Discussion:Michel-Georges Micberth

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Pourriez-vous sourcer l'information selon laquelle (depuis la Libération, il sera, en France, l'un des rares journalistes incarcérés pour leurs convictions politiques) ? Not afraid 5 mars 2007 à 10:37 (CET)[répondre]


Sous le titre « Un précédent », Le Monde du samedi 21 janvier 1984 nous dit : « Il existe au moins un précédent à l’affaire Durieux, l’incarcération d’un autre journaliste M. Eric Asudam alias Michel-Georges Micberth par M. Alain le Gaignec, juge d’Instruction à Paris (Le Monde du 29 juin 1976) (…)

La Nouvelle Droite française dont M. Asudam est directeur du bureau politique rappelle qu’il mit cinq ans « pour établir sa totale bonne foi et obtenir une relaxe ». --Corriol 17 mars 2007 à 17:22 (CET)--83.153.53.1 17 mars 2007 à 17:14 (CET)[répondre]

Michel-Georges Micberth a été relaxé par la treizième chambre d'appel de Paris. Le Monde du 7-8 octobre 1979.

Changement de phrase[modifier le code]

Pour aller dans le sens de Not afraid, on peut modifier la phrase de cette façon, avec réf. en note :

(depuis la Libération, il sera, en France, l'un des rares journalistes incarcérés dans le cadre d'une « affaire politique »[2]).

Précisions manquantes[modifier le code]

Y a-t-il quelqu'un qui peut expliquer pourquoi Micberth a été qualifié d'homme d'extrême droite ? Et pourriez-vous donner plus de précisions sur les ennuis que Micberth a eu avec la justice (notamment l'affaire des chèques Pompidou) ? Ramblas

Micberth a commencé sa vie publique, très jeune. Il y aura bientôt cinquante ans, le directeur Pierre Boujut de « La Tour de Feu », revue philosophico-poétique, qui publiait Adrian Miatlev, a écrit , à propos du jeune poète,: « Le fascisme en poésie, n’a pas meilleure gueule qu’ailleurs ». Cette apostrophe ne rimait à rien mais voilà comment naît une sulfureuse légende. Oui, Micberth est de droite tout en étant libertaire dans ses révoltes contre la société, tous ses écrits en témoignent, il est l’auteur de Chier dans la gueule de Dieu et se torcher le cul avec « Présent » (le quotidien de l’extrême droite française). On pouvait lire en 1984, sous sa plume, dans un article surtitré Colère :« Je n’aime pas l’extrême droite» et « Je crois que la démocratie, en raison de son système indirect, n'a jamais été qu'une utopie fort dangereuse. En refusant de se donner les moyens d'être vraiment démocratique, elle nous oblige à un perpétuel balancement entre les extrêmes de gauche et de droite, pareillement détestables. En omettant de prendre en compte les épiphénomènes les plus cruels de son histoire, en utilisant négativement ses forces politiques comme tristes exutoires occasionnels, elle perpétue la barbarie et freine l'évolution intelligente des hommes. En s’embourbant dans un extrême centre (on me passera la plaisanterie) elle désespère ses citoyens et les livre en pâture à toutes les aventures rutilantes mais pernicieuses du destin ». La lettre, Res Universalis éditeur, 1984.

À propos de l’affaire[modifier le code]

L’affaire des chèques Pompidou a été le fait divers majeur d’août 1974. Des centaines d’articles de presse consacrés à l’affaire ont remplacé les « marronniers » estivaux. Le ministre de l’intérieur Michel Poniatowski a modifié son emploi du temps et fait une déclaration hâtive à la presse et sur la première chaîne de télévision. Il n’est pas possible de raconter ici une histoire qui mériterait un grand débat contradictoire (qui pourrait aujourd’hui s’y intéresser ?) et a mis en scène les chéquiers de l’ancien président de la République (Georges Pompidou), un grand hebdomadaire de droite(Minute) et l’un de ses chroniqueurs, directeur du bureau politique de la Nouvelle Droite française (Eric Asudam/Micberth), le futur président du conseil constitutionnel (Robert Badinter), des délinquants, des drogués, des gauchistes, etc. Micberth en avait tiré un livre, probablement introuvable de nos jours. Il écrivit dans un avertissement : « J’ai dicté ce rapport, du 13 au 23 janvier 1975, à ma secrétaire, Annick Becquet. Cent quarante heures d’un travail harassant où les certitudes se confondent aux fantasmes, où la passion immobilise la mémoire, où le détail s’échappe comme ces formes lumineuses qui se fixent un instant devant nos yeux et fuient à la seconde où nous concentrons notre regard sur elles. Dicter et écrire sont deux fonctions bien distinctes. Mon souci n’a pas été d’offrir au lecteur une oeuvre littéraire, mais le témoignage d’un homme loyal qui se bat pour ses idées, le cri du .combattant qu’on a voulu assassiner un soir de 15 août dans ce sale pays, la France giscardienne, qui ment, qui vole et qui tue ».''

