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Akka Technologies

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Akka Technologies
logo de Akka Technologies

Création 1984
Fondateurs Maurice Ricci
Personnages clés Maurice Ricci[1]
Jean Franck Ricci[1]
Nicolas Valtille[1]
Forme juridique SA
Action Euronext : AKA
Slogan Passion for technologies
Siège social Bruxelles
Drapeau de la Belgique Belgique
Activité Ingénierie et conseil en hautes technologies
Filiales Data Respons (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 21,000 (2018)
SIREN 422950865Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.akkodis.com

Capitalisation 1 163 M € (août 2019)
Chiffre d'affaires 1 900 M€ 2019[2]
Résultat net 50,1 M€ (consolidé) 2018

Akka Technologies est un groupe d'ingénierie et de conseil en technologies, fondé et dirigé par Maurice Ricci. Le groupe est positionné sur l'ensemble des secteurs d'activités industriels et tertiaires, à savoir notamment aéronautique, automobile, défense, énergie, ferroviaire, spatial, système d'information, télécommunications. Les sociétés du groupe disposent de plus de cinquante implantations en France ainsi qu'en Allemagne, Belgique, Espagne, Inde, Italie, Maroc, Roumanie, Royaume-Uni, Chine, Amérique du Nord et Suisse.

Comme de nombreuses autres entreprises de services du numérique (ESN), Akka Technologies effectue des recrutements massifs pour suivre sa croissance et augmenter ses effectifs. Le groupe a la particularité de posséder un centre de recherche et développement interne nommé Akka Research.

Genèse d'Akka Technologies

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L'histoire des premières sociétés du groupe Akka Technologies remonte à 1984 avec la création par Maurice Ricci de l'entreprise Hysys, d'une dizaine de personnes. En quelques années, trois autres sociétés sont créées par Maurice Ricci. En 1999, il rassemble ses entreprises spécialisées en conseil et ingénierie sous le nom d'Akka Technologies. Le nom du groupement est trouvé par Franck Isaac-Sibille, vice-président et manager général du Lyon OU, qui est alors à la tête d'une société de communication[3].

Acquisitions pour se diversifier

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En acquérant la société Assip en 2000, Akka Technologies double de taille. Assip possède une activité dans l'ingénierie mécanique auprès de grands constructeurs automobiles. En 2003, Akka Technologies acquiert BE System, un bureau d'études tourné vers les secteurs de l'aéronautique, du spatial et de la défense[4]. Fin 2004, acquisition de la branche nucléaire de la société Teuchos, filiale du groupe Snecma[5]. En mars 2005, Akka Technologies acquiert la société Infotechlog pour renforcer son expertise en conception et ingénierie d’informations technologiques[6].

Développement européen focus Allemagne

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Le , le groupe est introduit en bourse sur l'eurolist d'Euronext Paris[7]. Le , Akka Technologies acquiert Silogic[8],[9]. En , Akka Technologies effectue un rapprochement avec SD&A, une entreprise belge[10]. Le , Akka Technologies acquiert Coframi[11].

Répartition du groupe par zones géographiques en 2015[12].
Présentation de la voiture autonome Link&Go au Geneva MotorShow de 2013.

En décembre 2009, Akka Technologies acquiert Ekis, une société spécialisée dans la sureté de fonctionnement, l'ingénierie documentaire et le soutien logistique intégré[13],[14]. Dans le même temps, la société dirigée par Maurice Ricci entre dans le capital de Real Fusio. Créée en 2004, cette société est spécialisée dans le domaine de la réalité virtuelle et de la simulation pour les marchés de l'aéronautique, du spatial et de la défense[13],[14].

En juillet 2011, Akka Technologies acquiert la société toulousaine Aeroconseil, employant 1 200 personnes[7]. Cette acquisition permet à Akka Technologies de proposer une couverture complète des métiers de l’aéronautique en ingénierie, sur toute la durée de vie du produit : de la recherche et développement à la conception jusqu'à l’industrialisation[15].

