Hugues de Surgères

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Hugues de Surgères
Fonctions
Vicomte-baillistre de Châtellerault
Biographie
Naissance
V. 1175
Décès
Époque
XIIe – XIIIe siècles
Famille
Maison de Surgères
Père
Guillaume III Maingot
Mère
Aurengarde d'Exoudun
Fratrie

Guillaume IV Maingot
Geoffroy de Surgères

Hugues IX le Brun
Aénor de Lusignan
Raoul Ier d'Exoudun
Autres informations
Conflit
Armoiries d'Hugues de Surgères

Hugues de Surgères (v.1174-1212) est un membre de la noblesse aunisienne de la Maison de Surgères. Il devient vicomte-baillistre de Châtellerault de 1205 à 1211[1],[2],[3].

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Hugues est le fils de Guillaume III Maingot[4] (av. 1156-ap. 1174), sénéchal du Poitou et de sa seconde épouse, Aurengarde d'Exoudun (av. 1139-v. 1175), dite Ala, veuve d'Hugues le Brun (v. 1124-1169) de la Maison de Lusignan[5].

Hugues a pour frères consanguins Guillaume IV Maingot, seigneur de Surgères, et Geoffroy de Surgères, fils de Guillaume III Maingot et de Berthe de Rancon (♰ av. 1174)[6] , elle-même fille de Geoffroy III de Rancon (♰ 1153), seigneur de Taillebourg[7],[8].

Il a également pour frères utérins Hugues IX le Brun (av. 1151-1219), seigneur de Lusignan, comte de la Marche, et Raoul Ier d'Exoudun (v. 1169-1219), comte d'Eu[9],[10] ; descendants eux aussi de Geoffroy III de Rancon par leur grand-mère paternelle Bourgogne de Rancon (av. 1112-ap. 1169), sœur aînée de Berthe[3],[11].

Vie politique[modifier | modifier le code]

Le bail de Châtellerault[modifier | modifier le code]

À la suite d'une révolte féodale menée par les Lusignan en Poitou aux côtés du jeune Arthur de Bretagne contre le roi Jean sans Terre, le vicomte de Châtellerault, Hugues III, est fait prisonnier à la bataille de Mirebeau en 1202[12]. Mort en captivité en 1203, Hugues III et son épouse Eustachie de Mauléon[13],[14] laissent comme unique héritière : Clémence, âgée de deux ans. Hugues de Surgères se voit confier par Philippe II Auguste la régence de la vicomté de Châtellerault et la tutelle de son héritière[15],[3],[16].

Un alignement pro-capétien[modifier | modifier le code]

En 1205, avec ses demi-frères Lusignan et plusieurs seigneurs poitevins[17], Hugues assiège le donjon de Niort tenu par Savary de Mauléon, sénéchal de Jean sans Terre en Poitou et oncle maternel de Clémence de Châtellerault, mais sans succès[18],[19].

Le à Thouars, Hugues de Surgères et son demi-frère Raoul Ier d'Exoudun, comte d'Eu, sont garants de la trêve que le roi de France conclue avec Jean Sans Terre[20],[21].

Hugues de Surgères est un partisan du roi de France Philippe II Auguste. Il lui prête hommage en 1209[9], alors que sa famille paternelle est dévouée à la cause du souverain anglais en échange des largesses accordées par Aliénor d'Aquitaine[22].,[23].

Croisade et décès[modifier | modifier le code]

En 1211, Hugues de Surgères se fait croisé, entreprend un pèlerinage en Terre Sainte et décède à Saint-Jean-d'Acre en 1212[24],[25],[26]. À sa mort, Philippe II Auguste transfère à Raoul Ier d'Exoudun la charge de baillistre de la vicomté de Châtellerault[23],[27].

