Historiographie de Lyon

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L'historiographie de Lyon se rapporte à la perception de l'Histoire par les historiens ayant écrits et étudiés l'histoire de Lyon. Lyon possède une tradition historiographique remontant à la Renaissance et est l'une des villes de France les plus racontées par les historiens[d 1].

L'étude du Lyon antique à la Renaissance[modifier | modifier le code]

Première page de la première Histoire de Lyon, publiée par Guillaume Paradin en 1573.

Lyon a des historiens dès la Renaissance. De nombreux érudits tels Pierre Sala, Symphorien Champier ou Claude de Bellièvre, fascinés par les antiquités découvertes, les accumulèrent et se penchèrent sur le passé de leur cité, essentiellement l'antiquité.

La première trace d'une étude du passé lyonnais est la compilation par l'érudit Pietro Aleandro d'inscriptions antiques de la ville en 1501. Mais le premier érudit lyonnais à travailler sur l'histoire antique de la ville est Pierre Sala. Il collectionne les antiquités découvertes dans sa maison de l'Antiquaille et en dresse l'inventaire dans un manuscrit. A sa suite un réseau d'érudits compilent, étudient et publient sur les découvertes du passé romain de Lyon. Outre Sala, Champier et Bellièvre, il y a également Guillaume du Choul, Gabriel Simeoni ou Nicolas de Nicolay[d 1].

Toutefois, ces passionnés de traces antiques ne se lancent pas dans un véritable travail historique vis-à-vis de leur ville. Le premier érudit à publier une histoire de Lyon est Guillaume Paradin en 1573[1]. Il commence par reprendre les travaux de plusieurs prédecesseurs sur les inscriptions antiques de la ville mais il y ajoute une description chronologique des évènements survenus à Lyon, s'arrêtant en 1559, avec les fêtes en l'honneur de la Paix de Cateau-Cambrésis[d 2].

Il est suivi quelques décennies plus tard par Claude de Rubys qui publie en 1604 la Véritable histoire de la ville de Lyon[d 2].

Les historiens lyonnais à l'époque moderne[modifier | modifier le code]

Ce n'est qu'à partir du milieu du XVIIe siècle que l'histoire de Lyon se développe réellement. Contrairement à de nombreuses autres villes, le consulat ne finance pas pendant longtemps d'historiens pour relater les chroniques de la vie municipale et glorifier la cité. Ce n'est qu'en 1640 que les élites se décident et demande au milieu jésuite de la ville d'entamer le travail. En 1643, le père Labbé est rétribué pour rédiger une histoire dela ville en trois tomes. Il n'achève pas l'ouvrage mais le consulat finance d'autres érudits pour reprendre la tâche, surtout des jésuites. Ainsi sont tour à tour publiées :

  • Lyon dans son lustre, en 1650 par Samuel Chapuzeau
  • Histoire des martyrs de Lyon en 1662 par Théophile Raynaud
  • Histoire de l'Église de Lyon en 1662 par Jean de Saint-Aubin
  • Histoire de la ville de Lyon en 1666 par le même[d 3].

Recherche sur l'antiquité[modifier | modifier le code]

Aux XVIIIe et XIXe siècles, l'historiographie se penche sur les aqueducs antiques, notamment Guillaume Marie Delorme et Alexandre Flachéron[2].

La question de l'emplacement de l'amphithéâtre des Trois Gaules est également souvent évoquée, pour des raisons religieuses notamment, en raison de son association aux martyrs de Lyon. De la Renaissance au XIXe siècle, plusieurs hypothèses placent l'édifice à Saint-Jean, Ainay ou à la place de l'odéon puis celle du théâtre. L'identification certaine de l'amphithéâtre avec les ruines situées rue des Tables-Claudiennes ne se fait qu'en 1958 avec la découverte de son épigraphe. Ces ruines étaient repérées dès la Renaissance et identifiées depuis 1820, mais la présence de l'euripe avaient fait croire à tort à François Artaud qu'il s'agissait d'un dispositif d’inondation destiné à organiser des naumachies[3].