En 2012, la société acquiert 65 % de la société allemande MBtech, filiale d'ingénierie de Daimler-Benz[7],[16]. L'opération fait passer ses effectifs de 7 000 à près de 10 000 ingénieurs, principalement en Europe, et aussi en Amérique du Nord et en Chine.

En 2014, Akka Technologies acquiert la société de conseil en technologies allemande Auronik[17].

En 2015, Akka Technologies franchit le cap du milliard d'euros de chiffre d'affaires[7].

Augmentation de capital de 2020 et relance de l'activité

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Début 2020, la crise liée à l'épidémie de Covid-19 fait chuter le chiffre d'affaires d'Akka, qui annonce en mai un recul de 15 % sur le premier semestre de l'année[18]. Akka est affecté par les arrêts de projets et les crises de production dans les secteurs aéronautiques et automobiles et anticipe un retour au positif à partir du troisième trimestre[19].

La Compagnie nationale à portefeuille, véhicule d'investissement de la famille des descendants d'Albert Frère, décide alors d'investir 150 millions d'euros pour permettre de relancer l'activité, à côté du groupe Ricci qui investit 50 millions. L'opération se fait le 6 octobre 2020, au prix de 22,50 €/action, soit une prime de 43 % par rapport au cours de bourse de la veille qui était de 15,74 €. Le cours de bourse monte immédiatement à 22 €[2].

Fin 2020, Akka annonce la suppression de 900 emplois, principalement dans la région Occitanie[20]. Au premier semestre 2020, le groupe enregistre une perte nette de 57,4 millions d'euros, avec un chiffre d'affaires en recul de 20,3 %[21].

Début 2021, une association syndicale composée de la CFDT, la CFE-CGC, la CFTC, la CGT, la FO et l'UNSA monte au créneau. L'intersyndicale encourage les ingénieurs à venir se manifester jeudi 21 janvier[22].

Rachat par le Groupe Adecco et fusion avec Modis

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En juillet 2021, Adecco annonce l'acquisition d'Akka Technologies pour 2 milliards d'euros[23].

Akka cesse toute publication financière à la suite de son retrait de la cote[24].

En octobre 2022, Akka fusionne avec l'entreprise allemande Modis et devient Akkodis[25].

Actionnaires

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À la suite de l'augmentation de capital du 6 octobre 2020[2], les principaux actionnaires sont :

Nom %
Ricci (famille) 38,5 %
Compagnie nationale à portefeuille 21,4 %
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
Nombre de salariés 1 690 2 322 3 271 5 205 5 110 5 630 6 910 10 000 11 000[26] 10 600[27] 12 200[28] 13 252 15 515 21 000
Chiffre d'affaires 119,5 M€ 160,1 M€ 353 M€ 381,5 M€ 332 M€ 400 M€ 474 M€ 827 M€ 879 M€[26] 886 M€[27] 1002 M€[28] 1227,2 M€ 1334,4 M€ 1505 M€

Recrutement

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Plans de recrutement massif

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À l'instar des grandes entreprises de services du numérique (ESN), le groupe Akka Technologies lance régulièrement des plans de recrutement massifs pour conserver et augmenter ses effectifs, et compenser le taux élevé de turnover[29]. Par exemple en 2018, le groupe compte 16 300 collaborateurs au début d'année et a pour objectif le recrutement de 3 000 personnes[30].

Stratégies de recrutement

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Présentation du projet Air-Cobot lors du Akka Jobs Day de 2016 à Paris.

Akka Technologies recrute prioritairement des personnes de niveau bac+5, si possible issues des écoles d'ingénieurs partenaires et cibles. Les embauches sont majoritairement en contrat à durée indéterminée Étant donné que les projets deviennent de plus en plus transnationaux, les candidats polyglottes sont recherchés. Les capacités d'évolution dans l'entreprise et la mobilité géographique sont également des critères d'importance. Lors du recrutement, les candidats s'entretiennent avec un chargé de recrutement et également des ingénieurs d'affaires et responsables techniques[30].

