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L'acmé de la civilisation romaine se déduit de cette carte animée, à tout le moins, du point de vue territorial.
Centurion dans une reconstitution historique

L’armée romaine a permis à la Rome antique de dominer la Méditerranée du VIIIe siècle av. J.-C. au Ve siècle.

Armée sous la Monarchie romaine (VIIIe au VIe siècles av. J.-C.)[modifier le code]

Organisation générale[modifier le code]

Au milieu du VIIIe siècle, soit l'époque de Romulus, Rome semble s'entourer d'un rempart, fait de terre et de pierre. C'est peut-être de cette époque que date l'organisation de l'armée romaine. L'étymologie nous éclaire sur l'organisation de cette armée. En effet, le terme tribun dériverait du terme tribu. La population archaïque de Rome aurait été divisée en trois tribus, Ramnenses, Titienses et Luceres, chaque tribu serait divisée en dix curies qui chacune fournissait cent hommes armés. Le tribun serait donc le commandant d'un groupe de 1000 hommes provenant d'une même tribu. De plus, dès cette époque, chaque tribu fournissait 100 cavaliers, recrutés parmi les citoyens les plus riches, puisque chaque citoyen devait fournir son équipement militaire. L'étymologie peut expliquer également le terme legio, le levée, qui désignerait l'armée primitive composée de 3000 fantassins et 300 cavaliers[1].

L'organisation et l'équipement de l'armée romaine a du s'inspirer des étrusques qui dominait l'Italie centrale. La tradition évoque trois rois étrusques qui ont régné successivement sur Rome : Tarquin l'Ancien, Servius Tullius et Tarquin le superbe, ce dernier aurait été renversé par les Romains en 509 av. J.C. Les étrusques organisaient leur armée sous forme de phalange hoplitique. Le combat hoplitique était apparu en Grèce au VIIIe siècle. Il s'agissait d'une formation de fantassins lourdement armés en rangs serrés. Les fantassins étaient armés d'un casque, d'une cuirasse, de jambières (ces 3 éléments étaient en bronze), d'une lance et d'une épée, mais également d'un bouclier rond qui protégait à la fois le coté gauche de celui qui le portait et le coté droit de son voisin de gauche. Cette organisation militaire coïncide en Grèce avec la formation d'armée civique. Cette forme de combat apparait en Étrurie au VIIe siècle av. J.-C.[1]

Servius Tullius, qui aurait régné sur Rome entre 578 et 534 avant notre ère, eut une influence considérable sur l'armée romaine, en introduisant un critère censitaire dans l'organisation de l'armée. Il cherchait à s'appuyer sur un corps civique plus large que l'aristocratie traditionnelle. La société romaine était divisée entre la classis (ceux qui pouvaient être appelés) et qui pouvait se procurer un équipement militaire et les infra classem (ceux qui n'étaient pas mobilisables). Le principe étant que ceux qui possédaient des biens, des terres la plupart du temps, étaient ceux qui avaient des obligations militaires. Au sein des mobilisables, seul les iuniores, agés de 17 à 45 ans, partaient en campagne, les seniores, agés de 46 à 60 ans formaient une réserve. La légion comptait sans doute quatre mille fantassins, peut-être répartis en quarante centuries, soit dix centuries pour chacune des quatre nouvelles tribus topographiques créées par Servius Tullius : la Suburana, la Palatina, l'Esquilina et la Collina. Il aurait également augmenté les effectifs de la cavalerie en créant douze nouvelles centuries équestres qui vinrent s'ajouter aux trois premières qui avaient déjà été dédoublées, le total de la cavalerie aurait ainsi atteint mille huit cent hommes. Servius Tullius aurait également fait édifier une muraille en grand appareil autour de Rome. D'une superficie de 426 ha, elle devait englober des espaces non construits[1] .