Ce texte n’était pas tendre avec les autorités et pour mieux expliquer son combat, Micberth avait mis en exergue de son plaidoyer une citation de G. Bianquis extraite de l’ouvrage Nietzsche, Par delà le bien et le mal : « Nietzsche rêve de ces gentilshommes nouveaux, moitié penseurs, moitié hommes d’action, qui ne seront pas populaires, qui ne pourront que faire horreur par leur dureté, leur orgueil et leur morgue, dans un monde orienté tout autrement, mais qui mèneront leur groupe humain vers la grandeur. Ils auront à faire de rudes besognes d’épuration et d’émondage descendant dans les marécages de la pensée basse et vulgaire de la dégénérescence physique et mentale, Ils risqueront parfois de périr de dégoût et de pitié si leur coeur trop tendre est encore capable de ce sentiment. » Ce que dicte la concience, NDF edit., 1975. --Corriol 11 juillet 2007 à 18:53 (CEST)[répondre]

Et encore[modifier le code]

Ce que disait François Richard dans Éléments, n° 72, hiver 1991, p.32 :

Un anarchiste de droite digne de ce nom ne se contente pas d’émettre des borborygmes satiriques à la radio ou la télévision, d’écrire un article ou un livre incendiaire : il vit ses principes. Il n’est pas le bouffon du pouvoir, le provocateur maison, le sémillant putasson : il subit les tracasseries des pouvoirs publics, il est traîné en justice, jeté en prison, traqué dans sa vie privée, diffamé, occulté, paupérisé. Le seul homme de cette trempe, à ma connaissance, qui défende depuis près de 30 ans les mêmes principes, c’est Michel-Georges Micberth…

Bibliographie[modifier le code]

J'ai laissé un message sur la page de discussion de Corriol pour motiver ma modification. Merci de à lui de participer à la discussion avant d'annuler sans se justifier.

Réponse

Besoin de plusieurs semaines pour vérifier chaque référence. --Corriol (d) 1 février 2009 à 17:57 (CET)[répondre]

Observations ou citations critiques sur l'auteur et son œuvre[modifier le code]

  • La Poésie en France, Jean-Paul Gourévitch, Éditions ouvrières, 1966.
  • La Guerre de succession - Les élections présidentielles de 1969, Roger-Gérard Schwartzenberg, Presses universitaires de France, 1969.
  • Anthologie du pamphlet de la Libération à nos jours, Le Crapouillot n° 26, 1973.
  • La France marginale, Irène Andrieu, Éditions Albin Michel, 1975.
  • L’Extrême droite en France, Bernard Brigouleix, Éditions Intervalle/Fayolle, 1977.
  • Dictionnaire des 10 000 dirigeants politiques français, P.-M. Dioudonnat et S. Bragadir, Sedopolis, 1977.
  • Les Injures politiques, Le Crapouillot n°45, 1977.
  • Dictionnaire des écrivains d'aujourd'hui dans les pays de l’Ouest, Jacques Gohier, Le Cercle d'or, 1980.
  • Quid des présidents de la République, Dominique Frémy, Éditions Robert Laffont, 1981.
  • La Guerre civile - Essai sur les stalinismes de droite et de gauche, Jean-François Kahn, Éditions du Seuil, 1982.
  • Contemporary French Political Parties, David Scott, Croom Helm, 1982.
  • Dictionnaire de la politique française, Henry Coston, 1982.
  • Le Grand Méchant Dictionnaire, mille mauvais esprits célèbres, Jérôme Duhamel, Éditions Seghers, 1985.
  • Essai de situation des pamphlets de L.-F. Céline, Éric Séébold, Éditions du lérot, 1985.
  • Les Hommes de l’Extrême droite, Alain Rollat, Éditions Calmann-Lévy, 1985.
  • Bibliographie des écrits de L.-F. Céline, 1918-1984, Jean-Pierre Dauphin,Pascal Fouché, Paris, 1985.
  • La Lettre, Jacques d'Arribehaude, Bulletin célinien, 1988.
  • Le petit Montmartre tourangeau. Tours, le quartier Paul-Bert et ses mémoires, Gérard Lecha, L'Harmattan, 1988.
  • Nabe's Dream, Journal intime, I&II, Marc-Édouard Nabe, Éditions du Rocher, J.P. Bertrand éditeur, 1991.
  • Les rebelles sont parmi nous : Micberth et Debord, Bertrand de Saint-Vincent, Le Quotidien, juillet 1991, n° 3614.
  • Extrême Droite, Christophe Bourseiller, Éditions François Bourin, 1991.(réédition augmentée en 2002 aux Éditions du Rocher).
  • Le Grand Méchant Bêtisier, Jérôme Duhamel, Éditions Albin Michel, 1991.
  • Les Droites nationales et radicales en France, J.-Y. Camus et R. Monzat, Presses universitaires de Lyon, 1992
  • Les nouvelles passerelles de l'extrême droite, Thierry Maricourt, éditions Syllepse, 1997, pp.85-86.
  • Filosofia y extramuros, Freddy Téllez, Universidad Eafit, 1999.
  • Michel Déon, écrivain engagé ou désengagé, Thierry Laurent, Editions des Ecrivains, 1999, pp.124-125, 129.
  • H. L. Mencken : anarchiste de droite ?, Anne Ollivier-Mellos, Études anglaises, Klincksieck, 2003, pp.447-457.
  • Rivarol (article ADG), Marc Laudelout, Éditions Déterna, 2004.
  • La traversée des thèses, Didier Alexandre, Michel Conot, Jean-Yves Guérin, Michel Murat, Presses Sorbonne Nouvelle, 2004, pp.47-118.
  • Le Figaro-Magazine entre droite et Nouvelle droite (1978-1979), François Quinton, Mémoire de DEA, Institut d'études politiques de Rennes, 2005.
  • Le Romantisme aujourd'hui, textes réunis par Daniel Leuwers, Samuel Tastet éditeur, Paris 2005. Le mouvement autobusiaque, pp 165-169.

