Discussion utilisateur:Jvelo

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Si tu as d'autres questions, tu peux voir cette page ou bien me contacter.  

©éréales Kille® | Speak to me* | en ce 24 février 2007 à 23:14 (CET)[répondre]

Nouvelle identité[modifier le code]

Voilà ! C'est fait. Tu es désormais connu sous le nom de Jvelo. Ton mot de passe reste inchangé. Si tu as personnalisé ta signature, n'oublie pas de la mettre à jour dans tes préférences. Normalement, toutes tes pages et sous-pages auront été renommées.©éréales Kille® | Speak to me* | en ce 24 février 2007 à 23:14 (CET)[répondre]

Ta demande de renommage[modifier le code]

Bonsoir Jvelo.

J'ai déplacé la demande de renommage que tu as fait, car Wikipédia:Demande de renommage sert uniquement à demander aux administrateurs un renommage qu'un « simple » contributeur ne peut pas faire, ce qui n'est pas le cas de Bataille de Marseille : tu peux le renommer toi-même en cliquant sur l'onglet Renommer en haut de l'article. Ta proposition me semblait plutôt être une demande d'avis, je l'ai donc déplacée sur le bistro (Wikipédia:Le Bistro/12 décembre 2007) qui est le lieu pour ça.

Regarde bien la suite de la conversation, si à la fin de la journée personne ne s'oppose tu pourras le renommer sans problème.

Cordialement. Wanderer999 [Me parler] 12 décembre 2007 à 01:16 (CET)[répondre]

Ordnungspolizei[modifier le code]

Merci pour cette excellente contribution. Pour Landemer, ne serait-il pas utile de préciser qu'il s'agit d'un des pseudos de Jean Mabire ? Cordialement. Couthon (d) 11 janvier 2008 à 19:53 (CET)[répondre]

Ne serais-tu pas intéressé pour travailler sur le projet nazisme? Couthon (d) 11 janvier 2008 à 19:57 (CET)[répondre]


Jim House et Niel MacMaster disqualifiés[modifier le code]

L'article de Wikipedia consacré à Maurice Papon à la date du 12 avril 2010 s'appuie de façon inconsidérée sur le livre de Jim House et Niel MacMaster : PARIS 1961. L'utilisation d'un livre aussi disqualifié, ne peut qu'entraîner la disqualification de l'article et celle de Wikipédia dans le domaine de l'histoire récente.

Analysons les pages de ce livre auxquelles les notes renvoient. Nous désignons les auteurs par H et M

Note 12 : page 59 :

H et M écrivent sur les évènements de Sétif et Guelma : En riposte à une insurrection paysanne durant laquelle 103 européens furent tués, le régime colonial prit sa revanche et réaffirma son autorité par une violence massive et disproportionnée : sur une période de plusieurs mois, la police, les force armées et les groupes civils d'autodéfense assassinèrent entre 15000 et 45000 Algériens dans le Nord Constantinois.

Correction :

L'insurrection ne fut pas d'origine paysanne mais urbaine, allant en s'étendant à partir des deux villes de Sétif et Guelma, et fut moins importante à Guelma. La répression fut effectivement terrible mais les chiffres souvent cités ne sont jamais étayés. Autour de Sétif, ce fut une véritable reconquête, avec utilisation d'artillerie, de l'aviation et même de la Marine. A Guelma, où il n'y avait eu que 12 Européens tués, le sous préfet Achiary organisa une répression criminelle, avec une milice et un tribunal expéditif qui fit exécuter au moins 612 Algériens identifiés, et sans doute plus de 1000 au total. A l'époque, l'armée prétendit qu'il y avait eu environ 1500 morts au total, mais les études faites ensuite par l'administration ont porté le chiffre à 3000 morts. Une description des évènements par Claude Paillat dans son livre Le guépier, Robert Laffont 1969, pages 22 à 54.est, déjà plus précise. Claude Paillat était un journaliste qui écrivit d'abord des livres de journalistes, c'est-à-dire sans aucune références à des archives et reprenant la vulgate de l'époque. Il a ensuite étudié plus sérieusement les évènements pour produire ce livre 7 ans plus tard. Après ces évènements le gouvernement nomma une commission d'enquête dirigée par le général de gendarmerie Paul Tubert, maire d'Alger, commission qui fut dissoute avant la remise d'un rapport complet. Les archives personnelles du général Tubert sont à la BDIC de la faculté de Nanterre. On y trouve le rapport partiel du général Tubert qui porte surtout sur les évènements qui ont précédé la révolte, et qui est surtout une concaténation des rapports des sous-préfets, de commissaires de police et du préfet de Constantine de l'époque. On comprend que l'administration était très sous développée et que les évènements étaient prévisibles. Mais il y a aussi le document IV-48, qui est une évaluation des préjudices subit : il indique par arrondissement et par commune le nombre de dossiers d'indemnisation. (102 rapports pour des européens et 3000 pour des musulmans). En ce qui concerne Guelma, la thèse de doctorat de Jean-Pierre Peyroulou, a été reprise pour être publiée en 2009 par les éditions La découverte, sous le titre de Guelma 1945. Elle fournit de nombreuses informations tirées des archives de CAOM d'Aix-en-Provence.