Union et descendance[modifier | modifier le code]

Aucune union matrimoniale ni aucune descendance ne lui sont connues. André Du Chesne[28] puis Louis Vialart[29] lui donnent comme épouse Aenor, sœur d'Hugues III de Châtellerault, ce qui tente à expliquer sa fonction de baillistre, mais sans preuve aucune[30],[31].

Sceaux et Armoiries[modifier | modifier le code]

Sceau [1208][modifier | modifier le code]

Avers : Rond, ? mm[32],[33],[34].

Description : Écu fretté de vair au lambel de cinq pendants.

Légende : ✠ S VGONIS • SVRGERII............VDI

Légende transcrite : Sigillum Ugonis de Surgerii......... udi.

Sceau [1211][modifier | modifier le code]

Avers : Rond, 60 mm[35],[36],[37],[38],[39].

Description : Écu fretté au lambel de 5 pendants.

Légende : ✠ S HVGONIS DE …... IAIRA …...

Contre-sceau : Rond, 35 mm[35],[36],[37],[38],[39].

Description : Écu parti à dextre fretté au lambel de deux pendants (Surgères), et à senestre burelé de treize pièces au lambel de deux pendants (Eu-Lusignan).

Légende : SECR ETUM

Armoiries [1208][modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écu de gueules fretté de vair au lambel de cinq pendants d'argent
Commentaires : Blason d'Hugues de Surgères, d'après l'empreinte d'un sceau de 1208 dessinée par Louis Boudan au XVIIe siècle pour Roger de Gaignières.

Références[32],[33],[34]

Armoiries [1211][modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écu de gueules fretté d'argent au lambel de cinq pendants du même
Commentaires : Blason d'Hugues de Surgères, d'après l'empreinte d'un sceau de 1211 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle .

Références[35],[36],[37],[38],[39]

Blason Blasonnement :
Écu mi-parti, à dextre de gueules fretté d'argent au lambel de deux pendants du même, et à senestre burelé d'argent et d'azur de treize pièces au lambel de deux pendants de gueules
Commentaires : Blason d'Hugues de Surgères, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1211 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle.

Références[35],[36],[37],[38],[39]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la Merci-Dieu : autrement dite de Bécheron, au diocèse de Poitiers (éd. Étienne Clouzot), t. XXXIV, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), CLXIII, p. 142-143
  2. Comptes et enquêtes d'Alphonse, comte de Poitou : 1253-1269 (éd. Abel Bardonnet), t. VIII, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), p. 39-44
  3. a b et c Jacques Duguet, « Notes sur quelques vicomtes de Châtellerault », Bulletin de la Société des Antiquaires de l'ouest, 4e série, vol. XVI,‎ , p. 266-270 (lire en ligne)
  4. Le surnom Maingot n'apparaît que pour les Guillaume ; c'est un surnom attaché à un nom. Les autres membres de la famille sont dits "de Surgères".
  5. Clément de Vasselot de Régné, « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe – XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie,‎ , p. 32, article no 5 (lire en ligne [archive] [PDF])
  6. Cartulaire et chartes de l'abbaye de l'Absie (éd. Bélisaire Ledain), t. XXV, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), p. 102
    Guillaume Maingot fait une donation à l'Absie pour l'âme de sa femme Berthe récemment défunte, en présence de Geraud, abbé de Fontdouce.
  7. Jacques Duguet, « Notes sur quelques vicomtes de Châtellerault », Bulletin de la Société des Antiquaires de l'ouest, 4e série, vol. XVI,‎ , p. 268 (lire en ligne)
  8. Jacques Duguet, « Surgères et ses seigneurs du Xe siècle au XIVe siècle », dans Surgères, (lire en ligne), Tradition de nom et promotion sociale
  9. a et b Catalogue des actes de Philippe Auguste (publi. Léopold Delisle), Paris, Auguste Durand (réimpr. 1975) (1re éd. 1856) (lire en ligne), n° 1182 [1209], p. 515
  10. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 11 (« Le sous-lignage d'Eu »), p. 170
  11. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 6 (« La coalition châtelaine des années 1120 »), p. 165
  12. Comptes et enquêtes d'Alphonse, comte de Poitou : 1253-1269 (éd. Abel Bardonnet), t. VIII, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), p. 41
  13. Fille de Raoul II de Mauléon et sœur de Savary de Mauléon.
  14. Cartulaire et chartes de l'abbaye de l'Absie (éd. Bélisaire Ledain), t. XXV, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), XXXI, p. 162-163
  15. Sidney Painter, « The House of Lusignan and Châtellerault, 1150-1250 », Speculum, University of Chicago Press, vol. 30, no 3,‎ , p. 381-383 (lire en ligne [PDF])
  16. Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles siècles), vol. 1 (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Université de Poitiers, (lire en ligne [PDF]), I : Détenir le pouvoir et les territoires des vicomtes de Châtellerault, chap. I (« Devenir et être Vicomte de Châtellerault / En cas de minorité du vicomte : instauration d'un baillistre »), p. 32-37
  17. Hugues IX le Brun, Raoul Ier d'Exoudoun, Geoffroy Ier de Lusignan, Guillaume de Mauléon (oncle de Savary), Aimery VII de Thouars, Hugues Ier Larchevêque, Thibaut de Beaumont.
  18. Histoire des ducs de Normandie et des rois d'Angleterre (éd. Francisque Michel), Paris, Jules Renouard, (lire en ligne), p. 102 :

