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Vernissage de la XIe exposition internationale du surréalisme intitulée L'Écart absolu, en hommage au socialiste utopiste Charles Fourier, à Paris, galerie de la revue L'Œil[2].
Création collective du Désordinateur : armoire anthropomorphe munie d'une vitre sans tain et de boutons sur lesquels le visiteur était invité à appuyer éclairant ainsi un objet correspondant à un texte du catalogue[3].
Cette année-là
Ruth Henry fait paraître en Allemagne la première anthologie de textes surréalistes traduits par ses soins[4].
Les Petits pois sont verts… les petits poissons rouges…, huile sur toile[10]. Cette peinture illustre la jaquette de l'ouvrage de Breton, Le Surréalisme et la peinture.
↑Collection Langlois. Reproduction dans Adam Biro & René Passeron (sous la direction de), Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre, Genève & Presses universitaires de France, Paris, 1982,, p. 24.
↑Reproduction dans Biro, op. cit., p. 56. Dans le film de Michel Zimbacca, Ni d'Eve ni d'Adam (1966), Jean Benoît apparaît quelques secondes dans ce costume du Nécrophile. En complément de programme du DVD L'Invention du monde de M. Zimbacca, Jean-Louis Bédouin & Benjamin Péret, réédition de 2010.
↑Reproduction dans Obliques no 14-15, éditions Borderie, Nyons, 1977, p. II.