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L’école et la résistance, des jours sombres au lendemain de la libération[modifier | modifier le code]

Au lendemain de la défaite française face au force nazi suite a la capitulation de Pétain le 22 juin 1940, un nouvelle ordre s’installe en France. L’Etat français s’installe a Vichy le 1er juillet 1940 : c’est le régime de Vichy. Dirigé par le Maréchal petin, la France arbore de nouvelle valeur, Travail, Famille, Patrie. Du as l’avenue du Maréchal Pétin pouvoir de nombreuses tensions émergent en France, plus exactement au niveau des jeunes. de se fait, les les jeunes, voyant, ces tensions, vont participer activement a la résistance.

Le 18 juin 1940, Charles-de-Gaulle, appel à la résistance depuis Londres par la BBC. Il incarne alors le refus de la défaite et de l’abandon des idéologie républicaine. Les premières aliment donne naissance aux FFN, principalement composé de colonies, l’Afrique française, environ 60 %. Sur le territoire, la résistance née des 1940. c’est seulement à partir de 1942 que le Général De Gaulle va missionner Jean Moulin pour unifier les mouvements de la résistance. À l’intérieur de la France, En 1943 le conseil national de la résistance est fondée dans le but de préparer la libération, restaurer la république et reconstruire le pays. La résistance prend une part active dans les actions engagées pour les débarquement, notamment en Normandie, le 6 juin 19144. Charles-de-Gaulle, après la libération, prend la tête du GPRF, le gouvernement provisoire de la république française, afin de restaurer la république

Cette nouvelle France de vichy a de nombreux impacts, elle va mettre en place l’école Pétaintiste. La jeunesse et le personnel éducatif quand a eux vont mener un combat contre ce nouveaux système et va faire partie intégrante de la résistance, résistance dans laquelle ils joueront un rôle important.


L’école sous l’occupation[modifier | modifier le code]

Le système éducatif bouleversée par la Guerre[modifier | modifier le code]

Au début de la guerre en septembre 1939, c’est au totale 31000 enseignant qui sont mobilisées. Les populations sont en exodes et fuit la guerre, les habitants d‘ Alsace parte au sud ouest et de Paris partent en province. Les établissements sont réquisitionnés par l’armé. Dans se contexte, les conditions d’apprentissage pour les élèves sont difficiles. La défaite de 1940 va pousser les enseignants comme les élèves de fuir vers le sud comme l’ensemble de la populations. La rentré d’octobre 1940 va donc avoir lieu dans un contexte assez particulier, en zone occupé de nombreux bâtiment scolaire sont requisitionné par les allemands. Les classes sont donc déménagé dans des bâtiments de fortune. Pour les enseignants et les étudiants qui ont suivit le mouvement d’exode de mai juin 1940, ils ne peuvent pas retourné de suite en zone occupé car les allemands n’autorise que les retours progressifs a partir d’octobre. A cela s’ajoute l’absence des professeurs mobilisés, 13 139 prisonniers dont seulement 2245 reviennent jusqu’en juillet 1943. De plus les instituteurs démisssionnent car ils contestent la politique scolaire de cette période. Les étudiants ne sont pas dans des conditions optimal pour l’apprentissage, ils sont confrontés au restriction et au pénurie a cause du rationnement de septembre 1940, au manque de matériel et ils doivent participé de manière active au nouvelle tache dans le cadre de la pénurie ajouté a leurs emploies du temps.