Plus loin H et M écrivent :

Les évènements de Sétif qui commencèrent par une manifestation pacifique d'Algériens montrent sans ambiguïté que les autorités coloniales entendaient répondre par une violence extrême à toute contestation politique organisée. Excusez du peu, mais 102 morts, ce n'était pas si pacifique. Si, à Guelma, cela commençât par une bagarre qui dégénéra, il y eut à Sétif une véritable insurrection armée.

Note 13 : pages 60 – 61

Ce qui est écrit dans l'article sur Maurice Papon n'est pas vraiment faux. Il faut préciser que René Mayer avait créé le "Parti radical et radical socialiste" avec Félix Gaillard et Maurice Bourgès Maunoury, qui avaient environ l'âge qu'aurait eu son fils si celui-ci n'avait pas été tué au combat lors de la Libération. Maurice Bourgès Maunoury connaissait très bien Maurice Papon qui avait été son directeur de cabinet à la Libération, lorsqu'il était Commissaire régional de la République à Bordeaux. Mais se référer aux pages 60 - 61 du livre de H et M est une aberration. En effet ils y affirment :

Dans les rares cas ou les familles algériennes eurent le courage et les moyens de porter plainte pour assassinat ou disparition d'un ou plusieurs de leurs proches, les dossiers furent bloqués avant d'être classés sans suite, comme ils le seraient à Paris en 1961.

Faux : Le document IV-48 déjà cité, présent dans les papiers personnels de Paul Tubert disponibles à la BIDC, prouve que prés de trois mille dossiers de demande de dédommagement furent dressés pour des Musulmans. Peyroulou présente des cas où, effectivement, des plaignants ont été indemnisés pour qu'ils retirent leur plainte.

A Paris en 1961, chaque décès violent fit l'objet de l'ouverture d'une instruction judiciaire, et l'amnistie décrétée en 1962, à la fin de guerre d'Algérie, fut plus au bénéfice des tueurs du FLN qui étaient très nombreux dans les prisons françaises, qu'à celui les policiers.

Les évènements de Sétif de 1945, auxquels Papon fut étroitement associé, fournirent au futur Préfet de police non seulement un modèle de répression coloniale, mais aussi que la censure, le déni officiel et le secret judiciaire permettaient aux forces de sécurité de se livrer à des assassinats à grande échelle .

Faux : Lors de ces évènements, Papon était à Bordeaux. Ces évènements ne furent pas couverts par les journalistes pour la simple raison que le public ne s'intéressait alors qu'à ce qui se passait en Europe. Seul Albert Camus émit des protestations publiées dans Combat. Ensuite, par esprit partisan, des journaux ont repris les affirmations du consul des USA en Algérie et le secret n'a fait qu'exacerber les rumeurs qui furent de la désinformation. Jean-Pierre Peyroulou, étudiant les suites de la répression à Guelma explique que le ministre de l'Intérieur, Adrien Tixier, fut scandalisé par la répression à Guelma et qu'il fit en sorte qu'Achiary ne puisse plus exercer sont islamophobie meurtrière en le faisant muter dans des services centraux à Alger puis dans le département de la Manche.

Maurice Papon qui avait quitté Bordeaux pour se faire soigner, une fois rétabli, fut muté à la sous direction de l'Algérie, dans la Direction des affaires générales du ministère de l'Intérieur qui était sous la direction de Haas-Picard. Maurice Papon eut à renseigner Adrien Tixier sur la rigueur outrancière des tribunaux militaires en Algérie (composés d'officiers colonialistes), à préparer une large amnistie pour les Algériens condamnés à mort, parfois pour la simple raison qu'ils avaient leur carte du parti MTLD qui était alors un parti légal, et à atténuer les conséquences des nombreuses disparitions dans la région de Guelma. Son travail le plus important fut de préparer la loi d'amnistie. Sur 143 condamnés à mort, 20 furent exécutés, les autres bénéficièrent de la loi d'amnistie du 9 mars 1946.

… il fut promu préfet de Constantine, grâce à l'influence de son protecteur René Mayer, député-maire de la ville.

