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L'obésité au Japon[modifier | modifier le code]

Définition[modifier | modifier le code]

L'obésité est considérée comme une maladie chronique. Elle reflète une augmentation de la masse graisseuse du corps dont la manifestation clinique la plus simple est l’excès de poids. Selon l'Organisation mondiale de la santé [1](OMS), le surpoids et l’obésité sont définis comme une accumulation anormale ou excessive de graisse qui présente un risque pour la santé. Elle est évaluée par l'Indice de Masse Corporelle, à partir duquel l’OMS a défini des seuils de surcharge pondérale. Statistiquement, un simple surpoids n'est pas source de maladies particulières, mais peut être un facteur d'aggravation d'une maladie. Alors que l'obésité, en plus de son retentissement social et psychologique, est directement associée à des maladies, reflétant notamment l'excès de risque de diabète de type II et de maladie cardiovasculaire.

Classification[modifier | modifier le code]

L’obésité est une maladie chronique, provoquée par un excès de poids qui augmente le taux de mortalité. Le diagnostic de l’obésité repose sur le calcul de l’Indice de Masse Corporelle (IMC). L’IMC est calculé selon la formule suivante : IMC = poids (kg) / taille (m²).

Grâce à l’IMC, l’OMS a établit une classification du surpoids et de l’obésité pour pouvoir définir la gravité de celui-ci. Bien que l’IMC permet d’évaluer et de suivre l’évolution de l’excès de graisse corporelle dans la population, celui-ci ne fournit pas d’indication sur la distribution de cette graisse. D'autres mesures pour évaluer le degré d’obésité existent, mais sont moins communs : par exemple la circonférence de taille et le rapport taille-hanche. Ces tests mesurent une forme d'obésité abdominale et viscérale. Ces mesures se révèlent être aussi efficaces que l' IMC pour prédire le risque d'anomalies métaboliques telles que le diabète de type II. De plus, elles sont préconisées comme facteurs prédictifs de maladies cardio-vasculaires.

Conséquences[modifier | modifier le code]

Un IMC élevé correspond à un facteur de risque de certaines maladies chroniques et non transmissibles. Le fait d’être en surpoids ou obèse augmente le risque d’être atteint de diabète, de maladies cardiovasculaires, de troubles musculo-squelettiques (comme l’arthrose) et même de certains cancer comme celui de l’endomètre, du sein, des ovaires, de la prostate, du foie, de la vésicule biliaire, du rein et du côlon. Une étude, publiée dans “The Lancet”, a également démontré que la surcharge pondérale pouvait diminuer de 1 à 10 ans l’espérance de vie[2]. Cependant, cette étude ne portait pas sur des individus atteints de maladies chroniques ou fumeurs (ou anciennement fumeurs).

AJOUTER SOURCE

Traitements[modifier | modifier le code]

Les causes à l’origine de l’obésité sont souvent multiples, ce qui explique pourquoi le traitement de cette maladie doit faire appel à des compétences professionnelles diversifiées (médecin traitant, diététicien, kinésithérapeute, psychologue, professeur APA,…). Il existe donc, plusieurs traitements comme la modification des habitudes alimentaire, l’activité physique, le changement du mode de vie (aller à la boulangerie en marchant…), les thérapies psychologiques, les thérapies médicamenteuses, ou bien la chirurgie bariatrique.

Au Japon[modifier | modifier le code]

Les Japonais ont défini l'obésité comme étant un IMC supérieur à 25. Le taux d’obésité est une préoccupation croissante. Au Japon, plus de 4.3%[3] (Obésité + Surpoids) de la population est touchée par ce fléau bien que le pourcentage soit faible par rapport à d’autres pays. Les valeurs continuent de grimper au fils des années.