Instauration d’un nouveau système éducatif: l’école de Vichy[modifier | modifier le code]

Selon le régime de Vichy, régime issue de la défaite de la guerre, l’école est le principal instrument permettant de modéliser les esprits conformément a l’idéologie de la « Révolution nationale ». La Révolution nationale est la période historique correspondant au régime de Vichy en France après sa défaite face à l'Allemagne nazie lors de la Seconde Guerre mondiale en 1940. Instaurée par le maréchal Philippe Pétain, elle visait à instaurer un régime autoritaire, nationaliste et antisémite et se voulait un symbole de la « renaissance nationale » de la France. Elle se caractérise par la promotion d'un culte de la personnalité autour de Pétain, la restructuration économique et la nationalisation de certaines industries visant à réduire l'influence du capitalisme, et la mise en place de politiques de maternité pour favoriser la natalité et l'augmentation de la population française. Durant la période du régime de Vichy et de la Révolution nationale, l'école subit plusieurs réformes visant à mettre en place un enseignement conforme aux idéaux du régime. Les réformes éducatives de Vichy ont été marquées par des tendances autoritaires, le rejet de l'individualisme et de la pensée critique, et la promotion des valeurs traditionnelles et nationalistes. Certaines des réformes visaient à réduire l'influence des intellectuels de gauche et à imposer une orientation plus conservatrice. Enseignants et élèves sont encouragés à défendre les valeurs du régime et un culte de la personnalité est promu autour de Pétain. L'éducation physique est privilégiée, tandis que l'enseignement des sciences et de l'histoire est réorienté vers des horizons nationalistes et traditionnels. L'enseignement des langues étrangères a également diminué.

Une école au lendemain de la libération[modifier | modifier le code]

Une résistance occupée par les enseignants[modifier | modifier le code]

Dans le sud par exemple la résistance s’exprime principalement en premier par les enseignants. Les enseignants joue un rôle très important, en effet ils sont a l’origine d’un mouvement émergent en 1940-1941. Avec par exemple le mouvement « liberté » fondé par François de Menthon qui était un professeur de droit et d’économie à Lyon. Dans le secondaire les enseignants font officent d’animateur locaux pour ces organisations clandestines. Martial Brigouleix, professeur de français et d’histoire géographie à Tulle au sein de « Combat » en Corrèze avec Edmond Michelet, ou Jean Jacques Chapou, professeur de lettres au lycée de Cahors, proche de Léon Jouhaux et responsable local de « Libération » par exemple. En milieu rural, les enseignants vont souvent constituer « la cheville » ouvrière des premiers groupes ainsi que le noyau de la résistance. De ce fait au fur et à mesure de l’évolution de la résistance en France, leur rôle ne cessera d’augmenter et on pourra donc dire que l’école est un foyer de la résistance. Les enseignants vont souvent exercer le rôle de secrétaire de mairie afin de pouvoir faciliter la résistance en fabriquant de faux papiers mais aussi de fournir aux clandestins des tickets de rationnements. De nombreux enseignants du à leur expérience d’encadrement mais aussi de leur expérience militaire décide de devenir des chefs afin de diriger les opérations et de pouvoir maintenir l’ordre dans la résistance. En effet à la fin de leurs études la plus part des enseignants avaient suivie une formation permettant d’être sous-officier voir même officier, ce qui facilite donc la direction de résistant. Ces chefs de maquis (groupe de résistant ou lieu) vont se développer qu’a partir de 1943 une fois que le phénomène de résistance dans les écoles commence à se développer. L’une des figures les plus emblématiques de ces chefs de maquis instituteurs est celle notamment de Georges Guingouin en Haute-Vienne. Une fois la France libéré, de nombreux instituteurs engagés dans la résistance vont décider d’occuper des fonctions locales ou encore de participé à la restauration de la légalité républicaine. Cette école foyer de la résistance va avoir comme principaux acteurs les étudiants ou encore les enfants.