Faux : René Mayer fut député du département, puis Président du Conseil général, mais jamais maire de la ville de Constantine. Il est possible que René Mayer eût une influence, mais Papon fut nommé par Jules Moch, ministre de l'Intérieur, alors que Marcel-Edmond Naegelen était Gouverneur général en Algérie. C'est par la suite que René Mayer a eu une influence reconnue sur la carrière de Papon, en particulier pour sa nomination au Maroc.

Les puissants notables coloniaux, parmi lesquels Mayer, Borgeaud et Gazagne, contrôlaient étroitement la nomination des officiers de renseignement et de police en Algérie.

René Mayer n'était pas du tout un colonialiste. Issu de la haute bourgeoisie parisienne, il était apparenté aux banquiers Rothschild. Investi par le parti Radical à Constantine qu'il ne connaissait pas du tout, il a d'abord défendu ses électeurs, mais sa correspondance avec ses amis de Constantine prouve qu'il a réprouvé les actions de la droite extrémiste. Au départ de Papon de Constantine, ses amis lui ont écrit que Maurice Papon avait contribué à l'apaisement des conflits entre communautés. (CARAN 362AP32, dossier 4). Dès 1954, il a compris que l'avenir de la France était en Europe et non en Algérie, et il brigua le poste de président de la C.E.C.A., où Maurice Papon aurait aimé le rejoindre.

Note 16 : page 64-73 de H et M.

H et M expliquent que Maurice Papon a été nommé Secrétaire général du protectorat du Maroc par René Mayer et Martinaud-Déplat.

Faux : Papon a été nommé par un décret daté du 2 juillet 1954, signé Pierre Mendès-France PMF. Rappelons que René Mayer soutint Pierre Mendès-France sur sa politique en Tunisie (vote du 10 août 1954), politique totalement opposée à celle de Martinaud-Déplat que l'historien Jean Lacouture (son Pierre Mendès-France, page 281) qualifiait d'ennemi personnel de Pierre Mendès-France. Rappelons également que Francis Lacoste avait été nommé Résident général au Maroc par Georges Bidault, ministre des Affaires étrangères du gouvernement Laniel. Il n'est nul besoin d'être historien pour se souvenir que PMF et Georges Bidault étaient en totale opposition sur le sujet de la décolonisation. H et M pose la nomination de Maurice Papon comme étant en continuité de la politique du généraux Juin et Guillaume, alors que ce fut l'inverse.

La divergence entre René Mayer et Pierre Mendès-France ne porta pas du tout sur la politique en A.F.N. mais sur la CED. René Mayer pensait que Mendès-France avait provoqué le refus de ratification du traité sur la CED, le traité de Paris, en refusant de mettre son gouvernement dans la balance, ce qui permit aux opposants de faire voter une motion préalable le 30 août 1954. René Mayer vota la chute du gouvernement PMF.

Page 67 en bas :

Le 18 août, il (Papon) publiait un décret (dahir) donnant aux forces de l'ordre l'autorisation de tirer à vue et organisait une vaste opération contre la médina de Port Lyautey.

Faux : Les forces de l'ordre était sous l'autorité d'un Directeur de l'Intérieur et Papon n'avait pas l'autorisation de signer un quelconque décret. H et M se basent sur le livre de Guy Delanoë : La résistance marocaine et le mouvement "Conscience française" qui est particulièrement orienté contre Papon, alors que la seule preuve de ce qu'il avance est une note en bas de la page 153 de son livre, où il explique que Maurice Papon était, en 1988, poursuivi pour crime contre l'humanité. On voit bien l'amalgame. Delanoë croyait que Maurice Papon avait été nommé en même temps que Francis Lacoste et qu'il avait des pouvoirs de police.

En fait, Papon fut l'avant-garde des fonctionnaires qui furent rapidement envoyés par PMF au Maroc pour remplacer ceux qui avait adhéré au mouvement "Présence française", qui fut, au Maroc, ce que fut la "main rouge" en Tunisie et, plus tard, l'OAS en Algérie. Maurice Papon a toujours rejeté cet état d'esprit.

Son arrivée fut ainsi suivie de nombreux rappels en France : Marcel Valat, Directeur de l'Intérieur, est remplacé fin juin ; Duteil, Directeur de la Sûreté, en juillet ; le préfet Boniface, homme lige de "Présence française", en septembre (voir l'Histoire du Maroc de Michel Abitbol).

Il est probable que le livre de Guy Delanoë ait induit H et M en erreur, mais de vrais historiens auraient effectué des vérifications. Il est navrant que cette erreur soit reprise dans Wikipedia.