Une erreur et réponse à Sins We Can't Absolve[modifier le code]

Bonjour,

Micberth est en fait de droite tout en étant libertaire dans ses révoltes contre la société, tous ses écrits en témoignent, il est l’auteur de Ch… dans la gueule de Dieu et se torcher le cul avec « Présent » (quotidien d'extrême-droite auquel il collabora néanmoins trois mois).

Or, Michel-Georges Micberth n'a jamais travaillé au journal « Présent ». Et pour cause.

Cela dit : Extrême droite ne prend pas de trait d'union.

« L'emphase micberthien », emphase est féminin ; vous auriez dû écrire : emphase micberthienne. De plus, le patronyme étant adjectivé depuis une quarantaine d'années, les guillemets ne s'imposent pas. Merci néanmoins de votre précieuse aide. --Corriol (d) 6 mars 2009 à 10:51 (CET)[répondre]

Voici le texte incriminé de F. Richard :[modifier le code]

Micberth pense qu'il n'y a aucun sujet d'étude tabou et que la recherche de la vérité, effectuée grâce à une méthodologie scientifique, est toujours salutaire. Aussi pense-t-il, après avoir pris connaissance du travail des historiens révisionnistes - et en particulier de celui de Robert Faurisson - que celui-ci mérite toute notre attention et qu'il doit faire l'objet de débats publics, car il lui apparaît précis, rigoureux, et essentiellement lié à des faits concrets, face aux attitudes passionnelles - voire hystériques - de certains intellectuels et responsables politiques ou culturels juifs, qui font régner un véritable terrorisme idéologique (anti-historique) dans la presse, dans les milieux de l'édition et sur les médias. Et M.-G. M. lui-même a stigmatisé le consensus, triomphant et moralisateur, des démocrates français, lors du procès intenté à Klaus Barbie, car il jugeait cette unanimité suspecte, irréfléchie et peu conforme à l'esprit de justice (rétroactivité des « crimes contre l'humanité »), fruit d'un conditionnement auquel nous sommes soumis depuis plus de quarante ans et dont le terrorisme idéologique en question n'était pas absent.

Le site Micberth n'est pas un site officiel. Il a été rédigé par un groupe d'admirateurs de l'écrivain et à partir du texte de François Richard : Petite encyclopédie micberthienne. Ceux qui ont consulté ce travail, ont constaté que la biographie de Micberth s'arrête au début des années 90. On peut se demander pourquoi manque-t-il une vingtaine d'années remplacées en quelques lignes par un texte laconique de la présidente de l'ancienne ACFM (fondée en 1967 par Daniel Decrauze) devenue « Association des amis de Micberth » ?

Ce qui est authentique est la phrase suivante : «  Micberth pense qu'il n'y a aucun sujet d'étude tabou et que la recherche de la vérité, effectuée grâce à une méthodologie scientifique, est toujours salutaire ».

L'éditeur durant presque cinquante ans a édité plus de 5 000 auteurs et pas un seul révisionniste et encore moins négationiste. S'il avait eu cette conviction aurait-il pu résister ? Selon l'AAM (Annick Morel, présidente), Micberth a bénéficié de 15 à 16 000 articles de presse. Pas un seul relève ce que lui reproche ce rédacteur inopportun.

L'assertion de François Richard est de sa seule responsabilité et n'engage en rien Micberth ou son oeuvre.

Au début des années 80, Micberth met en scène un déporté qui se livre à une charge violente et définitive contre Robert Faurisson. Le déporté est joué par Gilles Cormery d'origine juive et qui a signé une partie du texte avec le réalisateur. (NEV magazine video).

En 1970, l'hebdomadaire « Minute » n'était pas un journal d'extrême droite[modifier le code]

Un peu d'histoire : Jean-François Devay : d'abord connu comme proche des communistes, il s'oriente très tôt vers la carrière de journaliste professionnel. (...) En janvier 1962, financé par des amis artistes, industriels et financiers (dont Marcel Dassault, Alain Griotteray, Eddie Barclay, Juliette Greco, Françoise Sagan et Fernand Raynaud), Il fonde l'hebdomadaire Minute, plus tard fortement dirigé contre la politique du président de la République Charles de Gaulle, en réaction au drame de la fin de la Guerre d'Algérie, tout en soutenant les partis du centre (Jean Lecanuet et Valéry Giscard d'Estaing). Il meurt d'un cancer du poumon en 1971, à l'âge de 45 ans. (source wikipédia).

