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Phare de l'Île-aux-Perroquets

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Phare de l'Île-aux-Perroquets
Phare patrimonial de l'Île-aux-Perroquets en 2017
Localisation
Coordonnées
Baigné par
Site
Île aux Perroquets (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Aire protégée
Histoire
Automatisation
Patrimonialité
Partie d'un bien patrimonial du Québec (d) ()
Phare patrimonial (station de phare en )Voir et modifier les données sur Wikidata
Architecture
Hauteur
10,5 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Hauteur focale
24 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Matériau
Équipement
Portée
12 NMVoir et modifier les données sur Wikidata
Feux
Fl W 5sVoir et modifier les données sur Wikidata
Identifiants
ARLHS
Amirauté
H1958Voir et modifier les données sur Wikidata
GCC
A1608Voir et modifier les données sur Wikidata
NGA
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Le phare de l'Île-aux-Perroquets est une station d'aide à la navigation située sur l'île aux Perroquets en face de Longue-Pointe-de-Mingan, dans la réserve de parc national de l'Archipel-de-Mingan. Il s'agit d'une tour octogonale en béton construite en 1951 à la suite d'un programme de modernisation des phares du Canada. Il a été désigné phare patrimonial en 2014.

Ce phare patrimonial[1] est répertorié par la loi sur la protection des phares patrimoniaux (en)[2] en date du .

Le premier phare de l'île est construit en 1888 par le gouvernement canadien en réponse aux demandes des pêcheurs côtiers et des compagnies de transport maritimes ; cinq naufrages importants ayant eu lieu dans le secteur des îles de Mingan entre 1857 et 1885[3]. Le bâtiment, d'une hauteur de 55 pieds, se compose alors d'une tour carrée en bois, fixée à une maison, surmontée d'une lanterne en fer[4]. Le phare actuel, construit en 1951, se compose d'une tour octogonale de trois étages en béton armé surmontée d'une lanterne octogonale en fibre de verre.

La maison-phare a abrité deux gardiens célèbres dans la région: le premier gardien du phare de l'île aux Perroquets en 1891 était le naturaliste français Henry de Puyjalon. M. Placide Vigneau[5], un auteur québécois, tient un journal, aujourd'hui préservé à Bibliothèque et Archives nationales du Québec, où il décrit ses observations sur l'île entre 1892 et 1919[6],[7].

Gardiens du phare[8]

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Notes et références

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Lien interne

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Liens externes

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