Armée citoyenne sous la République romaine (Ve au IIe siècles av. J.-C.)[modifier le code]

Organisation générale[modifier le code]

Pendant tout le Ve siècle av. J.-C., Rome subit la pression des peuples sabelliens mais elle est également en conflit contre certaines cités étrusques. Les combats étaient livrés dans un rayon de 50 km autour de Rome dont le territoire n'exédait pas 900 km2. La cité ressentit le besoin d'augmenter les effectifs de l'infanterie. Cela aurait abouti à la création d'une deuxième puis d'une troisième classe censitaire, regroupant les citoyens n'ayant pas les moyens de fournir l'armement complet d'un hoplite. La deuxième classe possédaient une épée, un bouclier, une lance, des jambières et un casque. Les troisième classe étaient pourvus du même équipement sans les jambières. Le bouclier était de forme ovale afin de mieux protéger l'ensemble du corps dépourvu de cuirasse. La répartition des soldats en cinq classes apparait à l'époque républicaine, à partir du milieu du Ve siècle, même si des auteurs anciens l'attribuent à Servius Tullius[1] .

L'organisation manipulaire serait apparue lorque Rome dut lutter contre les Samnites, un peuple Sabelliens. Le combat hoplitique se révèlent inefficaces contre un adversaire insaisissable qui évite le combat et dont le seul but est de faire du butin et non de contrôler un territoire. Cette nécessité au changement apparu plus manifeste après la défaite des romains face aux gaulois sur l'Allia en 390 av. J.C. Pendant les trois guerres samnites (343-341, 329-304, 298-290 av. J.C.) la légion aurait cessé de combattre en rang serré comme la phallange hoplitique. Elle aurait adopté une organisation plus souple, en étant divisé en manipules, eux-même composés de deux centuries de soixante hommes (trente hommes dans un premier temps). Les manipules étaient disposées en trois lignes de bataille : les hastati armés d'une lance (hasta), puis les principes (qui doivent leur nom au fait d'être en première ligne dans la phalange hoplitique) et enfin les triarii (en troisième ligne). Ils étaient suivis par les rorarii (armés plus légèrement) et par les accensi, appelés et armés uniquement en cas d'urgence. L'articulation en petites unités qui s'entraînaient ou combattaient séparément ou ensemble permettaient une plus grande mobilité et une meilleure adaptation au terrain. Elle permettait aux trois lignes de combat de se relayer. L'adoption de l'organisation manipulaire conduisit au remplacement du bouclier rond par un bouclier rectangulaire, le scutum, très certainement emprunté aux gaulois, pour tous les fantassins. La légion ne désigne plus l'ensemble des l'armée mais une subdivision : en 362 av. J.C. on en compte deux puis quatre en 311, à raison de deux par consul, qui en exerçaient le commandement. Enfin, Rome conclut avec les peuples du Latium puis avec d'autres peuples de la péninsule des traités qui les obligent à fournir des contingents de soldats qui forment les ailes des alliés (alae sociorum) car ils étaient placés aux cotés des légions[1].

La cavalerie est initialement et uniquement composée de riches prétoriens, qui forment une sorte d'aristocratie financière, ce sont les chevaliers romains.

Recrutement[modifier le code]

Sous la république, le cens était un dénombrement qui servait de base au recrutement, à la délimitation des droits politiques, au calcul des impôts. Les jeunes espoirs romains (jeunes patriciens) et les Étrusques ou les italiques d'Ethnie ayant porté les armes contre Rome n'ont pas le droit d'entrer dans l'armée.

Jusqu'en -107, les troupes étaient constituées par convocation, une fois l'an, des petits propriétaires, qui avaient les moyens de s'acheter leur équipement de légionnaires et constituaient une armée de guerriers-citoyens.

Armée permanente sous la République romaine (Ier siècle av. J.-C.)[modifier le code]

Organisation générale[modifier le code]

Vers -100, la Guerre des Cimbres et la Guerre de Jugurtha, et plus particulièrement la bataille sur l'Ebre (Espagne) en -109, ont eu une influence particulière tant sur la carrière de Marius que sur les importantes réformes des institutions et de l'organisation de l'armée.