Un résistance occupée par les jeunes[modifier | modifier le code]

En effet, la jeunesse retrouve l’école de septembre à octobre 1940, de sa présence dans des établissements dirigé par le régime Nazie, les enfants et étudiants sont les premiers à exprimer son mécontentement vis-à-vis de ce nouveau système. Ils vont dès lors pour exprimer leur idéologie anti-Nazie effectuer de petits graffitis sur les murs, ou bien encore ils vont distribuer des tracts fabriqués de façon artisanal qui sont bien évidemment lancé à l’égard des allemands. Lors des semaines qui vont suivre la rentrée scolaire, c’est mêmes actions vont se multiplier dans énormément d’écoles. Dans la capital par exemple, plus exactement à la Sorbonne, les étudiants vont se faire entendre de cette manière. Au niveau du quartier Latin, ces actions vont se multiplier cette fois-ci entre les élèves et les soldats Allemand. En effet, malgré l’occupation, la jeunesse de l’époque ne se laisse pas marcher dessus et n’hésite pas à défendre ses idéologies. De ce fait, certains lieu présent dans ces quartiers seront fermés. Le 25 Octobre 1940, des étudiants en fac de médecine ont prit la décision de ne pas venir en cours car il y avait la présence de soldats allemands au seins de l’établissement. Les étudiants aussi ne se laissent pas faire et n’hésite donc pas à le faire remarquer par leur absence. Le 7 Novembre 1940, des évènements similaire se passe à la Sorbonne. Ces démarche anti-système s’effectue sur tout l’espace Français et même dans les espaces les plus occupés. Dès lors, des lycéens mais aussi des étudiants afin de résister face au nouveau régime Nazie vont le 11 Novembre 1940 commémorer l’armistice même si celle-ci est strictement interdite. Ceci va constituer une première vague de résistance collective contre l’occupant allemand. En effet, selon le général De Gaulle, ces actions serait qualifier de résistance. De ces commémoration, une forte riposte allemande est effectué. En effet, le régime Allemand va ordonner au régime de Vichy de fermer plusieurs établissement d’enseignements supérieur pour limiter l’avancer de la résistance en France. Le régime Allemand va par la même occasion demander de reprendre en main les écoles, lycées et facs qui sont foyer de la résistance. En réponse à cette demande, le régime de Vichy décide d’exclure le recteur Gustave Roussy de ses fonctions car il n’arriverait pas à empêcher les manifestations des résistants. Grâce aux différentes actions spontanées et souvent sans lendemain succèdent progressivement à partir de 1941 de véritables organisations de résistance qui vont naître et se développer dans le milieu scolaire comme par exemple dans les écoles, lycées ou facs. A la Sorbonne, le mouvement « Défense de la France » est crée par un trio d’étudiants qui sont Philippe Viannay, Robert Salmon et Hélène Mordkovitch. Ce mouvement recrute essentiellement au sein de l’université et aussi au sein des grands lycées Parisiens. Jacques Lusseryan un jeune élève étant dans le lycée Louis-Le-Grand va crée en mai 1941 un journal clandestin qualifié d’acte résistant se nommant « Le Tigre » qu’il va diffuser dans les milieux étudiants. A Bourg-en-Bresse, encouragés par plusieurs de leurs professeurs, des élèves du lycée Lalande forment un groupe de résistants en 1941 rattaché au mouvement « Libération ». Ces élèves diffusent des tracts ainsi que des journaux clandestins. De plus, ils vont par la même occasion organiser des manifestations patriotique. Durant la fin de l’année 1942, une section des forces unies de la jeunesse patriotique est créée au lycée Lalande. De ce fait, cette section va devenir une cible importante de la répression allemand. En effet, 32 élèves seront tués ou encore exécutés en voulant défendre leurs idéologies. De plus une vingtaine d’élèves vont être déportés. Cela témoigne des méthodes allemande pour faire peur au potentiel résistant français qui ne sont pourtant que des étudiants. Le lycée Lalande de par le bravoure des étudiants et de part leur engagement dans la résistance est le seul lycée civil à obtenir la médaille de la Résistance française. D’autres mouvements résistants comme « Les Jeunesses Communistes » ou encore les « Francs-tireurs et partisans » vont recruter au sein même des lycées. C’est la trajectoire des cinq martyrs du lycée Buffon qui sont des étudiants parisiens ayant participé dans la résistance française qui basculent dans la lutte armée. Arrêtés par les brigades spéciales de Vichy et remis aux autorités allemandes, les cinq martyres vont après un nouveau procès le 15 octobre 1942 être condamnés à mort par le tribunal de Luftwaffe. Le 8 Février 1943, vers 11 heures du matin, les cinq martyres sont fusillés au stand de tire de Balard à Paris dans le 15ème arrondissement et leurs corps sans vie est jetés dans une fosse commune du cimetière parisiens d’Ivry-sur-Seine.