Deux ans plus tard, son successeur Jean Boizeau, ancien directeur du quotidien « L'Aurore », propose à Micberth alias Eric Asudam, la direction du « Petit Crapouillot ». Le premier choc pétrolier qui multiplie le prix du papier fait renoncer la direction de Minute à ce projet. On propose à Micberth un poste de chroniqueur-pamphlétaire dans une nouvelle rubrique intitulée « La Moutarde au nez » et la direction d'un Crapouillot par an (la publication est alors trimestrielle).

Micberth donnera sa démission quelques semaines plus tard en raison du soutien de la direction du journal à la candidature de Jean Royer à la présidentielle de 1974. En 1968, il avait chassé de Tours Micberth et ses collaborateurs qui avaient fondé « un centre de recherche en psychosexologie normale et pathologique ». (source wikipédia).

« Minute » amorcera sa descente aux enfers au début des années 80. Le grand hebdomadaire satirique lu par des centaines de milliers de lecteurs fidèles deviendra un « fanzine » d'extrême droite. Strictement rien à voir avec le journal des années 70.

Depuis le 4 mars 2009, l'érudit « Sins We Can't Absolve » apporte ses pertinentes contributions à l'article sur Micberth. Dans un premier temps, il affirme que Micberth a travaillé trois mois au quotidien d'extrême droite « Présent ». Malheureusement pour lui, Micberth n'a jamais mis les pieds dans cette rédaction ou depuis vingt ans, il se fait copieusement insulter, voir l'article de Mathilde Cruz alias François Brigneau pour être édifié sur le sujet.

Comme il se fait bouler dans ces pages, « Sins We Can't Absolve » dont l'une des nombreuses qualités est la persévérance, change « Présent » pour « Minute » (voir plus haut). Encore raté, zut et zut, « Minute » était à cette époque un journal satirique dont l'équipe était composée d'anarchistes, de non-conformistes, de socialistes, etc. Il faudra attendre dix ans pour voir poindre les fachos.

« Sins We Can't Absolve » dont le credo affiché est d'en découdre avec le vaniteux Micberth (qu'il n'a probablement jamais lu ; il ne cite que le site fautif du web), au point de perdre sa rigueur orthographique, nous annonce que l'intolérable écrivain aurait traité Bernard-Henri Lévy, tenons-nous bien de... juifaillon. De la même façon qu'on accuse Micberth de négationnisme, sans une miette de preuve. Alors qu'on sait que le négationnisme est un très grave délit puni par la loi.

En Europe, l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme garantit la liberté d'expression, alors que l'article 17 interdit d'abuser du droit. La Cour européenne des droits de l'homme, s'appuyant sur ces deux articles, a conforté l'utilisation de la loi du 13 juillet 1990 dite Loi Gayssot pour poursuivre et condamner des auteurs de publications révisionnistes. (source Wikipédia).

Fort heureusement, on punit aussi (adresse IP) les dénonciations calomnieuses.

Il y a trente ans, un petit chef qui voulait la ramener etait un « cheffaillon » ; un psychorigide qui emm... le monde, un « nazillon » ; un individu qui se servait de sa judaïcité pour mieux faire passer ses dégoisements, un « juifaillon », etc..

Il n'y avait pas l'ombre d'une trace d'antisémitisme dans cette manière de s'exprimer. De plus, si l'on devait faire le catalogue de toutes les vacheries, injures, insultes... etc. contenues dans l'oeuvre pamphlétaire de Micberth (avant 1985), il faudrait publier une anthologie de plusieurs volumes.

Cela a d'ailleurs était partiellement fait dans « Le Dictionnaires des injures politiques » (I et II) (Le Crapouillot) et « Les grands méchants célèbres » chez Albin Michel et autres (plusieurs éditions).

En bref, un grand merci à Mme Morel de l'A.A.M. qui a bien voulu sacrifier un peu de son dimanche pour éclairer notre lanterne.

Bien à vous.

Corriol (d) 26 avril 2009 à 19:17 (CEST)[répondre]

Corriol, vous semblez vous être arrogé le droit d'être le seul et unique contributeur autorisé à écrire sur Micberth. Qui plus est, je n'ai jamais dit que Minute était un journal d'extrême droite, de même que je n'ai pas écris que Micberth était négationniste, mais qu'il soutenait ceux-ci dans leur volonté de « rétablir l'histoire » (et connaissant le culte que lui voue François Richard, je doute que ce dernier ait volontairement piéger son maître). Seulement, il semble qu'il soit plus facile pour vous de cliquer sur le bouton "défaire" que de vous exprimer et de discuter avec autrui (je suis désolé, mais la parodie de pamphlet que vous effectuez sur cette page n'est pas une discussion, tout au plus une guignolerie qui aurait sa place sur un blog pour « rebelles de la société »)
Je vois également que lorsque vous souhaitez donner des leçons, vous êtes à côté de la plaque. Le terme chefaillon désigne un petit chef, nazillon désigne un jeune nazi, et juifaillon un petit juif, le suffixe -aillon étant bien-entendu péjoratif. De plus, persévérance s'écrit avec un a, et non un e, puisque le nom est issu de l'adjectif et participe présent persévérant.
Enfin, sachez que contrairement à vous, je ne passe pas ma vie à écrire sur Micberth. Il me semble également que Wikipédia est une encyclopédie libre, et que tout le monde peut y contribuer. Micberth, que vous défendez contre vents et marées et qui prétend lutter contre une pensée unique, rirait sûrement de vous voir défendre une doxa micberthienne sur cet article et de ne pas accepter de points de vue différents (à moins bien sûr qu'il ne soit aussi borné que vous, ou qu'il soit profondément imbu de sa personne, mais là n'est pas la question).
Sachez que si vous continuez d'effacer mes contributions (vous ou le contributeur anonyme répondant à l'adresse IP 91.165.24.159), j'irais demander à ce qu'un arbitre tranche notre petit conflit (avec éventuellement à la clé, une protection de l'article en écriture), puisque vous ne savez visiblement pas discuter sans vous sentir obliger de prendre à partie l'autre.--∧†∨     27 avril 2009 à 17:16 (CEST)[répondre]

