Ormosia coccinea

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ormosia coccinea
Description de cette image, également commentée ci-après
échantillon de Ormosia coccinea collecté au Costa Rica
Classification de Cronquist (1981)
Règne Plantae
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Noyau des Dicotylédones vraies
Clade Rosidées
Clade Fabidées
Ordre Fabales
Famille Fabaceae
Sous-famille Faboideae
Tribu Sophoreae
Genre Ormosia

Espèce

Ormosia coccinea
(Aubl.) Jacks. (en), 1811[1]

Statut de conservation UICN

( LC )
LC  : Préoccupation mineure

Synonymes

Selon Tropicos (09 juin 2022)[2]

  • Ormosia subsimplex Spruce ex Benth.
  • Robinia coccinea Aubl. - Basionyme

Selon GBIF (09 juin 2022)[3]

  • Ormosia coccinea var. coccinea
  • Robinia coccinea Aubl. - Basionyme

Ormosia coccinea est une espèce néotropicale d'arbres de la famille des Fabaceae. Il s'agit de l'espèce type du genre est Ormosia Jacks..

Le nom « Ormosia » provient du grec ὅρμος hórmos signifiant « collier », en référence aux graines noires et rouges chatoyantes (toxiques) employées en perlerie[4].

Il est connu en Guyane sous les noms de Panacoco (Créole, Panacoco désigne en Guyane les lianes et arbres à graines rouges et noires : Ormosia spp[5]., Abrus precatorius, Rhynchosia phasaeolides), Neko[4], Agui (Nenge tongo)[6], Panakoko, Agi (Paramaka) Anakoko (Kali'na), Wanako kamwi (Palikur), Onokeu (Wayãpi), Barakaro (Arawak), Tento (Portugais du Brésil), Kokrikri, Hoogbos kokriki (Sranan tongo), Lucky seed, Barako (Guyana)[7],[8].

Ailleurs, on l'appelle Gateado, Macure, Palo macure, Peonía, Peonío, Pionilla, Pionina, Tento, Too’o (Yanomami), Ya’u balé au Venezuela[9], Canonnier, Gran savonèt, Kanonyè aux Antilles[4], Lucky seed, Jumbie beans (Créole du Guyana), Barakaro (Arawak), Anakoko (big type) (Caribe) au Guyana[10], Huayruro au Pérou[11], Jumby bean, Red horse, Eye bean en Anglais[4].

Description[modifier | modifier le code]

Planche d’Ormosia coccinea par George Jackson (en) (1811)[1] : 1. Ramuli floriferi pars. - 2. Flos sejunctus. - 3. Vexillum. - 4. Alæ. - 5. Carina. - 6. Calyx, Stamina et Pistillum. - 7. Calyx vi expansus cum Staminibus. - 8. Pistillum. 8. b. Germinis sectio. - 9. Fructus monospermus. - 10. Idem intus visus, valva superiori amota. - 11. Fructus dispermus vi expansus. - 12. Embryo.

Ormosia coccinea est un grand arbuste ou un arbre petit à grand, haut de 20 à 30 m. Son bois léger à mi-lourd (densité : 0,48 à 0,77), est de couleur brun clair rosé ou cuivré, à grain moyen à grossier, plus ou moins ramagé[12].

Les feuilles sont alternes, composées, imparipennées à 7-11(14) folioles de forme ovale, oblongue, elliptique à obovale, courtement acuminées, obtuses, rétuses à émarginées à l'apex, coriaces-rigides, glabres, luisantes rugueuses sur le dessus, glabres ou finement pubescentes en-dessous, long de 7-12 cm pour 3-6 cm de large. Les nervures médiane et secondaires (espacées de 3–10 mm) sont profondément imprimées au-dessus, fortement saillantes en-dessous.

L'inflorescence est une panicule tomenteuse de couleur jaune-brun à rouille. Les bractées et bractéoles sont petites, subulées. Les pédicelles sont longs de ± 4 mm.

Les fleurs sont de couleur violet foncé. Le calice est tomenteux à l'extérieur, long de 6 à 8 mm. L'étendard est réfléchi, campanulé, bicalle au-dessus de l'onglet, avec un limbe long de (6)8-10 mm pour 10-12 mm de large. L'ovaire est subsessile, tomenteux.

Le fruit est une gousse glabre, plus ou moins ligneuse, déhiscente le long de la suture ventrale, longue de 30 à 45 mm pour (15)20 à 25 mm de large et 13-30 mm d'épaisseur, de forme obliquement déprimée-subglobuleuse (à base obliquement atténuée sur environ 5 mm, et à bec droit, aigu, obliquement acuminé sur 1-7 mm), de couleur brun foncé à rouge vif, luisante, contenant généralement 1 graine, à valves épaisses charnues-coriaces (péricarpe épais, quelque peu resserré entre les graines si 2 graines). Il contient 1(-2) graines dures, déprimées-globuleuses, de 10-12 x 10-12 x 8 mm, de couleur rouge avec une grande tache noire. Les cotylédons sont transversaux[13],[8],[14],[9],[10].

