« Casque de vélo » : différence entre les versions

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Ian Walker a réalisé en 2016 une étude<ref>{{Lien web|langue=en|titre=Helmet wearing increases risk taking and sensation seeking|url=http://www.bath.ac.uk/research/news/2016/01/25/helmet-wearing-risk-taking/|site=www.bath.ac.uk}}.</ref> montrant que le port du casque a aussi une conséquence sur le cycliste lui-même, en l'incitant à prendre plus de risques. Une analyse de 23 études sur l'existence ou non d'un effet de compensation de prise du risque créé par le port du casque à vélo a trouvé que seules les études de Ian Walker allaient dans le sens de l'existence de cet effet, et que 18 études d'autres chercheurs trouvaient des résultats opposés<ref>{{Lien web |langue=en |auteur= |titre=Bicycle helmets and risky behaviour: A systematic review |url=https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1369847818305941 |site= |date= |consulté le=}}</ref>.
Ian Walker a réalisé en 2016 une étude<ref>{{Lien web|langue=en|titre=Helmet wearing increases risk taking and sensation seeking|url=http://www.bath.ac.uk/research/news/2016/01/25/helmet-wearing-risk-taking/|site=www.bath.ac.uk}}.</ref> montrant que le port du casque a aussi une conséquence sur le cycliste lui-même, en l'incitant à prendre plus de risques. Une analyse de 23 études sur l'existence ou non d'un effet de compensation de prise du risque créé par le port du casque à vélo a trouvé que seules les études de Ian Walker allaient dans le sens de l'existence de cet effet, et que 18 études d'autres chercheurs trouvaient des résultats opposés<ref>{{Lien web |langue=en |auteur= |titre=Bicycle helmets and risky behaviour: A systematic review |url=https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1369847818305941 |site= |date= |consulté le=}}</ref>.


D'après une étude de l’[[Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux|IFSTTAR]], l’effet protecteur du casque est plus marqué pour les blessures sérieuses à la tête (réduction de 70 %) et moins marqué en agglomération que hors agglomération<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Emmanuelle Amoros|auteur2=Mireille Chiron|auteur3=Jean-Louis Martin|auteur4=Bertrand Thélot|auteur5=Bernard Laumon|titre=Efficacité du casque à vélo sur les blessures à la tête, au visage et au cou|éditeur=IFSTTAR|année=2013|pages totales=25|lire en ligne=http://actions-incitatives.ifsttar.fr/fileadmin/uploads/recherches/geri/velo/sem/Velo-juin2013/AmorosGeriVelo2013.pdf|passage=18-19}}.</ref>.
D'après une étude de l’[[Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux|IFSTTAR]], l’effet protecteur du casque est plus marqué pour les blessures sérieuses à la tête (réduction de 70 %) et moins marqué en agglomération que hors agglomération<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Emmanuelle Amoros|auteur2=Mireille Chiron|auteur3=Jean-Louis Martin|auteur4=Bertrand Thélot|auteur5=Bernard Laumon|titre=Efficacité du casque à vélo sur les blessures à la tête, au visage et au cou|éditeur=IFSTTAR|année=2013|pages totales=25|lire en ligne=http://actions-incitatives.ifsttar.fr/fileadmin/uploads/recherches/geri/velo/sem/Velo-juin2013/AmorosGeriVelo2013.pdf|passage=18-19}}.</ref>. Une réduction similaire (de 72%) des blessures sérieuses à la tête chez les cyclistes casqués par rapport aux cyclistes sans caques a été observée par une étude sur 700 cyclistes passés aux urgences de la ville de New-York.<ref>{{Lien web |langue=en |auteur= |titre=Bicycle helmets are highly protective against traumatic brain injury within a dense urban setting |url=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26254573/ |site= |date= |consulté le=}}</ref>


L'étude française SERAC (Suivi des enfants réanimés à la suite d’un accident de la circulation) de 2006 contenait 139 cas d'enfants cyclistes. Tous les enfants cyclistes réanimés à la suite d'un accident étaient non casqués sauf un pour lequel l’information sur le casque n’était pas connue.
L'étude française SERAC (Suivi des enfants réanimés à la suite d’un accident de la circulation) de 2006 contenait 139 cas d'enfants cyclistes. Tous les enfants cyclistes réanimés à la suite d'un accident étaient non casqués sauf un pour lequel l’information sur le casque n’était pas connue.

