veut probablement dire Juste. Il s'agit par exemple du rois d'Atropatène Artavazde Ier et des rois d'Arménie, Artavazde Ier, roi de 159 à 123 av. J.-C., Artavazde (II) jusqu'à 95 av. J.-C., Artavazde II, roi de 55 à 34 av. J.-C., Artavazde IV Ariobarzane III, roi de 4 à 6 ap. J.-C., roi de 4 à 6, Gaius Julius Artavasdes, fils de Artavasdes III d'Arménie.
  5. Voir Mayrhofer 1979: I/35.
  6. Ellis H. Minns, « Parchments of the Parthian Period from Avroman in Kurdistan », Journal of Hellenic Studies, vol. 35,‎ , p. 98–141 (DOI 10.2307/624522, lire en ligne)
  7. Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 808.
  8. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, Livre XX II - 2.
  9. a b c et d (en) Richard Gottheil "Jewish Encyclopedia : article Adiabene" Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « JewishEncyclopedia.com » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  10. (en) Javier Teixidor, The Kingdom of Adiabene and Hatra, Berytus, 17, 1967-1968.
  11. "un roi d'Adiabène a eu sa statue dans un des temples d'Hatra" cf. Javier Texidor, Notes Hatréennes, p. 96.
  12. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, Livre XX II - 3.
  13. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, Livre XX II - 4
  14. (en) The forced conversion of the Jewish community of Persia and the beginnings of the Kurds
  15. a et b (en) Richard Gottheil et Isaac Broydé, « Izates » (d'Adiabène), sur Jewish Encyclopedia.
  16. Israeli archaeologists uncover 2,000-year-old mansion 06/12/2007
  17. Michael Shenkar, (ru) Résultats des fouilles dans la « Cité de David »
  18. a et b Heinrich Graetz, Histoire des Juifs, Chapitre XVI — Dispersion de la nation judaïque et diffusion de sa doctrine — (40-49)
  19. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs Livre V (VI – 1)
  20. (en) Richard Gottheil & M. Seligsohn, Jewish Encyclopedia, Article « HELENA » (d'Adiabène).
  21. a et b (en) Marie-Louise Chaumont, « Armenia and Iran ii. The Pre-Islamic Period », dans Encyclopædia Iranica (lire en ligne).
  22. a b et c René Grousset, Histoire de l'Arménie, Payot, 1984 (ISBN 2-228-13570-4), p. 108.
  23. voir aussi Les Annales de Tacite XV - 1s
  24. Joseph Jacobs Jacob Zallel Lauterbach, Article « YOMA », sur http://www.jewishencyclopedia.com.
  25. Rabbi Nehemiah Brüll, « Jahrb. » i. 76.
  26. Cette interprétation est toutefois contestée par Rachi (rabbi Chlomo Iẓḥaḳi).
  27. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, Livre XX II - 5.
  28. Flavius Josèphe Guerre des Juifs, Livre II.
  29. a b c et d Marciak 2014, p. 183.
  30. a et b Marciak 2014, p. 184.
  31. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, V, XI, 5 (474).
  32. « Un certain Jephthaios (Gyphtaios Γυφθαϊος selon A.P. p. 179), du bourg de Garis en Galilée, et Magassar, un des officiers royaux de Mariamme (Fille d'Agrippa Ier, sœur d'Agrippa II), et avec eux un Adiabénien, fils de Nabataios (τις υίός Ναβαταίου), qui devait encore à une infirmité le surnom de ἀγίρας (arménien haggera, boiteux), lequel signifie « boiteux », saisirent des torches et s'élancèrent contre les machines. On ne vit pas dans cette guerre d'hommes plus audacieux et plus terribles que ceux-là sortir de la ville. » cf. Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, V, XI, 5 (474).
  33. Traduction de la Guerre des Juifs sous la direction de Théodore Reinach. Traduction de René Harmand, révisée et annotée par S. Reinach et J. Weill E. Leroux. Publiée par la Société des études juives, 1932, livre V, note no 68.
  34. (en) Encyclopædia Britannica, article Pacorus II sur britannica.com
  35. (en) Encyclopædia Britannica, articles Osroène et Pacorus II, sur http://www.britannica.com
  36. Félicien de Saulcy, Voyage autour de la mer Morte et dans les terres bibliques, p.  424.
  37. Ancient Jerusalem's Funerary Customs and Tombs: Part Three Ancient Jerusalem's Funerary Customs and Tombs: Part Three, L. Y. Rahmani, The Biblical Archaeologist, Vol. 45, No. 1 (Winter, 1982), pp. 43-53,

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sources primaires
Sources secondaires
Sources tertiaires