Gaminerie[modifier le code]

Le jeune homme ci-dessus ne veut rien entendre et continue de polluer l'article sur Micberth avec ses monomanies obsessionnelles :

Il collabora néanmoins au journal Minute, soutiendra les négationnistes dans leur volonté de « chercher la vérité » et taxera Bernard-Henri Lévy de « Juifaillon ».

Lire les textes plus haut et se faire une idéeÉmoticône.

(à suivre)

A plus tard...--Corriol (d) 27 avril 2009 à 23:51 (CEST)[répondre]

Alors comme ça, si on ne se rallie pas à vos idées, on est automatiquement un « pollueur d'articles » ?
Et pas la peine de me faire un copier/coller de vos textes sur ma page de discussion, c'est un espace pour dialoguer, et non pas pour asséner ce qui vous semble être la vérité.
Comme vous ne donnez toujours pas d'arguments, et que vous continuez à effacer mes contributions, sachez qu'un arbitre devient intervenir. C'est dommage d'en arriver là, mais si le dialogue (et pas le monologue, nuance) est impossible...--∧†∨     28 avril 2009 à 03:46 (CEST)[répondre]

Pour en finir avec notre mini-encyclopédiste à vapeur[modifier le code]

Vous n’apportez rien, Sins We Can't Absolve, vous diffamez et vous jouez à titiller votre adversaire. Je me suis transporté sur votre page de discussion. Vous avez 20 ans ! l’âge de mes petits-enfants. C’est touchant ! ce qui explique probablement vos pubères incohérences. Cela veut dire aussi que vous êtes né quand Micberth a cessé d’écrire, tout un programme…. Vous parlez d’or alors qu’aucune référence ne soutient vos affirmations (sauf le site contesté) et pour cause. Exemple : si vous saviez (après coup) que Minute n’était pas un hebdomadaire d’extrême droite en 1970, pourquoi citer ce journal, dans la partie justement réservée à l’extrême droite, pas très honnête, non ? Et une outrance polémique devient une certitude antisémite ; l’approbation d’une démarche intellectuelle devient également un soutien aux déviants négationistes. Vous avez planté un gonfanon dans cet article et sous lequel vous livrez combat ; rien ne vous fera entendre raison. Vous vous sentez missionné ,je vous cite : Mort à la pensée unique micberthienne ! Vous êtes un gamin qui ne connaît rien au sujet traité et vous utilisez une rhétorique haineuse et délictueuse. Un administrateur ou arbitre sera le bienvenu.

Un verre d’eau, un suppo et au dodo ! Je n'ai pas le talent d'un pamphlétaire, hélas ! je ne suis qu'un modeste enseignant subissant son 3e âge, mais je pratique l'ironie. Avec bonheur ou sans esprit ? Je vous laisse juge.

Fin de cette juvénile polémique.

--Corriol (d) 28 avril 2009 à 06:06 (CEST)[répondre]

Gnagnagna[modifier le code]

Moi un gamin ? Ce n'est pas moi qui n'accepte pas les points de vue des autres, ce n'est pas moi qui confond la défense de la liberté d'opinion des négationnistes et la défense de leurs thèses (cf. l'affaire Faurisson-Chomsky), ce n'est pas moi qui ait dit que Micberth était antisémite. Tout cela, vous l'avez fantasmé. Une fois encore, vous êtes incapable d'accepter un point de vue qui diverge du vôtre, et vous vous lancez dans une tirade truffée de pétitions de principe et d'attaques ad hominem des plus ridicules. Je ne me sens pas "missionné" comme vous dites (la seule chose que je cherche à faire, c'est nuancer le portrait que vous faites de Micberth), et vous qui prétendez pratiquer l'ironie, vous ne semblez l'apprécier que lorsque elle va dans votre sens (ce qui, pour un esprit qui se prétend libre, est une fois de plus révélateur). Pour quelqu'un qui se revêt des habits du redresseur de torts, vous feriez bien de vous occupez de la poutre que vous avez dans l'œil avant de vous attardez sur la paille dans celui de vos voisins.
Je vous signale par ailleurs que nous sommes en avril 2009, je n'ai donc plus 20 ans (puisque mon âge semble vous déranger tant que ça), et que si vous vivez mal le vôtre, sachez que cela ne me fait ni chaud ni froid.
Je vais donc remettre le passage qui vous déplait tant, en ajoutant des précisions (puisque vous semblez ne pas comprendre ce j'ai écrit), et en espérant que vous cessiez de censurer ce qui n'est pas conforme à la doxa micberthienne.
Et cessez de me faire un copier/coller de vos interventions sur ma page de discussion, je suis les modifications faites sur cette page, ce n'est pas la peine de m'en faire un double (c'est déjà la deuxième fois que je vous le dis).--∧†∨     28 avril 2009 à 18:40 (CEST)[répondre]

