Georges Malbrunot

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Georges Malbrunot
Naissance (62 ans)
Montaiguët-en-Forez, Allier
Nationalité Française
Profession Journaliste
Spécialité Géopolitique, Proche-Orient, Moyen-Orient, conflit israélo-palestinien
Médias actuels
Pays Drapeau de la France France
Média Presse écrite
Fonction principale Journaliste au service international
Historique
Presse écrite Le Figaro

Georges Malbrunot, né en avril 1962 dans l'Allier, est un journaliste français, spécialiste du Moyen-Orient et du conflit israelo-palestinien .

Formation

En 1986, il sort diplômé de l'Institut Pratique du Journalisme (IPJ).

Expérience

Il aborde le métier en rédigeant des articles pour le journal La Croix au service « politique intérieure »[1].

Il se rend une première fois en Israël en 1987 lors de la Première Intifada.

À partir de 1994, l'année des Accords d'Oslo, il s'installe au Proche-Orient et 20 ans durant va sillonner la région en tant que correspondant pour l'AFP, pour des journaux français tels que Le Figaro, La Croix, Ouest-France, ainsi que pour Europe 1 et RTL.

En 2003, suite au renversement de Saddam Hussein, il s'installe à Bagdad en Irak.

Le 20 août 2004, Georges Malbrunot, son confrère Christian Chesnot, ainsi que le fixer syrien Mohammed Al-Joundi sont enlevés par l'Armée islamique en Irak alors qu'ils tentaient de se rendre à Nadjaf[2]. Leurs ravisseurs demandent officiellement l'abrogation de la Loi française sur les signes religieux dans les écoles publiques

Le 21 décembre 2004, après 124 jours de détention, soit 4 mois plus tard, les 2 journalistes français sont libérés.

D'après un article d'LCI.TF1 [3] citant le journal The Times la France aurait versé 15 millions de dollars (soit 11,8 millions d'euros) pour leur libération.

Ses travaux

  • Alors qu'il effectue un reportage en Syrie, des sources proches du pouvoir lui révèlent que le criminel de guerre Alois Brunner, ancien officier de la SS responsable de la déportation de 120 000 juifs, serait mort en 1996 sur le territoire syrien où ce dernier s'était alors réfugié dés les années 1950, ce que Damas avait toujours nié depuis. « Il a été mis en terre par une équipe des services de renseignements qui ont griffonné la pierre tombale pour qu’elle ne puisse pas être identifiée en cas de recherche », m’avait indiqué une de ces sources"[4].
  • Il est l'auteur d'articles sur les pourparlers entre la France et le Hamas [5].
  • Il étudie la question de la piste chiite concernant l'assassinat du Premier ministre libanais Rafiq Hariri [6].

Bibliographie

Auteur
Coauteur

Notes et références

Liens externes