Rappel au niveau mondial[modifier | modifier le code]

Le nombre de cas d’obésité a quasiment triplé depuis 1975. En 2014, on comptait 1,9 milliards d’adultes de plus de 18 ans en surpoids dans le monde et parmi eux 600 millions de personnes obèses. Cela représente 39 % d’individus en surpoids et 13 % d’obèses, avec dans les deux cas plus de femmes touchées que d’hommes. Les données l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), présente le taux d’obésité dans différents pays[4]. La moyenne des pays de l’OCDE est de 19,5% d’obèses. Les États-Unis, le Mexique, la Nouvelle Zélande et la Hongrie sont les pays les plus touchés avec respectivement 38.2%, 32%, 30.7 et 30% d’obèses. Le Japon, la Corée, l’Italie et la Suisse sont les pays les moins touchés avec 3.7, 5.3%, 9.8% et 10.3% d’obèses. Le Japon est donc le pays le moins touché[5].

Comparaison avec les USA[modifier | modifier le code]

L’étude Why is the obesity rate so low in Japan and high in the U.S?[6] établit une comparaison entre l’obésité au Japon et aux États-Unis. Le Japon a l’un des taux les plus bas et les États-Unis l’un des taux les plus élevés d’obésité dans le monde. Les Japonais consomment moins de calories et moins de gras que l’Américain typique. Le régime traditionnel japonais met en évidence une consommation de riz, de légumes et de poisson, avec très peu de matières grasses. Ce qui est favorable et bénéfique au maintien d’un modèle de consommation à faible teneur en calories et donc meilleur pour la santé.

Les calories disponibles n’ont augmenté que légèrement au Japon entre 1960 et 2003, passant de 2 291 à 2 558 (ministère de l’Agriculture, des Forêts et des Pêches, 2005). Au cours de la même période, la disponibilité des calories par habitant aux États-Unis est passée de 3 100 en 1960 à plus de 3 900 en 2003 (ERS, USDA, 2006). Alors que l’augmentation de 1960 à 2003 n’était que de 267 calories par habitant au Japon, aux États-Unis, elle était de 800 calories par personne. Ses données reflètent bien les calories présentes dans les aliments les plus disponibles dans chacun des deux pays. Ces données suggèrent l’abondance de nourriture, particulièrement des aliments à forte teneur énergétique  que les américains ont à leur dispositions.

Comparaison avec l'UE[modifier | modifier le code]

L’obésité est l’un des plus grands défis de santé publique du XXIe siècle. Sa prévalence a triplé dans de nombreux pays de la région européenne de l’OMS depuis les années 1980. De plus, le nombre de personnes touchées continue d’augmenter à un rythme important, en particulier chez les enfants. En Europe, le taux d’obésité est d’environ 20% mais ce chiffre est en constante augmentation. Alors que le Japon comporte plus de 4% de la population en situation d'obésité.

L'obésité dans la société au Japon[modifier | modifier le code]

La loi métabo[modifier | modifier le code]

Avec l’obésité en hausse et les changements de comportement alimentaire, les autorités japonaises deviennent de plus en plus inquiètes. Une campagne a été lancé en 2005, ciblant les japonais âgés de 40 à 74 ans (soit 56 millions de personnes). Elle opérait une mesure du tour de taille (le critère de "normalité" étant 85 cm pour les hommes et 90 cm pour les femmes). Au mois d’avril 2008, le Ministère de la santé, du travail et des affaires sociales a mis en place une série d'examens obligatoires pour inciter les gens à prendre leur santé en main. Le gouvernement a décidé d'inclure obligatoirement la mesure de la "bouée abdominale" c’est-à-dire la taille abdominale, dans les examens de santé. Les administrations locales et les employeurs doivent inclure le dépistage du syndrome métabolique dans les examens médicaux périodiques. Les personnes qui en souffrent sont classés en trois catégories. Les plus touchées sont fortement conseillées d'assister à des "sessions de conseil" afin de modifier leurs habitudes et comportements alimentaires. Les administrations locales et les employeurs risquent d'être pénalisés si les objectifs d'amaigrissement des employés n'ont pas été atteints. Les contributions des mutuelles d'entreprise au système d'assurance-maladie dépendent du nombre de salariés qui répondent ou non au critère de la loi "métabo" (métabolique). Bien que les salariés ne soient pas pénalisés, cette mesure risque d'engendrer une discrimination envers ces individus notamment lors des entretiens d’embauche.