Reproduction du texte de François Richard qui cite Micberth[modifier le code]

A propos de LÉVY (Bernard-Henri)

Éditeur parisien et romancier, Bernard-Henri Lévy fut il y a une vingtaine d'années un « nouveau philosophe » particulièrement présent dans l'univers médiatique. Il s'était intéressé, auparavant, aux travaux de Micberth et en particulier au mouvement autobusiaque. Toutefois, M.-G. M. ne donna aucune suite aux rapports qui avaient été engagés avec Lévy par l'une de ses collaboratrices. Il pense aujourd'hui (nous sommes en 1982) que B.-H. L. est un écrivain médiocre, un penseur insignifiant dont l'oeuvre apparaît comme l'un des nombreux avatars du gauchisme et surtout que ce personnage essentiellement médiatisé est un dangereux incitateur à la haine. Il a tracé de lui ce portrait incisif dans la Lettre : sous le titre : « Juifaillon. »

« Bernard-Henri Lévy n'est pas le grand gosse débile que je croyais cocotté par le tout-Paris avachi et pervers, écrit Micberth, c'est une petite vipère comme tant d'autres qui inocule son venin dans les chairs saines qui passent à portée de ses crochets. » « Le ludion, tout de go, se veut déjà un classique et il serait particulièrement de mauvais goût de le prendre pour ce qu'il est, c'est-à-dire, un parfait turlupin. (...) » « Bernard-Henri Lévy a des haines, oui, mais des idées, point. Il tremble de berlue car partout il croit voir renaître, surtout dans l'anodin, l'hydre pouacreuse du fascisme et du nazisme. Même chez le turbulent Nabe qu'il traite dans l'Événement du jeudi d'écrivaillon nazi. Je ne sais pas quelle zaniniérie se cache dans ou derrière le Nabe dont je parle, mais je donnerais bien les oeuvres complètes de l'Hébreu de chez Grasset contre un point virgule de Au Régal des vermines, même trou du cul comme se voit l'auteur, même gluante taupe coco comme on me dit qu'il serait. Cela reste à vérifier. Bref, Lévy endort, Nabe éveille. » (Voir la Lettre pages 255 à 258.) --Corriol (d) 29 avril 2009 à 15:56 (CEST)[répondre]

Réponse de « Machin »[modifier le code]

Il me semble que le lien en référence pointe sur la page où tout un chacun peut lire le texte. Pas la peine de polluer les pages de discussions en faisant du copier/coller (vous n'allez tout de même pas mettre ici tous les ouvrages que vous citez).--∧†∨     29 avril 2009 à 17:44 (CEST)[répondre]

Sans commentaire (ou juste un peu)[modifier le code]

C’est un grand plaisir pour moi de montrer à nos amis votre jeune duplicité. On peut faire dire tout et son contraire, n’importe quoi à n’importe qui, en retirant une phrase, un mot de son contexte. C’est un lieu commun. J’avais oublié (voir plus haut) que le « juifaillon » de Micberth répondait en fait à l’invective de B.-H. Lévy qui traitait Nabe d’ « écrivaillon nazi » dans l’Evénement du jeudi. Le lecteur jugera le terrrible antisémitisme de Micberth ; lequel en 82, rappelons-le, avait une compagne juive et un fils adoptif du même métal (Voir Regards). Vous prenez des chemins bien compliqués pour me rafraîchir la mémoire, mais je vous remercie de vous rendre à ce point ridicule. Vous avez 21 ans ? Mon Dieu, ça change tout et je vous prie de bien vouloir pardonner cette inadmissible erreur. Je n’ai pas utilisé mes ciseaux d’Anastasie. Grâce à mes copier/coller, je n’en ai plus besoin. Vos sources sentent tellement le marigot que ça en devient gênant.

Bon, un peu d’air et bon vent, camarade.

Je me suis permis de corriger, dans votre articulet, un double article défini , vous voyez, malgré votre gaillarde et si exceptionnelle attention, vous faites aussi des fautes de frappe. Pas que les vieillards ! ça soulage.

Bonne nuit le petit.

--Corriol (d) 29 avril 2009 à 19:09 (CEST)[répondre]

C'est vous qui vous croyez au-dessus des fautes de frappe et d'orthographe, pas moi. Et une fois de plus, vous êtes le seul à faire une fixation sur l'âge des contributeurs. Et l'excuse du « j'ai des amis/une compagne juifs » ne marche pas. Lovecraft était marié à une Juive, et ça ne l'empêchait pas de tenir des propos antisémites. Otto Weininger était juif, et son opus magnum contient nombre de déclarations antisémites. La question juive de Karl Marx est également un ouvrage où pointent de-ci de-là quelques poncifs de l'antisémitisme. Si vous étiez seulement capable d'arrêter de vous fixer sur Micberth, et de regarder qu'il existe également d'autres auteurs antisémites, on en serait pas là. Cela vient-il de votre sénilité ?--∧†∨     1 mai 2009 à 01:21 (CEST)[répondre]

Corriol, vous avez compris comment fonctionne Wikipédia ! Je finissais par désespérer... Alléluia !