    « Hughes li Bruns et li cuens d'Eu ses freres et Hugues de Surgieres ses freres, qui viscuens estoit del Castel Eraut, et Joffrois de Lesegnon, ses oncles et li viscuens de Touart, qui moult estoit riches hom, et Guillaumes de Maulyon li oncles Savari, qui sires estoit de Maulyon et de Chalemont, et Hughes l'archevesques, qui sires estoit de Partenay, et Tiebaus de Biaumont, qui sires estoit de Bierchieres, et maint autre haut baron que je ne puis pas toz noumer, quant il oïrent ces nouvieles, il s'entre manderent de toutes pars et assamblerent grant ost, et vinrent devant Niors, et assaillirent Savari dedens. Longhement i sissent, mais riens n'i firent fors tant que moult ot faites de bieles chevaleries a che siege. »

  19. Bélisaire Ledain, Savary de Mauléon et le Poitou à son époque, Saint-Maixent, (lire en ligne), p. 14
  20. Foedera, Conventiones, Litterae, et cujuscunque generis Acta Publica inter reges Angliae et alios quosvis imperatores, reges, &c., ab. A.D. 1101 ad nostra usque tempora habita aut tractata (éd. Thomas Rymer), vol. I : pars I (1066-1272), Londres, Record Commission on Historical Manuscripts, (lire en ligne), p. 95
    1206, 26 octobre, Thouars : Le roi d'Angleterre, Jean, abandonne au roi de France, Philippe [II Auguste], la Normandie, le Maine, la Bretagne, la Touraine et l'Anjou en deçà de la Loire et conclut avec lui une trêve pour deux ans à compter du 8 décembre 1206. Raoul [Ier d'Exoudun], comte d'Eu, et son demi-frère, Hugues de Surgères, vicomte de Châtellerault, sont nommés arbitres pour le roi de France des litiges qui pourraient avoir lieu lors de la trêve. Leur frère, Hugues [IX] le Brun, et son oncle, Geoffroy [Ier] de Lusignan, sont garants de la trêve pour le roi de France.
  21. Recueil des historiens des Gaules et de la France, Scriptores (éd. Léopold Delisle), t. XVII, Poitiers, Victor Palmé, (lire en ligne), § E, p. 60 :

