Kappa2 Ceti

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Kappa2 Ceti
Données d'observation
(époque J2000.0)
Ascension droite 03h 21m 06,80281s[1]
Déclinaison +03° 40′ 32,2344″[1]
Constellation Baleine
Magnitude apparente 5,66[2]

Localisation dans la constellation : Baleine

(Voir situation dans la constellation : Baleine)
Caractéristiques
Type spectral G8 III[3]
Indice U-B +0,73[2]
Indice B-V +0,97[2]
Astrométrie
Vitesse radiale +7,44 ± 0,10 km/s[4]
Mouvement propre μα = +55,04 mas/a[1]
μδ = −25,12 mas/a[1]
Parallaxe 10,11 ± 0,33 mas[1]
Distance 320 ± 10 al
(99 ± 3 pc)
Magnitude absolue 0,630[5]
Caractéristiques physiques
Masse 2,46 ± 0,09 M[4]
Rayon 8,23 ± 0,57 R[4]
Gravité de surface (log g) 2,98 ± 0,04[4]
Luminosité 41,7 L[4]
Température 5 007 ± 22 K[4]
Métallicité +0,11 ± 0,03[4]
Rotation 0,98 ± 0,45 km/s[4]
Âge 610 ± 60 Ma[4]

Désignations

κ2 Cet, g2 Tau, 97 Cet, BD+03°461, HD 20791, HIP 15619, HR 1007, SAO 111142[6]

Kappa2 Ceti ou κ2 Ceti est une étoile[7] de couleur jaune située dans la constellation de la Baleine. Elle est faiblement visible à l'œil nu avec une magnitude apparente de 5,66[2]. Basé sur un décalage annuel de la parallaxe de 10,11 mas[1], elle se situe à environ 320 années-lumière de la Terre.

Nomenclature[modifier | modifier le code]

Kappa2 Ceti était autrefois appelée g2 Tauri[8].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Il s'agit d'une étoile géante évoluée de type G avec un type spectral G8 III[3]. Il s'agit d'une étoile du red clump sur la branche horizontale, ce qui indique qu'elle génère de l'énergie par la réaction triple alpha en son cœur[5]. Elle a 2,46 fois la masse du Soleil[4] et s'est étendue jusqu'à 8,2 fois le rayon du SOleil[4]. Elle rayonne 42 fois la luminosité du Soleil[4] depuis sa photosphère à une température effective de 5 007 K[4].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f F. van Leeuwen, « Validation of the new Hipparcos reduction », Astronomy and Astrophysics, vol. 474,‎ , p. 653–664 (ISSN 0004-6361, DOI 10.1051/0004-6361:20078357, lire en ligne, consulté le )
  2. a b c et d P. B. Lucke, « The OB stellar associations in the Large Magellanic Cloud. », The Astrophysical Journal Supplement Series, vol. 28,‎ , p. 73–100 (ISSN 0067-0049, DOI 10.1086/190311, lire en ligne, consulté le )
  3. a et b N. Houk et C. Swift, « Michigan catalogue of two-dimensional spectral types for the HD Stars, Vol. 5 », Michigan Spectral Survey, vol. 5,‎ , p. 0 (lire en ligne, consulté le )
  4. a b c d e f g h i j k l et m E. Jofré, R. Petrucci, C. Saffe et L. Saker, « Stellar parameters and chemical abundances of 223 evolved stars with and without planets », Astronomy and Astrophysics, vol. 574,‎ , A50 (ISSN 0004-6361, DOI 10.1051/0004-6361/201424474, lire en ligne, consulté le )
  5. a et b T. V. Mishenina, O. Bienaymé, T. I. Gorbaneva et C. Charbonnel, « Elemental abundances in the atmosphere of clump giants », Astronomy and Astrophysics, vol. 456,‎ , p. 1109–1120 (ISSN 0004-6361, DOI 10.1051/0004-6361:20065141, lire en ligne, consulté le )
  6. « kap02 Cet », sur simbad.u-strasbg.fr (consulté le )
  7. P. P. Eggleton et A. A. Tokovinin, « A catalogue of multiplicity among bright stellar systems », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, vol. 389,‎ , p. 869–879 (ISSN 0035-8711, DOI 10.1111/j.1365-2966.2008.13596.x, lire en ligne, consulté le )
  8. « Star Tales – Bayer letters », sur www.ianridpath.com (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Ressource relative à l'astronomieVoir et modifier les données sur Wikidata :