Le groupe cherche à augmenter son attractivité auprès des étudiants au travers d'opérations de recrutement originales. Chaque année, le groupe organise le « Challenge Akka », un évènement de recrutement aux sports d'hiver, durant trois jours en mars à Serre-Chevalier, auquel cent cinquante futurs diplômés des grandes écoles sont invités[31],[32],[33]. Dans 20 % des cas, le week-end se solde par une embauche[34]. Des soirées de recrutement, nommées Bar Akka, ont eu lieu à Paris et à Toulouse. Les entretiens d'embauche ont été réalisés lors d'apéritifs dans des bars[33],[35]. Lors de ses journées de recrutement, le groupe met en avant son souci de recruter également des personnes handicapées. En 2016, son engagement de recrutement de salariés en situation de handicap s'élève à 60 personnes[36].

Le , Akka Technologies lance l’événement Akka Jobs Day, une journée de recrutement dans la galerie d'art Joseph à Paris[36]. Ce dernier a pour ambition d'attirer plus de 1 000 candidats[30]. Une animation de réalité virtuelle et un film 3D animent la journée. Les projets d'innovation du groupe sont mis en avant et exposés sous forme de toiles, photos et maquettes en trois dimensions. Des spécialistes les présentent et des recruteurs s'entretiennent avec les candidats[30],[36]. Après une campagne de communication dans les journaux[37] et les écoles d'ingénieurs[38], l'évènement est relayé sur twitter avec l'hashtag #AkkaJobsDay et sur la chaîne YouTube du groupe[39].

Akka Research

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Logo d'Akka Research, le centre de recherche et développement interne du groupe AKKA Technologies.

Akka Research, anciennement le Centre de Recherche et de Développement des Technologies Alternatives (CRDTA), est le centre de recherche et développement interne du groupe AKKA Technologies[40],[41]. Il permet aux ingénieurs, jeunes diplômés et stagiaires, via une plate-forme multi-sites, de mutualiser leurs compétences et savoir-faire pour imaginer et concevoir les solutions technologiques du futur. Le centre de recherche développe à la fois de nouveaux marchés, mais aussi les compétences des collaborateurs, en phase avec les enjeux des clients. Chaque année, près de 300 ingénieurs collaborent sur les projets d'Akka Research[41].

Parmi les projets de recherche, il y a :

  • Air-Cobot, le premier robot mobile collaboratif qui inspecte les avions lors des opérations de maintenance[42] ;
  • Co-friend, un système de vidéo-surveillance intelligent pour l'optimisation du travail des équipes au sol dans les aéroports[43] ;
  • InGeoCloudS, un outil favorisant l'accès à une base de données géologiques, employé par des organismes européens pour l'étude et la prévention des catastrophes naturelles et la gestion de l'état des eaux souterraines[44],[45] ;
  • Link&Go, une voiture autonome hautement connectée dans la ville du futur[46] ;
  • Plume S3L, conception d'une structure composite ultra-légère pour sièges d'avions[47] ;
  • Omega, un véhicule aérien sans pilote[48].

Akka-ASP team

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Mercedes-AMG GT3 de l'écurie de sport automobile Akka-ASP team.

Lancée en 1999 par le pilote Jérôme Policand, l'écurie de sport automobile Auto Sport Promotion était associée depuis 2004 à SOFREV, réseau d'entreprise de peinture en bâtiment. Début 2015, le groupe Akka Technologies devient le partenaire titre de l'écurie, basée à Rabastens dans le Tarn, qui se renomme Akka-ASP team. Mauro Ricci, dirigeant du groupe, est pilote au sein de l’équipe[49]. En 2015, l'écurie remporte deux titres, un premier au Blancpain Endurance Series dans la catégorie AM et un deuxième par équipe au Championnat de France FFSA GT 2015[50]. En 2016, après dix années de collaboration avec le constructeur Ferrari, l'écurie choisit de travailler avec Mercedes-Benz. Elle s'équipe de trois Mercedes-AMG GT3 et conserve une Ferrari F458 GTE. Cette même année, l'équipe participe aux championnats européens de course automobile : Blancpain Sprint Series et Blancpain Endurance Series[51],[52].

