Véronique Riotton
| Véronique Riotton | |
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| Fonctions | |
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| Présidente de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire de l'Assemblée nationale (intérim) | |
| – (1 mois et 26 jours) |
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| Législature | XVe (Cinquième République) |
| Prédécesseur | Barbara Pompili |
| Successeur | Laurence Maillart-Méhaignerie |
| Députée française | |
| En fonction depuis le (7 ans, 4 mois et 11 jours) |
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| Élection | 18 juin 2017 |
| Réélection | 19 juin 2022 |
| Circonscription | 1re de la Haute-Savoie |
| Législature | XVe et XVIe |
| Groupe politique | LREM |
| Prédécesseur | Bernard Accoyer |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Bonneville (Haute-Savoie, France) |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | LREM |
| Diplômée de | INSEEC Chambéry |
| Profession | Coach en ressources humaines |
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Véronique Riotton, née le à Bonneville (Haute-Savoie), est une femme politique française.
Membre de La République en marche (LREM), elle est élue députée dans la 1re circonscription de la Haute-Savoie lors des élections législatives de 2017 et réélue en 2022.
Elle est également consultante en ressources humaines.
Biographie
Née d’un père haut-savoyard et d’une mère catalane, mère de deux enfants, Véronique Riotton a pratiqué le patinage artistique en sport-études à Annecy. Elle possède une licence de l’École supérieure de commerce de Chambéry Savoie[1].
Elle a commencé sa carrière dans le développement commercial des entreprises[réf. nécessaire], avant de devenir consultante en ressources humaines[1].
Jusqu’à son élection, son engagement citoyen s’était traduit par un investissement au sein des bureaux de différentes associations dans le lien social, le sport et l’éducation :[réf. nécessaire].
Véronique Riotton fera partie du bureau du comité de soutien des Jeux Olympiques 2018 à Annecy ainsi que Vice-Présidente de l'association Alptitude qui a pour objectif d'accompagner les élèves des classes préparatoires du lycée Berthollet à créer un lien avec le monde de l'entreprise.
Engagement politique
Animée par une volonté d'apporter une vision novatrice de la politique, elle suit Emmanuel Macron et est investie par La République en marche, elle se présente aux élections législatives de 2017 dans la 1re circonscription de la Haute-Savoie. Au deuxième tour, elle obtient 64,32 % des suffrages exprimés face à la candidate Annabel André-Laurent du parti Les Républicains (LR)[2],[3],[4]. Elle succède à Bernard Accoyer, membre de LR et ancien Président de l'Assemblée Nationale.
De 2018 à 2019, elle est vice-présidente du groupe LREM. En 2020, elle est successivement vice-présidente puis présidente par intérim de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire de l'Assemblée nationale.
En septembre 2019, Véronique Riotton est co-rapporteure, avec Stéphanie Kerbarh, du projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire[5] promulguée le 10 février 2020.
Elle est élue vice-présidente de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire de l’Assemblée nationale en [6], puis présidente le mois suivant, succédant à Barbara Pompili, nommée au gouvernement[7]. Laurence Maillart-Méhaignerie lui succède ensuite.
En parallèle, elle est Présidente du groupe d'amitié France-Népal et est élue au bureau des femmes de l'Union interparlementaire, l'organisation mondiale des Parlements nationaux.
Selon Contexte, elle appartient au pôle écologiste du groupe LREM[1]. Elle indique qu'elle « milite pour une écologie pragmatique, pour une alliance entre l’écologie et l’économie », et plaide pour « un Grenelle de l’industrie décarbonée »[7].
Elle préside le Conseil national de l'économie circulaire (CNEC) depuis 2021.
Candidate à sa réélection aux élections législatives 2022, Véronique Riotton est réélue au second tour face à Anne-Valérie Duval (LFI/NUPES) avec 62,65 % des suffrages exprimés.
Altercations
Le , lors des débats sur la loi dite « anti-casseurs », Alexis Corbière, député LFI, s'interrompt au milieu de son intervention et accuse Véronique Riotton, se tenant debout à quelques mètres de lui, de l'avoir insulté. Cette dernière regagne son siège après que le président de séance le lui demande. Elle se défend de toute insulte et assume avoir commenté les propos de son collègue en les qualifiant de « conneries ».[8],[9],[10].
Références
- Yann Guégan et Diane de Fortanier, « La galaxie LRM à l’Assemblée nationale », sur contexte.com, (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur, « Élections législatives 2017 », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
- « Législatives : qui est Véronique Riotton, la nouvelle députée (REM) de la 1re circonscription de Haute-Savoie ? », France Bleu, (lire en ligne, consulté le )
- « Législatives - 2nd tour : qui sont les députés élus en Haute-Savoie ? », France Bleu, (lire en ligne, consulté le )
- « Projet de loi Convention citoyenne : les députés à suivre », sur Contexte, (consulté le ).
- « Assemblée Nationale : Véronique Riotton élue vice-présidente de la commission développement durable », sur ledauphine.com, (consulté le ).
- « La Haute-Savoyarde Véronique Riotton élue présidente de commission à l'Assemblée nationale », sur ledauphine.com, (consulté le ).
- « La colère de Corbière contre cette députée LREM », sur huffpost,
- Jean-Baptiste Daoulas, « Corbière-Riotton : la polémique qu'on aurait pu s'épargner », sur lexpress.fr,
- « Corbière-Riotton : marquage à l'assemblée en images »
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la vie publique :
