Wikipédia:Oracle/semaine 50 2016

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Semaines : 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52  | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 



Comment connaître la distance qui nous sépare d'une étoile ?[modifier le code]

Bonjour l'Oracle, Je me demandais comment on pouvait connaître la distance qui nous sépare d'une étoile que l'on voit dans le ciel. J'ai bien compris que l'Effet Dopler permet de savoir si l'étoile en question se rapproche ou s'éloigne de nous, mais je ne comprends pas comment on peut savoir si l'étoile est proche ou loin.

Merci beaucoup d'avance pour ta réponse,

Axel584 (discuter) 12 décembre 2016 à 16:20 (CET)[répondre]

Plusieurs méthodes :
  • D'après Hubble, l'univers est en expansion. À l'aide de la Loi de Hubble on est en mesure de calculer la distance d'après l'effet Doppler (plus elle s'éloigne vite, plus elle est lointaine...).
  • D'après le type d'étoile, on peut estimer sa puissance lumineuse et d'après sa luminosité apparente en déduire la distance.
  • Pour une étoile proche, on peut mesurer la variation de position en fonction de la position de la Terre sur son orbite solaire.
La combinaison des 3 méthodes permet de valider les méthodes les unes par rapport aux autres.
--Serged/ 12 décembre 2016 à 16:47 (CET)[répondre]
Je répondrais plutôt dans l'ordre :
  • certaines étoiles (suffisamment proches) décrivent dans le ciel une trajectoire apparente en forme d'ellipse, due à l'effet de parallaxe (au fur et à mesure que la Terre tourne autour du soleil, la direction dans laquelle se trouve l'étoile se modifie) ; alors la mesure des paramètres de cette ellipse nous donne le rapport entre le grand axe de l'orbite terrestre (connu par ailleurs) et la distance cherchée ; comment connaît-on ce grand-axe ? également en exploitant la parallaxe, cette fois entre les directions apparentes du soleil, vu de différents points de la Terre ;
  • pour les étoiles plus lointaines (de notre galaxie et de quelques galaxies proches) on utilise la méthode des chandelle standard[a] en prenant comme chandelles standard les céphéides, des étoiles variables dont la période du rayonnement (qu'on mesure directement) est directement liée à la luminosité absolue, par une simple relation fonctionnelle ; le rapport entre la luminosité apparente et la luminosité absolue d'une céphéide nous donne le rapport entre sa distance et la taille de l'objectif par lequel est entrée sa lumière. Comment connaît-on la loi reliant la luminosité absolue d'une céphéide à la période de son rayonnement ? grâce à la luminosité apparente des céphéides suffisamment proches pour que la méthode précédente nous ait donné leur distance.
  • pour les galaxies où l'on observe des supernovas, on utilise la même méthode des chandelles standard, mais en prenant comme chandelles les supernovas d'un certain type (observées dans ces galaxies), dont on connaît la luminosité absolue (peu variable et liée à la durée de leur évolution, mesurable directement). Comment connaît-on cette luminosité ? grâce aux galaxies suffisamment proches pour qu'on y observe aussi des céphéides dont la distance a pu être déterminée par la méthode précédente (et c'est comme ça aussi qu'on connaît la relation entre la luminosité absolue des supernovas et le timing de leur évolution) ;
  • pour les autres étoiles lointaines et pour les autres galaxies on utilise l'effet Doppler : le décalage (vers les grandes longueurs d'onde) des raies d'absorption ou d'émission de ces étoiles et galaxies (qu'on mesure directement), dont on déduit la vitesse d'éloignement, est directement lié à leur distance. Comment connait-on cette relation ? grâce aux céphéides lointaines et aux supernovas dont on a pu déterminer la distance par l'une des deux méthodes précédentes et dont on mesure le décalage spectral.
C'est un château de cartes mais il tient solidement, calcul de propagation d'erreurs à l'appui. — Ariel (discuter) 12 décembre 2016 à 19:07 (CET)[répondre]
Salut, Axel584. En complément des réponses précédentes, un site à visiter pour ce genre de sujets est http://www.astrosurf.com, on y trouve notamment la page « Comment mesure-t'on aujourd'hui la distance des étoiles ? » qui décrit les diverses méthodes en usage pour ce faire. >O~M~H< 13 décembre 2016 à 07:21 (CET)[répondre]
Imagine un petit jeune qui lit cette discussion : Il croit qu'une chandelle est une figure au foutebaul, il n'a aucune idée ce qu'est une chandelle pour s'éclairer... --Serged/ 13 décembre 2016 à 13:18 (CET)[répondre]
  1. Pourquoi « chandelles standard » ? Imaginez que de nuit vous distinguiez dans le lointain la silhouette d'un homme tenant une chandelle (une bougie) : vous pouvez mesurer sa luminosité apparente. Si vous connaissez la marque et le modèle de chandelle (par exemple par les détails de son spectre, ou tout bêtement parce que c'est le seul modèle en vente dans la région) vous en connaissez la luminosité absolue, le rapport des deux vous permet de calculer la distance de cet Homo Sapiens tout là-bas là-bas...