En -107, les soldats sont regroupés en cohortes de 600 hommes divisées en trois manipules de deux centuries. Le premier manipule se compose des hastati (les plus jeunes), le deuxième des principes et le troisième des triariî (les plus anciens). Il y a 10 cohortes par légion, ce qui donne un effectif théorique de 5 000-6 000 hommes à la légion, sans doute jamais atteint dans la réalité. Elle possède également un peloton de cavalerie de 120 hommes. Les troupes auxiliaires ne sont plus composées de simples mercenaires ou alliés temporaires mais sont des troupes permanentes. Les forces armées comportent divers corps, classés par ordre de prestige : garnison de Rome, armée de province (légion et auxilia, flotte).

Recrutement[modifier le code]

Après la Réforme marianique, toujours en respectant l'idéal civis et miles, l'armée devient une armée de professionnels, encline à défendre ses intérêts qui coïncident avec ceux de leur général. Le recrutement se généralise, même si certaines unités restent mono-ethniques (italiques pour les cohortes urbaines, germaniques pour certaines troupes de cavalerie…). Désormais, les non-possédants, les proletarii, peuvent être engagés sur la base du volontariat. Les esclaves ne sont engagés qu'en cas d'urgence. En cas de nécessité, les conscriptions exceptionnelles ou dilectus sont toujours possibles.

Solde[modifier le code]

Après la réforme de Marius, la troupe recevait la solde (sesquiplex stipendium). Les auxiliaires étaient moins bien payés que les légionnaires eux même moins bien payés que les Prétoriens. Sous Jules César les légionnaires recevaient 225 deniers par mois, contre 300 pour un prétorien.

Armée sous le Haut-Empire romain (Ier au IIe siècles)[modifier le code]

Organisation générale[modifier le code]

Cavalerie[modifier le code]

Après la réforme d'Auguste, les membres de cet ordre occupent, pour les époques suivantes, les postes d'officiers et de hauts- fonctionnaires. Inférieur sur de nombreux points aux cavaleries barbares, l'essentiel de la cavalerie romaine est constitué d'auxiliaire. Elle était principalement utilisée pour briser les rangs ennemis afin de donner un avantage à l'infanterie.

Au début de l'Empire, la cavalerie fut organisée en unités (aile ou latin :alae car elle se situait traditionnellement aux ailes des légions) de 500 hommes puis de 1000 hommes à la fin du Ier siècle. Ces alae étaient divisées en turmae de 30 à 40 hommes commandée par un décurion. Les alae étaient commandées par des préfets.

Dès le règne d’Hadrien, Rome se constitua une cavalerie de fédérés cataphractaires sur le modèle de celle des Alains et les arma en clibanarii. Ils portaient une cuirasse d’écailles complétée par des défenses de bras et de jambe composées de segments de cylindre emboîtés les uns dans les autres (origine parthe mais aussi employé par les gladiateurs romains) et par un casque à visage dont le timbre était monopièce.

Recrutement[modifier le code]

Auguste donne son statut légal à l'armée par la Charte militaire (conditio militiae) et promulgue le décret de la loi lex aerarium militare pour la mise en place d'une allocation d'État aux vétérans de guerre, financée d'une part par le nouvel impôt de succession (5%) et d'autre part par la caisse privée des empereurs.

Les prétoriens s'engagent pour 16 ans, les plébéiens pour un service de 20 ans, 25 pour les auxiliaires 26 à 28 pour les marins. Mais certains soldats servent 30 ou 40 ans avant de recevoir le congé honorable (honesta missio). Les congés n'ont lieu que tous les deux ans. Cela assure à la fois une armée nombreuse de vétérans bien formés. Les troupes auxiliaires, elles, sont dues par les états ou peuples inféodés. Les soldats prêtent allégeance au généralissime.

