Discussion:Fauchon Paris

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Introduction[modifier le code]

Bonjour . Tout article doit commencer par une présentation du sujet qui va être traité voir Wikipédia:Conventions de style ( Deuxième tentative d'intro ). Merci. --Penjo (d) 13 avril 2010 à 09:59 (CEST)[répondre]


Plan sur l'ère moderne[modifier le code]

Bonjour. Après 1952, le plan de l'article pourrait être sur les grandes périodes jusqu'à nos jours. Cela pourrait réduire l'introduction du 2, et enlever les sous catégories inutiles (2.1 sans 2.2). Qu'en pensez vous ? utilisateur:MrBeBe


Fauchon en chiffres : données à reexploiter[modifier le code]

Tout le paragraphe ci dessous était au milieu de l'historique, je l'ai temporairement retiré. Je me demande si ce ne serait pas plus visible et clair de re-exploiter ces informations dans un tableau, et une catégorie spécifique type "données clés". En tout cas, les éléments sont là pour etre exploités d'une manière plus optimale. Dites moi comment vous verriez cela ? utilisateur:MrBeBe

fauchon en chiffres : Le nombre de points de vente en franchise passe de 450 à 650, le nombre de magasins en propre de 1 à 16 dont 3 à New York et 13 à Paris avec le rachat par Fauchon des boutiques traiteur du Groupe Flo Source : Le Figaro, Article du 20 mars 2003, « Laurent Adamowicz redéploie Fauchon » Source : Le Parisien, Article du 1er octobre 2003, « Fauchon s’installe chez Flo et mise sur la proximité » . Le nombre de licences passe de 2 à 16 de 1998 à 2003 et les revenus issus des redevances de 1,5 à 3 millions d’Euros dans la même période. En 2003, Fauchon réalise 90 millions d’Euros de chiffre d’affaires, dont 30 % à l’export, pour un résultat de 5 millions d’Euros. (Voir Fauchon en Chiffres) Source : La Tribune, Article du 1er octobre 2003, « Fauchon devient une enseigne de proximité ; Fauchon en chiffres »

« WALDO S.A.: Société française détenant le contrôle de la célèbre maison Fauchon à Paris. Le développement de la société se poursuit principalement aux États-Unis, » indique la Compagnie du Bois Sauvage, l’un des actionnaires de Fauchon, dans son rapport annuel 2001. Elle montre dans les Comptes consolidés Audités du holding de tête de Fauchon, la société Waldo S.A., que le Cash Flow total de la société a progressé de façon importante en passant d’un total négatif de 2,3 millions d'Euros, en 1999, à un Cash Flow positif de 1,4 million d'Euros en 2001 Source: [http:// http://www.bois-sauvage.be/rapp/PDF/BOISFR2001.pdf Rapport Annuel 2001, Compagnie du Bois Sauvage], Page 17, Page vue le 21 novembre 2009

Comme à la grande époque de Fauchon dans les années 1950 sous la gestion de Pilosoff, Laurent Adamowicz restaure, en 2001, une étroite relation avec la compagnie Air France : les produits Fauchon sont offerts aux passagers de Première Classe et sur tous les vols en Concorde ; un film publicitaire Fauchon est diffusé à bord des lignes internationales d’Air France. Est alors créé par Fauchon le petit sac à main, écrin rose des chocolats Fauchon qui deviendra la signature mondiale de la marque pour la décennie à venir. Ce développement s’accompagne également de l’ouverture de corners Fauchon à Roissy-Charles De Gaulle et dans de nombreux aéroports à travers le monde. Entre 1998 et 2003, l’entreprise Fauchon passe de 360 à 900 employés, dont 200 chefs de cuisine et pâtissiers.

Fauchon retrouve le goût des bénéfices, titre le magazine Management en 2003. « Laurent Adamowicz a réussi son pari. En cinq ans, cet ex-golden boy (Paribas et Rothschild), qui n’hésite pas à aller jouer les vendeurs dans ses magasins, a su transformer Fauchon. La vénérable épicerie de luxe qu’il a rachetée en 1998 – elle était alors fortement déficitaire – est enfin devenue une affaire rentable : 90 millions d’Euros de chiffre d’affaires pour un résultat d’exploitation de 5 millions en 2002. Et son dernier coup d’éclat a payé. Les douze magasins du traiteur Flo Prestige, repris il y a un an pour 40 millions d’Euros au groupe de restauration en difficulté, lui ont permis de rajeunir sa clientèle tout en conservant son public d’origine.