Le handicap dans la culture[modifier | modifier le code]

Au Japon, une personne handicapée est définie comme : « une personne dont la vie quotidienne ou la vie dans la société est considérablement limitée sur le long terme en raison d’un handicap physique ou d’un handicap mental ». Le Japon a ratifié la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées (CDRC) le 20 janvier 2014.

Dans un article d'Ellen Rubin, intitulé, Impressions du Japon d’un point de vue du handicap (2006), l'auteure donne son point vu en se penchant sur l’éducation et les personnes handicapées au Japon : “Séparez-vous, mais égale [...]".[7] D’après la citation, les personnes handicapées possèdent la même place dans la société mais restent indignes d’être mélangées avec des personnes “valides” dans la société japonaise. Le manque d’acceptation sociale est clairement montré et fait ressortir cette contradiction forte. Un comportement que l’on retrouve dans d’autres pays notamment aux Etats-Unis. Les perceptions à l'égard des personnes en situation de handicap évoluent.[8]

Le Japon, ainsi que d’autres pays continuent de lutter contre les perceptions des “valides” du handicap par rapport à tous les aspects de la société et de l’interaction sociale.

Une contradiction (respect des sumotoris)[modifier | modifier le code]

L'obésité peut être mal vu au Japon. Les personnes touchées sont caractérisées comme feignantes, ne s’occupant pas de leur santé ou de leur hygiène de vie. Cependant  celle-ci est un atout non négligeable dans la pratique du sumo.  

Depuis plus de 1 500 ans, le combat de sumo est très populaire au Japon. Les pratiquants de sumo appelé rikishi sont considérés comme des célébrités, voire des demi-dieux. Leurs combats ont été mentionnés pour la première fois en 712, dans le “Kojiki”, le premier livre d’écriture japonaise. A l’époque, les sumos devaient réaliser des rites au nom de la fécondité, et mener leur combat jusqu’à la mort. A travers les rituels réalisés à chaque combat, ils contribuent à la conservation du patrimoine traditionnel du Japon.[9]

Toutefois, le métier de sumo n’est pas appelé à paraître. Ce sport, exige aux pratiquants énormément de discipline, de persévérance et la volonté de surpasser. Il faut se soumettre à un entraînement strict et contraignant au quotidien, mangeant seulement deux repas par jour.  Leurs repas sont principalement, les Chankonabe : une sorte de pot au feu riches en protéines et légumes, leur permettant ainsi d’ingurgiter 8 000 à 10 000 calories par jour.[10]  Après chaque repas une sieste est obligatoire pour faciliter l’accumulation de graisse. Dans cette lutte, il faut pouvoir attaquer ou repousser vigoureusement l'adversaire. Voilà pourquoi la corpulence est tellement déterminante.

L'alimentation : facteur important[modifier | modifier le code]

Type d'alimentation[modifier | modifier le code]

Le repas traditionnel japonais est constitué d’un plat principal à base de céréales bien souvent du riz “shushoku” et de mets d’accompagnements  “fukushoku” comme des légumes et du poisson. La diversité et la qualité des aliments présentent des effets bénéfiques pour la santé. Cependant le régime alimentaire n’est plus aussi sain qu’il l’était. La demande de grandes portions dans les restaurants japonais est en hausse. De plus en plus de personnes commandes des grandes portions appelés “oomori” équivalent au “supersize” dans les restaurants fast-food aux Etat-Unis.

L'IMC des Japonais a augmenté au cours des quarante dernières années, en particulier chez les jeunes. L’alimentation s'est américanisée et occidentalisée avec le développement  restauration rapide (vente des frites, hamburgers, milk-shakes,...), l'accessibilité à l'alimentation à toute heure avec les supérettes ouvertes 24 heures sur 24 et la diminution de la consommation de produits frais. Ces deux régimes alimentaires reconnus pour sa haute teneur en sel, sucre et gras ont contribué à l’évolution des changements alimentaires.