Équipement[modifier le code]

Avant la réforme marianique, dans la légion, on ne distribue ni armes ni vêtements, chacun s'équipant selon sa fortune. Les riches ont la lance et la longue épée, le casque, la cuirasse, les jambières de métal et le clipeus (bouclier rond en bronze). Les marins, surement en raison des difficultés de recrutement, sont équipés et cela depuis la création de la marine.

Plus tard, officiers et soldats recevront le sagum (sorte de casaque ouverte attachée par une agrafe), des « godillots » (caligae) et un casque de métal (cassis). Les armes sortent d'ateliers publics. Voir :

Protections Équipements Armes Individuelles Armes de siège

Vie dans l'armée[modifier le code]

Domitien les augmenta et elle passa à 300 pour les légionnaires. Sûrement à cause de l'inflation durant le second siècle, Septime Sévère la passa à 500 pour le légionnaire et dont une partie a pu être versée en nature. D'autre part, suivant son grade, chaque soldat avait le droit à une part de butin en cas de victoire militaire. Il pouvait également espérer des primes exceptionnelles pour des événements importants, le donativum.

Enfin, le logement était assuré en caserne et par les populations des pays traversés en campagne. Ce dernier avantage, appelé hospitium était souvent pris de force. Septime Sévère autorise, en fait entérine une situation de fait, les soldats à vivre en famille dans les camps.

La discipline était rude. Les règles visaient à casser les récalcitrants. De nombreux légionnaires vouaient un culte à la déesse mineure Disciplina qui devait les aider à vivre une vie de vertu, frugalité, loyauté et sévérité.

Retour à la vie civile[modifier le code]

Après la réforme de Marius, on appelle vétérans les soldats ayant fini leurs années de service. L’Evocatus est le réengagement. Les soldats recevaient un « diplôme militaire », c'est-à-dire la copie d’une loi impériale affichée dans Rome, reconnue conforme par sept témoins. Ces documents sont constitués par deux tablettes de bronze attachées l’une à l’autre par des fils de métal puis scellées par les témoins. Elles portaient le même texte et accordaient des privilèges au bénéficiaire, notamment le conubium : une loi légitimait l’union qui a été conçue pendant le service et qui était officiellement illégale. En cas de contestation, on brise les sceaux et il est possible de vérifier que les deux textes sont semblables. Les auxiliaires des armées des provinces peuvent aussi en avoir. En outre suivant son grade, celui-ci avait le droit à une exemption de charges civique, et à une prime équivalente à une dizaine d'année de service. Avec cet acte, il reçoit aussi, ainsi que sa femme et ses enfants, la pleine citoyenneté. Ce point semble avoir été important pour le recrutement car, en 212, lorsque l'obtention de la citoyenneté est généralisée par l'édit de l'empereur Caracalla, les effectifs de l'armée ont diminué. Les vétérans deviennent de petit propriétaires fonciers, d'autre artisans et commerçants, rares sont ceux qui ont pu s'investir dans la vie publique locale.

En outre, il recevait une prime qui a été de 3000 deniers pour un légionnaire sous Auguste ou un lopin de bonne terre (choix le plus fréquent). Plus tard sous Caracalla pour ce même légionnaire, la praemia augmente à 5000 deniers.

Le titre de veteranus Augusti est postérieur à Auguste et désigne les anciens prétoriens.

Armée sous l'Antiquité tardive (IIIe au Ve siècles)[modifier le code]

En 262, la réforme de Gallien interdit aux sénateurs de rentrer dans l'armée qui reste aux seules mains de l'ordre équestre. Gallien, la réorganise afin de créer des unités plus mobiles. D'autre part il se préoccupe de mieux utiliser les effectifs disponibles. Il constitue ainsi une armée mobile, le comitatus, en prélevant sur les légions des vexillations formées des éléments les plus aguerris. Une réserve de cavalerie est constituée en regroupant les pelotons de cavalerie affectés à chaque légion.

