Discussion:Rue Boissonade

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Notification Pro patria semper : je ne suis pas convaincu par cet ajout récent. Même si l'on sait d'après cette source primaire qu'un Alexandre M. vivait à cette addresse en 2010 :

  • rien ne nous dit que c'est celui qui est concerné par l'article (je trouve 4 homonymes lors d'une recherche facebook, la déclaration INPI ne permet pas de faire le lien avec celui de l'article) ;
  • rien ne nous dit que cette information est toujours valide ;
  • je ne suis pas sûr que le fait que cette personne habite dans ce bâtiment en fasse un "Bâtiments remarquables et lieux de mémoire" puisque c'est le titre de cette section.

Symac (discuter) 7 avril 2016 à 14:29 (CEST)[répondre]

@Symac :  OK Retiré. — Cordialement, Pro patria semper (d.) 7 avril 2016 à 14:34 (CEST)[répondre]
Notification Pro patria semper : merci. Symac (discuter) 7 avril 2016 à 14:38 (CEST)[répondre]
Notification Symac : il n'y a pas de quoi ! — Cordialement, Pro patria semper (d.) 7 avril 2016 à 14:40 (CEST)[répondre]

Aucune source attestant l'intervention d'Émile Keller en tant que promoteur. § supprimé.[modifier le code]

« Le percement de la rue Boissonade à travers des terrains de cultures maraîchères est dû à Émile Keller, homme politique, né à Belfort le et mort à Paris 6e, le . Il avait épousé le Mathilde Humann (1833-1905), fille de Théodore Humann, député et maire de Strasbourg, et petite-fille de Georges Humann. Ils eurent quatorze enfants, dont Élisabeth, future religieuse, née l'année de l'ouverture de la rue, en 1859, qui donna peut-être son prénom à la première appellation de la rue. »
Supprimé après recherche approfondie, infructueuse, par --2A01:E0A:8B6:30B0:9824:5908:965D:5B81 (discuter) 18 juillet 2022 à 16:02 (CEST)[répondre]

Va pour le retrait du name droping[modifier le code]

... mais ici les anciens résidents ne mangent pas de pain et permettront peut-être de tirer au clair la question de divergence entre l'ancienne et l'actuelle numérotation, pour peu que l' on veuille bien s'y atteler ...
Voici l'ancienne liste supprimée :
« Avec plus de cinq cents personnalités recensées[réf. nécessaire], la rue Boissonade est une pépinière d'artistes peintres, sculpteurs, écrivains, etc. Ce fut l'adresse de Jean-Marie Faverjon, le premier artiste peintre arrivé en ce lieu, Henri Brun, Marie-Léon Chevreuil, Isidore Bonheur (le frère de Rosa), Gustave Germain, Émile Chatrousse (l'ami de Victor Hugo), Léon Delagrange (pionnier de l'aviation), l'explorateur Gabriel Bonvalot… auxquels ont succédé Raymond Legueult, André Hambourg, Hermine David, Charles Picart Le Doux, Conrad Kickert, Bessie Davidson, Mané Katz, Werner Hartmann, Lars Bo, Karl Guerardt, Solon Bordglum, Marta Leijonheilm, Antônio Parreiras, Nils Kreuger, Suzanne Baumé, Paul Fort, Charles-Ferdinand Ramuz, Henri-François Rey, David Rousset, Jean Paulhan, Louis Durey du Groupe des Six, Gabriel Allignet, ainsi que la peintre Yvonne Ziegler et sa compagne Suzanne Leclézio, toutes deux résistantes et déportées durant la Seconde Guerre mondiale[1]. Puis, plus récemment : Guy Béart, Jean Le Poulain, Corinne Le Poulain, Nathalie Sarraute, Sabine Haudepin, Anne-Lise Stern »
Récupérée dans l'historique de l'article par --2A01:E0A:8B6:30B0:9824:5908:965D:5B81 (discuter) 18 juillet 2022 à 17:09 (CEST) modifié --2A01:E0A:8B6:30B0:70D8:BB9E:3F45:5E21 (discuter) 29 juillet 2022 à 10:36 (CEST)[répondre]

Ce n'est pas du name droping si c'est sourcé et si les personnalités ont un article Wikipédia. Ça fait pleinement partie de l'histoire de la rue. Polymagou (discuter) 19 juillet 2022 à 01:24 (CEST)[répondre]
  1. (en) « Suzanne Leclézio, une résistante Janvier 2020 », sur flipsnack.com