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Adinkerque

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Adinkerque
(nl) Adinkerke
Adinkerque
Église d'Adinkerke.
Blason de Adinkerque
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région flamande Région flamande
Communauté Drapeau de la Flandre Communauté flamande
Province Drapeau de la province de Flandre-Occidentale Province de Flandre-Occidentale
Arrondissement Furnes
Commune La Panne
Code postal 8660
Zone téléphonique 058
Démographie
Population 3 087 hab. (1/1/2020[1])
Densité 209 hab./km2
Géographie
Coordonnées 51° 04′ nord, 2° 36′ est
Superficie 1 476 ha = 14,76 km2
Localisation
Localisation de Adinkerque
Localisation d'Adinkerke au sein de La Panne.
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Adinkerque
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Adinkerque
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Adinkerque
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Adinkerque

Adinkerque, (en néerlandais : Adinkerke, en flamand occidental : adiengkerke ou oyenkerke) est une section de la commune belge de La Panne située en Région flamande dans la province de Flandre-Occidentale, elle se situe dans la banlieue de la ville côtière de La Panne à laquelle elle est rattachée. Elle se trouve dans le Westhoek, le long de la frontière française, à trois kilomètres de la côte, sur le canal Nieuport-Dunkerque. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.

Adinkerque[2] est mentionné pour la première fois dans une bulle papale en date du sous la forme « Adenkercka »[3]. « Adin » vient probablement d'un nom de personne, Audo.

On trouve également écrit dans l'histoire avec l'orthographe Œdinkerque[4].

Géographie

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Adinkerque est situé depuis 1977 au sein de la commune de La Panne. Le village est traversé au nord par le Langgeleed, un petit canal, et au sud par le canal Nieuport-Dunkerque.

Au sud du village se trouvent les étangs Markey[5]. Deux nombreux ruisseaux et canaux se trouvent à Adinkerque, dont le Langgeleed.

La limite occidentale d'Adinkerque est la frontière française.

Le village est traversé au sud du canal Nieuport-Dunkerque par l'autoroute A18, se dirigeant vers la frontière franco-belge. C'est également là que se trouve la bretelle de sortie permettant de desservir la Panne et son bord de mer par la N34. Seule route vers La Panne et Plopsaland, celle-ci est régulièrement sujette à des embouteillages[6].

En termes de transport ferroviaire, la gare de La Panne, anciennement baptisée « Adinkerke », est située à Adinkerque. C'est le terminus de la ligne ferroviaire avant la frontière franco-belge. Auparavant, il était possible de relier Dunkerque à Adinkerque par chemin de fer mais le service pour voyageur a pris fin en 1958. Entre 1988 et 1992, des services saisonniers furent rétablis mais ils n'ont pas été reconduits après cette date[7] ; au contraire, un heurtoir a été placé en travers de la ligne à proximité de la frontière. À défaut de liaison ferroviaire transfrontalière, Adinkerque reste desservi par les autobus des transports en commun de Dunkerque.

Les dunes de Cabour, au nord d'Adinkerke, sont le reste des anciennes dunes Adinkerque-Ghyvelde qui s'étaient formées vers -3000 avant J.-C.[3]. Elles se prolongent de l'autre côté de la frontière par la dune fossile de Ghyvelde.

Premier peuplement

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La région était déjà habitée au Ve siècle av. J.-C. Vers la fin de l'âge de fer on pratiquait l'élevage et la production de sel[3].

Époque romaine

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Des traces d'habitation romaine ont été retrouvées, datant d'environ 70-268 après J.-C[3]. La zone actuelle du village aurait été la seule zone des environs à avoir résisté à la transgression marine Dunkerque II vers 250-650 après J.-C. Cette transgression expliquerait l'origine calcaire du sable des dunes de Cabour[3].

Oyenkercke sur la carte de Matthias Quad en 1609.

Un village mérovingien-carolingien florissant était présent sur le site d'Adinkerque au VIIe siècle. Selon le site de la mairie, il s'agirait du Iserae Portus[3].

Entre le Xe et XIIIe siècles, le village médiéval s'était étendu et vivait de l'élevage, de l'agriculture et de la pêche[3]. La zone située entre les dunes et la mer fut par la suite abandonnée[3]. Les dunes visibles actuellement se sont formées entre les IXe et XIIe siècles. Le village était alors au sein d'un comté et des polders permettaient le développement économique et agricole[3]. C'est à cette période qu'est apparue Adinkerque[3].