Version du 31 juillet 2020 à 18:21

Un casque de vélo.

Un casque de vélo est un dispositif de protection de la tête destiné à être porté en circulant à vélo. Destiné à réduire les risques de traumatismes crâniens en cas de choc à la tête et à optimiser l'aérodynamique du cycliste, la question de son utilité dans le cadre d'une pratique cycliste utilitaire est vivement débattue.

Description

Cycliste sanglant son casque
Cycliste avec casque

Un casque de vélo enveloppe la partie supérieure du crâne au-dessus des yeux et des oreilles, en descendant davantage à l'arrière du crâne.

Constitution

L'essentiel du casque est constitué d'un matériau absorbant les chocs sur une épaisseur d'environ 2 cm mais certains modèles utilisant du carton alvéolé ont été homologués.

L'intérieur du casque est matelassé pour assurer un bon confort au contact avec le cuir chevelu. L'extérieur du casque est le plus souvent recouvert d'une fine coque rigide pour limiter la friction en cas d'impact avec vitesse tangentielle et à des fins d'esthétique.

Le casque est muni de sangles jugulaires passant de part et d'autre de chaque oreille et sous le menton pour bien être attaché à la tête. Quelques modèles raccordent les jugulaires au niveau d'un protège-menton.

Un casque de vélo s'adapte aux différentes formes de crâne :

  • par un dispositif d'ajustement au périmètre crânien à l'arrière ;
  • par un dispositif d'ajustement de la longueur des sangles jugulaires sous le menton.

Protection individuelle

Un casque de vélo assure une protection efficace des tissus du scalp en cas de réception sur la tête et atténue les traumatismes crâniens. L'homologation en elle-même repose sur une protection efficace du crâne en cas d'impact à une vitesse normale inférieure d'environ 5,5 m/s[1],[2], soit l'équivalent d'une chute à l'arrêt sans vitesse tangentielle. En revanche l'absence de protection du cou rend le casque de vélo ambigu face aux traumatismes du cou, car le casque augmente significativement la masse de la tête et son moment d'inertie tout en limitant la friction en cas de réception sur la tête.

Aérodynamique et aération

Les casques de vélo se distinguent de la plupart des autres casques par l'aération qu'ils offrent, de manière à limiter l'échauffement du cycliste en effort. Les casques destinés à la vitesse sont conçus pour réduire le coefficient de traînée de la tête du cycliste, améliorant ainsi l'efficacité du pédalage (ex. : cyclisme sur piste). Le casque de vélo peut être rond (casque de BMX).

Législation

Règlements sur le port du casque de vélo, rouge: tous les cyclistes, Rose: obligation de porter sans pénalité, Pourpre: droit partiel, Orange: obligation portant sur l'enfant, bleu: règles locales, vert: non Obligation de port
  • Non obligatoire
  • Quelques obligation locales
  • Obligatoire pour les enfants
  • Règles partiellement appliquées
  • Obligatoire mais mal appliqué
  • Obligatoire
  • Australie

    En Australie, le port du casque est obligatoire depuis 1991. Le nombre de cyclistes hospitalisés et la proportion de blessés touchés au crâne ont continué de baisser mais sans accélération significative[3], alors que la proportion de cyclistes portant un casque est passée en quelques mois de 30 % à 80 %. Par contre, la Fédération des cyclistes australiens a enregistré une baisse de 30 % du nombre de déplacements faits à vélo dans les mois qui ont suivi la loi rendant le casque obligatoire. Cette baisse a été particulièrement importante dans la tranche d'âge des jeunes adultes et des adolescents[4].

    Si on prend en compte l'effet bénéfique pour la santé des déplacements « actifs » à vélo[5], cette mesure a eu un effet globalement négatif en dissuadant une partie des cyclistes de continuer à se déplacer à vélo[6].

