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L’Énigme de la chambre 622
Auteur Joël Dicker
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Genre Roman policier
Éditeur Éditions de Fallois
Collection Littérature
Date de parution
Nombre de pages 576
ISBN 979-1032102381

L'Énigme de la chambre 622 est un roman policier écrit par Joël Dicker et paru le 27 mai 2020 aux Editions de Fallois[1]en France, le 19 mai 2020 en Suisse [2], le 3 juin 2020 en Espagne [3] et le 11 juin 2020 en Italie [4].

Il s’agit du cinquième roman de l’auteur suisse, après Les Derniers Jours de nos pères (2010) ; La Vérité sur l’affaire Harry Quebert (2012) – roman inspiré du modèle du thriller américain [5], salué par la critique internationale, vendu à 5 millions d’exemplaires dans 60 pays et traduit dans 40 langues [6] et qui a fait partie du dernier carré sélectionné pour l’attribution du Prix Goncourt [7] – ; Le Livre des Baltimore (2015), vendu à 900 000 exemplaires ; et La Disparition de Stéphanie Mailer (2018) qui a atteint plus de 700 000 ventes [8]. Depuis le succès de l’auteur suisse, d’autres auteurs romands ont publié des romans policiers tels que Marc Voltenauer et Nicolas Feuz [9].

Le roman s’inscrit dans l’héritage du roman d’énigme classique du XIXè siècle et épouse les codes du whodunit [10], genre de prédilection d’Agatha Christie et Arthur Conan Doyle[11], qui met l’accent sur la résolution de l’énigme et la démarche rationnelle de l’enquêteur [12]. Le roman fait également référence au théâtre de boulevard [13] et aux feuilletons populaires du XIXè siècle avec ses nombreux coups de théâtre [14] et éléments qui relèvent de la comédie. On peut voir dans L’Enigme de la chambre 622 une référence au célèbre roman de Gaston Leroux, Le Mystère de la chambre jaune [15], car le titre renvoie à ce dernier et l’intrigue des deux romans est construite sur la base d’un huis-clos. En 2006, Michel Bussi avait déjà créé un écho avec des œuvres du début du XXè siècle avec Code Lupin [16], roman inspiré du personnage d’Arsène Lupin de Maurice Leblanc.


Genèse du roman[modifier | modifier le code]

Le 7 janvier 2020, Joël Dicker crée la surprise sur ses réseaux sociaux avec un post représentant des montagnes enneigées et indiquant la date du 25 mars 2020 [17]. Une semaine plus tard, le 14 janvier 2020, l’auteur publie un nouveau post représentant cette fois-ci une ville avec le nombre 622 inscrit [18]. Ce n’est que le 20 janvier 2020 que le romancier met un terme au suspens provoqué par ses nombreuses publications mystérieuses en annonçant officiellement sur son compte Instagram la parution de son nouveau roman intitulé L’Enigme de la chambre 622 prévue pour le 25 mars 2020 [19]. Une avant-première en Suisse aura lieu le 17 mars.

Malheureusement, la crise sanitaire causée par la Covid-19 et le confinement qui en découle provoquent la fermeture des librairies, empêchent par conséquent la parution du livre en mars et retardent sa sortie au 27 mai en France [20].

Une particularité de ce roman est le lieu où Joël Dicker situe l’intrigue de son nouvel ouvrage. Si les lecteurs du romancier avaient l’habitude de découvrir les histoires de Joël Dicker dans un décor états-unien dans ses trois précédents romans, ce n’est pas le cas avec L’Enigme de la chambre 622. En effet, pour la toute première fois, l’auteur suisse place sa ville natale, Genève, à laquelle il s’est déclaré être très attaché [21], au cœur de son ouvrage en y ajoutant quelques lieux fictifs [22].

Synopsis[modifier | modifier le code]

Un meurtre a été commis une nuit de décembre, au Palace de Verbier dans les Alpes suisses. L'enquête de police n'aboutira jamais et le meurtrier ne sera jamais arrêté.

De nombreuses années plus tard, au début de l'été 2018, un auteur de best-sellers se rend dans cet hôtel pour y passer ses vacances. Le Palace lui a réservé la chambre 621 bis car la 622 n’existe pas. C’est à partir de cet élément intriguant que l’écrivain va être plongé au cœur de cette affaire et va devoir mener l'enquête pour découvrir ce qui s'est passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier. A travers le personnage de l’écrivain, Joël Dicker se met lui-même en scène et, au fur et à mesure qu’il avance dans l’enquête, l’écrivain écrit un roman, celui même que le lecteur tient entre ses mains. Tourmenté par la disparition de son éditeur, le protagoniste rend hommage à Bernard de Fallois, décédé en janvier 2018, grâce à des flashbacks où l’écrivain se remémore des souvenirs avec son ami. Par exemple, on peut lire à la page 27 : « Génial, curieux, joyeux et solaire : il était le maître dont j’avais toujours rêvé. Sa conversation était scintillante, spirituelle, allègre et profonde. Son rire était une leçon permanente de sagesse. Il connaissait tous les ressorts de la comédie humaine. Il était une inspiration pour la vie, une étoile dans la Nuit » [23].

Pour répondre à cette énigme, l'écrivain, accompagné de Scarlett, une assistante improvisée, doit comprendre le contexte du meurtre et interroger tous les protagonistes de cette affaire, ce qui les mènera de Verbier à Genève. Mais l’écrivain doit faire face à une double énigme car, s’il doit mettre la main sur l’identité de l’assassin, il doit également découvrir qui a été tué.

A ce mystère non résolu s’ajoutent plusieurs intrigues qui rythment l’histoire comme un triangle amoureux, des jeux de pouvoir, des rivalités et l’élection du nouveau directeur d’une des banques familiales les plus prestigieuses de Genève, auxquelles sont mêlés de nombreux personnages tels que Macaire et Anastasia Ebezner, Sinior Tarnogol ou encore Lev Levovitch.

Structure du roman[modifier | modifier le code]

Le roman est constitué de quatre parties respectivement intitulées « Avant le meurtre », « Le week-end du meurtre. Du vendredi 14 au dimanche 16 décembre », « Quatre mois après le meurtre. Avril », et « Trois années après le meurtre. Septembre ».

L’ouvrage est divisé en 74 chapitres numérotés dans l’ordre croissant. La première partie, précédée d’un court prologue, est composée de 26 chapitres, la seconde de 20 chapitres, la troisième de 22 chapitres, et la quatrième, la plus courte, de 6 chapitres.

Tout au long du roman, Joël Dicker jongle avec la première personne du singulier lorsque le personnage de l’Ecrivain fait figure de narrateur dans certains chapitres ainsi qu’avec la troisième personne du singulier, mettant ainsi en place un système de narration omnisciente.

Ventes[modifier | modifier le code]

A la sortie de L’Enigme de la chambre 622, 400 000 exemplaires étaient disponibles dans les librairies françaises [24]. Le roman connaît un immense succès dès les premières semaines de sa parution et se classe en tête des ventes suivi de près par La Vie est un Roman de Guillaume Musso publié le 26 mai 2020 [25], autre habitué des best-sellers : le 12 juin 2020, Joël Dicker annonçait sur son compte Instagram que son dernier roman avait été vendu à 225 000 exemplaires en 10 jours seulement et, en septembre 2020, soit 4 mois après sa parution, on comptabilisait près de 400 000 livres écoulés [26]. Selon l’Institut GfK, en septembre 2020, 15 livres figuraient parmi le top 20 des ventes de biens culturels physiques sur les huit premiers mois de l’année 2020 en France, L’Enigme de la chambre 622 étant le premier de ces livres [27].

Réception critique[modifier | modifier le code]

Si La Vérité sur l’affaire Harry Quebert avait fait l’objet d’une large couverture médiatique dès sa sortie en ayant reçu de nombreuses critiques positives, la revue numérique swissinfo.ch souligne le fait que la critique a cette fois « boudé » [28] et ignoré le nouvel ouvrage de Joël Dicker. Le Monde, Télérama ou encore Libération avaient effectivement salué le travail de Dicker pour ses œuvres précédentes mais se sont cette fois à peine voire pas du tout exprimés sur L’Enigme de la chambre 622. Néanmoins, ce dernier a reçu plusieurs critiques dont certaines étant positives, comme celle de Lisbeth Arman Koutchoumoff pour Le Temps :

« Avec l’hommage rendu à l’éditeur Bernard de Fallois, Joël Dicker livre beaucoup de lui-même et de ses débuts. Une cartographie de la Genève de son enfance se dessine, avec le parc Bertrand en pôle important. Le dosage entre part personnelle et intrigue à multiples couches est équilibré. L’Enigme de la chambre 622 est indéniablement un bon cru [29]. »

En mai 2020, pour Le Parisien, Pierre Vavasseur publiait un article – dont le titre était très explicite, « Avec L’Enigme de la chambre 622, le virtuose Joël Dicker poursuit son sans-faute » – dans lequel il saluait le nouveau roman de l’auteur suisse :

« Il y a aussi chez Dicker […] quelque chose de redoutablement addictif et de diablement cinématographique. Ce sont ces ombres qui surgissent parfois en fin de chapitre et qui ont tout vu, tout entendu de la scène dont nous pensions être le seul témoin. Le procédé agit comme un minuscule électrochoc. En voilà une fameuse technique de « page-turner », ces romans qui nous obligent à ne jamais s'arrêter ! […] Tout est décidément à dévorer dans cette histoire… [30] »

D’autres revues se disent cependant plus mitigées car elles avaient été conquises par les livres précédents du romancier mais sont cette fois-ci déçues. Aussi, elles critiquent le style de l'auteur et le rythme de son nouveau roman.

« « Un grand roman, c’est un tableau. Un grand écrivain, c’est un peintre. » Ces mots, Bernard de Fallois les employait avec force, selon Joël Dicker. Alors, l’auteur suisse avance par touches de couleur, force le trait, prend du recul, replonge dans la toile. À l’instinct, au plaisir. Si le cadre de l’intrigue est prestigieux – le Palace de Verbier, hôtel somptueux des Alpes suisses –, le canevas où l’écrivain se met en scène, où les personnages sont aussi magnifiques et tragiques que les Romanov, finit de dresser un tableau convaincant. […] Pourtant, L’Énigme de la chambre 622 nous a laissé un sentiment mitigé. Pour tout dire, Le Livre des Baltimore ou La Vérité sur l’affaire Harry Quebert nous avaient davantage emballé. Si la première partie est réussie, la deuxième s’étire en longueur. Les retours en arrière au moment des révélations sont légion [31]. »

— Eric Blaise, lavoixdunord.fr.

Caroline Montpetit pour ledevoir.com a quant à elle souligné les stéréotypes récurrents dans L’Enigme de la chambre 622 :

« […] l’action de L’énigme de la chambre 622 se déroule à Genève, sa ville natale. Est-ce cette proximité de l’écrivain avec cette ville et son milieu qui fait que les personnages du roman deviennent presque caricaturaux ? Quoi de plus suisse qu’un regroupement de banquiers ou qu’une aristocrate russe déchue qui cherche à marier ses filles avec l’un d’eux ? [32] »

La journaliste mentionne également les risques qu’a pris Joël Dicker en mélangeant différents genres dans son roman :

« Il y a une limite au mélange des genres. Et il y a aussi le risque que l’un de ces genres ne se sente pas à sa place dans le produit final. C’est un peu ce qui arrive au dernier roman de Joël Dicker […]. La frénésie avec laquelle les allers-retours dans le passé se succèdent, en fin de roman, ajoute à cet effet d’excès, à cette touche de burlesque. C’est donc avec la comédie que ce dernier polar du jeune écrivain surdoué flirte cette fois, tout en maintenant la tension qui nous pousse à nous rendre jusqu’au bout de l’intrigue. Les coups de théâtre, habilement pensés, se succèdent, mais ils ne sont pas toujours portés avec la force qu’ils pourraient avoir. Et on reste un peu avec l’impression que l’écrivain, à force de se chercher, s’est un peu égaré dans les genres en chemin[33]. »

Joël Dicker répondra d’ailleurs à ses critiques négatives sur France Inter : « C’est toujours bon pour moi de savoir ce que je peux faire mieux. C’est seulement mon cinquième livre, je n’ai que 34 ans et encore beaucoup de choses à apprendre. » Il ajoutera ensuite que « Parfois, la critique oublie que le livre est censé être une joie. » [34] Joël Dicker prend les critiques de ses romans très au sérieux car il « envisage son activité en termes de métier » [35] et accorde une grande importance à l’écriture et au processus de réalisation d’un ouvrage. L’auteur adopte ainsi un « régime professionnel de l’activité littéraire » [36], image qu’il renvoie d’ailleurs aux médias.


Éditions[modifier | modifier le code]

Version imprimée

Edition e-book

Livre audio

  • L'Énigme de la chambre 622, Paris, Audiolib, 2020 (ISBN 979-10-354-0358-4) Texte intégral ; narrateur : Steve Driesen ; support : deux disques compact audio MP3 ; durée : 17 h 21 min

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Editions de Fallois, « L'Énigme de la chambre 622 », sur Éditions de Fallois (consulté le )
  2. . Tweet publié sur le compte Twitter officiel de Joël Dicker le 13 mai 2020, https://twitter.com/JoelDicker/status/1260561146760835078, (consulté le 16 octobre 2020).
  3. Tweet publié sur le compte Twitter officiel de Joël Dicker le 30 avril 2020, https://twitter.com/JoelDicker/status/1255870648448139265, (consulté le 16 octobre 2020).
  4. Tweet publié sur le compte Twitter officiel de Joël Dicker le 18 mai 2020, https://twitter.com/JoelDicker/status/1262456438208827396, (consulté le 16 octobre 2020).
  5. Panter Marie, « Le thriller à l’américaine : Maxime Chattam, Joël Dicker, Jean-Christophe Grangé et Tanguy Viel », in : Revue critique de Fixxion française contemporaine, pp. 108. En ligne : <http://www.revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org/rcffc/article/view/fx10.12/957>, (consulté le 14 octobre 2020).
  6. Meizoz Jérôme, « Paroles de vendeur : Joël Dicker », in : Revue critique de Fixxion française contemporaine (15), 2017, pp. 157. En ligne : <http://www.revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org/rcffc/article/view/fx15.13/1169 >, (consulté le 14 octobre 2020).
  7. Meizoz Jérôme, Ibid., pp. 158.
  8. RTS, « Un nouveau roman de Joël Dicker sortira en librairie au mois de mars », publié le 27/01/2020 sur rts.ch. En ligne : <https://www.rts.ch/info/culture/livres/11046807-un-nouveau-roman-de-joel-dicker-sortira-en-librairie-au-mois-de-mars.html>, (consulté le 14 octobre 2020).
  9. Arman Koutchoumoff Lisbeth, « Joël Dicker : un nouveau roman qui arrive à point nommé », publié le 19/05/2020 sur letemps.ch. En ligne : <https://www.letemps.ch/culture/joel-dicker-un-nouveau-roman-arrive-point-nomme>, consulté le 13/10/2020.
  10. Houppermans Sjef, « Transculturalité : Verne, Le Clézio, Ollier, Dicker, Mauvignier », in : Relief (9), 2015, pp. 128. En ligne : <https://www.revue-relief.org/articles/abstract/10.18352/relief.911/>, consulté le 14/10/2020.
  11. Schwartzbrod Alexandra, « Envie de palace. Une double énigme à tiroirs de Joël Dicker », publié le 5/06/2020 sur next.libération.fr. En ligne : <https://next.liberation.fr/livres/2020/06/05/envie-de-palace_1790444>, consulté le 14/10/2020.
  12. Messac Régis, Le "Detective Novel" et l'influence de la pensée scientifique, Paris, Honoré Champion, 1929, p.9.
  13. Schwartzbrod Alexandra, Ibid.
  14. Arman Koutchoumoff Lisbeth, art. cit.
  15. Schwartzbrod Alexandra, art. cit.
  16. Bussi Michel, Code Lupin, Rouen, PTC, 2006
  17. Post publié sur le compte Instagram officiel de Joël Dicker le 7 janvier 2020, https://www.instagram.com/p/B7AixTjhJRq/, (consulté le 16 octobre 2020) et tweet publié sur le compte Twitter officiel de Joël Dicker le 7 janvier 2020, https://twitter.com/JoelDicker/status/1214445658335264768, (consulté le 16 octobre 2020).
  18. Post publié sur le compte Instagram officiel de Joël Dicker le 14 janvier 2020, https://www.instagram.com/p/B7SxDuXB8OX/, (consulté le 16 octobre 2020) et tweet publié sur le compte Twitter officiel de Joël Dicker le 14 janvier 2020, https://twitter.com/JoelDicker/status/1217000900864114689, (consulté le 16 octobre 2020).
  19. Post publié sur le compte Instagram officiel de Joël Dicker le 20 janvier 2020, https://www.instagram.com/p/B7iWeyhB_G-/, (consulté le 16 octobre 2020).
  20. Figaro Le avec AFP, « Minier, Dicker, Musso… Les éditeurs déconfinent leurs auteurs à succès », publié le 27/04/2020 sur lefigaro.fr. En ligne : <https://www.lefigaro.fr/livres/minier-dicker-musso-les-editeurs-deconfinent-leurs-auteurs-a-succes-20200427>, consulté le 13 octobre 2020.
  21. Meizoz Jérôme, art. cit., pp. 165.
  22. Pessis Jacques, « Joël Dicker, Nilusi et Marie Laforêt… Les personnages de Jacques Pessis », publié le 7/03/2020 sur lefigaro.fr. En ligne : <https://www.lefigaro.fr/culture/joel-dicker-nilusi-et-marie-laforet-les-personnages-de-jacques-pessis-20200307>, consulté le 14 octobre 2020.
  23. Dicker Joël, L'Enigme de la chambre 622, Paris, Editions de Fallois, 2020, p. 27.
  24. Launet Edouard, « Le malentendu Joël Dicker », publié le 27/05/2020 sur lemonde.fr. En ligne : <https://www.lemonde.fr/livres/article/2020/05/27/le-malentendu-joel-dicker_6040853_3260.html>, (consulté le 13 octobre 2020).
  25. AFP Agence, « Guillaume Musso et Joël Dicker s’installent en tête des ventes », publié le 5/06/2020 sur lefigaro.fr. En ligne : <https://www.lefigaro.fr/culture/guillaume-musso-et-joel-dicker-s-installent-en-tete-des-ventes-20200605>, (consulté le 13 octobre 2020).
  26. Dréau Alice Le, « Vous avez dit Dicker ? », publié le 12/09/2020 sur lacroix.com. En ligne : <https://www.la-croix.com/Vous-avez-dit-Dicker-2020-09-12-1101113527>, (consulté le 13 octobre 2020).
  27. Oury Antoine, « Depuis la fin du confinement, les « gros acheteurs » doublent leurs dépenses en librairie », publié le 22/09/2020 sur actualitté.com. En ligne : <https://www.actualitte.com/article/monde-edition/depuis-la-fin-du-confinement-les-gros-acheteurs-doublent-leurs-depenses-en-librairie/102832>, (consulté le 13 octobre 2020).
  28. Berchem Mathieu Van, « Joël Dicker, plébiscité par les lecteurs mais boudé par la critique française », publié le 5/06/2020 sur swissinfo.ch. En ligne : <https://www.swissinfo.ch/fre/culture/litt%C3%A9rature_jo%C3%ABl-dicker--pl%C3%A9biscit%C3%A9-par-les-lecteurs-mais-boud%C3%A9-par-la-critique-fran%C3%A7aise/45805666>, consulté le 13/10/2020.
  29. Arman Koutchoumoff Lisbeth, art. cit.
  30. Vavasseur Pierre, « Avec L’Enigme de la chambre 622, le virtuose Joël Dicker poursuit son sans-faute », publié le 26/05/2020 sur leparisien.fr. En ligne : <https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/livres/avec-l-enigme-de-la-chambre-622-le-virtuose-joel-dicker-poursuit-son-sans-faute-26-05-2020-8323761.php>, consulté le 14/10/2020.
  31. Blaise Eric, « L’Enigme de la chambre 622, quand Joël Dicker fait tomber les masques », publié le 25/06/2020 sur lavoixdunord.fr. En ligne : <https://www.lavoixdunord.fr/769053/article/2020-06-24/l-enigme-de-la-chambre-622-quand-joel-dicker-fait-tomber-les-masques>, consulté le 13/10/2020.
  32. Montpetit Caroline, « L’Enigme de la chambre 622, mélange des genres et coups de théâtre », publié le 13/06/2020 sur ledevoir.com. En ligne : <https://www.ledevoir.com/lire/580641/melange-des-genres-et-coups-de-theatre>, consulté le 13/10/2020.
  33. Montpetit Caroline, Ibid.
  34. Berchem Mathieu Van, art. cit.
  35. Meizoz Jérôme, art. cit., p. 160.
  36. Ibid., p. 160.


[[Catégorie:Roman français paru en 2020]]