Controverses

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Licenciements abusifs

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Licenciements isolés de syndicalistes

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En 2008, à Casablanca, Akka Technologies licencie neuf salariés syndiqués à l'union générale des travailleurs du Maroc (UGTM). Cette dernière considère que l'entreprise cherche à dissuader les salariés de se syndiquer[53]. Début 2016, une manifestation de la CGT, rassemblant quarante personnes, a lieu devant Akka Belfort pour soutenir un salarié syndicaliste menacé de licenciement[54].

Salariés, une variable d'ajustement

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La crise économique de 2009 touche de nombreux secteurs du groupe. Les contrats de travail des consultants d'Akka Technologies, qui interviennent majoritairement chez des clients, et continuent à percevoir leurs salaires entre deux missions, sont assortis d'une clause de mobilité. Murielle André-Hochart, directrice des ressources humaines, explique qu'au-delà de trois refus de mission par un consultant, il est nécessaire de le licencier[55]. La même année, dans le secteur automobile, au lieu de faire un plan social, le groupe procède à des licenciements pour des motifs personnels fallacieux de consultants d'Akka Technologies qui se sont retrouvés sans mission[56]. Comme le souligne, le site web d'information et d'opinion Mediapart, les salariés servent de variable d'ajustement[57]. Fin 2015, deux sociétés du groupe, Akka ingénierie produit et Akka ingénierie documentaire, ont été condamnées par la cour d'appel de Toulouse pour licenciement sans cause réelle et sérieuse d'un de leurs employés[58].

Salaire de son dirigeant

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En 2012, le site web français d’informations économiques Le Journal du Net présente un article sur les salaires des grands patrons des sociétés de services en ingénierie informatique qui ont le plus augmenté. Maurice Ricci arrive en première position avec une rémunération de 642 000 euros, en hausse de 60,5 % sur un an. Sa rémunération sur cette année est supérieure à la croissance du résultat net d'Akka +50,2 % (40,4 millions d'euros) mais inférieure à celle du chiffre d'affaires +74,5 % (827,3 millions d'euros)[59].

L'hebdomadaire lyonnais Tribune de Lyon publie chaque année sur un sujet polémique : l'estimation des revenus des patrons lyonnais. Selon ce journal, le salaire du dirigeant d'Akka Technologies Maurice Ricci est estimé à 5,1 millions d'euros en 2013[60], puis 3,486 millions d'euros en 2014[61]. Tandis que, le document de référence d'Akka Technologies indique une rémunération due à son président-directeur-général d'un montant de 589 000 euros en 2013, puis 569 000 euros en 2014[62].

L'année suivante, Le Journal du Net présente un autre article et annonce qu'officiellement Maurice Ricci a reçu un salaire fixe de 561 000 euros. Le dirigeant a aussi été rémunéré au travers d'un contrat de prestation de services entre Akka Technologies et sa société BMC Management and Investment, pour un montant de 642 000 euros. Maurice Ricci vend 400 000 actions de son entreprise contre 11,6 millions d'euros en [63].

Partenariat ou mécénat

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Depuis janvier 2011, Akka Technologies est partenaire de Nos Quartiers ont des Talents (NQT), association française œuvrant en faveur de l'égalité des chances. Le groupe fournit un dispositif de parrainage de jeunes diplômés issus de quartiers sensibles et ayant des difficultés d'insertion professionnelle. Des collaborateurs volontaires les accompagnent dans leur insertion[64].

Akka Technologies soutient le concours allemand Jugend forscht (« la jeunesse cherche ») dans la région Bade-Wurtemberg depuis 2012. Ce concours a pour objectif d'inciter de jeunes adultes à faire de la recherche dans les domaines de la technologie et de la science, de les inspirer et de soutenir des nouveaux talents. Akka Technologies est représenté dans la région par MBtech, le deuxième plus grand employeur de la ville de Sindelfingen[64],[65].