Au XIe siècle, le territoire faisait partie de la châtellenie de Veurne-Ambacht[3]. Une bulle papale du mentionne « Adenkercka », signifiant que le village comptait alors des habitants[3].

À la suite de la bataille de Cassel d', 76 Adinkerkois furent tués et leurs terres confisquées[8]. En 1469, Adinkerque ne comptait qu'environ 400 habitants du fait notamment de la lutte constante contre le sable et des problèmes sociaux-économiques[3].

La paroisse d'Adinkerque appartenait au diocèse de Thérouanne avant 1553, puis, après 1553, au diocèse d'Ypres[3].

XVIIIe siècle

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Adinckercke sur la carte de Ferraris (1770-1778).

En 1759, Adinkerque comptait 529 habitants[3].

En 1782, pendant la domination autrichienne, un petit village a été fondé par des grands bourgeois de Furnes[3]. L'empereur Joseph II souhaitait en effet favoriser la pêche. Construit entre les dunes et la mer, il a été nommé Jozefsdorp avant de prendre par la suite le nom de Kerckepanne et de devenir plus tard le centre de La Panne. Le hameau a été en 1789 rattaché à la paroisse d'Adinkerque, et en a fait partie administrativement après 1799[3].

En 1793, après sa défaite à la bataille de Hondschoote, le duc Frederick d'York se retire vers Adinkerque et Furnes[9].

XIXe siècle

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À partir de 1801, Adinkerque fut rattaché au diocèse de Gand et finalement à celui de Bruges à partir 1834[3].

En 1845, un plan est proposé visant à créer un port à Adinkerque, permettant de relier Londres à Bruxelles[10].

En 1847, Adinkerque abritait une station de sauvetage des navires, à l'instar de Nieuport, Ostende, Blankenberge et Knokke[11].

XXe siècle

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Le , le hameau de La Panne, qui s'est transformé depuis la seconde moitié du XIXe siècle en station balnéaire et touristique, a été séparé d'Adinkerque, pour redevenir une municipalité indépendante[3].

Première Guerre mondiale

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De juin à , le XV Corps britannique déployé entre Adinkerque et Sint Joris. Également en , la 1st Canadian Casualty Clearing Station (un hôpital de campagne) fut installé à Adinkerque. Les 24e et 39e Casualty Clearing Station ont également été stationnés dans l'Oosthoek (entre Adinkerque et Furnes). C'est à cette date que les premiers corps furent inhumés dans le cimetière[12].

Les 4, 5, 17, 18, 23 et , Adinkerque et ses environs sont canonnés et bombardés[13],[14],[15]. Le , des avions ennemis lancent des grenades sur les hôpitaux des environs d'Adinkerque[16]. Les 23 et , Adinkerque, Furnes, La Panne, et Loo sont de nouveau bombardés[17].

Le , deux destroyers allemands tirent vers Adinkerque puis se retirent avant qu'un combat ne soit engagé[18]. Le , des cantonnements sont bombardés et un appareil allemand est abattu. Son équipage est fait prisonnier[19].

Entre-deux guerres

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Le , la reprise des activités postales en Belgique commence à Adinkerque où les réfugiés sont priés de faire parvenir une demande de réexpédition[20].

Le , le président américain Woodrow Wilson est reçu par le roi et la reine des Belges Albert Ier et Élisabeth en Bavière à Adinkerque. Après une courte entrevue dans le train par lequel le président américain est arrivé, ceux-ci sont partis en voiture afin de visiter le front belge[21].

Seconde Guerre mondiale

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Des batteries allemandes sont positionnées à Adinkerque dès 1940 dans le cadre du Stützpunkt 49. Il s'agissait d'Heeresküstenbatterie. Six abris en briques, 4 bunkers et un bunker de commandement sont également construits[22].

La plupart des Britanniques enterrés au cimetière d'Adinkerque sont décédés entre mai et [12]. En , Adinkerque a abrité la brigade tchèque, composée de 4260 soldats, qui a pris part par la suite au siège de Dunkerque[12].

Après guerre

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Vue de La Panne et Adinkerque (partie supérieure de l'image) de nuit.

