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Guillaume Normand[modifier | modifier le code]

Guillaume Normand, né le 1er mai 1984 dans le 20e arrondissement de Paris, près de Père-Lachaise, est un archiviste, maître-nageur et historien français. Fonctionnaire modèle, il se distingue par sa collection de trophées institutionnels, faisant de lui un citoyen d’honneur de la ville de Paris, récompensé par la maire Anne Hidalgo d’un « pass rouge » lui donnant accès à tous les sites des JO 2024.

Il est par ailleurs le neveu de Jacques-Henri Eyraud (prononcez Hey-Rooo), éphémère patron de l’Olympique Lyonnais, à qui Guillaume doit de nombreux paragraphes de son propre destin.

Jeunesse et études[modifier | modifier le code]

Guillaume Normand naît dans le 20e arrondissement de Paris, rue Merlin, un 1er mai pluvieux. Ce jour de fête de travail 1984 fut marqué par la performance avinée de Pierre Mauroy, alors Premier ministre de François Mitterrand. En fin de cortège, l’éléphant Mauroy, qui régnait alors sur Lille comme un baron médiéval, subtilisa la camionnette de la CGT métallurgie à des fins personnelles, charriant des quantités d’alcools prodigieuses et entraînant dans son sillage un groupe d’agitateurs pintés, auteurs de multiples départs de feu et barricades dans les environs de la place de la Contrescarpe. Familier de ce genre de dérives séditieuses, Jean-Michel Normand, le paternel de Guillaume, finit par rejoindre la maternité dans la nuit. La chemise maculée de mauvais rhum, Jean-mi s’escrima à modifier l’état civil de son fils. Résultat, Guillaume possède des deuxièmes et troisièmes prénoms peu communs : Martine et Aubry. En apparence, l’enfance de Guillaume est celle d’un marmot ordinaire des années 80-90. Il arbore une queue de rat, échange des Pogs photocopiés à la récré et dort sous un poster de Alanis Morissette. Dès ses premières années, Guillaume démonte pourtant sa singularité et une passion encombrante pour les robinets en cuivre, obligeant ses parents à de multiples déménagements. Doté d’une personnalité extravertie, il se distingue aussi par une première place au concours de rimes riches de la MJC de Marcq-en-Baroeul (la famille y ayant trouvé, grâce au réseau nordiste d’un de ses oncles, une très volumineuse grange pour stocker les 238 robinets de sa collection).

Peu sportif et certains diront fainéants à l’effort, malgré l’amitié de son père pour Vinnie Jones et Paul Gascoigne, Guillaume apprend par cœur, de 1993 à 1997, la feuille de match de chaque journée des 5 premières divisions du championnat anglais. Cette entreprise faramineuse, mais néanmoins superflue, lui inculque le goût immodéré de l’ordonnancement et des connaissances confidentielles, qui seront plus tard les deux poumons de son existence. Malgré tout, il joua une fois arrière gauche.

Au collègue, Guillaume s’attira rapidement l’inimitié (quoiqu’un peu fascinés) de ses camarades, en ceci qu’il traduit en Grec ancien chacune des blagues entendues dans les couloirs, même les plus potaches, comme la fameuse « Mr et Mme Time ont un fils. Comment s’appelle-t-il ? Réponse : Vincent » / Ο κύριος και η κυρία Tim έχουν έναν γιο. Ποιο είναι το όνομά του; Απάντηση: Vincent Malgré son isolement, il démontre une aisance flagrante pour les études de second cycle. Sauf l’Histoire, avec un grand H, qu’il abhorre jusqu’en seconde, avant de se découvrir soudain une passion irrépressible pour le destin d’Herman Dietrich, le ministre de l’Agriculture allemand entre 1928 et 1930. C’est la révélation, le tournant de sa vie. Cet homme d’appareil né dans le grand-duché de Bade, cette figure morale le rassure et le réconcilie avec les grands récits. Chez Dietrich, son modèle, Guillaume puise un style vestimentaire fait de discrétion toute germanique et de couleurs bavaroises. Pour vivre pleinement sa passion, il encourage ses parents à l’envoyer dans l’un des pensionnats les plus austères d’Allemagne, situé en périphérie  de la ville de Bochum. C’est la douche froide ; die kalte Dusche. Son petit cœur, élevé au marivaudage par la poésie d’Helmut Kohl, se voit briser comme un verre en pyrex sur le béton froid de la réalité adolescente, par une certaine Hilgege, dont aucun élément biographique n’est plus accessible - sinon qu’elle n’était pas surnommée « la Taupe de Bochum » pour rien (cf. page sur l’espionnage est-allemand).

De retour dans l’Hexagone, sa « douce France », Guillaume Normand décroche son baccalauréat avec aisance et une certaine désinvolture. Lors de l’examen d’Hébreux, il s’amuse à écrire un mot sur deux en yiddish, pour impressionner le jeune homme assis à ses côtés, qui arbore alors un bob Kangol et un bouc en forme de faucille, un certain Grégoire Vilanova.