L'étude du Moyen Âge lyonnais à partir du XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Historiographie de la Renaissance[modifier | modifier le code]

L'histoire de Lyon à la Renaissance commence à être bien connue, et ses multiples aspects, politiques, économiques, sociaux, religieux ou culturels ont chacun été étudiés. Il reste encore toutefois de nombreux chantiers en suspens, qui attendent des historiens.

Champs de recherches potentiels[modifier | modifier le code]

Des études sur le consulat pourraient être menées à partir notamment des séries des délibérations consulaires[N 1]. Une étude de la communication dans la ville pourrait ainsi être menée à l'égal de ce qui a été fait pour le XVIIe siècle[4]. Les sources fiscales n'ont également jamais encore été exploitées dans leur ensemble, mais seulement lors d'articles sur des points ponctuels. De même, les testaments des Lyonnais n'ont été exploités que pour l'époque antérieure par Marie-Thérèse Lorcin, dont les travaux pourraient être poursuivis[5], « mais sur un plan plus structurel, c'est toute la question de l'espace sacré qui serait à reprendre »[a 1].

Sur les aspects économiques et sociaux, beaucoup a été fait, sauf en ce qui concerne les grands marchands eux-mêmes et leurs familles. Si la disparition d'une large part des archives notariées pose de lourds problèmes, d'autres traces subsistent. Le manque de monographies se ressent également dans les domaines des imprimeurs ou des artistes[a 2].

Enfin, la position frontalière de la ville n'a que peu été étudiée dans ce qu'elle implique. « La nouvelle histoire diplomatique, attentive aux mots de la négociation comme aux choses de l'intendance, apportera sans doute du nouveau sur le rôle d'une ville dont les Entrées royales ou princières ne forment que la partie la plus visible de ce dossier en jachère »[a 3].

Historiographie de l'urbanisme lyonnais à la Renaissance[modifier | modifier le code]

Le patrimoine monumental lyonnais n'a fait l'objet d'études de la part d'érudits qu'à partir du XIXe siècle. La figure importante de ce premier mouvement est Pierre Martin, avec son ouvrage de 1855 : Recherches sur l'architecture : la sculpture, la peinture, la menuiserie, la ferronnerie, etc : dans les maisons du Moyen Âge et de la Renaissance à Lyon[b 1]. Une importante base documentaire a été constituée à cette époque et se retrouve dans le fond Pointet des archives municipales[b 1],[6].

Depuis les années 1970, les travaux universitaires sur le sujet se multiplient, ainsi que les publications. Les premières d'entre elles sont publiées au sein des Documents d'archéologie en Rhône-Alpes et Auvergne, consacrés à des zones ou des thèmes[7]. Ces recherches s'inscrivent dans un contexte général de développement d'études archéologiques du bâti d'habitation. Un premier bilan est établi en 1998 par Pesez et Esquina[8]. Pour Lyon, un premier bilan est fait lors de l'exposition « Au fil du chantier »[9] de 1997[b 1].

Historiographie de la peinture à la Renaissance[modifier | modifier le code]

Natalis Rondot, érudit spécialiste de l'art lyonnais à la Renaissance.

L'étude de la peinture lyonnaise de la Renaissance a connu plusieurs périodes nettement individualisées.

La première d'entre elles concerne les textes écrits durant la Renaissance elle-même, les auteurs étant donc plus ou moins contemporains des peintres. Cette période est surtout caractérisée par le genre de l'éloge. Ce sont souvent des hommes de lettres qui rendent hommage aux peintres de leur temps. Un exemple peut être pris dans la Plainte du désiré de Jean Lemaire de Belges de 1504 qui y célèbre Jean Hey et Jean Perréal[10]. Au début du XVIe siècle, ce sont essentiellement des portraitistes qui sont célébrés ; puis la tendance évolue et lors de la seconde moitié du siècle, des peintres d'histoire reçoivent à leur tour l'honneur de textes littéraires à leur gloire. Ainsi, Bernard Salomon est célébré autant par Jean de Tournes[11] que par Antoine du Verdier[12],[c 1].

