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=== Symboles et identité hongroise ===
==== Symboles et identité hongroise ====

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==== Ministre des Affaires Étrangères hongroise ====
==== Ministre des Affaires Étrangères hongroise ====

Version du 16 février 2012 à 08:40

Relations entre la Hongrie et la Slovaquie
Drapeau de la Hongrie
Drapeau de la Slovaquie
Hongrie et Slovaquie
Hongrie Slovaquie

Les Relations entre la Hongrie et la Slovaquie ont été établies en 1993. Les deux pays ont 676 km de frontière commune[1], ; il y a environ 514 000 hongrois habitant en Slovaquie, ce qui constitue environ 10 % de la population[1], principalement dans le sud du pays et environ 17 000 slovaques en Hongrie (soit environ 0,17 % de la population).

La Hongrie a une ambassade à Bratislava[2] et la Slovaquie a une ambassade et un centre culturel à Budapest, un consulat général à Békéscsaba[3].

Les deux pays font partie de l'OTAN, de l'Union européenne et du V4.

Bien que les deux pays soit alliés, des difficultés subsistent, tenant à l'histoire et à la question de la minorité magyarophone en Slovaquie, un accord bilatéral a été signé en décembre 2003 entre les deux pays[1].

Les relations ont été tendues par la présence du parti extrémiste et nationaliste[4] SNS de Ján Slota au gouvernement.

Perspectives historiques

La Slovaquie en tant que terre hongroise

Du XIe au Traité de Saint-Germain de 1919, la Slovaquie fut terre hongroise, et Presbourg (la future Bratislava) fut même pendant un temps capitale de la Hongrie. Avec la fin de l'Autriche-Hongrie, la Slovaquie, anciennement Haute-Hongrie, est intégrée à la Tchécoslovaquie. Les revendications territoriales de la Hongrie, qui souhaite récupérer son territoire, aboutissent au printemps 1919 à un conflit entre la Tchécoslovaquie et la République des conseils de Hongrie. Les Hongrois repoussent les Tchécoslovaques, et un éphémère gouvernement communiste, la République slovaque des conseils, est proclamé en Slovaquie; mais l'offensive de la Roumanie repousse bientôt les Hongrois. En 1939, la question territoriale aboutit à un bref conflit militaire, opposant cette fois le Royaume de Hongrie à la nouvelle République slovaque indépendante. Les efforts de magyarisation de la population locale du temps de l'occupation hongroise et la fermeture des institutions nationales slovaques telles que Matica slovenská, ou la participation de la République populaire de Hongrie à l'invasion suite au Printemps de Prague ajoutent au ressentiment slovaque contre leurs anciens maîtres.

Affaire du projet Gabčíkovo-Nagymaros

L'affaire du projet Gabčíkovo-Nagymaros est un litige inter-étatique concernant la construction et de l'exploitation de barrages sur le Danube.

La Hongrie et la Tchécoslovaquie avaient signé un accord à Budapest le pour construire et exploiter conjointement plusieurs barrages et aménagements le long de la frontière hongro-slovaque, pour empêcher les inondations, aider la circuler sur le Danube et produire de l'énergie propre. En 1989, à cause de difficultés financières (et d'opposition en Hongrie), la Hongrie décida unilatéralement de se retirer du projet, bien que la majorité des travaux côté slovaque avaient déjà été effectués.

Le cas fut porté conjointement par la Hongrie et la Slovaquie devant la Cour internationale de justice en 1993. La Cour a rendu le un premier arrêt : celui-ci donne tort aux deux parties, la Hongrie pour avoir annulé l'accord sur le barrage, la Slovaquie pour avoir mis en service la centrale, et fournit des indications détaillées sur l'exécution de l'arrêt, concernant les aspects environnementaux et les moyens de dédommagement.

La Slovaquie a demandé un arrêt supplémentaire dès 1998, concernant notamment l'interprétation du premier arrêt. Depuis lors, un projet d'accord sur l'exécution de l'arrêt est toujours l'objet de négociations entre les deux gouvernements.