Répartition[modifier | modifier le code]

Ormosia coccinea est présent en Colombie, au Venezuela (Bolívar, Amazonas, Apure, Monagas), dans les Guyanes[8] (Guyana, Suriname, Guyane), en Équateur, au Pérou, au Brésil[9] (Amazonas, Pará[13]).

Écologie[modifier | modifier le code]

Ormosia coccinea est un arbre[8] des lisières forestières, des bosquets de savane, et des savanes arbustives sur sable blanc, 50–200 m d'altitude au Venezuela[9], occasionnel dans les forêts mixtes et marécageuse au Guyana[10].

Il fleurit en Guyane en fin de saison sèche et fructifie drant la saison des pluies suivante. Ses gaines sont disséminées par les oiseaux (ornithochorie)[7].

Ormosia coccinea a été étudié sous divers aspects :

Utilisation[modifier | modifier le code]

collier de graines d’Ormosia coccinea (grandes) et d’Abrus precatorius (petites)
collier de graines d’Ormosia coccinea (grandes) et d’Abrus precatorius (petites)

Les graines d’Ormosia coccinea sont très utilisées dans le bassin amazonien pour l'artisanat amérindien (ex : Wayanas) : colliers, bracelets et autres bijoux[4]... Au Guyana, elles sont utilisées chez les enfants Arawak pour jouer et parfois pour leur apprendre à compter. Elles servent de perles ou sont conservées sur soi comme porte-bonheur[10].

Le bois est utilisé localement pour fabriquer des planches[10] ou du parquet[26].

Au Guyana, l'écorce pilée est utilisée en bain de vapeur contre la fièvre[10].

Les graines sont réputées toxiques[7].

Ormosia coccinea présente des propriétés cicatrisantes sur le rat[27], et entre, associé à Ananas comosus, dans la composition d'une crème cicatrisante[28].

La sciure de bois d’Ormosia coccinea sert à fabriquer des briques écologiques à base de plastiques PET[11].

L'extrait méthanolique d’Ormosia coccinea présente des propriétés anti-inflammatoires et analgésiques[29],[30].

L'extrait d’Ormosia coccinea a montré des propriétés antimicrobiennes marquées à 250 µg/mL sur Klebsiella pneumoniae et Staphylococcus aureus[31].

Protologue[modifier | modifier le code]

En 1775, le botaniste Aublet propose le protologue suivant pour Robinia coccinea Aubl., 1775 (synonyme d’Ormosia coccinea (Aubl.) Jacks., 1811) :

planche originale manuscrite de Plumier en Martinique « Pſeudo-acacia ingens fructu coccineo, nigrâ maculâ notato »[32].
« 3. ROBINIA (coccinea) fructu coccinea; nigrâ maculâ notato: Pſeudo-acacia ingens fructu coccineo, nigrâ maculâ notato. Plum, Cat. 19. Mſſ. t. 7. tab. 145[32], citée par Aublet dans son protologue.

Le PETIT PANACOCO des habitans de la Guiane.

Cet arbre ſe trouve auſſi dans les forêts qu'on traverſe pour aller à l'habitation de Pitrebot à l'Iſle de France.
 »