Le bac en poche, Guillaume intègre une école d’aide-soignante, dans la banlieue de Melun, sans vraiment pouvoir s’en expliquer, sinon par son addiction pour l’odeur de Bétadine et les horaires de nuit. Il quitte la formation après seulement un petit semestre, mais les relations et l’entregent de son oncle Jacques-Henri, un ancien du Club Med, lui permettent, trois ans plus tard, d’obtenir un MBA Podologie par contumace.

Après un DEUG en métier du mariage, il cherche à changer d’air et s’en va faire un an d’Erasmus à Angers (il se fait alors appeler Burak et prétendant être le cousin du chanteur Tarkan). Modèle d’intégration choisi comme égérie par une marque de polo, devenu un pilier du BDE local, il possède alors un labrador et une plancha électrique à trois vitesses. Héritier de l’ambition publique des Normand, il se glisse jusqu’aux portes du conseil municipal d’Angers, quand son nom apparaît soudain dans une affaire de prise illégale d’intérêt (un « plan taf » donné par tonton), et il est renvoyé à Paris par le premier train.

Fraîchement débarqué à Pantruche, Guillaume encore sur le parvis de la gare, regarde la «bonne société» avec des yeux à la fois surpris et envieux. Il se pose la question qui n’allait jamais le quitter au cours de sa vie: «Et maintenant, que faire?» (paraphrasant et sublimant Lénine sans même s’en rendre compte, par un dépassement dialectique plutôt finaud).

Traînant ses guêtres quelques temps dans des bouges infâmes des échoppes peu reluisantes et caressant un moment le projet de devenir ramasseur de mégots sur le boule mich’, tant il est vrai que cette profession n’était pas encore à l’époque si décriée que ça, d’ailleurs, des gens très connus, des vedettes carrément, ont commencé comme ça, mais bref, vous n’êtes pas prêts pour cette conversation... notre jeune ambitieux dérive comme poussé par une main occulte vers l’université, dans l’idée d’y user ses fonds de culotte.

Avisant la première secrétaire d’UFR qu’il sût reconnaître à sa démarche empressée indiquant un professionnalisme à tout épreuve, il s’adressa à elle à brûle pourpoint, entremêlant dans son discours des éléments autobiographiques douteux (une recommandation, par exemple, d’un grand savant de l’université de Cholet) et des flagorneries destinées à charmer cette dame, pourtant fort revêche et dont la date du dernier shampooing capillaire se comptait plus en semaines qu’en jours. C’est que notre Guillaume ne voulait pas rentrer en première année de DEUG, comme le vulgum pecus. Ce qu’il briguait, c’était tout simplement un poste de Chief Officer à l’UFR d’histoire (pour notre lectorat peu au fait des choses, c’est un niveau équivalent à boss de milieu de jeu, pas le big boss, mais quand même un boss un peu fort). Il fallait donc mettre le paquet pour impressionner cette dame qui en avait vu d’autres. C’est donc avec un certain talent et jamais d’outrance qu’il réussit à amadouer la secrétaire, en lui narrant qu’il avait été ébloui derechef par ses bras ronds et polis, ses doigts tournés en fuseaux, ses épaules dorées, sa gorge chantée par le Cantique des Cantiques et ses jambes d’une élégance adorable chaussées en soie rouge (paraphrasant ainsi sans le savoir Balzac)

Obtenant directement une place en troisième année, les palmes académiques et une médaille de Commandant de l’ordre impérial de l’aigle Mexicain (cette secrétaire avait du réseau) et un poste de PUPH avec des émoluments rondelets le mettant à l’abri du besoin, il put se consacrer à la science historique.

Le premier cours qu’il suivit avait pour intitulé «les monnayages des vallées de l’Hermos et du Méandre sous les Antonins et les Sévères». Guillaume, à la surprise de ses camarades, ponctua chaque phrase du professeur (qui était pourtant censé être un cador de l’histoire) d’un sonore «C’est faux!». Au bout d’une heure, sous pression, suant comme s’il sortait du hammam, le pauvre professeur interrompit son cours et finit par avouer en bredouillant qu’il avait été découvert, que l’élève Guillaume avait raison, tout ce qu’il racontait était un tissu de mensonges, la vallée de l’hermos n’avait jamais existé, les monnayages non plus, le concept de vallée n’avait lui-même aucun sens: il n’était pas plus professeur que coureur de fond. Il avait usurpé cette identité d’universitaire, car sa vie d’homme à tout faire à la mairie d’une bourgade du Loire-et-Garonne l’ennuyait profondément.

