Rue Claude-Bernard

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 6 mai 2021 à 23:14 et modifiée en dernier par Paul-Eric Langevin (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

5e arrt
Rue Claude-Bernard
Voir la photo.
Rue Claude-Bernard en 2017.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 5e
Quartier Jardin-des-Plantes
Début 2, avenue des Gobelins et 4, rue de Bazeilles
Fin Place Pierre-Lampué et 1, rue des Feuillantines
Morphologie
Longueur 575 m
Largeur 20 m
Historique
Dénomination
Ancien nom Rue des Feuillantines
rue Gay-Lussac
Géocodification
Ville de Paris 2078
DGI 2069
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Claude-Bernard
Géolocalisation sur la carte : 5e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 5e arrondissement de Paris)
Rue Claude-Bernard
Images sur Wikimedia Commons Images sur Wikimedia Commons

La rue Claude-Bernard est une voie située dans le quartier du Jardin-des-Plantes du 5e arrondissement de Paris.

Situation et accès

Longue de 575 mètres, elle commence au 2, avenue des Gobelins et 4, rue de Bazeilles et finit au 1, rue des Feuillantines et place Pierre-Lampué.

Le quartier est desservi par la ligne (M)(7) à la station Censier - Daubenton, ainsi que par les lignes de bus RATP 212427.

Origine du nom

Claude Bernard.

Elle porte le nom du physiologiste et médecin, Claude Bernard (1813-1878)[1].

Historique

Ancienne partie de la rue Gay-Lussac, la portion sud est renommée « rue Claude-Bernard » en 1881.

Le 2 septembre 1914, durant la première Guerre mondiale, la rue Claude-Bernard est bombardée par un raid effectué par des avions allemands[2].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Notes et références

Notes

  1. Le camp faisait partie d'un réseau de camps d'internement annexe à celui de Drancy. Des prisonniers étaient réquisitionnés dans le cadre de l’Aktion M pour, note le conservateur de la BNF Olivier Jacquot, « trier, classer, réparer et emballer les objets pillés dans les appartements des juifs déportés ». Les meubles étaient ensuite donnés aux victimes allemandes des bombardements. À Paris, les principaux camps furent : le camp d'Austerlitz, 43 quai de la Gare, le camp Lévitan, situé 85-87 rue du Faubourg-Saint-Martin, le camp Bassano, situé 2 rue de Bassano, le palais de Tokyo, le musée du Louvre, le 60 rue Claude-Bernard. Un dépôt se trouvait aussi à Aubervilliers.

Références