Maintenant que l'article est enfin sourcé, je vais pouvoir passer à autre chose...--∧†∨     8 mai 2009 à 02:21 (CEST)[répondre]

À propos de l'état civil[modifier le code]

La modification de nom de famille détaillée en note n° 1 de l'article n'est – à l'heure actuelle – toujours pas intégrée à l'acte de naissance, non plus que sur l'acte de naissance de sa fille Sotère. Est-il vraiment possible de prendre cette note au sérieux ? --Asabengurtza (d) 6 août 2009 à 15:49 (CEST)[répondre]

Effectivement, la note est mal rédigée ou plus exactement, rédigée par au moins 2 personnes, ce qui fausse le sens.
Détail amusant, en tapant Micberth sur Google, j'ai trouvé (on ne peut pas faire plus frais) sur Legifrance.gouv.fr : Tableau d'avancement 2009 (magistrature) JORF n°0175 du 31 juillet 2009 texte n°52. Dans la liste des promus par ordre alphabétique, Berthe dit Micberth (Douglas), substitut (D...).
Et c'est signé par Nicolas Sarkozy, François Fillon et Michèle Alliot-Marie.
Le fils portait donc bien sur son acte de naissance (22 novembre 1969 à Mantes-la-Jolie n° 1668) le patronyme substitutif du père : Micberth.
Alors là...Euh ? des passages de Wikipédia « rédigés par au moins 2 personnes », je vous parie qu'on peut en trouver à la pelle Sifflote Ce qui ne l'est pas, ici, doit être extrêmement rare, Dieu merci ! La finalité de la chose est en général la clarté et la justesse du sens.
Et si de surcroît la référence est signée de qui vous dites... Émoticône
Bref, là n'est pas la question. Jusqu'à plus ample informé, on peut sans doute considérer que la dénomination officielle est « Berthe dit Micberth ».--Asabengurtza (d) 13 août 2009 à 00:26 (CEST)[répondre]
Que de temps perdu et pourquoi ? Émoticône
Ven...dôôô...mheu (air connu)Émoticône
Quand on ne sait pas écrire meuh, on ne se moque pas des vieilles dames !youpi (Corriol (d) 14 mai 2010 à 20:31 (CEST))[répondre]

Affaire des chèques Pompidou[modifier le code]

Le passage, tel qu'il apparaît actuellement :

« L'affaire des chèques Pompidou, selon le titre des quotidiens, a été un fait divers médiatisé en août 1974. Cette affaire, bien oubliée depuis, a mis en scène les chéquiers volés de l'ancien président de la République (Georges Pompidou), l'hebdomadaire Minute et le chroniqueur Eric Asudam/Micberth, directeur du bureau politique de la Nouvelle Droite française, le futur président du Conseil constitutionnel (Robert Badinter) alors avocat célèbre, des délinquants, des drogués, des gauchistes, etc. »

On n'y comprend absolument rien, à part le fait que des chéquiers de Georges Pompidou ont été volés. Le passage devrait expliquer clairement ce qui s'est passé, ce que Micberth a fait ou été accusé de faire, etc. Pierre Lazareff recommandait d'user toujours de précisions à l'usage du lecteur, allant jusqu'à "Victor Hugo, grand poète français". A mon sens, wikipédia devrait faire de même. Quelqu'un connaissant cette affaire pourrait-il l'expliquer de manière un tant soit peu claire ? Jean-Jacques Georges (d) 26 octobre 2010 à 11:44 (CEST)[répondre]

RÉPONSE : Bonjour, Vous avez souhaité que quelqu'un au fait de l'"affaire des chèques Pompidou" l'explique de manière claire. Voici donc : Durant l'été 1973 ou 74 je ne sais plus, J'ai travaillé à l'imprimerie Mont-Louis (je ne me souviens plus de l'orthographe du nom), disparue à l'heure actuelle, qui imprimait des chèques pour la Société Générale. Je venais juste d'avoir 18 ans (août). J'étais inconsciente et sans culture politique. La presse de l'époque a dit que j'avais voulu "épater les copains". En réalité, j'étais épatée moi même de détenir des vignettes de chèques annulés au nom de personnages important , que j'appelais "ma collection". (Gérard Lenormand, la comtesse de La Rochefoucault...), subtilisées pendant mon travail. Un jour, c'est un vrai carnet de chèques au nom de Georges Pompidou que j'ai eu dans les mains. J'ai bien hésité un moment mais je me suis rassurée en me disant que personne ne pouvait se faire passer pour le Président de la République et j'ai embarqué le carnet. À l'époque, j'avais pour voisin un jeune héroïnomane, Michel D...y que j'aimais bien, qui me faisait de la peine parce qu'il disait qu'il n'avait plus beaucoup de temps à vivre à cause de la drogue. J'aurais bien voulu l'aider. Il avait écrit son histoire de vie : "Morphine base" et était en relation avec un agent littéraire, Madeleine M., pour la faire éditer.(Je précise que je ne buvais ni ne me droguais moi-même et que j'habitais chez mes parents). Quelques temps plus tard, au cours d'une visite à Michel, je lui ai dit : - "J'ai un carnet de chèques de Georges Pompidou !". Réponse: "Je ne te crois pas." - "Si tu veux, je vais le chercher.".... Je le lui montre. Il me dit : -"Tu me le donnes ?" Je sais, c'est idiot mais je n'y ai vu aucun danger et je n'ai pas pu dire non : il semblait tellement malade et malheureux. Ensuite, Michel a déménagé, et je l'ai perdu de vue. Un an plus tard, la veille de mon anniversaire, vers 21 heures une équipe d'inspecteurs de police sonnait chez mes parents. Ils cherchaient de la drogue dans toute ma chambre. Lorsque j'ai entendu le nom de Michel, j'ai compris et leur ai remis ma collection de chèques annulés. J'ai été embarquée au commissariat puis à Paris au Quai des Orfèvres. J'étais une gamine naïve et fleur bleue. J'appris ensuite par la presse (articles rocambolesques) que Michel avait été arrêté ainsi que deux autres personnes que je ne connaissais pas, Micberth et Madeleine M. Je savais que Madeleine M. était l'agent littéraire de Michel.