L'empire est divisé en régions militaires, plus promptes à réagir face aux menaces, et commandées par des comes rei militaris. La bataille d'Andrinople où meurt Valens en 378 marque l'avènement de la cavalerie, avènement militaire de l'époque médiévale. Lors de ce siècle dite des Grandes invasions (identifiable de 376 à 476, lire la chronologie), les autorités romaines passent graduellement d'une situation de domination liée à des victoires sur les lètes / laeti, sur le plan individuel, à une faiblesse du pouvoir devant des peuples entiers qui deviennent fédérés de Rome. La bataille des champs Catalauniques contre l'empire hunnique est la dernière où ces potentats, dotés d'un commandement propre, s'aligneront sur une direction des opérations émanant de Rome. Le roi ostrogoth Théodoric le Grand tombe sur les champs. Ensuite, les peuples germaniques joueront leur propre jeu dans une dynamique d'expansion de leur royaume.

Cavalerie[modifier le code]

L’empire Romain installa d’autres troupes de cataphractaires sur son territoire. Toujours en tant que fédérés, et principalement en orient (future Byzance).

Vie dans l'armée[modifier le code]

Discipline[modifier le code]

La discipline et l’entraînement des légions se manifestent également dans ses déplacements, et notamment dans ses cadences de marche. Cette rapidité de déplacement (inégalée jusqu'à la Révolution française) donne de grands avantages opératiques à la légion romaine : elle permet de réunir deux fois plus de troupes que l'ennemi en un endroit déterminé, avant qu'il puisse réagir. Sous l’Empire, pour les légionnaires, cette cadence est possible grâce à un entraînement (ambulatura) ayant lieu au moins trois fois par mois, à date fixe (quel que soit le temps).

Alimentation[modifier le code]

L'alimentation du soldat est frugale, elle est à base de blé. Le repas type se compose de pain (1kg par jour), parfois de fromage et d'un 1/2 l de vin (i.e. du vinaigre mélangé à de l'eau).

Récompenses[modifier le code]

Les récompenses militaires :

  • pour les soldats et les officiers: habituellement ils reçoivent des décorations comme des bracelets, des colliers, ou des médailles phalerae et surtout des couronnes décernées pour des actions d'éclat:
    • la couronne murale (corona muralis) donnée à un soldat ayant franchi le premier le mur d'une place forte*
    • la couronne vallaire (corona vallaris) donnée à un soldat ayant pris le premier un retranchement
    • la couronne civique (corona civica) donnée au soldat ayant sauvé la vie d'un citoyen romain
    • la couronne de gazon (corona graminea) donnée à un officier supérieur ayant délivré une armée en péril ou une ville investie.
  • pour les généraux:
    • le titre d'imperator
    • des actions de grâce (supplicationes)
    • des ovations (ovationes): entrée solennelle dans Rome du vainqueur qui immole une brebis, le front ceint d'une couronne de myrte
    • des triomphes: entrée solennelle dans Rome du vainqueur assis sur un char doré et vêtu d'une toge pourpre brodée d'or, tenant un septre d'ivoire et la tête ceinte d'une couronne de laurier, précédé du butin et des prisonniers et suivi de l'armée victorieuse.

Peines[modifier le code]

Les peines mineures :

  • Castigatio : violence de la part d'un centurion ou du staff animadversio fustium
  • Réduction de ration
  • flagellation flagrum (flagellum, flagella) en face de la centurie, cohorte ou légion
  • Pecunaria multa : réduction de la solde

Les peines majeures :

  • Fustuarium tabassage public violent qui entraînait souvent la mort. Les survivants étaient bannis de Rome.
  • Décimation Une peine appliquée à toute une unité (légion, cohorte) qui était jugée responsable d'une défaite.
  1. a b c d et e Cosme, Pierre, L'armée romaine. XXXXe s. av. J.C. - Ve s. av. J.C., Armand Colin, Paris, 2007.