Lexique (suite au sujet précédent)[modifier le code]

J'ai scindé les sujets --Doalex (discuter) 15 décembre 2016 à 10:04 (CET)[répondre]

Pour un anglophone qui s'intéresse aux langues, c'est souvent curieux, trouver un emprunt lexical de l'anglais à l'étranger. (C'est nous qui empruntons!!) Pourquoi timing, n'y a-t-il pas de mot convenable français? —Tamfang (discuter) 12 décembre 2016 à 21:09 (CET)[répondre]
Salut Tamfang. Je ne parle pas ici des emprunts sans nécessité certaine, tantôt liés à la domination politique, culturelle et donc linguistique d'une nation à un instant donné (la France avant-hier, la Grande-Bretagne hier, les États-Unis aujourd'hui et, va savoir, la Chine demain ?), où il est chic (un emprunt à l'allemand) d'user des mots de la langue dominante (on trouve notamment de nombreux emprunts au français en anglais, alors qu'un mot de même sens existe déjà, souvent pour le même motif que certains emprunts anciens de l'anglais en français : le snobisme), tantôt liés à un usage (p. ex., l'utilisation massive de mots italiens pour les termes en rapport à la musique). Il existe des cas où, en effet, l'importation d'un mot répond à l'importation d'une notion nouvelle, difficile à rendre par un mot simple. Il me semble que « timing » y répond, même si dans certains emplois un équivalent français serait plus adapté, en ce sens que dans un usage correct il réunit les notions de synchronisation, de moment et de rythme en un seul mot. >O~M~H< 13 décembre 2016 à 07:21 (CET)[répondre]
Merci Olivier Hammam Émoticône. Quand un scientifique utilise un mot anglais c'est parfois par effet de mode comme dans les autres domaines, mais plus souvent pour l'une de ces deux raisons : (1) parce qu'à force de lire et d'écrire un mot technique dans les revues de recherche (presque toutes en anglais) on y est tellement habitué qu'il vient naturellement à l'esprit au lieu du mot français correspondant, (2) ou bien parce que le terme anglais a (ou a pris) un sens qui n'a pas d'équivalent exact en français. J'ai peut-être écrit timing sous l'effet de la 1re raison, mais je crois comme Olivier que la 2de s'applique pleinement. C'est aussi comme ça que la langue s'enrichit (parfois). — Ariel (discuter) 13 décembre 2016 à 08:55 (CET)[répondre]
Le (2) pouvant s’expliquer par le fait que ce qu’on désigne, que ça soit un concept ou une méthode, est trop récent ou trop spécialisé pour qu’il en existe une traduction satisfaisante (admise et comprise par tous). Je ne sais pas traduire loadings dans le contexte de l’ACP (je parle de poids en cours, mais ça n’est pas satisfaisant ; charges serait carrément étrange), je ne sais pas traduire Western blot[a], etc. rv1729 13 décembre 2016 à 09:39 (CET)[répondre]
Pour Western blot je ne sais pas (mais « buvardage » est attesté par le Dictionnaire médical de l'Académie de médecine[b]). Pour loadings par contre, à moins que ce ne soit pas un synonyme de weights dans le contexte de l’ACP, le terme « poids » est consacré (comme « moyenne pondérée » ou « barycentre »). — Ariel (discuter) 13 décembre 2016 à 20:59 (CET)[répondre]
Contrairement aux poids d’une moyenne pondérée, les loadings peuvent être négatifs, et de plus ils ne somment pas à 1 — ce sont leurs carrés qui somment à un. On pourrait s’en accommoder, mais ça gêne aux entournures. Ça n’est pas pour rien que les anglais n’utilisent pas weights... quant à ta remarque en bas de page, c’est d’autant plus ridicule que c’est monsieur Southern qui existe, y a pas plus de monsieur Western dans l’histoire qu’il n’y a de beurre en broche ! rv1729 13 décembre 2016 à 21:29 (CET)[répondre]
OK pour les loadings (mes excuses, ça fait un bon moment que je ne me suis pas frotté à l'ACP). Quant aux poids, il peut arriver qu'ils n'aient pas tous le même signe (mais leur somme doit être non nulle). peut-être pas dans le cas des moyennes pondérées, mais dans celui du barycentre (en autorisant des poids négatifs le barycentre de trois points, ou d'un simplexe plus généralement, peut s'échapper de l'intérieur du triangle ou autre simplexe ; également en analyse numérique parfois (on parle alors de surrelaxation ou quelque chose comme ça). — Ariel (discuter) 13 décembre 2016 à 22:28 (CET)[répondre]
P.S. « quant à ta remarque en bas de page, c’est d’autant plus ridicule que... » : j'espère que c'est l'expression franglaise que tu trouves ridicule, pas ma remarque ?
Bien sûr ! rv1729 15 décembre 2016 à 10:49 (CET)[répondre]
Mes deux balles : pour traduire Loadings est-ce que « Pondérations » ne ferait pas l'affaire ? Blue [ -02- ] 14 décembre 2016 à 11:42 (CET)[répondre]
Pourquoi pas en effet. rv1729 15 décembre 2016 à 10:49 (CET)[répondre]
À mon avis, dire « pondération » au lieu de « poids » c'est jouer sur les mots, et ce tour de passe-passe est sans rapport avec le fait qu'on pondère par les valeurs indiquées ou par leurs carrés. Peut-être est-il possible de trouver une transcription française dans la littérature spécialisée ? Le mot loading n'a pas de rapport non plus avec le fait qu'on pondère en réalité par les carrés : ce terme loading (« mise en charge ») vient sauf erreur de la mécanique des solides, où on l'utilise pour caractériser une contrainte qui n'est pas nécessairement hydrostatique ni verticale (imposée par exemple sur une face latérale d'un échantillon). — Ariel (discuter) 15 décembre 2016 à 13:30 (CET)[répondre]
Pour ceux qui y ont accès, j'attire leur attention sur la ressource en ligne TERMIUM Plus. Les lexicographes et traducteurs du Bureau de la traduction du Canada y enregistrent les traductions officielles de centaines de milliers de termes spécialisés, références à l'appui. Ainsi, loadings vector se traduit par vecteur des pondérations. On peut en conclure raisonnablement que loadings a pour traduction officielle pondérations. Southern blot a pour traduction officielle transfert de Southern (référence), etc. --Jeran Renz (discuter) 17 décembre 2016 à 02:35 (CET)[répondre]
« Transfert de Southern » est normal car il s'agit d'un patronyme. Pour Northern blot et Western blot TERMIUM Plus donne aussi « transfert de Northern » et « transfert de Western » mais c'est moyennement satisfaisant, car en anglais c'est un jeu de mots (Southern blot peut aussi s’interpréter comme « transfert du sud »), en français ça ne passe guère, surtout pour « Western » qui est ambigu. Ceci dit, TERMIUM Plus est une source acceptable. — Ariel (discuter) 17 décembre 2016 à 09:07 (CET)[répondre]
Voilà, c’est le coup classique du jeu de mots intraduisible. Et si je pense que « transfert » est en effet compris par les biologistes francophones, je parierais volontiers qu’en pratique ils disent « blot » à 99% — c’est pas pour rien que le titre de l’article sur fr est quand-même western blot. Émettre des recommandations officielles est une chose, savoir ce qui est dit et compris par les gens qui utilisent les mots dans leurs conversations de coin café en est une autre... rv1729 17 décembre 2016 à 10:06 (CET)[répondre]
Oui, Ariel, il est bien dommage que les traductions escamotent les jeux de mots, mais ils sont difficiles à transférer. Soit dit en passant, un des plus bels exemples que je connaisse sont les tests Whetstone et Dhrystone. En anglais, Whetstone vient d'une ville, mais, lorsqu'il a fallu former un nouveau test, un rigolo a décidé de l'appeler Dhrystone, soit Whetstone moins le h = Wetstone (roche mouillée), dont le contraire est Drystone (roche sèche), qui devient avec un h le mot Dhrystone. Ouf. Bonne chance en français ! --Jeran Renz (discuter) 17 décembre 2016 à 16:53 (CET)[répondre]
Sans oublier bien sûr le très célèbre software, plus connu des petits nouveaux que le hardware (« quincaillerie ») auquel il fait pendant (alors que ware est une poterie, voire une simple marchandise). — Ariel (discuter) 17 décembre 2016 à 17:09 (CET)[répondre]
Pour loadings, la traduction la plus commune n'est pas « coordonnées factorielles » ? Stocha (discuter) 20 décembre 2016 à 20:05 (CET)[répondre]
Je ne pense pas, pour une bonne et une mauvaise raisons. La mauvaise c'est que je n'ai jamais lu ou entendu ça ; la bonne c'est que je ne vois pas le rapport avec des coordonnées. Pour loading TERMIUM Plus donne 36 fiches (en partie redondantes) mais aucune qui corresponde à l'ACP ni même à l'analyse numérique ou de données ; pour les domaines que je connais un peu (rhéologie, résistance des matériaux) les fiches correspondantes proposent « charge » et « chargement ». — Ariel (discuter) 20 décembre 2016 à 21:38 (CET)[répondre]
  1. et vu l’article, personne ne sait, buvardage de Western, non mais allô quoi
  2. Par contre « buvardage de Western » est ridicule, vu qu'il y a aussi un Northern blot et un Southern blot...

Télécommunication[modifier le code]

comment démontrer que le blindage des paires torsadées permet d'augmenter leur immunité aux perturbations électromagnétiques? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 41.101.20.239 (discuter), le 12 décembre 2016 à 18:50‎

Ça se démontre, ça se démontre. Je ne sais plus comment, mais c'est faisable... Une histoire de courants de Foucault, il me semble. Bertrouf 15 décembre 2016 à 19:01 (CET)[répondre]
C'est bêtement l'effet « cage de Faraday », grâce auquel le champ électrique dans un espace entièrement entouré par un milieu (parfaitement) conducteur est indépendant de ce qui se passe à l'extérieur (et donc nul s'il n'y a pas de charges à l'intérieur, mais ce n'est pas le cas des câbles blindés), et vice-versa d'ailleurs. Quand quelque chose change à l'extérieur l'indépendance du champ à l'intérieur passe en effet par l'établissement de courants de Foucault. — Ariel (discuter) 16 décembre 2016 à 08:03 (CET)[répondre]

Wikipédia monténégrin[modifier le code]

Bonjour, je voulais juste savoir s'il existe actuellement un Wikipédia en monténégrin. Si ce n'est pas le cas, quelle est la version la plus proche ? — Ellicrum {bablute [...]} 13 décembre 2016 à 14:33 (CET)[répondre]

Désolé, il n'y a point (liste des versions linguistiques). La langue la plus proche semble être le serbe. Cordialement, -- Jean-Rémi l. (discuter) 13 décembre 2016 à 15:30 (CET)[répondre]
Tu peux trouver deux wikipédia assez proches,la Wikipédia en croate qui utilise l'écriture latine, et la Wikipédia en serbe qui utilise le cyrillique.2A01:E35:8A5D:4340:7DA5:ACCF:C740:E83D (discuter) 13 décembre 2016 à 15:56 (CET)[répondre]
Merci pour vos réponses ! De toute façon, il est probable que cette version existera tôt ou tard. — Ellicrum {bablute [...]} 13 décembre 2016 à 19:25 (CET)[répondre]
Notification Ellicrum je trouve une discussion sur le sujet ici. Sinon la création de nouvelles wikipédia se fait sur Incubator. --Epsilon0 ε0 13 décembre 2016 à 21:04 (CET)[répondre]

Quelque personne de Crans-Montana?[modifier le code]

Chers wikipédiens,

sur https://de.wikipedia.org/wiki/Wikipedia:Auskunft#Schweiz:_Zwei_Urlaubsfotos_aus_den_1980er_Jahren_-_Ort_gesucht j'ai demande ou ces images étaient prises. L'un de deux, c'est du Col de la Gemmi - et l'autre, il a été pris à Crans-Montana - possiblement:

C'est de Crans-Montana?

Merci! --Keimzelle (discuter) 13 décembre 2016 à 15:47 (CET)[répondre]

Keimzelle... je vous ai déjà vu quelque part... ah oui, je sais, vous êtes, avec Pollenzelle, un des deux personnages principaux de la nouvelle de Gregor Mendel, Versuche über Pflanzenhybriden ! rv1729 13 décembre 2016 à 21:43 (CET)[répondre]
Oui, je suis un biologiste, c'est vrai! En 2004, j'ai commencé mes études, et en le meme temps, j'ai commencé à perdre mon temps libre sur Wikipédia... :) --Keimzelle (discuter) 14 décembre 2016 à 08:37 (CET)[répondre]
À mon humble avis, cette photo fut prise à Crans-Montana, ou alors au col de la Gemmi. À moins bien sûr que ce ne fut ailleurs... >O~M~H< 14 décembre 2016 à 07:06 (CET)[répondre]
Merci, Olivier! Grace aux reponses sur la Wikipédia allemande et française, il est très, très probable que l'image fut pris a Crans-Montana!--Keimzelle (discuter) 14 décembre 2016 à 08:37 (CET)[répondre]

Nom du serf russe[modifier le code]

Où l'on parle des serfs russes, mais indirectement...

Bonjour,

Je cherche à savoir si le serf russe portait le nom de la famille qui l'employait. Si tel est le cas, pouvait-il le garder après son émancipation ?

Cordialement, --90.2.126.193 (discuter) 15 décembre 2016 à 22:47 (CET)[répondre]

Après une rapide recherche en utilisant ce site étonnant, il semble qu’au contraire les serfs portaient des noms qui les désignaient la plupart du temps sans ambiguïté comme tels. Cf [1] (rubrique Russie), et, plus complet, plus sérieux, mais plus touffu [2] (p. 218, un passage sur les domestiques et les serfs). rv1729 16 décembre 2016 à 08:31 (CET)[répondre]
Mais oui, il a un nom, le serf russe ! Wapiti de l'Altaï, ou Cervus canadensis sibiricus ! Euh, c'est pas le même ?.. >O~M~H< 16 décembre 2016 à 22:59 (CET)[répondre]

Merçouille les amis. 90.2.126.193 (discuter) 16 décembre 2016 à 23:14 (CET)[répondre]

PS L’illustration ci-contre (ça n’est pas moi qui l’ai apposée) est très pertinente : lisez Les Âmes mortes, je crois me souvenir qu’il y a une scène de transaction où vous trouverez les noms de familles de serfs morts rachetés par le personnage principal (je n’ose parler de héros). rv1729 18 décembre 2016 à 19:23 (CET)[répondre]

Ah ouais ça ! Comme héros on fait mieux Émoticône Ouvrage consultable (et téléchargeable) sur Wikisource. >O~M~H< 18 décembre 2016 à 21:23 (CET)[répondre]

le sel et la glace pour rafraîchir une bouteille[modifier le code]

Avec la bonne proportion de sel, on peut obtenir une eau salée à -21,6°C.

Bonjour grand Oracle

Peux-tu m'expliquer pourquoi j'ai vu dans une brasserie mettre du gros sel dans le seau à glace dans le but de faire rafraîchir plus rapidement la bouteille de vin qui était dedans.

Merci d'éclairer ma lanterne grand Oracle — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 193.248.252.60 (discuter), le 17 décembre 2016 à 13:19‎

Salut, 193.248.252.60 (d · c). Une explication du phénomène sur cette page. En gros, la glace en contact avec le sel voit sa température baisser rapidement. Mais comme l'explique aussi cette page, comme la chaleur captée l'est aux dépens de la glace, une température ambiante supérieure à -20°C provoque l'accélération de la fonte de cette glace, donc il n'y a d'intérêt à saler la glace que dans le cas où l'on consomme rapidement la boisson refroidie. >O~M~H< 17 décembre 2016 à 14:28 (CET)[répondre]
À mon avis, c’est surtout que l’eau liquide conduit mieux la chaleur que sous sa forme solide, la glace. Et le sel permet d’obtenir de l’eau liquide plus froide que 0°C. Et puis, pour récupérer la bouteille, c’est plus facile si elle n’est pas prise dans un bloc de glace ! Grasyop 17 décembre 2016 à 15:19 (CET)[répondre]
Voir aussi Sel de déneigement et Solvatation (pas sûr que cela explique pourquoi l'eau refroidit...; la dissolution du sel est exothermique et la fusion de la glace est fortement endothermique (Enthalpie de fusion), mais l'important, c'est sûrement cette histoire d'eutectique...). Sinon, un peu à côté, il y a Ferdinand Carré et son réfrigérateur à absorption de gaz : comment faire de la glace avec du feu. -- Xofc [me contacter] 17 décembre 2016 à 19:12 (CET)[répondre]
Notification Grasyop : bah, on pire on prend la glace avec Émoticône (je me demande d'ailleurs si on ne pourrait prendre carrément le bac à glace avec, j'imaginerais assez bien la glace coller aux parois je dois dire...) --Floflo (discuter) 17 décembre 2016 à 23:32 (CET)[répondre]

disparition pure et simple de certaines actions dans les journaux[modifier le code]

Bonjour,

Comment est-il possible que certaines actions (suppressions/masquages, protections...) ne figurent pas sur les journaux, alors qu'elles devraient normalement apparaître, en tant qu'action (pas d'exemples à donner, pour d'évidentes raisons). Même les masquages apparaissent, normalement. 86.69.154.44 (discuter) 17 décembre 2016 à 23:11 (CET)[répondre]

42 Chère visiteuse, cher visiteur, nous regrettons, mais nous n'avons pas compris votre question. Sachez tout de même que la réponse ultime est 42. Si cela ne répond pas à votre question, nous vous invitons à reformuler celle-ci de manière claire et néanmoins courtoise, afin que nous puissions tenter d'y répondre.
Super marrant. Blague à part, si un article est supprimé par exemple, sa suppression laisse une trace dans le journal des suppressions. Parfois, bizarrement, sa suppression n'apparaît pas du tout dans le journal des suppressions, comme si la page n'avait jamais été créée. Même les masquages d'événements dans les journaux apparaissent, normalemenent. 86.69.154.44 (discuter) 18 décembre 2016 à 04:16 (CET)[répondre]
Désolé, 86.69.154.44 (d · c), je ne comprends toujours pas ta question. De quels journaux parles-tu ? Je veux dire : ça concerne tous les journaux de tous les serveurs (ou autres applications qui journalisent) ou les journaux propres à un serveur précis, et en ce cas lequel ? Là-dessus, si ça concerne spécialement les historiques des pages de Wikipédia, il ne s'agit pas de journaux mais de données stockées dans la base, au même titre que les articles ou les données utilisateurs. De ce fait, selon les cas il peut arriver qu'un historique ou élément d'historique soit effacé de la base de données ou soit marqué pour ne plus être affiché si la règle ou recommandation appliquée le requiert. Pour mon propre compte, j'ai pu remarquer qu'en cas de suppression immédiate ou pour certaines suppressions suite à demande de PàS, voire parfois après une suppression de compte et de sa page de discussion, les traces de mon intervention sont effacées de mon historique de contributeur, alors que dans d'autres cas elles sont seulement grisées. >O~M~H< 18 décembre 2016 à 05:52 (CET)[répondre]
Cette question a également été posée, à la bonne place, dans WP:Questions techniques/semaine 50 2016#événements totalement invisibles dans les journaux. -- Xofc [me contacter] 18 décembre 2016 à 08:54 (CET)[répondre]
Ça je sais oui, mais il ne s'agit pas d'historiques des contributions mais des journaux d'événements. Par exemple, on veut créer une page mais c'est impossible car le titre est protégé à la création, pourtant la protection de ce titre n'apparaît nulle part dans les journaux. Comment est-ce possible ? 18 décembre 2016 à 12:27 (CET)
Comme dit Framawiki dans les questions techniques, est-ce que tu as un exemple concret ? La réponse générale à une question générale est : on peut tout masquer ou effacer quant aux actions effectuées sur un serveur quant on a les droits idoines pour ce (par exemple, je nettoie régulièrement, dit autrement je supprime, les journaux de mon serveur Apache personnel et de mon pare-feu parce que j'en ai le droit et parce que ça prend de la place sur le disque dur pour pas grand chose). >O~M~H< 18 décembre 2016 à 14:02 (CET)[répondre]
P. S. Salut encore, 86.69.154.44 (d · c). Je ne sais si c'est faute de pouvoir ou de vouloir, mais sans exemple précis (puisque tu dis dans les questions techniques que tu n'en as pas à indiquer), difficile de te répondre. Pour ton cas hypothétique, « on veut créer une page mais c'est impossible car le titre est protégé à la création, pourtant la protection de ce titre n'apparaît nulle part dans les journaux », il peut y avoir une diversité d'explications pour une diversité de situations. Par exemple, une interdiction de création ou recréation de page peut être absolue (nul, et à jamais, ne peut la créer sans devoir annuler ou modifier le blocage) ou relative (interdiction limitée dans le temps, ou pour les seuls utilisateurs sans compte, ou les seuls non confirmés, etc.).
Imaginons, dans ton cas hypothétique, que tu constates qu'un article a récemment été supprimé, et que tu décides de le recréer ; ce faisant, tu constates qu'il t'est impossible, en tant que 86.69.154.44, de le faire ; tu vas dans les journaux pour savoir quand, par qui et pour quoi cette interdiction a été faite, et tu vois qu'entre la date de création de l'article et celle où tu la constates, les journaux n'indiquent rien. De là tu en concluras que cette opération a été effacée des, ou n'a pas été inscrite dans les journaux. Or il se peut que la création récente de cet article fut faite par un utilisateur inscrit, voire confirmé, que toi-même en tant que non inscrit te vois dire que tu n'as pas le droit de le faire, mais que le blocage est assez ou très ancien et ne s'applique qu'aux non inscrits, raison pourquoi un contributeur inscrit a pu la (re)créer récemment, que le motif d'interdiction reste valable, qu'un admin l'a donc supprimée mais n'a pas eu à interdire sa recréation, mesure déjà existante trois mois, six mois ou un an avant la (re)création récente, donc avant la date limite où tu supposes qu'elle aurait du être interdite.
Bien évidemment, il peut y avoir tout un tas d'autres raisons qui font qu'une interdiction de création de page ne figure pas dans le journal où tu penses qu'elle doit figurer, par exemple il peut ne pas s'agir d'une interdiction directe de la page même mais d'une interdiction qui s'applique à une adresse ou une plage d'adresses IP. Bref, et pour le redire, il y a plus d'une cause qui peut expliquer pourquoi une information existante ne se trouve pas à l'endroit où tu supposes devoir la trouver. >O~M~H< 19 décembre 2016 à 02:41 (CET)[répondre]

Fonctionnement des quatre chronomètres RATP en tête de quai[modifier le code]

Bonsoir cher Oracle,

Illustration du mât qui m'a tant intrigué

J'espère que tu vas bien en cette fin d'année 2016 ! Sans vouloir te raconter ma vie, il se trouve que j'étais sur le quai de la ligne 8 (du métro de Paris, je précise...) l'autre jour et attendais impatiemment celui-ci lorsque j'ai rencontré un mât tel que celui représenté sur la vignette ci-contre. Ton oeil avisé, cher Oracle, remarquera aisément quatre chronomètres à mi-hauteur de ce mât, chacun étant préfixé d'une lettre allant de A à D, et représentant une mesure de temps s'incrémentant à chaque seconde. Et c'est là que je m'en remets à toi, ô grand sage, car j'ai eu beau réfléchir à toutes les significations possibles* de ces chronomètres, je n'ai hélas pas su en trouver une seule qui semble justifier leur existence (car s'ils sont allumés, c'est donc bien qu'ils servent à quelque chose, non ?).

Ma question, s'il peut être utile de la reformuler sans entrer dans les détails de mes pérégrinations mentales, est donc la suivante : À quoi donc servent ces chronomètres ? (et accessoirement, quelle différence existe-t-il entre eux ?)

Je te remercie d'avance pour ton aide, cher Oracle, Un lecteur anonyme — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 80.214.77.141 (discuter), le 19 décembre 2016 à 00:58‎

* Les chronomètres comptant plus qu'ils ne décomptent, je me suis dit successivement qu'ils devaient représenter : (1) l'espacement entre deux rames, mais entre 14 (chrono A) et 16 (chrono D) minutes, ça fait beaucoup... ; (2) le temps écoulé depuis la prise de service, mais à quoi bon les trois autres chronos... ; (3) le temps passé par les quatre derniers voyageurs devant ces chronomètres à se demander leur sens, mais cela semble un peu trop taquin pour la RATP...

Salut, 80.214.77.141 (d · c). Dans cette page il y a une explication. Pas tout compris mais bon, en gros ça sert au conducteur à savoir s'il est pile à l'heure, en avance ou en retard. Du coup que je trouvais l'explication précieuse mais un peu confuse, j'en ai cherché une autre, et l'ai trouvée dans cette autre page sur le site du Guichet du savoir, qui me semble plus compréhensible. >O~M~H< 19 décembre 2016 à 01:30 (CET)[répondre]
Merci beaucoup, >O~M~H<, c'est tout de suite beaucoup plus clair ! Je vais de ce pas modifier un article qui pourrait bénéficier de cette information...
Le même lecteur anonyme — Le message qui précède, non signé, a été déposé par la même adresse IP (discuter), le 19 décembre 2016 à 23:37‎.
Ah la la ! Wikipédia est une société (virtuelle) très hiérarchisée ! On n'y a pas le droit de remercier les IP via les historiques. Bon ben, je te remercie ici pour tes modifications sur l'article en question, 80.214.77.141 (d · c). >O~M~H< 20 décembre 2016 à 09:27 (CET)[répondre]
J'ai presque envie de révoquer mes modifications pour me les re-passer en étant cette fois connecté, mais l'apparat d'anonymat n'est pas désagréable pour une fois ! Et j'insiste, c'est bien à toi, cher Oracle, que les remerciements sont dûs. L'enrichissement de l'article était tout naturel !
Signé, 80.214.77.141 (d · c)Le message qui précède, cette fois signé, a été déposé par un lecteur anonyme (discuter) de l'Oracle, le 20 décembre 2016 à 22:58‎.