Minorité hongroise en Slovaquie

Représentation

Utilisation de la langue hongroise

Régions à majorité hongroise locale en Slovaquie

Suite à la modification de 2009 de la loi slovaque de 1995 sur la langue d'État, la langue slovaque est la langue utilisée pour la communication orale et écrite dans les bureaux et organismes d'État ainsi que dans un grand nombre de cas détaillés d'usage public au quotidien (concernant jusqu'aux médecins), l'utilisation d'autres langues dans ces conditions étant punie d'une amende de 100 à 5000 euros[5]. Du point de vue juridique, c'est le fait que la langue tchèque soit exclue de cette loi qui peut constituer une discrimination ethnique vis-à-vis des autres communautés minoritaires[6].

Suite à une nouvelle modification de la loi en décembre 2010, entrée en vigueur en mars 2011, l'amende maximum passe à 2500 euros, et les personnes physiques ne peuvent plus être condamnées[7].

Le , une autre modification, non encore entrée en vigueur car renvoyée au Parlement par le chef de l'État Ivan Gašparovič, abaisse à 15 % le seuil de 20 % de population dans une localité pour l'usage public d'une langue (par ex. hôpitaux), permet de fournir des extraits bilingues des actes de l'état-civil, qui doit être tenu en slovaque, et permet au maire et aux conseillers municipaux d'utiliser la langue locale dans leurs sessions s'ils donnent leur accord pour cela[8]. Cependant, en janvier 2012 le SNS a réuni suffisamment de signatures en faveur de l'usage officiel exclusif du slovaque pour qu'un référendum doive être tenu sur le sujet[9].

Incidents diplomatiques

Hedvig Malina

Hedvig Malina (en hongrois : Malina Hedvig), une étudiante d'origine hongroise de Horné Mýto (Felsővámos) fut attaquée lors d'un crime haineux. Son cas fut source de nombreuses controverses et tensions dans les relations hongro-slovaques.

Malina affirme qu'elle fut attaquée physiquement et volée le à Nitra après avoir parlé hongrois en public.

Elle affirme que ses attaquants, de jeunes skinheads auraient écrit « SK bez parazitov » (« La Slovaquie sans parasites ») et « Maďari za Dunaj » (« Les hongrois de l'autre côté du Danube ») sur ses vêtements. La police slovaque affirma que l'incident n'eut jamais lieu, mais sans fournir d'explications pour les blessures de la victime. Malina est actuellement accusée de parjure et une investigation policière est toujours en cours[10].

La plupart des partis politiques slovaques condamnèrent l'attaque, à l'exception notable du SNS de Ján Slota.

En décembre 2007, 15 mois après l'incident, la police fournit l'enregistrement vidéo de la première interrogation de Malina à son avocat Roman Kvasnica. Plusieurs manquements devinrent apparents: la police n'avait pas mentionné précédemment que trois autres policiers étaient présents, et que deux caméras furent utilisés (et non une), et qu'ils arrêtèrent les équipements d'enregistrement à plusieurs reprises. Sur un entretien de six heures, cinq furent enregistrés (et seulement trois donné à l'avocat de la victime). Malina est toujours accusée de parjure.

Malina alla à la Cour européenne des droits de l'homme, pour se plaindre de la conduite « inhumaine et humiliante » des officiels slovaques. Elle affirma au Népszabadság qu'elle ne cherchait qu'à obtenir une « satisfaction morale ».

L'incident des visites guidées de Bratislava

En 2006, deux professeurs d'histoire hongrois accompagnant à Bratislava un groupe d'étudiants de Szekszárd, et leur expliquant en hongrois le rôle de la cathédrale dans l'histoire hongroise, ont été arrêtés par la police en tant que guides touristiques illégaux ne disposant pas d'autorisation. Le ministère de l'Intérieur hongrois a demandé des excuses officielles, ce qui a été refusé par la partie slovaque. Il est apparu ensuite qu'à cette époque à Bratislava il n'existait pas de réglementation obligeant les guides touristiques à avoir une autorisation[11].

