Les Derniers Jours du monde

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Les Derniers Jours du monde

Réalisation Arnaud et Jean-Marie Larrieu
Scénario Arnaud et Jean-Marie Larrieu
Dominique Noguez
Acteurs principaux
Sociétés de production Soudaine Compagnie
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Comédie dramatique, science-fiction
Durée 130 minutes
Sortie 2009

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Les Derniers Jours du monde est un film français réalisé par les frères Larrieu, d'après le roman homonyme et Amour noir, tous les deux de Dominique Noguez. Sorti en France le , il a été projeté en première mondiale sur la Piazza Grande le dans le cadre du Festival international du film de Locarno.

Synopsis[modifier | modifier le code]

La fin du monde approche. Robinson Laborde (Mathieu Amalric) se lance dans une errance à travers le nord de l'Espagne et le sud de la France, dans une tentative incertaine de fuir la catastrophe et peut-être de retrouver une femme qu'il a passionnément aimée.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

Tournage[modifier | modifier le code]

Plusieurs scènes du film ont été tournées à Biarritz (chambre d'Amour, phare de Biarritz) où commence le récit[1]. Le tournage a également lieu à Taïwan, Pampelune – durant les fêtes –, dans les Pyrénées (station de Val d'Azun) et à Toulouse (le long de la Garonne, place du Capitole, Grand Hôtel de l'Opéra)[2], dans les vallées du Lot et du CéléCabrerets), et à Paris (secteurs de la BnF, de la place du Panthéon-Estrapade et île Saint-Louis)[3].

Musique[modifier | modifier le code]

 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.

Critiques[modifier | modifier le code]

Pour le Nouvel Observateur, le film est l'un des meilleurs réalisés par les frères Larrieu[4].

Pour la revue spécialisée Positif, le film est "une hybridation ratée de film catastrophe et d'érotisme"[5].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Itinéraire vagabond des Derniers Jours du monde », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  2. « La fin du monde à Toulouse... », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne).
  3. D'après le générique de fin notamment.
  4. « « Les derniers jours du monde », jouissif chaos », sur Le Nouvel Obs,
  5. AlloCine, « Les derniers jours du monde: Les critiques presse » (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]