    « Et Rex Francorum et nos, et homines et imprisii sui et nostri, erimus tenentes bonâ fide sicuteramus tenentes pnedictâ die veneris ante festum Sancti Lucae ; et si contentio fuerit in tenura hominum Régis Franciae, per dictum et sacramentum R. *Comitis Augi et Hugonîs vicecomitis Castri-Heraudi, ad hoc ex parte ipsiusRegis Francorum appositorum, et Siivarici de Maloleone et Guillelmi de Cantumerulae ad hoc ex parte nostra appositorum, emendabitur. »

  22. Jacques Duguet, « Surgères et ses seigneurs du Xe siècle au XIVe siècle », dans Surgères, (lire en ligne), Le premier seigneur de Surgères de la lignée des châtelains
  23. a et b Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles siècles), vol. 1 (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Université de Poitiers, (lire en ligne [PDF]), I : Détenir le pouvoir et les territoires des vicomtes de Châtellerault, chap. I (« Devenir et être Vicomte de Châtellerault / En cas de minorité du vicomte : instauration d'un baillistre »), p. 36
  24. Chroniques de Saint-Martial de Limoges : publiées d'après les manuscrits originaux pour la Société de l'Histoire de France (éd. Henri Duplès-Agier), Paris, Renouard, (lire en ligne), p. 85 :

    « Anno gracie M° CC° XII, Apud Acram obiit Hugo de Surgeiras vicecomes de Chastel airau. »

  25. Ex Chronico Bernardi Iterii, Monachi et Armarii S. Martialis Lemovicensis (ed. Léopold Delisle), t. XVIII : Recueil des historiens des Gaules et de la France, Scriptores, Paris, Victor Palmé, (lire en ligne), § C, p. 230
  26. Sidney Painter, « The House of Lusignan and Châtellerault, 1150-1250 », Speculum, University of Chicago Press, vol. 30, no 3,‎ , p. 383 (lire en ligne [PDF])
  27. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), « Le transfert des allégeances (1203-1214) », p. 188
  28. André Du Chesne, Histoire généalogique de la maison des Chasteigners, Paris, (lire en ligne), p. 422-424
  29. Louis Vialart, Histoire généalogique de la maison de Surgères en Poitou, Paris, (lire en ligne), p. 43
  30. Jacques Duguet, « Notes sur quelques vicomtes de Châtellerault », Bulletin de la Société des Antiquaires de l'ouest, 4e série, vol. XVI,‎ , p. 267 (lire en ligne)
  31. Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles siècles), vol. 1 (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Université de Poitiers, (lire en ligne [PDF]), I : Détenir le pouvoir et les territoires des vicomtes de Châtellerault, chap. I (« Devenir et être Vicomte de Châtellerault / En cas de minorité du vicomte : instauration d'un baillistre »), p. 35-36 :

    « Depuis André Duchesne et Louis Vialart, on répète sans preuve qu'Hugues aurait épousé Aénor, la sœur d'Hugues III, sur l'intervention de Philippe Auguste. »

  32. a et b chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), fol. 205
  33. a et b Louis Vialart, Histoire généalogique de la maison de Surgères en Poitou, Paris, (lire en ligne), p. 20
  34. a et b Louis Vialart, Histoire généalogique de la maison de Surgères en Poitou, Paris, (lire en ligne), V. Hugues de Surgères, p. 44
  35. a b c et d Dom Fonteneau, Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : VIème série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin ; français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « manuscrit 538-1 / VIème série », (lire en ligne), n°XI  : 1211, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », p. 6
  36. a b c et d Dom Fonteneau, Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : VIème série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin ; français 538-1), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « manuscrit 538-1 / VIème série », (lire en ligne), n°11 : 1211, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », p. 79-80
  37. a b c et d Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. LV, n°211, p. 191
  38. a b c et d Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. XI (« Parents dont les armes présentent une parenté avec celles des Lusignan / Hugues de Surgères / sceau [1211] »), p. 352-353
  39. a b c et d Clément de Vasselot de Régné, « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe – XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie,‎ , p. 30-32, article no 5 (lire en ligne [archive] [PDF])

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]