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Chronologie du Parti québécois, de 1967, année de fondation du Mouvement souveraineté-association (MSA), jusqu'à aujourd'hui.
Sommaire : | 1967 • 1968 • 1969 • 1970 • 1971 • 1972 • 1973 • 1974 • 1975 • 1976 • 1977 • 1978 • 1979 • 1980 • 1981 • 1982 • 1983 • 1984 • 1985 • 1986 • 1987 • 1988 • 1989 • 1990 • 1991 • 1992 • 1993 • 1994 • 1995 • 1996 • 1997 • 1998 • 1999 • 2000 • 2001 • 2002 • 2003 • 2004 • 2005 • 2006 • 2007 • 2008 • 2009 • 2010 |
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1967[modifier | modifier le code]
- Le 1er avril, René Lévesque et quelque 20 membres réformistes du Parti libéral du Québec se réunissent dans une auberge du Mont-Tremblant, durant la fin de semaine du 1er au 2 avril, afin de discuter de la politique que doivent adopter les libéraux pour reprendre le pouvoir à Québec[1].
- Le 24 juillet, le président de la République française Charles de Gaulle prononce, depuis le balcon de l'hôtel de ville de Montréal, un discours qu'il conclu en s'exclamant : « Vive le Québec libre ! ».
- Le 28 juillet, François Aquin, député de Dorion, quitte le Parti libéral du Québec et siège à titre de député indépendant en raison de son désaccord avec la position de son parti sur la visite de Charles de Gaulle[2][3].
- Le 18 septembre, René Lévesque propose l'adoption, par l'association libérale du comté de Laurier dont il fait partie, d'une résolution à présenter lors du Congrès de la Fédération libérale du Québec prévu pour le mois d'octobre. Le texte qu'il rédige et qui est à la base de son discours ce jour là s'intitule Un pays qu'il faut faire[4] [5].
- Le 19 septembre, Le Devoir publie la première partie de Pour un Québec souverain dans une nouvelle union canadienne, l'option constitutionnelle conçue par un groupe de partisans libéraux mené par René Lévesque. Les deuxième et troisième parties paraissent les 20 et 21 septembre suivant[6] [7].
- Le 13 octobre, ouverture du Congrès de la Fédération libérale du Québec qui se déroule du 13 au 14 octobre au Château Frontenac de Québec[8].
- Le 14 octobre, René Lévesque, député libéral de Laurier, quitte le Congrès de la Fédération libérale du Québec et annonce en conférence de presse à l'Hôtel Clarendon qu'il quitte Parti libéral du Québec et siègera dorénavant à titre de député indépendant en raison du refus de son parti de débattre de sa proposition en matière constitutionnelle. [9]. [10]
- Le 18 novembre, ouverture de la réunion de fondation du Mouvement souveraineté-association (MSA) qui se déroule au Couvent Saint-Albert-le-Grand sur le chemin de la Côte-Sainte-Catherine à Montréal du 18 au 19 novembre[11][12].
- Le 23 novembre, ouverture des premières Assises nationales des États généraux du Canada français qui se déroulent à la Place des Arts de Montréal du 23 au 26 novembre.
1968[modifier | modifier le code]
- Le 6 janvier, René Lévesque lance l'essai Option Québec[13].
- Le 19 avril, ouverture du congrès d'orientation du Mouvement souveraineté-association qui se déroule à l'aréna Maurice-Richard de Montréal du 19 au 21 avril[14].
- Le 4 août, le Ralliement national (dirigé par Gilles Grégoire) se joint au Mouvement souveraineté-association[15].
- Le 11 octobre, ouverture du 1er Congrès national du Parti québécois qui se déroule au Petit colisée de Québec du 11 au 14 octobre[16][17].
- Le 14 octobre, René Lévesque est élu chef du Parti québécois et Gilles Grégoire vice-président[18].
- Le 26 octobre, le Rassemblement pour l'indépendance nationale (RIN) vote sa propre dissolution et recommande à ses anciens membres de se joindre massivement au Parti québécois.
1969[modifier | modifier le code]
- Le 19 septembre, Jacques Parizeau annonce qu'il se joint au Parti québécois[19].
- Le 17 octobre, ouverture du 2e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Montréal du 17 au 19 octobre[20].
1970[modifier | modifier le code]
- Le 29 avril, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 23,06 % des votes des électeurs et fait élire 7 députés sur 108[21].
1971[modifier | modifier le code]
- Le 26 février, ouverture du 3e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Québec du 26 au 28 février[22].
1972[modifier | modifier le code]
- Le 21 mai, Claude Morin annonce qu'il se joint au Parti québécois[23].
1973[modifier | modifier le code]
- Le 23 février, ouverture du 4e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Laval du 23 au 25 février[24].
