Paul Caillaud

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Paul Caillaud
Illustration.
Fonctions
Député français

(14 ans, 1 mois et 19 jours)
Élection 12 mars 1967
Réélection 30 juin 1968
11 mars 1973
19 mars 1978
Circonscription 1re de la Vendée
Législature IIIe, IVe, Ve et VIe (Cinquième République)
Groupe politique RI (1967-1978)
UDF (1978-1981)
Prédécesseur Lionel de Tinguy
Successeur Philippe Mestre
Maire de La Roche-sur-Yon

(15 ans et 4 mois)
Prédécesseur André Boutelier
Successeur Jacques Auxiette
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance La Copechagnière
Date de décès (à 90 ans)
Lieu de décès La Roche-sur-Yon
Nationalité Drapeau de la France française
Parti politique RI, UDF
Profession Pharmacien

Paul Caillaud, né le à La Copechagnière (Vendée) et mort à La Roche-sur-Yon (Vendée) le , est un homme politique français.

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Paul Caillaud, pharmacien de son état, est élu le 16 décembre 1961 maire de La Roche-sur-Yon. Il restera à ce poste jusqu'au , date à laquelle le socialiste Jacques Auxiette emporte la mairie. On peut retenir de son mandat la fusion de la mairie de La Roche-sur-Yon, avec celles de Saint-André-d'Ornay et du Bourg-sous-la-Roche en 1964.

En 1967, il est élu député de Vendée aux dépens du candidat sortant Lionel de Tinguy du Pouët. Il est réélu en 1968, en 1973 et en 1978. Il a d'abord siégé sous l'étiquette des Républicains indépendants avant de rejoindre l'UDF en 1978. Candidat en 1981 comme suppléant de Philippe Mestre, il quitte alors l'Assemblée nationale[1].

Son frère, Martial Caillaud, a été maire de L'Herbergement de 1965 à 1987 et conseiller général du canton de Rocheservière de 1973 à 1987.

Son neveu Dominique Caillaud, fils du précédent, a été maire de Saint-Florent-des-Bois de 1977 à 2008, conseiller général de la Vendée de 1988 à 2001, et député de la 2e circonscription de la Vendée de 1997 à 2012.

Distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Paul Caillaud - Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés », sur assemblee-nationale.fr (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]