Existence de la partie "produits"[modifier le code]

Il me semble difficile de ne pas évoquer sur cette page, les produits qui sont vendus dans les magasins Fauchon. Je crois que cette partie aurait autant sa place que d'autres, très longuement développées en dessous. Je comprends néanmoins les remarques quant au ton publicitaire, mais propose plutôt d'aménager le texte, que de le supprimer purement et simplement. Est ce que vous pourriez préciser les passages non neutres, non factuels, publicitaires, afin que l'on puisse améliorer cela ? A votre écoute. Merci MrBeBe (d) 30 juillet 2013 à 11:46 (CEST)[répondre]

Passage long et ton non neutre[modifier le code]

Bonjour,

Je m'interroge sur ce passage, qui alourdit encore la page, et me semble un peu déplacé voire diffamatoire. Je pense qu'il faudrait purement le supprimer, les éléments étant redondants avec ceux expliqués plus tot. Etes vous d'accord pour cette suppression ?

> voici le passage : Le couple Prémat gère Fauchon de façon légèrement « débridée », passe le plus clair de son temps sur ses yachts et bateaux de plaisance, amarre son siège social sur l’île de Saint Martin en assurant le développement de l’enseigne Fauchon sur l’île même afin que le champagne y coule à flots. Emportés par le nouveau navire de croisière de 35 mètres qu’ils rebaptisent « Le Fauchon »13, les Prémats tentent de poursuivre le développement dans les années 1990. Fauchon ouvre successivement des magasins à Genève et en Arabie saoudite (pour les refermer quelques années plus tard) et parraine le rallye Paris Dakar. Les pertes s’accumulent et l’affaire périclite. Jean-Michel Salvator précise : « La famille se déchire. L’entreprise ne sait plus ou elle va. Mais Fauchon a surtout été victime de ses propres erreurs. Erreur stratégique, lorsque l’épicier se met à faire vendre ses produits dans la grande distribution, chez Carrefour ou Auchan. Erreur de gestion, lorsqu’il se lance dans la croisière, avec la construction d’un yacht destiné à promouvoir la gastronomie française. »7 Le yacht « Le Fauchon » a été acquis pour 30 millions de Francs (4,6 millions d’Euros), en 1994, pour organiser des croisières gastronomiques en Méditerranée, espérant par la même occasion assurer la promotion de l’enseigne. « À 350 000 Francs (53 000 Euros) la semaine pour des groupes de 10 personnes, l’opération a vite tourné au naufrage, faute de clients. En 1995, il a fallu vendre « Le Fauchon », avec une moins-value de 12 millions. »12


MrBeBe (d) 8 août 2013 à 12:45 (CEST)[répondre]

C'est l'été et je ne viens pas tous les jours. Donc, une seule réponse et plusieurs remarques. Effectivement, l'évolution des chiffres de l'entreprise seraient plus lisibles dans un ou plusieurs tableaux. Les produits? Je n'ai jamais vu de produit Fauchon ou pas fait attention Émoticône, s'il y a un produit phare, peut-être le mentionner, pour que des gens comme moi disent "ah, c'est ça qu'il produit". Le dernier message: des diffamations ne doivent pas rester (passe le plus clair de son temps sur ses yachts), par contre que des erreurs de gestion entrainent des pertes et ont comme conséquence la vente à perte, c'est une information importante, mais bien sûr il faut la sourcer. Traumrune (d) 10 août 2013 à 00:07 (CEST)[répondre]
Merci Traumrune pour vos remarques, qui sont tout à fait claires. Je serai moi aussi moins dispo jusqu'à la fin de l'été, mais mon collègue arncouk va faire ces changements. On en reparle à la rentrée, bel été MrBeBe (discuter) 10 août 2013 à 16:32 (CEST)[répondre]
Bonjour à tous, j'ai effectué des améliorations en essayant de respecter les conseils de Traumrune. Malheureusement, ma version a été annulée. Que pensez vous de ma version et de sa suppression ?