La deuxième période, qui comprend les XVIIe et XVIIIe siècles, voit une large chape d'indifférence s'étendre sur les ouvrages concernant l'art vis-à-vis de la production lyonnaise. Les seuls noms qui retiennent alors une certaine attention sont ceux de Bernard Salomon et Corneille de Lyon[c 1].

La troisième phase historiographique, située entre le milieu du XIXe et le milieu du XXe siècle, connaît un foisonnement de recherches portées surtout par des historiens locaux. Cet intérêt a été réveillé par des artistes et des collectionneurs tels Pierre Révoil, Jean-Baptiste Carrand ou Édouard Aynard[13]. Les premiers grands défricheurs d'archives lyonnaises consacrées aux artistes sont Natalis Rondot[14], Henri Baudrier, André Steyert, Louis Charvet, Alfred Cartier ou Lucien Bégule. Toutefois, ces érudits s'intéressent surtout à d'autres arts que la peinture ; les deux figures qui suscitent le plus d'intérêt dans ce domaine sont Jean Perréal[15] et Corneille de Lyon[16], considéré alors comme l'artiste emblématique de la Renaissance lyonnaise. Cette troisième phase produit les premiers répertoires, dictionnaires[17] et synthèses[18],[c 2].

« La dernière phase historiographique s'est ouverte à partir des années 1960 et se caractérise par un changement de point de vue. L'idée n'est plus de définir l'identité d'une « école lyonnaise » mais de replacer le foyer dans la dynamique des échanges artistiques »[c 3]. L'exposition au Petit Palais de 1965 Le Seizième siècle européen[19] jour un grand rôle dans cette évolution. Les chercheurs, tout en replaçant les auteurs les plus étudiés dans un contexte plus large d'influences croisées se penchent davantage sur des auteurs auparavant délaissés : Giovanni Capassini[20], Frans Stellaert[21] ou Noël de Lyon[22]. L'enluminure a été particulièrement étudiée avec les travaux de François Avril, Lynn F. Jacobs[23] et la synthèse d'Elizabeth Burin[24] ; de même que les arts graphiques avec Peter Sharratt[25] ou Vanessa Selbach[26], et notamment les graveurs sur cuivre, avec les recherches de Henri Zerner[27] et la synthèse d'Estelle Leutrat[28],[c 4].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Gérard Bruyère, « Les historiens lyonnais et leurs modèles littéraires sous la Restauration », dans Fragments pour l'histoire de Lyon, actes du colloque du bicentenaire de la société historique, archéologique et littéraire de Lyon (1807-2007), Lyon, 28 septembre 2007, Lyon, Shall, 2008, p. [21]-33.

Gérard Bruyère, « Ménestrier et l'écriture de l'histoire », dans Gérard Sabatier (dir.), Claude-François Ménestrier : les jésuites et le monde des images, actes du colloque de Grenoble et de Lyon, 27-29 octobre 2005, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2009 (Coll. La pierre et l'écrit), p. 219-239, fig. 25 et 26.

Gérard Bruyère et Michel Lenoble, « Histoire des recherches », dans Atlas topographique de Lugdunum, volume I : Lyon-Fourvière, Dijon, Société archéologique de l’Est, 2018 (Revue archéologique de l’Est ; 47e supplément), p. 23-84, fig. 11-69. hal-02000723.

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Elles sont disponibles en ligne sur le site des Archives municipales de Lyon. fondsenligne.archives-lyon.fr.