En 1977, Adinkerque et La Panne se sont trouvées à nouveau réunies, mais cette fois c'est Adinkerque qui est rattachée à La Panne, devenue plus importante dans l'intervalle.

Politique et administration

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Bourgmestres successifs (avant 1977)

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Avant le rattachement d'Adinkerque à La Panne, la commune avait ses propres bourgmestres.

Bourgmestres d'Adinkerque
Période Identité Étiquette Qualité
1836 1838 Petrus Jacobus Visage    
1838 1852 Jacobus Franciscus Lefebure    
1852 1878 Ludovicus Franciscus Ryckeboer    
1878 1888 Ludovicus Josephus Luyssen    
1888 1893 Edmond Gustaaf Debeerst    
1895 1911 Leopoldus Franciscus Vanhoutte    
1911 1932 Eduard Carolus Vandenberghe    
1932 1942 Camille Remi Debaenst    
1942 1944 Lodewijk Emiel Ryckeboer    
1944 1946 Camille Remi Debaenst    
1947 1972 Joseph Gregorius Albertus Deburchgrave    
1972 1977 Michel Bruynooghe    

Population et société

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Démographie

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Le graphique ci-dessous présente l'évolution de la population d'Adinkerque[3],[23],[24]. Plusieurs éléments sont à prendre en compte. En 1911, ce qui était alors le hameau de La Panne fut séparé d'Adinkerque et devint une commune indépendante. En 1931, Adinkerque annexa le quartier furnois de Bewesterpoort et l'enclave de Veurns Eiland (littéralement, l'« île de Furnes »).

<left>

Activités économiques

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Adinkerque est surtout une localité résidentielle. Du fait de son emplacement près de la frontière, on trouve, outre les boutiques locales, un nombre remarquablement élevé de bureaux de tabac et de stations-service, concentrés principalement autour du canal Dunkerque-Nieuwpoort.

L'église Saint-Audomar et son cimetière.

Adinkerque compte plusieurs cimetières : le cimetière militaire anglais, le cimetière de l'église Saint-Audomar et le cimetière militaire belge[25].

Culture et patrimoine

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Le Langgeleed à Adinkerque.

Plusieurs endroits sont inscrits sur les registres des monuments nationaux de Belgique à Adinkerque.

Le premier est le cimetière militaire anglais d'Adinkerque, situé le long de la Kromfortstroate à 500 mètres au sud de l'église d'Adinkerque. Le cimetière compte 270 tombes de la Première Guerre mondiale, dont 161 Britanniques (dont un Égyptien du Labour Corps), 5 Australiens, 2 Canadiens, 98 Allemands et 4 Russes. Toutes les personnes ensevelies ont été identifiées. Il y a également 95 tombes de la Seconde Guerre mondiale, dont 54 Britanniques (49 sont identifiés), un Australien et 40 Tchèques (dont 1 n'est pas identifié). Le cimetière a un plan rectangulaire entouré d'un petit mur en pièce. Il a une superficie de 1 144 m2. L'entrée du cimetière porte l'inscription « Adinkerke Military Cemetery 1914-1918 1939-1945 »[12].

Le cimetière militaire belge d'Adinkerque, en néerlandais Belgische militaire begraafplaats[26], se trouve derrière l'église d'Adinkerque. Débuté fin , ce cimetière est une extension du cimetière existant. Le cimetière compte 1651 tombes de militaires belges (dont trois n'ont pas été identifiés), un français (enterrés sous une pierre tombale belge) et 67 Britanniques[26]. Deux tombes portent des inscriptions en hébreu[26].

La batterie de campagne d'Adinkerque, qui faisait partie du Stützpunkt 49 est une Heeresküstenbatterie de 6 abris de briques, 4 bunkers et un bunker de commandement. Des trottoirs allemands sont encore présent ainsi que des tranchés et des cratères de bombes remontant à 1944. Deux des quatre bunkers standards, de type Regelbau 611, sont intacts. Les deux autres sont soit détruit soit fortement endommagés. Le bunker de commandement est de type Regelbau 610[22].

Le domaine Cabour, situé au centre-ouest du bourg d'Adinkerque, au sud du canal Dunkerque-Nieuwpoort et au nord de l'autoroute E40, est un ensemble d'éléments patrimoniaux différents[27].