MrBeBe (discuter) 9 septembre 2013 à 12:24 (CEST)[répondre]

J'en pense que vu 1) que Legaledith et ses faux nez ont été bloqués (mais peuvent revenir bien sûr) et que 2) Legaledith ne cherche jamais à discuter les changements mais se contente de tout réverter en vrac, il n'est pas illogique de revenir à ta version. Anthere (discuter)

Ton promotionnel sur un dirigeant[modifier le code]

Bonjour à tous,

Parmi les optimisations (surtout pour simplifier et rendre plus lisible l'article) je m'interroge sur un passage pompeux et promotionnel sur un des dirigeants : Laurent Adamowicz. J'avais fait une proposition de création d'article en wikifiant le patronyme (en oubliant de me loguer ! mea culpa) mais cela a été retiré par un utilisateur avec la discussion suivante : "Il est d'usage de créer des wikiliens pour les pages existantes, non pour des pages n'ayant pas été créées. Au cas d'espèce, concernant l'individu en question, Google produit plus de 50000 articles sur cette personne, donc un article Wiki ne semble pas devoir manquer aux internautes"

Je ne sais pas trop quoi en penser :

1) Il me semble que l'article porte sur l'entreprise et pas uniquement sur ses dirigeants. Le nom des dirigeants est une information importante, mais est ce que cela doit etre aussi conséquent ? 2) Si les dirigeants ont une véritable importance et méritent d'être sur Wikipedia, alors il me semble plus logique de leur créer une page patronyme, plutot que d'alourdir un autre article.

Qu'en pensez vous ?

Voici le passage évoqué :

"Ancien banquier d’affaires, Directeur et associé, respectivement de la banque Paribas puis de Rothschild & Cie Banque, expérimenté dans l’univers du luxe, en tant qu’ancien membre, pendant cinq ans, du Conseil de Surveillance de Van Cleef & Arpels, diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Paris (ESCP-Europe) et de la prestigieuse Wharton School aux États-Unis (voir article dans Les Echos du 3 octobre 200318), Laurent Adamowicz a introduit le marketing chez Fauchon avec la première campagne de publicité sur le thème de la mode en 1999. Il assure le relookage complet de la marque, de son image, son identité graphique, de ses logos et de l’ensemble de la gamme de packaging. Il relance également la création avec plus de 700 nouveaux produits à la marque Fauchon introduits sur le marché de 1998 à 2000, notamment les nouveaux thés parfumés des quatre saisons, la gamme « pur fruit » de confitures allégées, le foie gras au poivre de Szechuan, le confit de lait au caramel, la confiture de fraises aux pétales de roses. (Voir l’article du printemps 2003 dans le Wharton Alumni Magazine19) Il achève le repositionnement de la marque Fauchon dans son univers alimentaire de l’exceptionnel et de la simplicité du bon produit, notamment en la retirant de la grande distribution. Il rénove l’ensemble des magasins historiques de Fauchon, Place de la Madeleine. Il lance, enfin, le Site web Fauchon sur Internet ouvert à la vente des produits et des plateaux-repas. Sous sa direction, dès l’an 2000, Fauchon redevient une entreprise profitable en plein essor, avec l’ouverture de nouveaux magasins Fauchon au Japon, en Corée du Sud, à Taïwan, au Moyen-Orient, en Europe et enfin, aux États-Unis. (Voir l’article du New York Times sur Fauchon le 16 août 2000.)20 Avant même d’avoir finalisé l’acquisition de Fauchon, Laurent Adamowicz avait déjà annoncé son intention et celle de son groupe d’investisseurs de développer la société sur le marché américain de manière significative. Lors d’une conférence de presse au début du mois de février 1998, ils rendirent officielle leur stratégie et le fait de consacrer 60 millions de Francs (9,2 millions d’Euros) sur 5 ans pour conquérir les États-Unis, marché qu’ils qualifièrent de « plus importante opportunité de développement pour Fauchon. » Voir l’article dans Les Échos du 5 février 199821 et l’article dans Le Monde, de même : « La vente de Fauchon relance les grandes manœuvres sur le marché de l’épicerie de luxe. Le repreneur, la société Waldo, veut développer la marque aux États-Unis. »22 Fort d’un groupe d’investisseurs comprenant Michel Deroy et Jean-François Toulouse, anciens dirigeants et propriétaires de la chaîne de supermarchés Docks de France qu’ils ont vendu en 1996 pour 18,5 milliards de Francs (2,8 milliards d’Euros); le fonds privé Matignon Investissements et Gestion; la société Intermediate Capital Group, cotée à la bourse de Londres; et Barclays Capital Development France, la société Fauchon s’est dotée des moyens de ses ambitions afin de pouvoir financer l’expansion annoncée de la marque Fauchon aux États-Unis. Voir l’article dans Les Échos du 2 avril 1998 : « Le nouveau PDG de Fauchon veut implanter l'entreprise aux États-Unis »23 et dans La Tribune le même jour : « L’épicerie fine Fauchon veut conquérir le marché américain »24 Barclays Private Equity, filiale du Groupe Barclays, s’est associée au nouveau dirigeant, Laurent Adamowicz, pour reprendre le groupe Fauchon et le redéployer en France comme à l’étranger, en réaffirmant son leadership en matière de gastronomie de luxe. Comme indiqué par Barclays Private Equity dans son rapport d’activité : « Laurent Adamowicz n’a pas connu de période d’observation et a pris le destin de Fauchon à bras le corps pour entamer la restructuration et mettre en œuvre le redéploiement et le développement du groupe. Les premiers de ces développements incluent la fermeture des activités de restauration du groupe, remplacés sur le site de la Madeleine par un salon de thé Fauchon, ainsi que l’ouverture des plus grandes caves à vins de Paris. L’accent est également mis sur la présence internationale avec la déclinaison du salon de thé Fauchon en Asie et l’ouverture d’un magasin et d’un salon de thé à New York sur Park Avenue, suivis en 2001 d’un deuxième magasin sur Madison Avenue. »25