    Canada

    Au Canada, le port du casque est obligatoire dans cinq provinces : la Colombie-Britannique, l'Alberta, l'Ontario, chez les moins de 18 ans seulement, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse[7]. Une étude statistique a relevé une diminution de 52 % de la mortalité de jeunes cyclistes en Ontario après le passage de la loi rendant obligatoire le port du casque chez ces derniers[8].

    Toutefois, l'origine de cette baisse est controversée : dans le même temps, au Québec, le nombre de victimes cyclistes a également fortement diminué, sans rendre le port du casque obligatoire, et ce alors que le nombre de cyclistes a augmenté[9].

    Espagne

    En Espagne, le port du casque est obligatoire depuis 2005 sur le réseau de routes nationales hors agglomération, avec une dispense possible par grande chaleur. D'après les données recueillies par la Direction du trafic espagnole et l'université polyclinique de Valencia de 2004 à 2007, la proportion de cyclistes portant un casque parmi les victimes d'un accident de la circulation est passée de 28 % à 48 %, mais la proportion de blessés hospitalisés touchés au crâne n'a pas varié.

    France

    En France, le port du casque est obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans, qu'ils soient conducteurs ou passagers, depuis le 22 mars 2017[10]. Cette mesure fait suite à la recommandation émise le 2 octobre 2015 par le CISR (Comité interministériel de la sécurité routière)[11]. Les associations de promotion du cyclisme urbain – qui sont contre l'obligation du port du casque – ont réagi aux recommandations puis au décret avec des contre-argumentaires[12],[13],[14].

    Le 16 mars 2006, la Commission de la sécurité des consommateurs (CSC) avait recommandé de rendre obligatoire le port du casque à vélo pour les passagers transportés ainsi que pour les enfants de moins de quinze ans[15].

    Reste de l'Europe

    Le port du casque est obligatoire pour tous en Finlande. Il l'était également en Bosnie-Herzégovine jusqu'au 1er mars 2017. Onze pays membres de l'Union européenne ont rendu le port du casque à vélo obligatoire pour les enfants[16] :

    D'après un rapport de T. Krag publié par la Fédération européenne des cyclistes ECF en 2006, environ 25 % des cyclistes finlandais portaient un casque. La mesure est trop récente en Suède pour que des évaluations soient disponibles.

    Dans les pays dans lesquels le vélo est un mode de transport très répandu, plus de 25 % des déplacements aux Pays-Bas et au Danemark, le casque est peu porté (respectivement moins de 1 % et 3 %) et aucune mesure d'obligation n'est envisagée[17]. En Suisse, le port du casque n'est pas obligatoire mais recommandé[18].

    Sport

    casque sur sportif

    Dans le domaine du sport le casque peut aussi avoir une vocation aérodynamique. Dans le cyclisme professionnel sur route, l'obligation du port du casque s'est faite graduellement. Pendant longtemps, les coureurs s'y sont montrés hostiles. En 1991, une proposition de ce type avait provoqué une grève des coureurs cyclistes. La mort d'Andrei Kivilev, le pendant l'épreuve Paris-Nice, a déclenché le remplacement de la recommandation permanente du port du casque émise par l'UCI en obligation[19], effective depuis le 5 mai 2003.

    Efficacité

    D'après le dossier de presse publié le 8 mars 2005 par la Sécurité routière, le vélo représente environ 4 % des déplacements, 4 % des blessés et 4 % des tués en France, et la proportion de blessés touchés au crâne est du même ordre quel que soit le mode de déplacement (17 % à vélo, 24 % en voiture, 26 % à pied)[20].

    Selon une étude de l'American College of Surgeons, le port du casque diminue de 58 % le risque de traumatisme sévère[21]. 75 % à 80 % des accidents mortels à vélo sont des traumatismes crâniens[22],[23]. Le casque protège donc le crâne en cas de chute mais son avantage, sur le plan de la santé publique, reste discuté, du moins chez l'adulte : les études disponibles ne sont pas toutes de grande qualité[24]. Il n'est pas exclu qu'un effet secondaire possible serait une diminution de l'utilisation du vélo[25]. Au Canada, il existe une diminution des admissions hospitalières pour traumatisme crânien mais cette baisse survient avant la mise en route de la législation sur le port du casque et le rôle de cette dernière n'est donc pas clair[26].