Maurice Papon fut l'ami de l'aviateur Pierre Clostermann qui, député de la Marne en 1953, habitait à Casablanca où il avait créé une entreprise, et où il avait pris la défense des Marocains. Il assura la liaison entre le Président Vincent Auriol et le sultan Mohammed ben Youssef, futur roi Mohammed V, et son rôle de premier plan dans la fin pacifique du Protectorat est présenté par le même Delanoë dans le tome 1 de sa série Lyautey, Juin, Mohamed V : Fin d'un Protectorat. Pierre Clostermann fit l'objet de 4 attentats, dont l'un faillit anéantir sa famille. Dans la conclusion de son "Histoire vécue", Pierre Clostermann explique qu'il n'a pas du tout adhéré à la logorrhée de la "grande repentance" et ne croyait pas à la culpabilité de Maurice Papon.

Page 73, au milieu, H et M écrivent :

Son remplaçant, Gilbert Grandval, déterminé à purger l'administration et la police marocaines, insista pour que Papon fût immédiatement démis de ses fonctions. La note 57 renvoie au fonds René Mayer disponible au Caran : 363 AP 32 dossier 4.

Mensonge : Dans ce dossier il n'y a rien qui indique que Gilbert Grandval avait une quelconque prévention contre Papon qu'il ne connaissait pas, et il a simplement voulu garder comme Secrétaire général, Robert, qu'il avait déjà lorsqu'il était gouverneur de la Sarre avant le référendum qui rattacha la Sarre à la République fédérale. Grandval voulut une nouvelle équipe, alors que seul Francis Lacoste restait à remplacer, car il avait évolué comme Robert Lacoste en Algérie.

Le président du Conseil, Edgar Faure, et le ministre de Affaires marocaines et tunisiennes, Pierre July, furent navrés de la décision de Grandval, décision qui fût en partie cause de l'échec de sa mission, car il ne connaissait pas le Maroc. Grandval a admis dans ses mémoires " Mission au Maroc", dans lesquelles il ne mentionne jamais Papon, qu'il n'avait pas su constituer l'équipe qu'il aurait fallu, en particulier, en prenant comme directeur de l'Intérieur le général Leblanc, qui partageait les idées des généraux Koenig, Juin et Guillaume et de ….Martinaud-Déplat.

Note 17 et 18 : pages 73 – 87

Page 74, H et M analyse d'une façon orientée une note de Maurice Papon "Perspectives géopolitiques, destin de l'Europe" qui est reproduite intégralement dans le site favorable à Maurice Papon.

Ils soutiennent que cette note est le syndrome d'un esprit colonialisme aigu, alors qu'il apparaît à un lecteur normal que Maurice Papon pensait que le colonialisme était déjà dépassé. H et M soutiennent que Maurice Papon désirait l'unité de l'Europe pour s'opposer à la décolonisation, alors qu'il préconisait la construction d'une Europe unifiée, simplement pour qu'elle continue à exister, coincée entre les deux grandes puissances, les U.S.A et l'U.R.S.S.. Maurice Papon, s'est trompé : les deux grandes puissances sont maintenant les USA et la Chine, mais sur le fond Maurice Papon avait raison. Il suffit de réfléchir au déroulement de la conférence de Copenhague sur le réchauffement terrestre : non unifiée, l'Europe ne pèse rien ; tout se décide maintenant entre les USA et la Chine.

Page 75, H et M analyse la note de Maurice Papon sur le problème tunisien. Cette note est intégralement reproduite sur le site favorable à Maurice Papon : la note

Ils y voient la volonté de berner les Tunisiens en utilisant leur sensibilité aux contacts humains. Rappelons que cette note a été écrite alors que la classe politique ne savait pas qu'elle attitude adopter vis-à-vis de la Tunisie après l'assassinat de Ferhat Hached, secrétaire des Syndicats confédérés tunisiens, par un groupe de fanatiques français regroupés dans une organisation criminelle "la Main rouge", le 5 décembre 1952. On savait qu'il y avait des policiers français dans cette organisation. (Cf la lettre de Vincent Auriol au Président du conseil présentée dans "Mon septennat 1947 – 1954"). Maurice Papon pensait simplement qu'il fallait tendre une main amicale aux tunisiens pour montrer la plus profonde réprobation de cet assassinat. C'est cette note, demandée par René Mayer, qui valut peut-être à Maurice Papon d'être nommé au Maroc.

Ils écrivent ensuite :

Papon était aussi influencé par le travail de James Burnham, l'un des théoriciens de droite les plus extrémistes de la guerre froide.

Idiot : Papon n'a jamais lu James Burnham. Avant la guerre Maurice Papon écrivait dans les journaux du parti Radical. Pendant la "drôle de guerre" il était en Syrie, et s'est intéressé à l'Islam. Le philosophe qui l'inspirait était Gaston Berger, créateur de la Prospective, auquel il a dédié son premier ouvrage.--Jvelo (d) 18 mai 2010 à 17:24 (CEST)[répondre]