Une fois la supercherie découverte, c’est tout naturellement que Guillaume pris ses marques à l’université et à force de tenir en cours la dragée haute au corps professoral, n’hésitant pas à humilier les vieux barbons qui croyaient trouver dans l’enseignement une sinécure, il devint la coqueluche de l’université et même un des étudiants les plus respectés de la place de Paris. Les soirées qu’il organisait dans le cadre du BDE restèrent dans les annales, notamment celle où l’animateur Nagui, particulièrement imbibé, s’était fait sortir manu-militari, suite à l’incident dit du «pudding de Noël», incident qui fit les choux-gras d’une certaine presse de caniveau dont raffolent les faquins.

Avoir gagné la considération de ses pairs ne lui échauda pas la tête et il restait particulièrement obséquieux avec le petit personnel administratif et technique de l’université, ces véritables soutiers, représentant un peu moins d’un tiers des effectifs de l’éducation supérieure et sans qui ce bel édifice croulerait immédiatement sous les décombres (je voudrais saluer ici leur travail). C’est ainsi qu’il fit gagner 0,7 points sur les avis google à la note du restaurant universitaire de port Royal en créant avec les cuisiniers et sans se mettre en avant la recette du chili-concarneau (une sorte de chili, mais avec du surimi à la place du carné et une épatante sauce gribiche) qui fait aujourd’hui toute la réputation de cette cantoche.

Soutenant son master devant un jury particulièrement austère et pisse-froid, sa soutenance fût tellement émouvante que le greffier et les nombreux journalistes qui étaient présents dans la salle ont négligé de prendre des notes et aujourd’hui encore, personne ne sait sur quoi portait son travail. Làs, la jalousie des autres étudiants allait vouer sa carrière parisienne à l’échec. Sujet d’une cabale, monté par des rageux, Guillaume fût rapidement accusé de simonie, de bigamie, de car-jacking, de sextorsion et de braconnage d’espèces aquatiques protégées.

Acculé, criblé de dettes et devant bien admettre qu’une des accusations dont-il faisait l’objet était fondée, vous devinez bien laquelle, il se décida à quitter l’université de Paris avant d’être rattrapé par l’erreur judiciaire. Ses fidèles compagnons, l’ayant accompagné à la faveur de la nuit jusqu’à la porte de Bagnolet, lui firent ensuite des adieux émouvants, mais pitoyables, se frappant le visage et s'arrachant les cheveux. Le périphérique dépassé, Guillaume ayant astucieusement dérobé un vélo-solex devant une épicerie, de type épicerie de nuit, s’engagea à fond les ballons sur l’autoroute de la vie, non sans avoir demandé à un passant la direction de l’université de cinquante-et-un en Yvelines où il comptait bien rebondir  (ce passant était Evgueni Prigojine, mais Guillaume était bien trop dans ses pensées pour l’avoir reconnu. Et puis qui connaissait Prigojine, à l’époque? Allons, un peu de sérieux).

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

Maitre-nageur

Lors du Noël de sa 21e année, Guillaume reçu avec une joie visiblement manifeste, un ensemble grenouillère de bain/brassière qui le conduit tout naturellement à fréquenter assidument la piscine Rudolf Diesel (mort par noyade en 1913). Grâce à l’aide de Jakanri, il décrocha avec une aisance sans pareille son diplôme de maitre-nageur à temps partiel. Il complétait alors ses modestes revenus par quelques samedis autour de son « gobelet éternel », comme il aimât à l’appeler.


Moniteur auto-école

Pistonné grossièrement par son père qui possède quelques actions dans les auto-écoles Jean-Michel, Guillaume revêt le costume de moniteur pendant les vacances scolaires. Mais, l’expérience s’avère peu concluante. De fait, Guillaume se montre, la plupart du temps, trop exigent et acariâtre. Il n’aurait, alors, pas son pareil pour faire couler de chaudes larmes sur les joues boutonneuses de ses élèves, régulièrement couverts d’avanies plus osées les unes que les autres. Pour couronner le tout, alors qu’il considérait que c’était pour « apporter un peu de culture au groupe », il prodiguait quasi exclusivement ses conseils en Florentin du XVIIe siècle. Le plus cocasse dans tout ça est qu’il ne possédait pas plus le permis de conduire que ses élèves. Permis qu’il passa en 2017, grâce (une fois de plus) aux réseaux balkaniques de son oncle.


Chef d'équipe Montage panneau photovoltaïque

Suite à une soirée avinée avec ses compères au 13 rue Gerbier, dans le 11e arrondissement de Paris, il envoya un CV et une lettre anonyme farfelue au groupe Verlaine, l’entreprise qui touchait sa bille à l’époque dans le montage de panneau photovoltaïque en kit. Il écrivit, comme lettre de motivation, une prose rappelant les poèmes saturniens du maître, sauf qu’il y inséra en filigrane tout une ode dithyrambique de la filière cuivre. C’est la stupeur. Le lendemain matin, il fut sommé de se rendre immédiatement sur un chantier d’une complexité folle en Baie de Somme ou le client s’avérait être un rustaud sans la moindre éducation.