    Une étude de Ian Walker en 2007[27] a montré que l'espace séparant le cycliste du véhicule le dépassant est réduit si ce dernier est casqué. Cette étude, menée sur un seul cycliste, n'a pas été reproduite, et ses résultats ont été remis en question en 2013 par d'autres analyses statistiques[28]. Une étude sur une centaine de cyclistes allemands parcourant au total 14.000 km dans Berlin ont trouvé un résultat inverse de celui de I. Walker sur l'effet du casque sur le dépassement : les cyclistes casqués étaient dépassés plus largement.[29]

    Ian Walker a réalisé en 2016 une étude[30] montrant que le port du casque a aussi une conséquence sur le cycliste lui-même, en l'incitant à prendre plus de risques. Une analyse de 23 études sur l'existence ou non d'un effet de compensation de prise du risque créé par le port du casque à vélo a trouvé que seules les études de Ian Walker allaient dans le sens de l'existence de cet effet, et que 18 études d'autres chercheurs trouvaient des résultats opposés[31].

    D'après une étude de l’IFSTTAR, l’effet protecteur du casque est plus marqué pour les blessures sérieuses à la tête (réduction de 70 %) et moins marqué en agglomération que hors agglomération[32]. Une réduction similaire (de 72%) des blessures sérieuses à la tête chez les cyclistes casqués par rapport aux cyclistes sans caques a été observée par une étude sur 700 cyclistes passés aux urgences de la ville de New-York.[33]

    L'étude française SERAC (Suivi des enfants réanimés à la suite d’un accident de la circulation) de 2006 contenait 139 cas d'enfants cyclistes. Tous les enfants cyclistes réanimés à la suite d'un accident étaient non casqués sauf un pour lequel l’information sur le casque n’était pas connue.

    Une étude TECVU de 2017[34] indique que:

    • le risque de fracture crânienne serait divisé par 2, et les lésions neurologiques par 20, pour un emportiérage pratiqué à une vitesse de 15 à 25 km/h[35];
    • le risque de fracture du crane est divisé par 3 lors d'un heurt latéral par un véhicule de tourisme roulant à 45 km/h.

    D'après un rapport de l'IRTAD, les pays qui ont commencé à rendre obligatoire le casque bénéficient d'une réduction de la mortalité de 53% contre 45% seulement dans les pays n'ayant pas de réglementation[35].

    Dans une étude de l'Association allemande des assurances en 2018, qui a évalué des centaines d'accidents de vélo, aucun cycliste portant un casque n'a été tué[36].