Le degré d’occidentalisation au Japon peut varier selon les régions. Les personnes âgées de plus de 60 ans habitants dans les régions rurales auront tendance à suivre un régime alimentaire traditionnelle, différent de la génération de jeunes adultes qui tendent vers un régime occidental. Les personnes, les plus touchées par l’occidentalisation sont les personnes aisées, les citadins tandis que les individus issus de milieux défavorisés, les agriculteurs et les ruraux le sont beaucoup moins. D’après les données de l’enquête[11], l’apport total en lipides (un indice de l’occidentalisation) est plus élevé dans les grandes villes qui sont les points d’entrée de la culture occidentale.

La consommation de riz est fortement en baisse, alors que la consommation de matières grasses et d’huiles, de viande, de lait et de produits laitiers sont en augmentation, elle a quasiment triplé (2.7)[12] dans toutes les catégories. Les japonais s'éloignent de plus en plus du repas traditionnel japonais appelé "washoku"[13]

Alimentation traditionnelle au Japon VS USA[modifier | modifier le code]

Au Japon, les habitants consomment environ 2500 calories par jour, contre plus de 3300 aux Etats-Unis. La plupart des Japonais préfèrent privilégier les aliments à densité calorique faible (poisson, bouillon, légumes, soja…), ce qui permet d'être rapidement rassasiée. Les assiettes sont variées et colorées, riches en minéraux, en fibres et en vitamines. Les légumes représentent 80 % des menus et le soja apparaît à table au minimum deux fois par jour (sous forme de boissons, de tofu, de miso), ce qui stabilise la glycémie et favorise la santé intestinale. Les légumes secs et les céréales complètes sont privilégiés: ils évitent les pics glycémiques. Ils optent fréquemment pour le cru ou les cuissons à la vapeur ce qui évite l’apport de matière grasse supplémentaire. Du côté de l’hydratation, l'eau et le thé vert constituent les principales boissons des Japonais.

Alimentation différentes dans les enseignes internationales[modifier | modifier le code]

La carte japonaise des restaurants McDonald's, présents au Japon depuis les années 1970, s'adapte à la gastronomie locale et propose des sauces et des aliments panés spécifiques, à découvrir uniquement dans l'un des restaurants de l'archipel. Les portions servies au Japon sont moins gargantuesques qu'ailleurs dans le monde (en particulier aux États-Unis) et surtout moins grasses et moins salées.

Pour un Big Mac, voici les différences entre les USA et le Japon :

  • USA: 540 calories : 28g de gras, 46g de glucides, et 25g de protéines.
  • Japon: 530 calories : 28g de gras, 42g des glucides, et 27g de protéines.

Pour un Coca-cola medium :

  • USA: 220 calories :  59g de glucides.
  • Japon: 140 calories : 35g de glucides .

Au Japon, nous pouvons notamment découvrir des recettes qui n’existent que dans peu de McDonald’s :

  • Ebi Filet-o, à base de crevettes panées ;
  • Teriyaki McBurger, et sa galette de porc sauce teriyaki au citron ;
  • Hot Apple Pie, le dessert frit à la tarte aux pommes.

Des explications possibles[modifier | modifier le code]

Une loi contre l'obésité[modifier | modifier le code]

Allez de là à dire qu’il est "illégal" d’être en surpoids au Japon est une mauvaise caractérisation de la loi. Le gouvernement japonais a publié des lignes directrices et des objectifs liés aux citoyens en surpoids. Une taxe sur les aliments a été suggérée, concernant les aliments riches en calories. C’est le cas de Yahoo Japan Corp[14] : qualifiant cela de " taxe sur les aliments frits". Elle vise à encourager les employés de manger plus sainement. L'entreprise a augmenté le prix des plats frits servis à la cafétéria de son siège de Tokyo de 100 yens. Les recettes de la hausse des prix sont utilisées pour offrir des rabais de 150 yens pour les plats de poissons grillés ou mijotés. Des taxes très élevées ont aussi été imposées sur les cigarettes et autres produits du tabac pour améliorer la santé du public. Cependant, manger et fumer sont deux choses complètement différentes. Manger est à la fois une nécessité pour survivre et intrinsèquement saine, alors que le tabagisme ou d’autres usages du tabac posent de graves risques pour la santé.

