Utilisateur:Le Minotaure/Brouillon Comparaison entre le nazisme et le communisme
Article original : Comparaison entre le nazisme et le communisme
Ancrage historique de la comparaison[modifier | modifier le code]
Dans les années 1930[modifier | modifier le code]
Après la guerre : la théorie du totalitarisme et ses critiques[modifier | modifier le code]
La querelle des historiens[modifier | modifier le code]
La poursuite du débat depuis l'ouverture des archives soviétiques[modifier | modifier le code]
Du Passé d'une illusion au Livre noir du communisme[modifier | modifier le code]
Actualité de la recherche[modifier | modifier le code]
Le débat historiographique[modifier | modifier le code]
Les limites de l'étude comparative[modifier | modifier le code]
L'idéologie[modifier | modifier le code]
Les partis[modifier | modifier le code]
Les régimes[modifier | modifier le code]
La question de la violence[modifier | modifier le code]
Dans l'art[modifier | modifier le code]
La littérature[modifier | modifier le code]
Le cinéma[modifier | modifier le code]
Reconnaissance des victimes du nazisme et du stalinisme[modifier | modifier le code]
Commémoration européenne[modifier | modifier le code]
Le , le parlement de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe adopte un texte (dit Déclaration de Vilnius (en)) condamnant tous les régimes totalitaires communistes et nazis de l’Histoire européenne et leur éventuelle glorification.
Par une décision du 3 juin 2008 le même parlement décide que la journée du 23 août deviendra la Journée européenne de commémoration des victimes du stalinisme et du nazisme (International Black Ribbon Day).
Cette commémoration inaugurée en 2009 correspond au 70e anniversaire du pacte germano-soviétique, signé le 23 août 1939.
Depuis la chute du Mur de Berlin en 1989, des musées sont créés dans les anciens pays de l'est de l'Europe ayant souffert du nazisme et du communisme, en mémoire des grandes épreuves subies pendant cinquante années [1].
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- « Communisme, nazisme : les musées du passé fleurissent à l'Est », Marianne, 9 juillet 2012.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Collectif d'universitaires dirigé par Stéphane Courtois, Le Livre noir du communisme. Crimes, terreur, répression, Plon, .
- François Furet, Le Passé d'une Illusion, Plon, .
- François Furet et Ernst Nolte, Fascisme et communisme, Plon, .
- Philippe Burrin, Fascisme, nazisme, autoritarisme, Seuil,
- Marc Ferro (dir.), Nazisme et communisme : Deux régimes dans le siècle, Paris, Hachette, (ISBN 978-2012792685) ; avec (Philippe Minard, Philippe Burrin, Ian Kershaw, Moshe Lewin, François Furet, Krzysztof Pomian, Pierre Bouretz, Nicolas Werth, Claude Lefort, ...)
- François-Xavier Coquin, Réflexion sur l'assimilation du stalinisme à l'hitlérisme, revue Europe no 921-922, p. 283–307, 2006, in François-Xavier Coquin, Combats pour l'histoire Russe, Éditions L'Âge d'Homme, p. 411-437, 2011.
- Jean-François Revel, La grande parade - Essai sur la survie de l'utopie socialiste, Plon, (ISBN 2-259-19056-1)
- Henry Rousso (dir.), Stalinisme et nazisme : Histoire et mémoires comparées, Complexe, , 387 p. (ISBN 2-87027-752-0)
- Alain Besançon, Le malheur du siècle : Communisme - Nazisme - Shoah, Tempus,