    Notes et références

    1. « Un casque de vélo, de quoi ça nous protège vraiment ? », Troyes en selle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    2. EN 1078 (en).
    3. Robinson 2006.
    4. (en) Adam Cresswell et Ashleigh Wilson, « Bike helmets 'do more harm than good' », The Australian,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le vélo, bon pour la santé et pour le moral », sur www.fub.fr, Fédération française des usagers de la bicyclette (consulté le ).
    6. (en-GB) Oliver Milman, « Mandatory bike helmet laws do more harm than good, Senate hears », The Guardian,‎ (ISSN 0261-3077, lire en ligne, consulté le )
    7. Keezer et al. 2007.
    8. Presse Canadienne 2008.
    9. Mémoire remis par Vélo Québec à la commission parlementaire Sécurité des cyclistes, janvier 2000.
    10. Décret n° 2016-1800 du 21 décembre 2016 relatif à l'obligation de porter un casque pour les conducteurs et les passagers de cycle âgés de moins de douze ans, (lire en ligne).
    11. 22 mesures du CISR.
    12. Le casque obligatoire pour les moins de 12 ans [PDF].
    13. Isabelle Lesens, « C’en est fait … les enfants seront marqués d’un casque », sur www.isabelleetlevelo.fr, (consulté le ).
    14. Olivier Razemon, « 10 arguments contre l'obligation du port du casque à vélo », sur L'interconnexion n'est plus assurée, (consulté le ).
    15. Avis relatif à la prévention des traumatismes crâniens dans la pratique de la bicyclette.
    16. « À vélo, le casque obligatoire pour les moins de 12 ans », ministère français de l'Intérieur, 22 décembre 2016.
    17. FUBicy 2009, p. 6.
    18. Recommandation du port du casque (consulté le 4 septembre 2008).
    19. FQSC 2003.
    20. FUBicy 2007.
    21. (en) Helmeted Bicycle Riders Have Significantly Reduced Severity of Injury and Lower Death Rates After an Accident, 8 octobre 2015.
    22. « Le port du casque à vélo : C'est pas obligatoire, c'est juste indispensable » [PDF], Prévention au Canada (revue), no 3, vol. XLV, juillet 2001.
    23. « La lettre de la sécurité routière de la Creuse » [PDF], mai-juin 2015.
    24. Macpherson et Spinks 2008.
    25. De Jong 2012.
    26. Dennis et al. 2013.
    27. Walker 2007.
    28. (en) Olivier, Jake et Walter, Scott R., « Bicycle helmet wearing is not associated with close motor vehicle passing: A re-analysis of Walker, 2007 », PloS one,‎ (lire en ligne).
    29. (de) « Radmesser »
    30. (en) « Helmet wearing increases risk taking and sensation seeking », sur www.bath.ac.uk.
    31. (en) « Bicycle helmets and risky behaviour: A systematic review »
    32. Emmanuelle Amoros, Mireille Chiron, Jean-Louis Martin, Bertrand Thélot et Bernard Laumon, Efficacité du casque à vélo sur les blessures à la tête, au visage et au cou, IFSTTAR, , 25 p. (lire en ligne), p. 18-19.
    33. (en) « Bicycle helmets are highly protective against traumatic brain injury within a dense urban setting »
    34. Rémy Willinger et Caroline Deck, Note de synthèse sur les traumatismes crâniens et leurs séquelles, TEVU, Université de Strasbourg, CNRS, mai 2017
    35. a et b La sécurité routière en France – Bilan 2018 - ONISR
    36. (de) Holger Buchwald, « Millisekunden, die alles entscheiden », (consulté le )

    Annexes

    Bibliographie

    • [De Jong 2012] Piet De Jong, « The health impact of mandatory bicycle helmet laws », Risk Analysis, no 32,‎ , p. 782-790 (lire en ligne).
    • [Dennis et al. 2013] Jessica Dennis, Tim Ramsay, Alexis F. Turgeon et Ryan Zarychanski, « Helmet legislation and admissions to hospital for cycling related head injuries in Canadian provinces and territories: interrupted time series analysis », BMJ, no 346,‎ (lire en ligne).
    • [FQSC 2003] Fédération québécoise des sports cyclistes (FQSC), « Le port du casque désormais obligatoire dans le peloton pro ! », Bulletin du secteur route et piste,‎ (lire en ligne).
    • [FUBicy 2007] « Casque : un dossier qui décoiffe ! », sur FUBicy.org, .
    • [FUBicy 2009] « Généralisation du port du casque à vélo ? Une fausse réponse à l’insécurité routière ! », sur FUBicy.org, 2005, actualisation 2009.
    • [Keezer et al. 2007] Mark Robert Keezer, Anand Rughani, Matthew Carroll et Barbara Haas, « Tête première : Le port du casque et la sécurité de nos enfants », Canadian Family Physician – Le Médecin de famille canadien, vol. 53,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    • [Macpherson et Spinks 2008] Alison Macpherson et Anneliese Spinks, « Bicycle helmet legislation for the uptake of helmet use and prevention of head injuries », Cochrane Database of Systematic Reviews, no 3,‎ (lire en ligne).
    • [Presse Canadienne 2008] La Presse Canadienne, « Port du casque à vélo : le nombre de décès chute de moitié en Ontario », La Presse,‎ (lire en ligne).
    • [Robinson 2006] (en) D.L. Robinson, « No clear evidence from countries that have enforced the wearing of helmets », British Medical Journal, no 332 (7543),‎ , p. 722–725 (lire en ligne).
    • [Walker 2007] Ian Walker, « Drivers overtaking bicyclists: objective data on the effects of riding position, helmet use, vehicle type and apparent gender », Accident Analysis & Prevention, no 39,‎ , p. 417-425 (lire en ligne).

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