Lieux touristiques

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Plopsaland, parc à thème de 30 hectares, se trouve à Adinkerque[28]. Il accueille notamment des attractions telles que Samson en Gert ainsi que le lutin Plop[29].

Adinkerque a son propre patois : l'Adinkerquois ou Adinkerks en patois[30][source insuffisante].

Héraldique

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Avant 1977 (date de la fusion avec La Panne), Adinkerque avait comme blason : « D'azur à trois losange d'or ».

Personnes liées au village

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Références

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  1. https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
  2. « Adinkerque - La Panne : la frontière belge contrôlée en partie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne)
  3. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s et t Histoire d'Adinkerque
  4. Les volontaires nationaux pendant la révolution: Historique militaire et états de services du 19e bataillon de Paris, dit du Pont-Neuf, au 27e (bataillon de la Réunion), des chasseurs et compagnies franches et du bataillon des grenadiers levés en 1792 sur Google Livres
  5. Réserves naturelles
  6. Trafic sur la N34
  7. Tartart 2014
  8. Pirenne 1900, p. 62
  9. Le Petit Parisien - 8 septembre 1893
  10. Projet de port liant Londres à Bruxelles 1845
  11. Heuschling 1847, p. 198
  12. a b c et d Cimetière militaire d'Adinkerque
  13. La Lanterne - 6 décembre 1917
  14. La Lanterne - 20 décembre 1917
  15. La Lanterne - 24 décembre 1917
  16. La Lanterne - 5 janvier 1918
  17. La Lanterne - 24 mars 1918
  18. L'Ouest-Éclair - 20 avril 1918
  19. La Lanterne - 9 juin 1918
  20. La Lanterne - 28 novembre 1918
  21. La Lanterne - 19 juin 1919
  22. a et b Batterie de campagne d'Adinkerque
  23. Direction générale Statistique
  24. Recensement de 1806 à 2001
  25. « Églises et cimetières », sur le site de La Panne
  26. a b et c Cimetière militaire belge d'Adinkerque
  27. Domaine Cabour
  28. « Meli Park fait son grand retour », RTBF,‎ (lire en ligne)
  29. Parc Plopsaland
  30. Veurns - Mijn Woordenboek
  31. La Lanterne - 7 décembre 1916

Bibliographie

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  • Henri Pirenne, Le soulèvement de la Flandre maritime de 1323-1328, P. Imbreghts, , 317 p. (lire en ligne)
  • (nl) « Adinkerks », sur mijnwoordenboek.nl
  • Commerce de Dunkerque et du Nord, Plan du projet du Port d'Adinkerque et de la ligne de communication entre Londres et Bruxelles par Douvres, Ramsgate et Adinkerque, (lire en ligne)
  • Xavier Heuschling, Manuel de statistique ethnographique universelle : précédé d'une introduction théorique, d'après l'état actuel de la science, A. Wahlen, , 544 p.
  • Le Petit Parisien, « Les Fêtes de Dunkerque », Le Petit Parisien,‎ (lire en ligne)
  • L'Ouest-Éclair, « Des monitors britanniques bombardent Ostende », L'Ouest-Éclair,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Communiqué officielle belge », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Communiqué officielle belge », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Communiqué officielle belge », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Communiqué officielle belge », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Communiqué officielle belge », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Communiqué officielle belge », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Avis des postes belges aux réfugiés », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « Petites nouvelles : Étranger », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • La Lanterne, « La visite de M. Wilson à la Belgique redevenue libre », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  • « Page d'accueil du Parc », sur Plopsaland
  • Olivier Tartart, « Quel avenir pour la ligne ferroviaire Dunkerque-Adinkerke ? », La voix du Nord,‎ (lire en ligne)
  • « Een omleidingsweg voor Adinkerke », sur le site de la Panne,
  • « Réserves naturelles », sur le site de la Panne,
  • « Adinkerke Military Cemetery (ID: 200974) », sur Onroerend Erfgoed
  • « Belgische militaire begraafplaats (ID: 200970) », sur Onroerend Erfgoed
  • « Veldbatterij (ID: 200969) », sur Onroerend Erfgoed
  • « Domein Cabour (ID: 125502) », sur Onroerend Erfgoed
  • « Geschiedenis van De Panne en Adinkerke in een notendop », sur le site de la Panne,
  • « Accueil », sur Direction générale Statistique