Merci pour votre aide

MrBeBe (discuter) 4 septembre 2013 à 12:01 (CEST)[répondre]

Mon avis, juste après avoir seulement survolé la question :
  1. l'autre contributeur a eu tort de retirer le lien rouge si la personnalité était admissible. Quant à « Il est d'usage de créer des wikiliens pour les pages existantes, non pour des pages n'ayant pas été créées. », c'est faux (et contraire à l'esprit du projet).
  2. le passage que tu cites est bien trop long ; c'est un de ceux qui contribuent à rendre cet article peu synthétique et plutôt indigeste.
Bravo de t'y intéresser Émoticône sourire. Cordialement • Chaoborus 4 septembre 2013 à 13:20 (CEST)[répondre]
Rahhhh, je suis une méga fan des liens rouges. Il y en a de moins en moins dans les textes et cela m'attriste :)
On en avait déjà parlé... une bonne partie du paragraphe au dessus relève plus de la bio d'Adamowicz que de Fauchon réellement. Je serais d'avis de tenter la création de page d'Adamowicz (en y déplaçant dument les détails relatifs à sa personne ou plus logique pour comprendre son parcours que la vie de Fauchon et en y donnant un minimum de "structure" (comme toute page de biographie). Et d'orner le haut de la page d'un bandeau d'admissibilité afin de laisser à autrui le soin de décider si oui ou non, le personnage a une notoriété suffisante. Cette méthode permet d'alléger l'article courant, tout en évitant toute suppression intempestive de contenu. Si le langage est conservé tel qu'ici, l'article peut également se voir complété d'un bandeau pub. Anthere (discuter)
Merci pour vos avis à tous les deux. C'est donc ce que j'ai fait : création d'une page Adamowicz avec les infos qui étaient sur la page Fauchon, ce qui nous permet donc de synthétiser ici ce long passage aux faits marquants. Pour ce qui est du bandeau admissibilité et/ou pub sur la page Adamowicz, je laisse la communauté en juger.