Références[modifier | modifier le code]

Ces ouvrages ont servi de supports principaux pour l'article

  • [Jacques Rossiaud 2012] Jacques Rossiaud, Lyon 1250-1550 : réalités et imaginaires d'une métropole, Seyssel, Champ Vallon, coll. « Époques », , 546 p. (ISBN 978-2-87673-597-2)
  • [Jacob, Baldassari & Turgis 2013] Vincent Jacob, David Baldassari (collaboration) et Guilhem Turgis (collaboration), Rapport final d'opération d'archéologie préventive : Lyon, 5e arrondissement, 38 rue Saint-Jean - Résidence Louise Labé, Chaponay, Ministère de la culture et de la communication ; Direction régionale des affaires culturelles ; Archeodunum,
  1. a et b Elsig 2014, p. 9.
  2. Elsig 2014, p. 11 & 12.
  3. Elsig 2014, p. 12.
  4. Elsig 2014, p. 13.
  • Paul Chopelin et Pierre-Jean Souriac, Nouvelle histoire de Lyon et de la métropole, Toulouse, Privat, coll. « Histoire des villes et des régions : histoire », , 958 p. (ISBN 978-2-7089-8378-6)
  1. a et b Chopelin et Souriac 2019, p. 859.
  2. a et b Chopelin et Souriac 2019, p. 863.
  3. Chopelin et Souriac 2019, p. 864.

Autres références[modifier | modifier le code]