Confirmation des Décrets Beneš

Le , le Parlement slovaque a confirmé les décrets Beneš, les députés hongrois ethniques étant seuls à voter contre en considérant que c'est sur la base d'un principe de « culpabilité collective » utilisé aussi par les nazis que les Allemands et les Hongrois ont été privés de leurs droits fondamentaux, qu'ils ont perdu leur nationalité, que leurs biens ont été confisqués et leurs familles expulsées. Selon le Président de la République hongroise László Sólyom, cette décision est inacceptable et pèse de façon considérable sur les relations slovaco-hongroises[12].

Dunajská Streda

Le à Dunajská Streda (Dunaszerdahely), après 15 minutes de jeu lors du match opposant l'équipe locale DAC au Slovan de Bratislava, la police a chargé la tribune des supporters hongrois en faisant usage d'armes non autorisées comme la matraque télescopique, blessant quelque 60 personnes dont certaines gravement. Les vidéos parues sur Internet montraient que rien ne justifiait cette action, et ce n'est que 5 jours plus tard que la police a pu présenter pour se justifier une photo où un supporter hongrois levait le poing. Le gouvernement hongrois et la presse hongroise ont décrit l'incident comme une attaque hungarophobe[13].

Viktor Orbán

Les revendications de l'irrédentisme hongrois Viktor Orbán chef de l'opposition hongroise, président du Fidesz, Viktor Orban a prononcé un discours de campagne à Esztergom, en Hongrie le 23 mai 2009, deux semaines avant les élections européennes 2009, dans lequel il se demande comment de nombreux députés représenteront les Hongrois du Bassin des Carpates. (Cette région géographique, la zone traditionnelle du Royaume de Hongrie, comprend des zones de la Roumanie, la Slovaquie, la Serbie, l'Ukraine, la Croatie et l'Autriche.) La coalition gouvernementale de la Slovaquie a condamné cette décision.

Interdiction d'entrée du président hongrois

Le , le lendemain de la fête nationale hongroise de la Saint-Étienne, le Président de la République hongroise László Sólyom devait se rendre à Komárno (Révkomárom) en Slovaquie pour inaugurer une statue équestre de Saint Étienne premier roi de Hongrie, financée par des dons. Selon le ministère des Affaires Étrangères hongrois, la visite était préparée depuis juin et la partie slovaque n'avait aucune objection. Cependant, le 19 août, le comité des Affaires Étrangères du Parlement slovaque, suivi en cela par les trois plus hauts officiels slovaques (le chef de l'État Ivan Gašparovič, le chef du gouvernement Robert Fico, le président du Parlement Pavol Paška), a qualifié cette visite de provocation du fait de sa date, anniversaire de l'invasion de la Tchécoslovaquie par le Pacte de Varsovie qui incluait la Hongrie, et du fait que Sólyom ne désire pas rencontrer de délégation slovaque[14].

Le jour même de l'inauguration, l'ambassade de Hongrie à Bratislava a reçu une note diplomatique du ministère des Affaires Étrangères slovaque selon laquelle « compte tenu des risques pour la sécurité », la Slovaquie « refusait l'entrée sur le territoire de la République slovaque au président de la République de Hongrie, M László Sólyom, le 21 août ». Sólyom s'est finalement engagé à pied sur le pont entre Komárom et Komárno, et à la frontière au milieu du pont, alors que de nombreux policiers l'attendaient du côté slovaque, il a tenu une conférence de presse sans entrer en Slovaquie[15]. La Hongrie prévoyait une plainte auprès de l'UE, mais la Commission Européenne n'a pas voulu s'impliquer dans cette affaire[16].

Attaque de l'ambassade slovaque

Le , quelques jours après l'incident de Komárno, deux cocktails Molotov furent lancés sur l'ambassade de Slovaquie à Budapest, sans prendre feu ni exploser. Les deux pays condamnèrent cette attaque et la considérèrent comme un acte criminel isolé[17].

Attaque de la voiture de l'ambassadeur slovaque

Le , un chauffeur essaya de faire sortir de la route la voiture de l'ambassadeur slovaque à Budapest, Peter Weiss, avant de l'attaquer verbalement. Personne ne fut blessé lors de l'incident. Peu après, les coupables furent arrêtés par la police hongroise, et leur voiture et domicile fouillés pour essayer d'établir un lien avec l'attaque sur l'ambassade la veille.

Les autorités slovaques se refusèrent à tout commentaire, disant ne pas vouloir exacerber les relations déjà tendues entre les deux pays[18],[19].

Commentaires de Ján Slota

Après les élections de 2006, le parti nationaliste SNS est devenu membre de la coalition gouvernementale, créant une situation étrange où son président Ján Slota, connu pour ses déclarations anti-hongroises et d'extrême-droite, était partenaire du Premier ministre Robert Fico dont le parti Smer est considéré de gauche. Pendant cette période, les commentaires grotesques de Slota sur les Hongrois se sont multipliés.

Saint Étienne a massacré ces Mongols

Le , Slota a déclaré : « Saint Étienne [premier roi de Hongrie] s’est associé avec les princes slovaques et les chevaliers francs et a massacré ces Mongols [les Hongrois] sur le territoire de la Hongrie historique d'alors. Il est possible que certains soient restés en se cachant dans les roseaux. (...) Saint Étienne n'était pas un roi hongrois mais un roi de la Hongrie historique (Uhorsko) qui parlait mieux allemand que hongrois. (...) C'est ce fameux Saint Étienne qui les a massacrés eux, c'est-à-dire leurs ancêtres. (...) La nation slovaque est autochtone sur ce territoire depuis déjà 1500 ans. Les tribus hongroises mongoloïdes qui sont arrivées ici sur ces chevaux poilus répugnants viennent seulement de fêter leur millénaire. (...) Les restes de ces vagabonds, de ces nomades, sont devenus très peu nombreux sur le territoire de la Hongrie[20]. »

Destruction de Budapest

Le , à une réunion de parti, Slota probablement ivre a déclaré : « On va monter dans nos tanks et détruire Budapest[21]. »

Civilisation des hongrois

En juin 2006, quelques jours avant les élections législatives slovaques, Slota déclare lors d'un débat télévisé : « En 1248, un évêque franc [sic] en visite dans le bassin des Carpates disait : en parcourant ce pays je me demandais comment Dieu a pu donner une terre si belle à des gens si laids. Il voulait dire les "anciens Hongrois" , parce qu'ils étaient de type mongoloïde avec des jambes arquées et des chevaux si répugnants - en fait, de petits chevaux - c'est ce que l'évêque disait, c'est écrit... exactement, mot à mot... et maintenant après plus de 600 ans, d'une façon ou d'une autre ces "mongoloïdes" ont disparu... Je ne sais pas qui leur a appris à se civiliser, mais je pense que malheureusement c'est le sang slave qui l'a fait... malheureusement, et je ne sais vraiment pas si ces Hongrois, qui aiment se dire Hongrois, sont vraiment hongrois : je pense que 90 % d'entre eux ont du sang slave, et peut-être 10 % ou peut-être 0,1 % du sang "ancien hongrois", mais ils racontent quand même exprès comme des fous des histoires de turul et d'autres choses insensées...[22] »

Une tumeur sur le corps de la nation slovaque

En 2006, le député européen italien Michl Ebner a diffusé par e-mail un florilège des remarques xénophobes de Slota, ce qui a contribué à faire connaître la perle suivante, reprise par Der Spiegel et la presse internationale en remplaçant le mot "tumeur" par "cancer"[23] : « Les Hongrois sont sur le corps de la nation slovaque une tumeur cancéreuse qu'il faut retirer le plus vite possible. »

Symboles et identité hongroise

Le , pour défendre la loi slovaque sur l'enseignement, les chefs de partis de la coalition gouvernementale Fico, Slota et Mečiar présentent un manuel scolaire d'histoire utilisé dans l'enseignement en hongrois en Slovaquie et approuvé par le ministère hongrois, mais voyant la quatrième de couverture avec la photo de la statue équestre du premier roi de Hongrie Saint Étienne au château de Buda, Slota dit que « ce serait là ce fameux clown hongrois à cheval »[24].

En septembre 2008, alors même que les Premiers ministres hongrois et slovaques se rencontraient à Bruxelles, Slota inaugurant une double croix à Malacky a déclaré : « Sur notre territoire, malheureusement, on a érigé plus souvent de ces oiseaux laids, de ces perroquets hongrois appelés turul [ faucon mythique hongrois] »[25].

Le , Slota déclare à l'agence de presse SITA qu'en Slovaquie « ce ne sont pas des Hongrois, mais des Slovaques qui s'expriment en hongrois. » Selon lui, en France il n'y a pas non plus d'Algériens et de Marocains, ils sont tous Français, « on les divise en Français, immigrés et étrangers. Nous devrions appeler nos concitoyens du Sud de la Slovaquie des Slovaques de langue maternelle hongroise. Encore que j'en doute, parce que beaucoup d'entre eux sont des Slovaques sous influence hongroise[26]. »

Ministre des Affaires Étrangères hongroise

Slota a insulté à plusieurs reprises Kinga Göncz, alors ministre des Affaires Étrangères hongroise, notamment le en critiquant ses cheveux et en la comparant à Hitler : « Nous ne cédons pas à la pression de Budapest sur nous venant de la direction de notre voisin méridional : une femme aux cheveux ébouriffés, une miséreuse, lance ici des menaces et pose des questions au Premier ministre slovaque à qui elle n'arrive pas à la cheville. Ce qu'ils font est le summum de l’arrogance. Je pourrais la comparer à Henlein et à ce petit homme à moustache de la cave de Munich [ Hitler ]. Lui aussi utilisait la même rhétorique que cette femme. Peut-être que sa moustache à elle aussi a déjà commencé à pousser[27]. »

Doubles croix contre les turuls

Le , à l'occasion de l'inauguration d'une double croix monumentale à Čerhov, symbole présent sur les armoiries de la Slovaquie (mais aussi de la Hongrie), Slota déclare : « Nous allons ériger des doubles croix slovaques dans toute la Slovaquie, même dans le Sud [zone de population hongroise], pour ne pas avoir à regarder ébahis des abrutis d'oiseaux turul hongrois voleter au-dessus de la Slovaquie du Sud[28]. » Il précise plus tard lors de l'inauguration d'une autre double croix que s'il veut des doubles croix le long de la frontière hongroise, c'est pour que les gens qui arrivent de Hongrie « prennent note de ce qu'ils ne sont pas en Haute-Hongrie mais en Slovaquie[27]. »

« Sage historicisme »

Voir aussi

Liens externes

Notes et références

  1. a b et c France-Diplomatie: Présentation de la Slovaquie - Politique extérieure, consulté le 8 décembre 2009
  2. (hu)(sk) Ambassade hongroise à Bratislava, consulté le 8 janvier 2010
  3. (en) Missions diplomatiques slovaques, consulté le 8 janvier 2010
  4. (en) « The Slovak National Party (SNS), a partner in the Meciar-led coalition government until it lost the 1998 general elections, is clearly an extremist nationalist party. (Le Parti national slovaque (SNS), partenaire dans la coalition gouvernementale menée par Mečiar jusqu'à sa défaite aux élections législatives de 1998, est clairement un parti extrémiste et nationaliste.) »Stephen Roth Institute: Antisemitism And Racism in Slovakia, consulté le 8 décembre 2009
  5. (en) « Anger as Slovak language law comes into force »
  6. (en) « The new state language law in Slovakia [La nouvelle loi sur la langue d'État en Slovaquie] », The Budapest Times,‎ (lire en ligne)
  7. (hu) « Szlovákiában életbe lépett a felpuhított nyelvtörvény », Origo, [La loi linguistique adoucie est entrée en vigueur en Slovaquie]
  8. (hu) « Megszavazták a kisebbségi nyelvhasználati törvényt », Bumm.sk, [La loi sur l'usage des langues minoritaires a été adoptée]
  9. (hu) « Összegyűltek a nemzeti aláírások [Les signatures SNS ont été obtenues] », Új Szó,‎ (lire en ligne)
  10. Selon un câble Wikileaks, le ministère de l'Intérieur était pourtant d'avis dès octobre 2006 que l'agression était réelle, mais que la jeune femme avait essayé d'aggraver ses blessures pour être plus crédible devant la police.
  11. (hu) « Mégis folytatódik a pozsonyi botrány [Le scandale de Bratislava continue quand même] », Népszabadság,‎ (lire en ligne)
  12. « Sólyom: Elfogadhatatlan a szlovákok döntése », index.hu, [Sólyom : la décision des Slovaques est inacceptable]
  13. (en) « Hungarians attacked [Des Hongrois attaqués] », The Budapest Times,‎ (lire en ligne)
  14. (hu) « A külügy sem érti a szlovák reakciókat », index.hu, [Le ministère des Affaires Étrangères non plus ne comprend pas les réactions slovaques]
  15. (hu) « Szlovákia nem engedte be területére Sólyomot », origo.hu, [La Slovaquie n'a pas permis l'accès à son territoire à Sólyom]
  16. (de) « Ratsvorsitz hält sich zurück », Der Standard,‎ (lire en ligne)
  17. (sk) « Reakcia prišla v zápalnej fľaši », SME,‎ (lire en ligne)
  18. (sk) SME: Slovenského veľvyslanca sa v Budapešti pokúsili vytlačiť z cesty, consulté le 2 janvier 2010
  19. (hu) Index: Rárántották a kormányt a szlovák nagykövetre, consulté le 2 janvier 2010
  20. (hu) « Slota: a szlovák nemzet már 1500 éve őshonos itt [Slota : la nation slovaque est autochtone ici depuis 1500 ans] », HVG,‎ (lire en ligne)
  21. (en) « Why is Slovakia not in NATO? Ján Slota explains », The Slovak spectator,‎ (lire en ligne)
  22. « Minority Report - p. 10, Dossier "Ján Slota" », MKP,
  23. (en) « Separatist Movements Seek Inspiration in Kosovo - Part 2: 'A Cancer in the Body of the Slovak Nation' », Der Spiegel,‎ (lire en ligne)
  24. (hu) « Szent István "lovasbohóc" Slota szerint », DunaTV, [Saint Étienne est un "clown à cheval" selon Slota]
  25. (en) « Slota ridicules Hungarians during PMs' meeting », The Slovak spectator, [Slota tourne les Hongrois en ridicule pendant la rencontre des Premiers ministres]
  26. (sk) « U nás nežijú Maďari, ale Slováci, ktorí hovoria po maďarsky », The Slovak spectator,
  27. a et b (hu) « Slota: Göncz Kinga nem csak "kócos", hanem "nyomorult asszony" is! », stop.hu, [Slota : Göncz Kinga n'a pas seulement "des cheveux ébouriffés" mais est aussi "une miséreuse"]
  28. (hu) « Slota: turulmadarak röpködnek Szlovákiában! "Szlovák" kettőskereszt az ellenszer », Bumm.sk, [Slota : des oiseaux turul volètent en Slovaquie ! Des doubles croix "slovaques" sont l'antidote]