Par contre, pour en revenir à cette question des dirigeants, le paragraphe suivant (et peut-être d'autres éléments dans le texte, je n'ai pas tout relu)

Michel Ducros, né en Allemagne, à Kehl en 1949, est un des fils de Gilbert Ducros (1928-2007), créateur des épices du même nom, qu’il a vendues, en 1992, au groupe italien Ferruzzi, pour 1,6 milliard de Francs (240 millions d’Euros), à la suite de dissensions familiales et de difficultés financières33,34. « Je me suis retrouvé chômeur de luxe à 43 ans, raconte Michel Ducros. Avec une grosse interrogation de milieu de vie.»34

Après de longues années de déboires, le groupe Ferruzzi a fait faillite, les épices Ducros étant, depuis l’an 2000, la propriété du groupe américain McCormick & Company.

n'a rien à faire dans l'article Fauchon. Cela devrait être des morceaux à dispatcher dans des articles sur Michel Ducros, Gilbert Ducros ou un article sur la société Ducros (apparemment, il n'y en a pas). Soit des articles sont créés (avec la même question d'admissibilité, soit ce contenu est purement et simplement supprimé. Rien à faire là. Anthere (discuter)

Bénéfices ou pas bénéfices[modifier le code]

Un ptit coup d'oeil rapide sur un autre paragraphe

L’ère Ducros, chez Fauchon, ce sont plus de 56 millions d’Euros de pertes cumulées en 5 ans, de 2004 à 2009, sous la direction de Michel Ducros, selon les rapports annuels publiés par le principal actionnaire, La Compagnie du Bois Sauvage85,86,87,88. Pourtant, au départ, Michel Ducros était relativement confiant dans sa capacité à gérer l’affaire. Après une perte de 11 millions d’Euros, Fauchon vise l’équilibre cette année, précisait l’interview de Michel Ducros le 21 avril 200489. Trois mois après avoir repris les commandes de Fauchon, Michel Ducros, le fils du roi des épices, s’engage à retrouver l’équilibre dès cette année. « Les pertes, importantes, sont moins préoccupantes qu’il n’y paraît. »89 Depuis bientôt six années maintenant, chaque année, Michel Ducros annonce le retour des bénéfices pour l’année suivante, néanmoins sans succès. Par exemple, le journaliste Éric de la Chesnais écrit à la suite de l’interview de Michel Ducros le 15 octobre 2007, dans Le Figaro: « Fauchon ferme pour se refaire une santé. Quant à Michel Ducros, il compte ramener Fauchon à la rentabilité en 2008. »90 En réalité il n’en fut rien[non neutre]

blablablablablabla. Zzzzzzzz. A la limite, on aimerait voir un joli tableau (honnête, pas manipulé) avec pour chaque année, le CA, les pertes, les bénéfices s'il y en a. Quite à résumer ensuite sous trois phrases

  • pendant la direction de x, pertes cumulées de x euros en y années
  • pendant la direction de y, après 2 années de pertes, la société renoue avec les bénéfices pendant y années
  • etc.

Anthere (discuter)

Crise de 2003[modifier le code]

Bonjour

Je regrette un peu le retrait du début du § : on se retrouve avec une seule mention, « la crise de 2003 », plutôt énigmatique (aucun résultat si on cherche ce titre sur Wp), alors que la formulation précédente expliquait bien en quoi elle consistait.

Cordialement • Chaoborus 19 septembre 2013 à 18:21 (CEST)[répondre]