  1. Visible en ligne sur Gallica.
  2. Jean Burdy, Les aqueducs romains de Lyon, Lyon, L'Araire, , 136 p. (ISBN 978-2-7297-0683-8, lire en ligne), « Les études anciennes », p. 23-27.
  3. Laurence Tranoy et Grégoire Ayala, « Les pentes de la Croix-Rousse à Lyon dans l'Antiquité. État des connaissances », Gallia, Persée, vol. 51, no 1,‎ , p. 180 (DOI 10.3406/galia.1994.2976, lire en ligne).
  4. Sur ce sujet, voir la thèse d'Anne Béroujon, Les écrits à Lyon au XVIIe siècle : espaces, échanges, identités, Presses universitaires de Grenoble, Grenoble, 2009.
  5. Voir notamment Marie-Thérèse Lorcin, Vivre et mourir en Lyonnais : à la fin du Moyen âge, Paris, CNRS, , 208 p. (ISBN 2-222-02934-1, BNF 34665370) et Marie-Thérèse Lorcin, "D'abord il dit et ordonna" : testaments et société en Lyonnais et Forez à la fin du Moyen Âge, Lyon, Presses universitaires de Lyon, 2007.
  6. M. Lavigne, Inventaire monumental, îlot 18, quartier saint-Jean de Lyon, Thèse de doctorat, 3 vol., Université Lyon II, 1973, p. 8-9.
  7. Voir : Nicolas Reveyron, Chantiers lyonnais du Moyen Âge, Saint-Jean, Saint-Nizier, Saint-Paul, Lyon, Association de liaison pour le patrimoine et l'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne, coll. « Documents d'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne / Série lyonnaise » (no 9), , 380 p. (ISBN 2-9516145-9-4, BNF 40094739),
    Catherine Arlaud, Joëlle Burnouf et Jean-Paul Bravard, Lyon Saint-Jean : les fouilles de l'îlot Tramassac, Lyon, Association de liaison pour le patrimoine et l'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne, coll. « Documents d'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne / Série lyonnaise, 4 » (no 10), , 151 p. (ISBN 2-906190-14-4, BNF 36681886),
    Françoise Villedieu, Lyon St-Jean : les fouilles de l'avenue Adolphe Max, Lyon, Association de liaison pour le patrimoine et l'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne, coll. « Documents d'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne / Série lyonnaise, 2 » (no 3), , 239 p. (ISBN 2-906190-07-1, BNF 36640004),
    Christine Becker, Isabelle Parron-Kontis et Sophie Savay-Guerraz, Le Musée Gadagne : archéologie et histoire au cœur d'un projet patrimonial à Lyon, Lyon, Association de liaison pour le patrimoine et l'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne, coll. « Documents d'archéologie en Rhône-Alpes et en Auvergne / Série lyonnaise, 10 » (no 29), , 238 p. (ISBN 2-916125-00-0, BNF 40959721).
  8. Yves Esquieu et Jean Pesez, Cent maisons médiévales en France, du XIIe au milieu du XVIe siècle : un corpus et une esquisse, Paris, CNRS, coll. « Monographie du CRA » (no 20), , 450 p. (ISBN 2-271-05605-5, BNF 37070591).
  9. Au fil du chantier - Archéologie de la construction au Moyen Âge, Catalogue de l'exposition, Lyon, Bibliothèque municipale de Lyon, 1997.
  10. A. Pinchard, Les œuvres poétiques de J. Lemaire, écrivain du XVIe siècle, considérées du point de vue de l'histoire artistique, Bruxelles, 1866, p. 30.
  11. Hymnes du temps et de ses parties, Lyon, 1560, p. 3.
  12. Bibliothèque française, Lyon, 1585, p. 119.
  13. J.-F. Garnier, « Le goût du Moyen Âge chez les collectionneurs lyonnais du XIXe siècle », Revue de l'Art, 47, 1980, p. 53-64 ; F.-R. Martin et S. Ramond, « Le goût pour les primitifs à Lyon au XIXe et au début du XXe siècle », dans Le temps dela peinture. Lyon. 1800-1914, catalogue d'exposition, éd. S. Ramond, Lyon, 2007, p. 110-123.
  14. avec, notamment N. Rondot, Jacques Gauvain, orfèvre, graveur et médailleur à Lyon, au XVIe siècle, Lyon, 1887.
  15. Ch.-J. Dufraÿ Observations sur la correspondance de Jean Perréal, ou de Paris, avec Marguerite d'Autriche concernant l'église de Brou, Bourg-en-Bresse, 1853.
  16. H. Bouchot, Les Clouet et Corneille de Lyon, Paris, 1892
  17. Tel le Dictionnaire des artistes et ouvriers d'art du Lyonnais, de Marius Audin et Eugène Vial.
  18. Tels Ernest Pariset, Les Beaux-arts à Lyon, 1873 ; Alphonse Germain, Les artistes lyonnais, des origines à nos jours, 1910 ; L'art lyonnais, exposition, 1925 ; La peinture lyonnaise du XVIe au XXe siècle, exposition, 1948-1949.
  19. Le Seizième siècle européen, catalogue d'exposition, éd. M. Laclotte, Paris, 1965. Voir le chapitre Peindre en France à la Renaissance. I. Les courants stylistiques..., p. 15.
  20. D. Thiébaut, « Un artiste florentin au service du cardinal de Tournon : Giovanni Capassini », dans Kunst des Cinquecento in der Toskana, éd. M.Cämmerer, Munich, 1992, p. 176-185 ; S. Béguin, « Jean Capassini au service du carnial de Tournon », Antichità viva, 33, 1994, 3-4, p. 8-26.
  21. Henri Hours, « François StellaI. Une œuvre retrouvée, L'assomption, d'Oberdorf et essai de catalogue critique », Bulletin de la Société d'histoire de lart françois, 1974, 1975, p. 7-16 ; J. J. L. Whiteley, « Architectural views by Étienne Martellange and François Stella », Master Dramings, 33, 1995, 4, p. 367-387.
  22. G. Chomer, « Noël de Lyon », Travaux de l'Institut d'histoire de l'art de Lyon, 16 (aspects du XVIe siècle à Lyon), 1993, p. 163-170.
  23. L. F. Jacobs, « The Master of Getty ms. 10 and fifteenth-Century manuscript illumination in Lyons », The J. Paul Getty Museum Journal, 21, 1993, p. 55-83.
  24. E. Burin, Manuscript illumination in Lyons, 1473-1530, Turnhout, 2001.
  25. P. Sharratt, Bernard Salomon illustrateur lyonnais, Genève, 2005
  26. V. Selbach, « Artisan ou artiste ? La carrière de Pierre Eskrich, brodeur, peintre et graveur, dans les milieux humanistes de Lyon et de Genève (ca 1550-1580) », Chrétiens et Sociétés, 1 (numéro Le calvinisme et les arts), 2011, p. 37-55.
  27. H. Zerner, « Graveurs lyonnais du XVIe siècle », L'Œil, 150, 1967, p. 12-19.
  28. E. Leutrat, Les débuts de la gravure sur cuivre en France ; Lyon 1520-1565, Genève, 2007.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]