Notes et références

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  1. a b et c Document de référence 2015, p. 18.
  2. a b et c Simon Souris, « La CNP entre au capital d'Akka Technologies », L'Echo,‎ (lire en ligne)
  3. Frank Viart, « Maurice Ricci, le Lyonnais qui a construit Akka Technologies », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. Akka Technologies s'offre BE System
  5. La branche nucléaire TEUCHOS intègre le groupe AKKA Technologies
  6. Acquisition majeure pour AKKA Technologies, Infotechlog rejoint le Groupe
  7. a b c et d Akka Technologies franchit le mur du milliard d'euros
  8. Acquisition de la société Silogic
  9. Le groupe Akka Technologies finalise l'achat de Silogic
  10. Nouvelle étape à l’international : AKKA Technologies se positionne pour devenir le leader du Conseil et de l’Ingénierie en Belgique
  11. Acquisition de la société COFRAMI
  12. (Document de références 2015, p. 15)
  13. a et b Akka : acquisition de la société Ekis
  14. a et b Akka Technologies acquiert Ekis
  15. Alten, Akka Technologies, Sopra Group
  16. Akka Technologies finalise l'acquisition de MBtech
  17. Akka Technologies acquiert la société de conseil en technologies allemande Auronik
  18. Le Figaro avec AFP, « Akka prévoit une baisse de 15% du chiffre d'affaires au 1er semestre », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  19. Zone Bourse, « Akka Technologies : anticipe une reprise progressive au T3, mais le T2 sera difficile | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  20. « Miné par la crise due au Covid, le groupe Akka va supprimer 900 emplois en grande majorité à Blagnac, près de Toulouse », sur France 3 Occitanie (consulté le )
  21. « Akka (ingénierie) envisage de supprimer 900 emplois en France », sur LEFIGARO (consulté le )
  22. « Chez Akka Technologies, les syndicats tentent de mettre la pression », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. (en) John Revill, « Adecco Group to buy AKKA Technologies in $2.4 billion deal », sur Reuters,
  24. « Akka Technologies cesse ses publications financières », sur Boursier.com (consulté le )
  25. « Chez Akkodis, un dialogue social impossible sur fond de stress au travail », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. a et b Akka Technologies, résultats annuels 2013
  27. a et b Akka Technologies, résultats annuels 2014
  28. a et b Akka Technologies, résultats annuels 2015
  29. Véronique Arène, « Les SSII continuent à recruter à tour de bras », Le Monde Informatique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. a b c et d « Akka: l'entreprise qui recrute! », sur talenteo.fr, Talenteo, (consulté le )
  31. Julie Le Bolzer, « AKKA Technologies fait venir des jeunes ingénieurs au sommet », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. Pascale Kroll, Clarisse Juompan, Sylvie Aghabachian et Gwénolé Guiomard, GO bac +5: le guide des opportunités de carrières 2006, Hobsons France, , 446 p. (ISBN 9782914077408, lire en ligne), p. 71
  33. a et b « Akka Technologies monte un bar éphémère et itinérant pour recruter », sur zonebourse.com, Zonebourse, (consulté le )
  34. Charles-Henri Besseyre Des Horts, RH au quotidien : 100 fiches, Dunod, , 688 p. (ISBN 9782100740895, lire en ligne), p. 215
  35. (es) Beatriz Junquera Cimadevilla et Esteban Fernández Sánchez, Iniciación a los recursos humanos, Septem Ediciones, , 294 p. (ISBN 9788415279686, lire en ligne), p. 122
  36. a b et c « Akka Jobs Day : une journée de recrutement 2.0 », sur start.lesechos.fr, Les Échos, (consulté le )
  37. « Akka Jobs Day », 20 Minutes, no 2997,‎ , p. 13 (lire en ligne [PDF], consulté le )