- Le 29 octobre, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 30,2 % des votes des électeurs et fait élire 6 députés sur 110[25].
1974[modifier | modifier le code]
- Le 15 novembre, ouverture du 5e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Québec du 15 au 17 novembre[26].
1975[modifier | modifier le code]
1976[modifier | modifier le code]
- Le 15 novembre, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 41,37 % des votes des électeurs, fait élire 71 députés sur 110 et accède au pouvoir[27].
1977[modifier | modifier le code]
- Le 27 mai, ouverture du 6e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Montréal du 27 au 29 mai[28].
- Le 26 août, ...
- Sanction de la Loi régissant le financement des partis politiques[29].
- Sanction de la Charte de la langue française[30].
1978[modifier | modifier le code]
1979[modifier | modifier le code]
- Le 23 février, l'exécutif national du PQ rend public son manifeste D'égal à égal[31]
- Le 24 avril, le ministre d'État à la Réforme électorale et parlementaire Robert Burns dépose le livre vert sur le mode de scrutin intitulé Un citoyen, un vote[32].
- Le 1er juin, ouverture du 7e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Ste-Foy du 1er au 3 juin[33].
- Le 21 juin, le premier ministre René Lévesque annonce publiquement qu'un référendum sur l'option constitutionnelle favorisée par son gouvernement sera tenu au printemps 1980[34].
- Le 8 août, Robert Burns démissionne comme ministre d'État à la Réforme électorale et parlementaire et comme député de Maisonneuve[35].
- Le 1er novembre, le gouvernement du Québec publie un livre blanc intitulé La nouvelle entente Québec-Canada[36].
- Le 20 décembre, René Lévesque rend public le libellé de la question du référendum sur l'option constitutionnelle favorisée par son gouvernement[37].
1980[modifier | modifier le code]
- Le 20 mars, adoption de la question référendaire par l'Assemblée nationale du Québec[38].
- Le 15 avril, premier jour de la campagne référendaire[39].
- Le 20 mai, référendum sur le mandate de négocier la souveraineté-association. À 59,56 %, les électeurs votent contre le fait d'accorder le mandat de négocier la souveraineté-association au gouvernement du Québec.
1981[modifier | modifier le code]
- Le 13 avril, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 49,2 % des votes des électeurs, fait élire 80 députés sur 122 et est reporté au pouvoir[40].
- Le 2 octobre, l'Assemblée nationale adopte une motion demandant au gouvernement fédéral de ne pas procéder à une modification unilatérale de la constitution. L'opposition officielle vote avec le gouvernement. Il n'y a que neuf dissidents[41].
- Le 1er décembre, l'Assemblée nationale adopte une résolution pour enregistrer son opposition à l'accord constitutionnel du 5 novembre 1981[42].
- Le 4 décembre, ouverture de la première partie du 8e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Montréal du 4 au 6 décembre[43].
1982[modifier | modifier le code]
- Le 13 février, ouverture de la deuxième partie du 8e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Montréal du 13 au 15 février[44].
1983[modifier | modifier le code]
1984[modifier | modifier le code]
- Le 8 juin, ouverture du 9e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Montréal du 8 au 10 juin[45].
1985[modifier | modifier le code]
- Le 19 janvier, Congrès extraordinaire au cours duquel les délégués du parti révisent l'article 1 du programme. 495 délégués quittent le Congrès[46].
- Le 20 juin, René Lévesque démission de la direction du Parti québécois[47].
- Le 29 septembre, élection de Pierre-Marc Johnson à la direction du Parti québécois. Il obtient 58,7 % des 97 389 votes exprimés. Pauline Marois termine deuxième avec 19,7 % des votes[48].
- Le 2 décembre, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 38,7 % des votes des électeurs, fait élire 23 députés sur 122 et perd le pouvoir[49].
1986[modifier | modifier le code]
1987[modifier | modifier le code]
- Le 12 juin, ouverture du 10e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Ste-Foy du 12 au 14 juin[50].
- Le 1er novembre, décès de René Lévesque.
- Le 10 novembre, Pierre-Marc Johnson démissionne de la direction du Parti québécois[51].
1988[modifier | modifier le code]
- Le 19 mars, Jacques Parizeau est élu à la direction du Parti québécois par acclamation[52].
- Le 25 novembre, ouverture d'un Congrès national extraordinaire du Parti québécois qui se déroule St-Hyacinthe du 25 au 27 novembre[53].
1989[modifier | modifier le code]
- Le 25 septembre, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 40,2 % des votes des électeurs, fait élire 29 députés sur 125[54].
1990[modifier | modifier le code]
1991[modifier | modifier le code]
- Le 25 janvier, ouverture du 11e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Québec du 25 au 27 janvier[55].
1992[modifier | modifier le code]
1993[modifier | modifier le code]
- Le 20 août, ouverture du 12e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Montréal du 20 au 22 août[56].