— Fusée-Aublet, 1775[33].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (la) George Jackson, « XVI. Account of Ormosia, a new Genus of Decandrous Plants belonging to the Natural Order of he guminosæ », Transactions of the Linnean Society of London, vol. 10,‎ , p. 360 (lire en ligne)
  2. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 09 juin 2022
  3. GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 09 juin 2022
  4. a b c d et e Nathalie Vidal, Le grand livre des ÉTONNANTES GRAINES : entre Nature et Cultures, Orphie, , 200 p. (ISBN 978-2-87763-639-1), p. 116-117
  5. Pierre Grenand, Christian Moretti, Henri Jacquemin et Marie-Françoise Prévost, Pharmacopées traditionnelles en Guyane : Créoles. Wayãpi, Palikur, Paris, IRD Editions, , 663 p. (ISBN 978-2-7099-1545-8, lire en ligne), p. 537
  6. Marie Fleury, "BUSI-NENGE" - LES HOMMES-FORÊT : Essai d'etnobotanique chez les Alukus (Boni) en Guyane Française, université de Paris 6, coll. « thèse de doctorat », (lire en ligne)
  7. a b et c ONF, Guide de reconnaissance des arbres de Guyane : 2e édition, ONF, , 374 p. (ISBN 978-2842072957), p. 74-75
  8. a b c et d (en) Mark G.M. Van Roosmalen, Fruits of the guianan flora, INSTITUTE OF SYSTEMATIC BOTANY UTRECHT UNIVERSITY - SILVICULTURAL DEPARTMENT OF WAGENINGEN AGRICULTURAL UNIVERSITY, , 483 p. (ISBN 978-9090009872), p. 50
  9. a b c et d (en) Charles H. Stirton, Gerardo A. Aymard C., Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 5, Eriocaulaceae–Lentibulariaceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 833 p. (ISBN 9780915279715), p. 365-367
  10. a b c d e et f Tinde van Andel, Non-timber forest products of the North-West district of Guyana. Part II. A field guide., vol. 8, National Herbarium Nederland. Universiteit Utrecht. Tropenbos-Guyono Series, , 284 p. (lire en ligne)
  11. a et b (es) Linda Almendra CHINO RUIZ et Alessandra Carolina MATHIOS CASTRO, « Elaboración de ladrillos ecológicos a base de plásticos PET reutilizados y aserrín de la especie Huayruro (Ormosia coccinea) de las industrias madereras en Ucayali, Perú », Tesis - UNIVERSIDAD NACIONAL DE UCAYALI, PUCALLPA-PERÚ,‎ (lire en ligne)
  12. Pierre DÉTIENNE, Paulette JACQUET et Alain MARIAUX, Manuel d'identification des bois tropicaux : Tome 3 Guyane française, Quae, (lire en ligne), p. 126-128
  13. a et b (en) A. A. Pulle, Flora of Suriname : PAPILIONACEAE, vol. II, PART 2, Leiden, VEREENIGING KOLONIAAL INSTITUUT TE AMSTERDAM, , 1-254 p., p. 112
  14. Albert Lemée, Flore de la Guyane française : Tome II - Podostémonacées à Sterculiacées, Brest, LIBRAIRIE LECHEVALIER, , 400 p., p. 114
  15. (en) Rosilei A. GARCIA, Jedi ROSERO-ALVARADO et Roger E. HERNÁNDEZ, « Swelling strain assessment of fiber and parenchyma tissues in the tropical hardwood Ormosia coccinea », Wood Science and Technology, vol. 54, no 6,‎ , p. 1447-1461 (DOI 10.1007/s00226-020-01223-z, lire en ligne)
  16. (pt) Arthur A. LOUREIRO et Pedro L. Braga LISBOA, « Anatomia do lenho de seis espécies de Ormosia (Leguminosae) da Amazônia », Acta Amazonica, vol. 9, no 4,‎ , p. 731-746 (lire en ligne)
  17. (es) Ángel David ESPÍRITU CABALLERO, « Plantación de Ormosia coccinea Jack en fajas y fertilización con tres dosis NPK. Unión Capiri-Satipo », Tesis - UNIVERSIDAD NACIONAL DEL CENTRO DEL PERÚ,‎ , p. 60 (lire en ligne)
  18. (es) Murayari ARÉVALO et Billy MITCHELL, « Dinámica poblacional de la biomasa foliar en plantaciones de tres edades de" quillosisa" Erisma bicolor y" huayruro" Ormosia coccinea en el CIEFOR-Puerto Almendra, Loreto-Perú », tesis ESCUELA DE FORMACIÓN PROFESIONAL DE INGENIERÍA FORESTAL, Iquitos – Perú,‎ (lire en ligne)
  19. (es) Carol Margareth SÁNCHEZ VELA, « Macroinvertebrados del suelo colonizadores de la necromasa en plantaciones de especies maderables y bosques secundarios de tierra firme, Iquitos-Perú. SUNEDU », Tesis - FACULTAD DE AGRONOMÍA, IQUITOS - PERU,‎ (lire en ligne)
  20. (es) Ruller SOTO HONORIO, « Identificación y cuantificación de la entomofauna de hojarasca en plantaciones de Vochysia lomatophylla Standl (quillosisa) y Ormosia coccinea Jant (huayruro) en Puerto Almendra, Iquitos-Perú », Tesis - Universidad Nacional de la Amazonia Peruana,‎