  38. « Akka Jobs Day », sur carrieres.centraliens.net, Centrale Paris Carrière (consulté le )
  39. [vidéo] « AKKAJOBSDAY, l'art de l'innovation », sur YouTube
  40. Actunews, « Akka Technologies : Inauguration du CRDTA », Boursorama, (consulté le )
  41. a et b « Innovation Akka Research », sur recrutement.akka.eu, Akka Technologies (consulté le )
  42. Xavier Martinage, « Air-Cobot : le robot dont dépendra votre sécurité », sur lci.tf1.fr, La Chaîne Info, (consulté le ).
  43. Frédéric Parisot, « Co-Friend, le système d’analyse d’images qui réduit les temps d'immobilisation des avions », sur usine-digitale.fr, Usine Digitale, (consulté le ).
  44. « Présentation d'InGeoCloudS », sur ingeoclouds.com, InGeoCloudS (consulté le ).
  45. Cercle Finance, « Akka Technologies: retenu pour le projet InGeoCloudS », sur bfmbusiness.bfmtv.com, BFM TV, (consulté le ).
  46. Marie-Annick Depagneux, « Link & Go, la Google car française », sur acteursdeleconomie.latribune.fr, La Tribune, (consulté le ).
  47. « Akka travaille à rendre plus légers les sièges d'avions », sur leprogres.fr, Le Progrès, (consulté le ).
  48. (es) « AKKA investiga el diseño y fabricación de drones con el Proyecto OMEGA », sur estrelladigital.es, Estrella Digital, (consulté le ).
  49. Laurent Mercier, « Interview croisée Jérôme Policand/Maurice Ricci (Team AKKA-ASP) », sur endurance-info.com, Endurance-Info, (consulté le )
  50. « Championnat de France GT FFSA - Paul Ricard (24/25 oct. 2015) » [PDF], sur jerome-policand.com, Jérôme Policand, (consulté le )
  51. « Blancpain GT Series », sur jerome-policand.com, Jérôme Policand (consulté le )
  52. François Leroux, « Le team Akka-ASP de Jérôme Policand passe chez Mercedez », sur autonewsinfo.com, Auto News Info, (consulté le )
  53. Omar Radi, « Akka Technologies licencie neuf syndicalistes », sur medias24.com, Médias 24, (consulté le )
  54. Didier Planadevall, « Belfort : manif de la CGT devant Akka contre une menace de licenciement », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le )
  55. Marie-Annick Depagneux, « Quand les juges s'immiscent dans le management », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le )
  56. « En 2009, certaines SSII ont dégraissé sans plan social », sur munci.org, Munci, (consulté le )
  57. Nicolas Séné, « La douteuse gestion de la crise d'Akka Technologies », sur mediapart.fr, Mediapart, (consulté le )
  58. « Akka, deux sociétés du groupe condamnées solidairement », sur cg-as.com, Alliance Sociale, (consulté le )
  59. Dominique Filippone, « SSII : les salaires des grands patrons qui ont le plus augmenté, 1er - Maurice Ricci (Akka Technologies) : +60,5 % », Le Journal du Net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  60. Vincent Lonchampt, « Les vrais revenus des patrons lyonnais », Tribune de Lyon,‎ (lire en ligne, consulté le )
  61. Eric Jacquet et Olivier Ginon, « Lyon : qui sont les patrons les mieux payés en 2014 ? », LyonMag,‎ (lire en ligne, consulté le )
  62. Virgile Juhan, « Le salaire des dirigeants des plus grandes SSII françaises : Maurice Ricci 569 000 euros », Le Journal du Net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  63. La Rédaction, « Le salaire des dirigeants des plus grandes ESN françaises en 2016 : Maurice Ricci (Akka) : 561 000 euros (et 642 000 euros versés à son entreprise) », Le Journal du Net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  64. a et b (Document de références 2015, p. 49)
  65. (de) Jugend forscht: Unsere Sponsoren

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Articles connexes

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Liens externes

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