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François Schommer

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François Schommer
François Schommer (avant 1897), par Eugène Pirou.
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Schommer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Formation
Maîtres
Père
Mathias Schommer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Pierre Schommer (d)
Jacques Schommer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Prix de RomeVoir et modifier les données sur Wikidata
Liste détaillée
Pensionnaire de la Villa Médicis (d) (-)
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()
Officier de la Légion d'honneur‎ ()
Prix de RomeVoir et modifier les données sur Wikidata
Tombe de François Schommer au cimetière du Père-Lachaise (49e division).

François Schommer, né le à Paris et mort le à Neuilly-sur-Seine[1], est un peintre, aquafortiste et décorateur français.

Élève d'Isidore Pils, d'Henri Lehmann et de Jean Éloi Malenfant à l’École des beaux-arts de Paris[2], François Schommer expose au Salon de Paris et au Salon des artistes français[N 1] de 1870 à 1935[3],[2]. En 1878, il obtient le premier prix de Rome avec sa toile César-Auguste au tombeau d'Alexandre. Il reçoit ensuite la médaille d'argent à l'Exposition universelle de Paris de 1889, puis à celle de 1900[2]. Nommé professeur à l'École des beaux-arts de Paris en 1910, il devient membre de l'Institut en 1924[4],[2].

Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1890, avant d'être promu officier du même ordre[2].

Il est inhumé à Paris, au cimetière du Père-Lachaise (49e division).

François Schommer est surtout connu comme peintre d'histoire, de sujets religieux et de scènes de genre. Il a également réalisé des aquarelles, des dessins, des illustrations et des décorations, en plus d'avoir gravé à l'eau-forte[5]. Il a notamment décoré les plafonds de la nouvelles Sorbonne, de l'hôtel de ville de Tours, de l'École des beaux-arts de Paris, et a réalisé deux panneaux — Alceste et Rodrigue — pour le foyer du théâtre de l'Odéon à Paris[6].

Réception critique

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François Schommer est considéré comme un « grand artiste » par l'Album Mariani[7] et par la Revue de l'Art[8] qui relève que Schommer est « un homme de belle culture et dont les amités pendant un demi-siècle comptaient parmi l'élite de l'art académique et de la société parisienne[6]. »

Œuvres dans les collections publiques

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Notes et références

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  1. Il devient sociétaire du Salon des artistes français en 1884[2].

Références

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  1. Archives des Hauts-de-Seine, acte de décès n°580, vue 73 / 131.
  2. a b c d e et f Dictionnaire Bénézit, t. XII, p. 503.
  3. Notice sur François Schommer du musée d'Orsay.
  4. « Schommer François » sur le site Univers des arts.
  5. Jean-Claude Daufresne, Théâtre de l'Odéon : architecture, décors, musée, Mardaga, , 297 p. (ISBN 978-2-87009-873-8, lire en ligne), p. 197.
  6. a et b Jean-Claude Daufresne, Théâtre de l'Odéon : architecture, décors, musée, Mardaga, , 297 p. (ISBN 978-2-87009-873-8, lire en ligne), p. 198.
  7. Figures contemporaines tirées de l'Album Mariani, volume X, 1908, lire en ligne sur Gallica.
  8. Revue de l'Art, no 366, décembre 1935.
  9. Musée du Petit Palais, Le Triomphe des mairies : grands décors républicains à Paris, 1870-1914 : Musée du Petit Palais, 8 novembre 1986-18 janvier 1987., Musées de la ville de Paris, (ISBN 2-905028-14-9 et 978-2-905028-14-3, OCLC 21413407, lire en ligne), p.365-366
  10. « Le Repos des gondoliers », notice sur musee-orsay.fr.
  11. « Le Grand Canal à Venise », notice sur musee-orsay.fr.
  12. « Laforge » sur le site Élèves et professeurs de l'Académie Julian.

Liens externes

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