Attendu comme le messie, les ouvriers déchantèrent très vite quand Guillaume commença à donner des instructions pour le moins farfelues : «Décrayez le ginox de 11mm en quinconce et étourrez les blagons »… La supercherie est découverte : Guillaume fut prié de rentrer chez lui et l’incident ne fut jamais ébruité, par peur de la réception médiatique, très gênante pour le groupe. Il toucha 21€ pour signer une clause de confidentialité.


Écrivain

Pendant près de vingt ans, Guillaume Normand s’acharna à la construction d’une œuvre monumentale, échafaudée en douze tomes et palindromique à l’échelle de chaque chapitre. Bien que ce vaisseau littéraire indigérable, soi-disant inspiré par l’Andromaque d’Euripide, fut destiné à la morsure des broyeuses à papier, Guillaume prit l’habitude d’écrire de nombreuses missives de relance aux éditeurs qui méprisaient son manuscrit. Un certain YP publia sur son blog l’une de ces lettres : « Voici la poésie comme action du monde sur soi, de soi sur soi et de soi dans le monde. Elle est ici une pratique de la vie philosophique, de la création d’une vision visant à faire progresser notre humanité. Que ce soit la beauté d’une goutte sur laquelle se pose le soleil, la fraternité dans un combat contre l’asservissement ou un amour s’enrichissant de nouvelles contrées intérieures, toute expérience existentielle est l’occasion de créer un lien poétique pour devenir autre. Les vers ne reflètent pas la vie, ils l’inspirent, et se partagent. »

Guillaume Normand surpassa finalement cet échec douloureux. Se tournant (avec un vieux complice) vers une littérature moins égotique, il fit imprimer un livre de mots écrits par d’autres. Avec Graffitivre, élégant recueil de captures d’écran envoyées en pièce jointe, Guillaume se retrouva enfin invité à la table des librairies du tout Paris, au grand dam de sa némésis, le jaloux et outrageux, Yves Pagès.


Archiviste

Arrivé sur la pointe des pieds dans une équipe qui comprenait des cadors de la discipline tels que Jean-Louis Grostephan, Michel Gazon et Véronique Lobe, il démontra très vite des aptitudes stupéfiantes dans les tâches qu’on lui confia. « Il était au four et au moulin, et le pire, c’est que ça paraissait naturel ! Nous pensions qu’il se dopait », reconnaissait un témoin de l’époque sous couvert d’anonymat. C’est a ce moment qu’il devint le protégé d’Elsa Ketel, sa mentore de toujours dont le charisme naturel et son aisance oratoire l’ont toujours émerveillé.

Bosseur acharné, il est la plupart du temps le premier arrivé et le dernier parti aux archives de la ville de Paris. En effet, pendant son temps libre, il s’évertue sans relâche à réfléchir et conceptualiser un nouveau système de tri original se basant sur un astucieux système d’association d’idées basée sur la charcuterie italienne (thématique universelle selon lui). Il convint sans problème ses supérieurs d’adopter ce nouveau système de tri, son N+1 étant un très bon ami de Jacques-Henri.

C’est la révolution et dès lors, tout le service n’a plus que son nom à la bouche. Le « petit prodige du salami» ne s’arrête pas en si bon chemin et son tempérament d’innovateur insatiable fait des miracles pour porter le service des archives de la ville de Paris à la pointe de ce qui se fait de mieux dans le landernau européen.

Guillaume porte alors un projet un peu fou qui finira d’écrire sa légende. Un projet auquel personne ne croyait réellement (sauf son oncle). Se heurtant aux refus systématiques de ses supérieurs ainsi qu’aux établissements bancaires, il demanda a quelques contacts des triades qu’il avait gardés de lui avance un peu de moula pour faire construire une salle blanche de 500 m² à l’intérieur des locaux des archives de paris. C’est un chantier titanesque qui mit presque 4 ans à se clôturer. Guillaume peut enfin inaugurer les fameux « jeudi NRBC » avec ses collègues où il se prend à cajoler des documents anciens comme s’ils étaient ses enfants.

Sa notoriété va dépasser les frontières de sa discipline quand il commença à prodiguer ses stupéfiantes conférences dans toute l’Île-de-France tel que :

- L’utilisation de l’appeau à canard comme outil de pacification dans les maisons de retraite en 1845.

- Les escape room pendant les années folles.

- La cancoillotte : mythe ou réalité.

- La Macarena et son apport à l'histoire de l’ontologie autrichienne.

Guillaume Normand est alors au sommet de sa gloire, se marie en grande pompe avec son amour de toujours, avec qui il obtint deux beaux enfants : Laurence et Timého.