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La plus grande concentration de ces tumulus se situe de part et d'autre de l'ancienne chaussée romaine Bavay-Tongres-Cologne. Certains tumulus ont fait l'objet de fouilles et ont été reconstitués, comme le tumulus visitable du Trou de Billemont ; d'autres ont perdu leur tertre mais leur trace est visible depuis le ciel.
2e colonne (Ferraris) : référence aux cartes de l'atlas de Ferraris du XVIIIe siècle (275 planches), indiquée au moyen d'un numéro et d'une référence à une grille, consistant en deux lettres (par ex. Ba ou Bd). Les majuscules A et B désignent respectivement la page de gauche ou de droite d'une carte. Les minuscules a,b,c,d indiquent respectivement le coin supérieur gauche (a), le coin supérieur droit (b), le coin inférieur gauche (c) et le coin inférieur droit (d) de chaque page.
Exemple :
3e colonne (IGN) : référence aux cartes topographiques de la Belgique éditées par l'IGN. L'IGN a utilisé une grille de 72 cases pour couvrir toute la Belgique. Chaque case est divisée en 8 sous parties (de 1 à 4 pour la partie supérieure et de 5 à 8 pour la partie inférieure) divisées à leur tour en Nord (N) et Sud (S).
Exemple :
4e colonne (#) : nombre de tumuli sur le site.
5e colonne (Nom) : nom actuel des tumuli. Sur la carte de Ferraris de 1777, le nom indiqué diffère parfois du nom actuel, principalement parce que le nom du hameau ou du village que porte le tumulus a évolué depuis.
6e colonne (Commune) : nom actuel des communes (noms attribués depuis la fusion de communes terminée en 1983).
G. De Boe, « Belgique romaine 1966-1967 », L'antiquité classique, t. 39, no 1, , p. 178-197 (lire en ligne)
G. De Boe, « Belgique romaine 1968-1970 », L'antiquité classique, t. 44, no 1, , p. 219-240 (lire en ligne)
Claire Massart, « Inventaires des sites. Les tumulus à vestiges Gallo-Romaines dans la cité des Tongres », Atuatuca, Publications of the Gallo-Roman Museum of Tongeren, t. 6, , p. 180-195 (lire en ligne)