  21. (es) Marilia Cateri FLORES PÉREZ, « Evaluación de daños por insectos xilófagos en plantaciones de Vochysia lomatophylla" quillosisa" y Ormosia coccinea" huayruro" CIEFOR-Puerto Almendra-Loreto. Perú », SUNEDU - FACULTAD DE CIENCIAS FORESTALES, IQUITOS, PERÚ,‎ , p. 69 (lire en ligne)
  22. (es) Carmela ARCE-URREA, « DINÁMICA DE DESCOMPOSICIÓN Y MINERALIZACIÓN DE MACRONUTRIENTES EN HOJARASCA DE PLANTACIONES DE Ormosia coccinea (Aubl.) JACKSON," HUAYRURO" Y Vochysia lomatophylla Standl," QUILLOSISA, IOUITOS, LORETO, PERÚ », Folia Amazónica, vol. 16, nos 1-2,‎ , p. 101-106 (DOI 10.24841/fa.v16i1-2.293, lire en ligne)
  23. (es) Zylla Melvet SANCHEZ VELA et Patricia Giovanna GONZALES GRANDEZ, « Dinámica de la descomposición de la hojarasca fina en diferentes plantaciones: Ormosia coccinea (Aubl.) Jackson" huayruro", Cedrelinga cateniformis (Ducke) Ducke" tornillo" y bosque secundario de tierra firme, Iquitos-Perú, 2016 », Universidad Nacional de la Amazonía Peruana,‎ (lire en ligne)
  24. (es) Ruíz VIENA et Simy Luisa CATHERINE, « Valoración económica del secuestro de CO2 en plantaciones de 27 años en especies de Ormosia coccinea, Parkia igneiflora, y Simarouba amara, en el CIEFOR-PTO. Almendra, Perú », Tesis - ESCUELA DE FORMACIÓN PROFESIONAL DE INGENIERÍA FORESTAL,‎ , p. 86 (lire en ligne)
  25. (es) J. L. MASSON, « Pruebas de tratamiento pre-germinativo de algunas semillas nativas [Ormosia coccinea, Parkia sp., Copaifera reticulata, germinacion] » [« Pre-germinative treatment trials of some native seeds [Ormosia coccinea, Parkia sp., Copaifera reticulata] »], Revista Forestal del Peru, vol. 9, no 1,‎ , p. 81-90 (lire en ligne)
  26. (es) JA. Blanco Suarez, « Aptitud de la madera de cuatro especies forestales para parquet [Diplotropis martiusii, Ormosia coccinea, Aspidosperma vargasii, Tabebuia heteropoda] » [« Aptitude of four forestry wood species for parquet [Diplotropis martiusii, Ormosia coccinea, Aspidosperma vargasii, Tabebuia heteropoda] »], Universidad Nacional Agraria La Molina, Lima (Peru),‎
  27. (es) Héctor Alexander VÍLCHEZ CÁCEDA, Miguel Angel INOCENTE CAMONES et Oscar Bernuy FLORES LÓPEZ, « Actividad cicatrizante de seis extractos hidroalcohólicos de plantas en heridas incisas de Rattus norvegicus albinus » [« Healing activity of six hydroalcoholic extracts of plants in incised wounds of Rattus norvegicus albinus »], Revista Cubana de Medicina Militar, vol. 49, no 1,‎ , p. 86-100 (lire en ligne)
  28. (es) Milagro Patricia VARGAS HUYHUA, « Efecto cicatrizante de una crema de extracto hidroalcohólico de tallos de huairuro ormosia coccinea (aubl.) jacks, y de pulpa de piña ananas comosus (l.) merr. en ratones albinos », Tesis - UNIVERSIDAD INCA GARCILASO DE LA VEGA,‎ (lire en ligne)
  29. (en) Estela Guerrero DE LEÓN et Juan Antonio MORÁN-PINZÓN, « Antinociceptive and anti-inflammatory activities of methanol extract of ormosia coccinea (Aubl.) jacks in vivo », Journal of pharmacy and pharmacology, vol. 5,‎ , p. 289-298 (DOI 10.17265/2328-2150/2017.06.001, lire en ligne)
  30. (es) Miguel Angel DÍAZ CASTILLO, « Evaluación de la actividad analgésica y antiinflamatoria de los extractos metanólicos de Ormosia coccinea (Aubl) jacks y Macrolobium pittieri (Rose) Schery », Thèse de doctorat. Universidad de Panamá. Vicerrectoria de Investigación y Postgrado,‎ (lire en ligne)
  31. (es) Leandra GÓMEZ LEIJA, Carmen ESPINO CASTILLERO, Estela GUERRERO DE LEÓN, Juan Morán Pinzón, José Luis López Pérez, Gisela Montenegro Navarro, Dionisio Olmedo Agudo et Mahabir Prashad Gupta, « Cribado de la actividad antimicrobiana de plantas panameñas de la familia Fabaceae », Revista Médica de la Universidad de Costa Rica, vol. 8, no 2,‎ , p. 11-23 (DOI 10.15517/rmu.v8i2.19617, lire en ligne)
  32. a et b (la) Charles Plumier, Botanicon Americanum, 1689–1697 (lire en ligne), tab. 145. tom. 7.
  33. Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume II, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, , 867 p. (lire en ligne), p. 773

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :