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Utilisateur:Ldgboy/Brouillon

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Parti socialiste de l'Isère[modifier | modifier le code]

Parti socialiste de l'Isère
Image illustrative de l’article Ldgboy/Brouillon
Logotype officiel.
Présentation
Premier secrétaire fédéral Damien Perrard
Fondation 1905 (SFIO)
1969 (PS)
Fusion de SFIO
UCRG
UGCS
CIR (1971)[1]
Objectif socialiste (1975)
Scission dans PDS (1970)
MDC (1993)
LGM (2007)
PG (2009)
Nouvelle Donne (2013)
G·s (2017)
GRS (2019)
FP (2022)
La Convention (2023)
Siège 31, Rue Nicolas Chorier
38000 Grenoble (depuis 2013)
Mouvement de jeunesse Les Jeunes Socialistes
Positionnement Depuis 2018 :
Gauche[2],[3],[4]

2008-2018 :
Gauche à centre gauche[5],[6]

1991-2008 :
Gauche[7],[8]

Jusqu'en 1991 :
Gauche à gauche radicale[9]

Idéologie Actuelle :
Progressisme[réf. nécessaire]
Social-démocratie[10],[11]
Social-écologie[12]
Europhilie[13]
Réformisme[réf. nécessaire]

Courants internes :
Socialisme[14]
Écosocialisme[réf. nécessaire]

Historique :
Marxisme (au moment de sa fondation)[9]
Anticapitalisme (jusqu'en 1991 officiellement)[9]

Affiliation nationale Nouvelle Union populaire écologique et sociale (depuis 2022 avec participation suspendue)
Affiliation européenne Parti socialiste européen
Affiliation internationale Internationale socialiste
Alliance progressiste
Couleurs Rose et vert[15]
Site web www.parti-socialiste.fr
Présidents de groupe
Assemblée nationale Boris Vallaud (SOC)
Sénat Patrick Kanner (SER)
Représentation
Députés
1  /  10
Sénateurs
0  /  5
Conseillers départementaux
4  /  58
Conseillers régionaux
3  /  32

Le Parti socialiste de l'Isère est la branche Iséroise du Parti socialiste.

Les sections du Parti socialiste de l'Isère[modifier | modifier le code]

La fédération est l'Isère est composée de 25 sections[16] qui agissent sur tout le département.

Balcons du Dauphiné – Lysed
Bourgoin-Jallieu
Charavines – Virieu ‑Les-Abrets
Chasse-sur-Rhône – Seyssuel
Claix
Échirolles
Entre-Morge-et-Fure
Eybens
Fontaine
Grenoble
Grésivaudan
Matheysine – Trièves
Meylan – La Tronche – Corenc – Sappey
Oisans – Romanche
Pont-de-Claix
Saint-Égrève – Saint-Martin-le-Vinoux
Saint-Martin-d’Hères – Gières
Saint-Martin-d’Uriage – Revel
Seyssinet
Seyssins
Sud-Grésivaudan
Vercors-Quatre-Montages
Vienne
Vif
Voiron

Des grandes figures du socialisme en Isère[modifier | modifier le code]

Paul Mistral[modifier | modifier le code]

Paul Mistral en 1929

Membre de la SFIO, Paul Mistral est né le 19 septembre 1872 à La Morte (Isère) et est mort le 17 août 1932 à La Morte. Personnalité politique française. Il est maire de Grenoble pendant treize ans et député de l'Isère de 1910 à 1932.

Positions politiques et action municipale[modifier | modifier le code]

La position politique de Paul Mistral pendant la guerre et au congrès de Tours, ainsi que son action municipale à Grenoble, l'ont mis en lumière. Il a continué de siéger au comité fédéral de l'Isère et a rejoint la CAP nationale en décembre 1915.

Engagement durant la première guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Pendant la guerre, il a initialement soutenu, avec l'unanimité du Parti socialiste, la politique de défense nationale, croyant en la cause du pays. Cependant, sans abandonner le principe de la défense nationale et sans rejoindre le défaitisme de son collègue Raffin-Dugens, il a suivi le mouvement pacifiste minoritaire et en est devenu un des leaders.[17]

Activité à l'Hôtel de Ville[modifier | modifier le code]

À l'Hôtel de Ville, il est resté un socialiste militant, faisant arborer le drapeau rouge le 1er mai 1920, interdisant les sonneries de cloches, et refusant en 1921 d'obtempérer à l'ordre de la préfecture d'interdire les manifestations de rue, réussissant personnellement à ramener le calme.[18]

Développement des logements sociaux et modernisation de Grenoble[modifier | modifier le code]

Fortement investi dans le développement des logements sociaux, il a fondé en 1921 l'Office Public d'Habitations à Bon Marché. Les quartiers de la Capuche, du Rondeau, de la Bajatière et de l'Abbaye ont vu le jour grâce à ses initiatives. Son nom est associé à l'entrée de Grenoble dans l'ère de la modernité.[19]

Expropriation de l'armée et exposition internationale[modifier | modifier le code]

Il a fait de l'expropriation de l'armée une priorité et a partiellement réussi avec l'organisation de l'exposition internationale de la houille blanche en 1925.

Héritage de Paul Mistral[modifier | modifier le code]

Aujourd'hui, Paul Mistral est surtout connu pour avoir donné son nom au plus grand parc de la ville, ainsi qu'à une place et à un quartier de Grenoble.[20]

Parc Paul Mistral
Quartier Mistral

Léon Martin[modifier | modifier le code]

Léon Martin, maire à trois reprises de Grenoble.

Membre de la SFIO, Léon Martin est un universitaire, un homme politique et un résistant français, né le 20 décembre 1873 à Saint-Martin-de-Clelles (Isère) et mort le 24 juin 1967 à Grenoble. Il est élu maire de Grenoble à trois reprises et a été député de l'Isère de 1936 à 1942.

Positions politiques[modifier | modifier le code]

Pendant l'affaire Dreyfus, il s'est rangé du côté des dreyfusards et a rejoint la Ligue des droits de l'homme en 1894. Militant socialiste, il a adhéré à la SFIO en 1905. Après le congrès de Tours, il a activement participé à la reconstruction de la fédération de l'Isère aux côtés de Paul Mistral, maire de Grenoble. Elu député en 1936, il vote contre les pleins pouvoirs à Philippe Pétain en 1940[21].

Engagement durant la première guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Bien que dispensé de ses obligations militaires, Léon Martin s'est engagé volontairement en septembre 1914, à la suite de la bataille de la Marne. Il a servi au front pendant cinquante-deux mois, démontrant une attitude exemplaire qui lui a valu la décoration de la Légion d'honneur.

Resistance[modifier | modifier le code]

Sous l'Occupation, Léon Martin a été l'un des créateurs et animateurs du réseau de résistance Franc-Tireur. Il a distribué des journaux et des tracts dans les Hautes-Alpes et les départements savoyards, aidé les réfractaires du STO à rejoindre des refuges dans les régions montagneuses. Arrêté par les troupes italiennes le 4 avril 1943, il s'est évadé le 9 septembre 1943 grâce à l'armistice italien. Sous le nom de "Michon", il a rejoint la région de la Creuse avant de revenir à Grenoble le 15 septembre 1944.[22]

Activité à l'Hôtel de Ville[modifier | modifier le code]

Gare inférieure en 1934

En 1932, après la mort brutale de Paul Mistral, Léon Martin lui a succédé comme maire de Grenoble. Bien qu'il ait perdu de justesse une élection pour devenir député, il a continué à œuvrer pour le développement municipal. Il a notamment inauguré des infrastructures majeures, comme le téléphérique de Grenoble Bastille en 1934[23].

Refusant initialement toute candidature nationale, il a cédé à la pression des militants et est devenu maire de Grenoble le 6 mai 1945, réélu à plusieurs reprises jusqu'en 1959. Pendant son mandat, il a contribué à l'expansion et au développement de la ville dans les domaines de l'éducation, de l'industrie et du tourisme, doublant la surface de Grenoble.[24]

Sous la direction de Léon Martin, Grenoble a connu un développement significatif de ses infrastructures sociales et éducatives. Il a construit de nouveaux logements sociaux, soutenu l'enseignement, et créé une école hôtelière ainsi qu'une Amicale laïque, dont il a été président jusqu'aux années 1960. Son administration a également favorisé l'industrialisation, le développement de l'hydroélectricité et du tourisme, ainsi que l'enseignement supérieur. Il a également inauguré plusieurs infrastructures importantes, telles que le pont de Catane et le pont de la Porte de France. Il a également assisté à la création du Centre d'études nucléaires de Grenoble.

Héritage de Léon Martin[modifier | modifier le code]

La ville de Grenoble dispose d'un square Léon Martin en son centre.

Michel Destot[modifier | modifier le code]

Michel Destot, né à Paris, est un militant socialiste et homme politique français.

Carrière politique[modifier | modifier le code]

De formation scientifique, Michel Destot adhère au Parti socialiste unifié en 1968 puis rejoint le Parti socialiste lors de sa création. Attristé par l'assassinat du président chilien Salvador Allende en 1973, il s'engage particulièrement sur les questions internationales. Proche de Michel Rocard, il participe à la création du courant "Socialisme et Démocratie" et, après le départ de Dominique Strauss-Kahn pour Washington, il en prend la tête.

Élu député en 1988, il devient maire de Grenoble en 1995. Alors qu'il était contre l'idée de briguer ce mandat, c'est la mort d'Hubert Dubedout qui l'a décidé devenir maire.

Maire de Grenoble[modifier | modifier le code]

En tant que maire de Grenoble, Michel Destot cherche à élever le niveau de vie des Grenoblois par des mesures concrètes et une approche philosophique. Toujours intéressé par les questions internationales, il est à l'initiative de la création du Lycée International de Grenoble. Il œuvre également à la réhabilitation des logements des quartiers populaires et à l'extension du réseau de tramway de la ville, avec pour objectif de renforcer la mixité sociale.

Il met en place des programmes pour permettre aux Grenoblois de découvrir le monde, organisant des voyages dans les montagnes environnantes et à l'étranger. Comme de nombreuses autres mairies socialistes, il allie esthétique et accessibilité populaire en créant de nouveaux quartiers en centre-ville et en rendant la culture disponible à tous, à travers l'organisation de grands événements populaires.

Député de la 3e circonscription de l'Isère[modifier | modifier le code]

En tant que député de la 3e circonscription de l'Isère, Michel Destot travaille sur des questions d'énergie et de transport, notamment sur le projet Lyon-Turin, ainsi qu'au sein de la commission des finances. Il a également été rapporteur d'un texte sur les déchets industriels et hospitaliers.

Décoration[modifier | modifier le code]

Michel Destot est décoré de la Légion d'honneur par le préfet de l'Isère en 2023 pour ses services rendus à la ville de Grenoble.

André Vallini[modifier | modifier le code]

André Valini

Né en 1956 à Tullins et membre du Parti socialiste, André Vallini est un homme politique isérois.

Formation[modifier | modifier le code]

Il a fréquenté le lycée Édouard-Herriot de Voiron en Isère et est également ancien élève de l'Institut d'études politiques de Grenoble (Sciences-Po Grenoble) et de la faculté de droit de Grenoble.

Fonctions électives[modifier | modifier le code]

Avocat de formation, il quitte le barreau pour se consacrer à son mandat de maire de Tullins. Il devient conseiller cantonal en 1992 puis président du conseil départemental en 2001. En 1997, il est élu député de la 9e circonscription de l'Isère. Il le reste jusqu'en 2011 et son élection en tant que sénateur.

Fonctions ministérielles[modifier | modifier le code]

André Vallini a été Secrétaire d'État chargé de la Réforme territoriale du 9 avril 2014 au 11 février 2016. Il a ensuite occupé le poste de Secrétaire d’État chargé du Développement et de la Francophonie jusqu'au 6 décembre 2016. Enfin, il a été Secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement du 6 décembre 2016 au 10 mai 2017.

Louis Mermaz[modifier | modifier le code]

Gisele Halimi[modifier | modifier le code]

Gisele Halimi

Gisèle Halimi née le 27 juillet 1927 à La Goulette en Tunisie et morte le 28 juillet 2020 à Paris, est une avocate, militante féministe et femme politique franco-tunisienne.[25]

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Proche de François Mitterrand, elle appuie sa victoire à la présidentielle de 1981.[26] Elle se présente aux législatives de 1981 avec l'appui du Parti socialiste (PS), dans la quatrième circonscription de l'Isère. Malgré une campagne difficile, elle est élue députée avec 53,04 % des voix au second tour. Elle siège à l'Assemblée nationale jusqu'en septembre 1984 et au Conseil régional de Rhône-Alpes.[27]

Elle propose aussi un amendement pour limiter la proportion de candidats du même sexe aux élections municipales, amendement rejeté par le Conseil constitutionnel en 1982.[28]

En 1999, elle soutient la parité, et après une censure initiale, une révision constitutionnelle en 1999 entérine les quotas de parité. Dénonçant le « bastion de la misogynie », elle démissionne de son poste de députée en 1984 et devient chargée de mission auprès de Claude Cheysson, ministre des Relations extérieures.[29]

Edmond Roy, maire de Bourgoin-Jallieu[modifier | modifier le code]

Alain Cottalorda maire de Bourgoin-Jallieu[modifier | modifier le code]

Geneviève Fioraso[modifier | modifier le code]

François Brottes[modifier | modifier le code]

Gizele Pérez[modifier | modifier le code]

Gisèle Perez est née à Porte-Chapuis en 1942 et est décédée à Lyon en 2024. Militante et femme politique iséroise elle est Professeure de collège avant de devenir conseillère municipale à Grenoble de 1995 à 2008. Elle devient, conseillère départementale de l'Isère en 1998 et le reste jusque en 2015. En 2001, elle est nommée 8ème vice-présidente du conseil général de l'Isère, poste qu'elle occupe jusqu'en 2012 lorsqu'elle est promue 1ère vice-présidente.[30]

Ville de Grenoble[modifier | modifier le code]

En 1994, alors présidente de l’Union de quartier des Baladins-Géants, Michel Destot lui a proposé de rejoindre sa liste pour les élections municipales de 1995. Elle a été élue conseillère municipale et a servi la ville de Grenoble jusqu'en 2008. En tant que conseillère municipale, elle a travaillé sur divers projets visant à améliorer la vie des habitants de Grenoble. Elle a notamment participé activement à la défense des bureaux de poste locaux.[30]

Département de l'Isère[modifier | modifier le code]

En 1998, Gisèle Perez a été élue au conseil général de l'Isère, représentant le canton 6 de Grenoble. En 2001, elle a été nommée 8ème vice-présidente du conseil général, et en 2012, elle est devenue 1ère vice-présidente. Pendant ses mandats, elle a dirigé plusieurs initiatives importantes, notamment la création de places en Ehpad à but non lucratif, l'ouverture de foyers pour les personnes handicapées vieillissantes, et la construction d’un foyer pour personnes autistes à L’Isle-d’Abeau. En 2014, elle a reçu l'insigne de Chevalier dans l'Ordre national de la Légion d’honneur pour ses contributions remarquables.[30]

Fin de vie au centre Daniel-Hollard[modifier | modifier le code]

Décédée le 1er janvier 2024 au centre Léon-Bérard à Lyon des suites d’un cancer du lymphome, Gisèle Perez avait enregistré un témoignage oral avec son fils sur un dictaphone le 15 décembre 2023, publié par la presse en février 2024. Elle y décrit son parcours médical, alors que sa famille saisit l'Ordre des médecins, accusant ces derniers de ne pas avoir pris en compte les alertes sur la récidive de son cancer. Les médecins concernés réfutent toutes fautes.[31]

Les congrès du Parti socialiste à Grenoble[modifier | modifier le code]

De par son histoire ouvrière, la ville de Grenoble recevra à de nombreuses reprises les délégués socialistes pour leurs congrès.

22e congrès national de la SFIO: 8 au 12 février 1925[32][modifier | modifier le code]

Se déroulant du 8 au 12 janvier 1925, le congrès de Grenoble est l'un des rares congrès de la période SFIO qui se tient dans une ville de province.

Bien qu'il ne soit pas le plus important des congrès de la SFIO, le congrès de Grenoble fit évoluer la ligne politique du parti sur de nombreux points. C'est notamment le cas du vote des femmes. En votant une motion en faveur de sa mise en place, la SFIO devient l'un des premiers partis politiques français à l'inscrire dans son programme.

Le congrès de Grenoble servira également à définir la stratégie pour les élections municipales qui auront lieu moins de trois mois plus tard. Le congrès adoptera également le programme des municipales de l'époque.

59e congrès du Parti socialiste : 22 au 24 juin 1973[33][modifier | modifier le code]

Bien que François Mitterrand sorte renforcé du congrès de Grenoble, avec la motion qu’il a soutenu ayant obtenu 65 % des voix, il doit faire face à une contestation croissante de l’aile gauche. Cette opposition, principalement rassemblée autour du CERES de Jean-Pierre Chevènement, qui avait pourtant joué un rôle crucial pour sa victoire à Épinay, devient de plus en plus bruyante. C’est à cette faction que Mitterrand s’adresse en déclarant son intention de continuer "le combat en luttant contre les fractions et les tendances".

Le CERES, ayant obtenu 21% des voix, cherche à s’affirmer comme la principale force d’opposition interne, malgré son soutien final à la motion de synthèse présentée par Mitterrand et qui a obtenu 91% des voix des délégués.

Les motions du congrès de 1973
Motions Premiers signataires Pourcentage des voix
Motion 1 "Pour un socialisme libérateur, un parti socialiste dynamique et responsable" François Mitterrand 65,2%
Motion 2 "Pour l'unité, pour l'autogestion. Pour un parti de luttes. Prolonger et renforcer la dynamique d'Epinay" Jean-Pierre Chevènement 21,0%
Motion 3 "Pour poursuivre une bataille socialiste. Pour un parti unitaire de lutte de classes" Guy Mollet 8,1%
Motion 4 "Un parti uni et présent dans les luttes" Jean Poperen 5,5%

70e congrès du Parti socialiste : 24 au 26 novembre 2000[34][modifier | modifier le code]

Alors que l'aile gauche du Parti socialiste représente 25 % des militants et que les critiques sur la ligne économique du gouvernement Jospin fusent, la synthèse n'a pas été rendue possible avec la motion de François Hollande. Ce dernier abandonne et préfère ne pas créer de nouvelles motions confuses.[35]

À deux ans des élections présidentielles, le Premier ministre Lionel Jospin parle longuement des élections présidentielles en préparation de sa candidature. La date du congrès avait notamment été choisie en amont de la présidentielle pour donner de l'élan à sa candidature.[36]

Le congrès a également été marqué par des manifestations d'agriculteurs, d'infirmiers et de sans-papiers devant le congrès, alors que presque tous les ministres étaient présents à Grenoble.

Motions Premiers signataires Pourcentage des voix
Motion 1 "Ensemble réussir aujoud'hui pour convaincre demain " François Hollande 73,2%
Motion 2 "Attika : la motion" Marie-Noëlle Lienemann, Julien Dray, Gérard Filoche, Harlem Désir, Jean-Luc Mélenchon 13,28%
Motion 3 "Démocratie, égalité" Henri Emmanuelli, Alain Vidalies, Christian Bataille 13,78%

Les résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Le parti socialiste de l'Isère a rythmé la vie politique du département depuis sa création. Malgré des résultats en baisse depuis 2014, la fédération est encore un acteur important de la vie politique en Isère.

Elections législatives[modifier | modifier le code]

Législature Nombre d'élus[37]
XVIe législature (2022-2024)
1  /  10
XVe législature (2017-2022)
1  /  10
XIVe législature (2012 - 2017)
7  /  10
XIIIe législature (2007 - 2012)
7  /  9
XIIe législature (2002 - 2007)
4  /  9
XIe législature (1997 - 2002)
5  /  9
Xe législature (1993 - 1997)
2  /  9
IXe législature (1988 - 1993)
6  /  9
VIIIe législature (1986 - 1988)
3  /  9
VIIe législature (1981 - 1986)
5  /  7
VIe législature (1978 - 1981)
4  /  7
Ve législature (1973 - 1978)
3  /  7

Elections sénatoriales[modifier | modifier le code]

Mandat Nombre d'élus[38]
2023-2029
0  /  5
2017 à 2023
1  /  5
2011 à 2017
3  /  6
2001 à 2011
1  /  4
1992 à 2001
0  /  4
1983 à 1992
0  /  4
1974 à 1983
1  /  3

Elections régionales[modifier | modifier le code]

Mandat Nombre d'élus[39] Situation politique
2021-2028
3  /  32
Opposition
2015-2021
3  /  32
Opposition
2010-2015
10  /  32
Majorité
2004-2010
10  /  32
Majorité

Elections départementales[modifier | modifier le code]

Mandat Nombre d'élus[40] Situation politique
2021-2028
4  /  58
Opposition
2015-2021
13  /  58
Opposition
2008-2015[41]
22  /  58
Majorité
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