Bataillon de tirailleurs sénégalais no 2 de Madagascar

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Bataillon de tirailleurs sénégalais no 2
Image illustrative de l’article Bataillon de tirailleurs sénégalais no 2 de Madagascar
Représentation héraldique de l'insigne du BTS no 2 de Madagascar.

Création 1948
Dissolution 1957
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Bataillon de tirailleurs sénégalais
Rôle Infanterie
Garnison Sakaramy
Ancienne dénomination Bataillon de tirailleurs sénégalais de renfort no 4

Le bataillon de tirailleurs sénégalais no 2 de Madagascar (BTS no 2) est une ancienne unité militaire des troupes coloniales françaises stationnée dans la colonie de Madagascar.

Création et différentes dénominations[modifier | modifier le code]

  • 1948 : formation du bataillon de tirailleurs sénégalais no 112 (BTS no 112) en mai, devenu bataillon de tirailleurs sénégalais de renfort no 4 (BTSR no 4) en août
  • 1949 : renommé bataillon de tirailleurs sénégalais no 2 de Madagascar (BTS no 2)
  • 1957 : dissous

Historique[modifier | modifier le code]

Le BTS no 112 est formé à Castelnaudary en mai 1948. Débarqué à Tamatave le , il est renommé BTSR no 4 le [1].

Installé à Sakaramy (près de Diégo-Suarez), il prend le nom de BTS no 2 le [1]. Il est dissous le [2].

Insigne[modifier | modifier le code]

Ancre de marine chargée des armes de Castelnaudary, dont les fleurs de lys en chef ont été remplacées par un voromahery, oiseau de proie malgache utilisé comme symbole par le royaume de Madagascar[1],[3].

Insigne homologué H 594 en janvier 1948[2].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Jacques Sicard, « L'armée française face à la rébellion malgache, 1947-1949 », Armes Militaria Magazine, no 261,‎ , p. 51-60
  2. a et b Henri Vaudable, Histoire des troupes de marine, à travers leurs insignes: Des origines à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, Service historique de l'Armée de terre, (ISBN 978-2-86323-092-3, lire en ligne), p. 37
  3. Jacques Sicard, « Les bataillons de tirailleurs de territoire », Militaria Magazine, no 115,‎ , p. 46-51

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]