Une bonne alimentation[modifier | modifier le code]

Le régime alimentaire traditionnel au Japon[15] a aidé à garder la majorité de la population en bonne santé par rapport aux autres pays développés et industrialisés.

Une alimentation équilibrée c’est-à dire consommer autant que dépenser (bouger) pour maintenir la balance énergétique en équilibre. Elle doit aussi être suffisamment variée et répartie dans la journée pour apporter tous les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme. De plus, elle apporte des portions de glucides, de lipides et de protéines. Une alimentation variée comprend en général cinq catégories d’aliments (pyramide alimentaire): les fruits et légumes; les féculents et les viandes, les produits céréaliers et les féculents ; les poisson, les œufs ; les produits laitiers.

Des suivis médicaux[modifier | modifier le code]

Le gouvernement continue de chercher à mettre en œuvre de vastes réformes, afin de créer un système de soins médicaux et de santé durable (des visites annuelle, la promotion de l’activité physique, "Health 21 project"[16]).

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Obésité et surpoids », sur www.who.int (consulté le )
  2. (en) Emanuele Di Angelantonio, Shilpa N. Bhupathiraju, David Wormser et Pei Gao, « Body-mass index and all-cause mortality: individual-participant-data meta-analysis of 239 prospective studies in four continents », The Lancet, vol. 388, no 10046,‎ , p. 776–786 (ISSN 0140-6736 et 1474-547X, PMID 27423262, DOI 10.1016/S0140-6736(16)30175-1, lire en ligne, consulté le )
  3. « Non-Medical Determinants of Health : Body weight », sur stats.oecd.org (consulté le )
  4. « Obesity Update - OECD », sur www.oecd.org (consulté le )
  5. « Risques pour la santé - Population en surpoids ou obèse - OCDE Data », sur theOECD (consulté le )
  6. (en) Why Is the Obesity Rate So Low in Japan and High in the U.S.? Some Possible Economic Explanations, coll. « Working Paper 06-02 », (lire en ligne)
  7. (en-US) « Disability in Japan: Overview and Statistics », sur Disabled World (consulté le )
  8. (en-US) Tomoko Otake, « Is 'disability' still a dirty word in Japan? », sur The Japan Times, (consulté le )
  9. William Kelly et Atsuo Sugimoto, « This Sporting Life: Sports and Body Culture in Modern Japan », CEAS Occasional Publication Series,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « Oui les lutteurs sont en surpoids, mais sont-ils en mauvaise santé ? », sur Dosukoi, le site du sumo, (consulté le )
  11. (en) Yasuo Kagawa, « Impact of westernization on the nutrition of Japanese: Changes in physique, cancer, longevity and centenarians », Preventive Medicine, vol. 7, no 2,‎ , p. 205–217 (DOI 10.1016/0091-7435(78)90246-3, lire en ligne, consulté le )
  12. « Les Japonais ne mangent plus de riz », sur nippon.com, (consulté le )
  13. « Le repas familial traditionnel menacé », sur nippon.com, (consulté le )
  14. (en-US) Kazuaki Nagata, « Yahoo Japan rolls out 'deep-fried tax' for employees », sur The Japan Times, (consulté le )
  15. « « Washoku », la cuisine japonaise au patrimoine culturel de l’humanité », sur nippon.com, (consulté le )
  16. « Health Japan 21 (the second term) | Health Japan 21 », sur www.nibiohn.go.jp (consulté le )


Voir aussi bibliographie[modifier | modifier le code]

https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000076667_fre

https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000076667?posInSet=11&queryId=efb77c46-6af0-4fb6-af69-b49c1fbbc370

https://www.lapresse.ca/vivre/societe/201211/20/01-4595745-lobesite-est-theoriquement-illegale-au-japon.php

https://www.oecd-ilibrary.org/sites/67450d67-en/1/2/2/index.html?itemId=/content/publication/67450d67-en&_csp_=77ac5dad9f2cb67b4d2e46c9fc814aa4&itemIGO=oecd&itemContentType=book#section-d1e2272

Articles connexes[modifier | modifier le code]