1994[modifier | modifier le code]
- Le 12 septembre, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 44,7 % des votes des électeurs, fait élire 77 députés sur 125 et accède au pouvoir[57].
1995[modifier | modifier le code]
- Le 30 octobre, tenue du référendum sur la souveraineté assortie d'une offre de partenariat. L'option constitutionnelle du gouvernement est rejeté par 50,6 % des électeurs qui exercent leur droit de vote.
- Le 31 octobre, Jacques Parizeau démissionne de la direction du Parti québécois[58].
1996[modifier | modifier le code]
- Le 27 janvier, Lucien Bouchard est élu président du Parti québécois par acclamation[59].
- Le 22 novembre, ouverture du 13e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Québec 22 au 24 novembre[60].
1997[modifier | modifier le code]
1998[modifier | modifier le code]
- Le 30 novembre, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 42,9 % des votes des électeurs, fait élire 76 députés sur 125 et conserve le pouvoir[61].
1999[modifier | modifier le code]
2000[modifier | modifier le code]
- Le 5 mai, ouverture du 14e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Montréal du 5 au 7 mai[62].
2001[modifier | modifier le code]
- Le 11 janvier, Lucien Bouchard démissionne de la direction du Parti québécois[63].
- Le 2 mars, Bernard Landry est élu président du Parti québécois par acclamation[64].
2002[modifier | modifier le code]
2003[modifier | modifier le code]
- Le 14 avril, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 33,2 % des votes des électeurs, fait élire 45 députés sur 125 et perd le pouvoir[65].
2004[modifier | modifier le code]
2005[modifier | modifier le code]
- Le 3 juin, ouverture du 15e Congrès national du Parti québécois qui se déroule à Québec du 3 au 5 juin[66].
- Le 6 juin, Bernard Landry démissionne de la direction du Parti québécois[67].
- Le 15 novembre, élection d'André Boisclair à la direction du Parti québécois. Il obtient 53 % des 105 259 votes exprimés. Pauline Marois termine deuxième avec 30,6 % des votes[68].
2006[modifier | modifier le code]
2007[modifier | modifier le code]
- Le 26 mars, tenue des élections générales québécoises. Le Parti québécois obtient 28,4 % des votes des électeurs et fait élire 36 députés sur 125[69].
- Le 8 mai, André Boisclair démissionne de la direction du Parti québécois[70].
- Le 27 juin, Pauline Marois est élue chef du Parti québécois par acclamation[71].
2008[modifier | modifier le code]
2009[modifier | modifier le code]
2010[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Graham Fraser, p. 40
- [1]
- [2]
- [3]
- Graham Fraser, p. 42
- André Bernard, « Option Québec 1968-1997 », dans René Lévesque, Option Québec, 1997, p. 9
- [4]
- Graham Fraser, p. 43
- [5]
- D'autres membres du Parti libéral le suivent dont Roch Banville, Rosaire Beaule, Gérard Bélanger, Jean-Roch Boivin, Marc Brière, Pothier Ferland, Maurice Jobin, Monique Marchand, Guy Pelletier, Reginald Savoie.
- Graham Fraser, p. 46
- [6]
- Graham Fraser, p. 366
- Bernard, p. 25
- [7]
- [8], p. 220
- [9]
- [10]
- Graham Fraser, p. 367
- [11], p. 220
- [12], p. 218
- [13], p. 220
- Graham Fraser, p. 368
- [14], p. 220
- [15], p. 218
- [16], p. 220
- [17], p. 218
- [18], p. 220
- [19]
- [20]
- [21]
- [22]
- [23], p. 220
- [24]
- [25]
- [26]
- [27]
- [28]
- [29]
- [30], p. 218
- [31]
- [32]
- [33], p. 220
- [34], p. 220
- [35], p. 220
- [36]
- [37], p. 217
- [38], p. 219
- [39], p. 218
- [40], p. 220
- [41], p. 217
- [42], p. 219
- [43], p. 220
- [44], p. 218
- [45], p. 220
- [46], p. 220
- [47], p. 218
- [48], p. 217
- [49], p. 219
- [50], p. 220
- [51], p. 218
- [52], p. 220
- [53], p. 217
- [54], p. 219
- [55], p. 218
- [56], p. 220
- [57], p. 217
- [58], p. 219
- [59], p. 218
- [60], p. 217
- [61], p. 219
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Graham Fraser, René Lévesque and the Parti québécois in power, McGill-Queen's Press, 2001, 434 p. (ISBN 0773523235) preview
- http://www.bibliotheque.assnat.qc.ca/01/mono/2007/09/948037.pdf
- http://www.assnat.qc.ca/fr/patrimoine/chronologie/index.html
- René Lévesque, Option Québec, 1997