J'avais trouvé cette explication de la crise de l'entreprise en 2003 un peu bancale et pas très convaincante. Il faut peut-être chercher une formulation plus claire et précise. Traumrune (discuter) 19 septembre 2013 à 23:29 (CEST)[répondre]
Ça c'est possible Émoticône • Chaoborus 20 septembre 2013 à 01:10 (CEST)[répondre]
a vrai dire, je trouve que les explications données sur la crise, n'ont pas grand rapport avec Fauchon. Il y a certes eu une crise économique en 2003, et je comprends la remarque de Chaoborus, c'est un peu lacunaire. Par contre, je ne comprends en quoi la chute de Sadam Hussein, le SRAS et la canicule, ont eu un effet sur Fauchon...Ils ont bon dos  ;-) En cherchant un peu, si crise il y a eu, c'est peut etre plutot une crise endogene à l'entreprise d'apres cet article : http://www.lsa-conso.fr/fauchon-l-epicerie-de-luxe-a-la-francaise,127153. Donc j'opterais plutot pour une explication sur l'impact de la crise économique dans le marché du luxe en 2003 (cet article par exemple : http://www.luxe-guide.fr/wp-content/uploads/2011/contenu.pdf), et un éclaircissement sur la réalité de la "crise" : changement d'actionnaire, suite a l'endettement de l'entreprise. Du coup, je crois que ça ne mérite plus vraiment un paragraphe à part entière, et je ne sais pas si le titre "la crise de 2003" est vraiment légitime. Est ce que cela pourrait etre regroupé avec le paragraphe suivant ? MrBeBe (discuter) 20 septembre 2013 à 15:08 (CEST)[répondre]
J'ai cherché un peu: il y avait bien une crise économique mondiale en 2003. P.ex. le nombre de touristes en Suisse a baissé (article de la Neue Züricher Zeitung - je ne mets pas le lien en allemand). Il y a un long article ici [1] ou [2]. J'ai l'impression d'avoir trouvé que des articles des deux bords politiques. Si on lit [3], il faut croire que la crise actuelle a sa source en 2001-2003 (il y avait bulle d'internet, bulle immobilière au moins). Mais les raisons ne sont pas ceux avancé dans l'ancien version de l'article.
Peut-être, il vaut mieux fusionner l'information avec le chapitre suivant, en constatant la crise de l'entreprise dans un contexte mondial difficile, sans chercher des explications qu'on ne trouvera probablement pas. Traumrune (discuter) 20 septembre 2013 à 23:38 (CEST)[répondre]


Réecriture complete du dernier paragraphe : de 2003 à aujourd'hui[modifier le code]

Bonjour à tous, je voudrai finir de modifier cet article en m'attaquant au dernier paragraphe. Je crains devoir énormément supprimer des contenus, car je pense que ces 10 années peuvent etre expliquées beaucoup plus simplement (sur la base de cet article qui vient de paraitre : http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5N0HE1HG20130918).

J'ai d'ailleurs en tete (et proposé) le rubriquage suivant : - la cession des actifs déficitaires : fermeture des magasins Newyorkais, cession des boutiques Flo Prestige, etc - le developpement à l'international : ouvertures au Moyen Orient notamment - le redeploiement de la marque : il y a pas mal d'articles sur le métier de Fauchon, le made in France, etc

Jen ai parlé avec Anthere, et je pense que ça peut etre beaucoup plus clair, mais cela va demander de supprimer un paquet de contenus. En revanche, si cette partie est élaguée, on devra nécessairement ajouter clairement les chiffres d'affaires, et les pertes sur chaque année. D'autant plus que ce point là, n'est pas très explicite dans la rédaction actuelle. Je le ferai juste apres.

Est ce que tout le monde est d'accord, pour les coups de canifs dans le texte ?

MrBeBe (discuter) 30 septembre 2013 à 12:00 (CEST)[répondre]

Pas d'opposition. Cette partie est beaucoup trop longue (sur mon écran elle fait quatre fois la longueur consacrée aux années 1952-2003). Et sur Wikipédia rien n'est irréversible Émoticône. • Chaoborus 30 septembre 2013 à 13:01 (CEST)[répondre]

Précision[modifier le code]

Conformément aux règles de transparence de Wikipedia et à leur récente mise à jour, je précise que je travaille avec Fauchon afin d'améliorer la page qui lui est consacrée, tout en veillant à respecter la neutralité de point de vue. N'hésitez pas à utiliser la page de discussion pour vos retours ou vos commentaires sur cette page !--KeplëR (discuter) 11 octobre 2016 à 12:59 (CEST)[répondre]

Ajout récent[modifier le code]

Conformément aux règles de transparence de Wikipedia et à leur récente mise à jour, je précise que je travaille avec Fauchon afin d'améliorer la page qui lui est consacrée, tout en veillant à respecter la neutralité de point de vue. cbkt (discuter) 17 mars 2022 à 15:02 (CET)[répondre]

D'accord, donc merci de remettre les multiples bandeaux [non encyclopédique] que vous avez retiré Caloguli (discuter) 17 mars 2022 à 21:34 (CET)[répondre]