Toutes les personnes qui ont connu mon voisin voyaient en lui un mythomane dangereux. Et je me suis rangée à cet avis. Il semblerait et c'est même certain qu'il ait inventé une histoire délirante de complot trotskyste visant à discréditer des membres du gouvernement au niveau de l'imprimerie Mont-Louis qu'il s'est amusé à raconter à Micberth et à Madeleine M., dans le cadre d'une enquête journalistique. Ceux-ci sont allés voir le directeur de la société générale qui a appelé la police. À ce sujet, c'est tout ce que je sais. Je peux dire encore avoir appris que Michel D...y s'est suicidé dans un hôpital psychiatrique parce que poursuivi par des personnes (que je ne connais pas) à qui il avait encore fait des "farces" et qui voulaient le tuer. Mon souhait serait qu'on arrête de divaguer sur cette histoire stupide afin qu'elle tombe dans les oubliettes. C'est trop lourd à porter. En vous remerciant, A.L. (la voleuse du chéquier)

C'est intéressant (quoique invérifiable) mais ça ne nous donne toujours pas de détails sur les évènements exacts qui ont concerné le sujet de l'article. Je n'ai pu trouver qu'une seule source évoquant brièvement l'affaire (c'est un livre absolument lamentable, Les nouvelles passerelles de l'extrême-droite, de Thierry Maricourt; je ne l'utiliserais pas comme source si j'avais trouvé autre chose mais c'est toujours ça). Puisqu'on n'a toujours rien d'autre, je vais tailler dans le passage; si quelqu'un a des détails plus précis, et sourcés, à rajouter, ce sera bienvenu. Jean-Jacques Georges (d) 2 janvier 2012 à 09:48 (CET)[répondre]

RÉPONSE : L'"affaire des chèques Pompidou a été pour moi un véritable traumatisme.J'ai vécu plusieurs années sans oser en parler à personne. En 1982, j'ai confié cette histoire à une amie, Brigitte. Quelques mois plus tard, Brigitte vaquait dans la galerie marchande du centre ville et n'était pas en quête de livres. Il y avait ce jour-là un stand provisoire de ventes de livres. Alors qu'elle passait rapidement devant, elle a été interpellée par le vendeur qui lui a immédiatement proposé un livre de couleur rouge  : "Oiseaux rares et rapaces dans une brume d'été" écrit par un énigmatique "Philippe Ellerie" qui m'a semblé être (après lecture) un policier (ou ex-policier). Après avoir lu la quatrième de couverture et constaté qu'il y était question des "chèques Pompidou", elle l'a acheté pour me l'offrir. Synchronicité : Le même jour, j'ai reçu une carte postale d'Allemagne d'une autre amie, Annie. La carte postale représentait un tout petit oiseau devant le miroir d'une salle de bain. Le miroir lui renvoyait l'image d'un rapace ! J'ai lu ce livre dans un état d'agitation extrême. L'histoire commence en 1962, par le vol, dans la banque Rothschild de documents concernant une transaction secrète compromettante à la fin de la guerre d'Algérie. Puis il est question de vols de bijoux dans la haute société parisienne... Jusqu'à l'attentat du petit Clamart contre le général De Gaulle. À un moment de l'enquête, apparait, très brièvement l'affaire des chèques P : description de l'arrestation des différents protagonistes. Je n'ai pas bien saisi quel était le fil conducteur de l'enquête ni ce qui était effectivement recherché tant mon angoisse et ma méconnaissance de l'histoire inhibait mes capacités cognitives. Je me sens incapable de le relire une seconde fois. Ce livre est en vente sur Internet. Je crois pouvoir dire, mais je me trompe peut-être, qu'il est aussi lamentable que celui que vous avez cité , que je ne connais pas et que je me sens tout autant incapable de lire. Voilà, c'est tout, je n'ai plus rien à dire sur tout ça. Mais j'aimerais bien être rassurée. A.L. 25 février 2012 19h24