Une école au lendemain de la libération[modifier | modifier le code]

Fin du système de vichy: Une école influencé par les valeurs de la résistance.[modifier | modifier le code]

Après la fin du régime de Vichy en 1944, l'École française est profondément influencée par les valeurs de la Résistance. Les réformes visaient à restaurer les valeurs républicaines et démocratiques et à défaire les effets de la révolution nationale sous Vichy. Réforme de l'éducation visant à mettre fin à l'influence de la propagande de Vichy dans les manuels scolaires et les programmes d'enseignement. Le programme d'études a été élaboré pour promouvoir des valeurs de la résistance telles que la liberté, l'égalité, la fraternité, la laïcité, la tolérance et la démocratie. Les manuels scolaires ont été révisés pour inclure une vision plus critique et objective de l'histoire, améliorant ainsi l'enseignement des sciences. L'enseignement de l'histoire a également été réformé, mettant l'accent sur l'étude des mouvements sociaux, des luttes pour les droits civiques et des événements qui ont façonné le monde moderne. De plus, la réforme de l'éducation visait à promouvoir une éducation plus démocratique et égalitaire. Parmi les réformes les plus importantes, on peut citer la loi sur l'enseignement primaire du 31 décembre 1945, qui rétablit l'enseignement obligatoire de six à quatorze ans et instaure la gratuité de l'enseignement public. La loi du 27 juillet 1946 institue le ministère de l'Éducation nationale chargé de superviser l'ensemble du système éducatif. Le système éducatif français a également été réformé pour favoriser l'égalité des chances, notamment dans l'accès à l'enseignement supérieur. Les universités ont ouvert leurs portes à davantage d'étudiants, tandis que des bourses ont été ajoutées pour aider les étudiants issus de familles à faible revenu à poursuivre leurs études. La bourse a été créée pour aider les étudiants issus de milieux modestes à poursuivre leurs études. Enfin, la réforme de l'éducation a également accru la formation et le statut des enseignants, leur assurant des emplois plus stables et des salaires plus élevés. En somme, la fin du régime de Vichy marque un tournant dans l'histoire de l'éducation en France. Les réformes introduites ont permis de promouvoir les valeurs de la Résistance et de restaurer la liberté, la démocratie et les droits de l'homme dans le système éducatif français. Ces valeurs continuent d'influencer l'éducation en France aujourd'hui.

Révolution du système éducatif: apprendre de nos erreurs.[modifier | modifier le code]

Le système éducatif est un domaine complexe, en constante évolution et influencé par de nombreux facteurs sociaux, économiques et politiques. Des réformes importantes ont été mises en œuvre depuis la libération de la France en 1944, mais il reste encore du travail à faire pour améliorer l'enseignement français. Apprendre de nos erreurs est une étape importante dans l'amélioration de notre système d'éducation. Afin de ne pas répéter les mêmes erreurs à l'avenir, il est important de réfléchir aux erreurs du passé. La période de révolution nationale sous le régime de Vichy a démontré les dangers de l'autoritarisme et le rejet de l'esprit critique dans l'éducation. Pour favoriser la pensée critique et l'innovation, il est important de maintenir la liberté académique et la capacité des enseignants et des étudiants à remettre en question les idées reçues. De même, l'histoire de l'éducation française montre les effets négatifs d'un accès inégal à l'éducation et à la formation. Il est donc important que nous continuions à travailler pour mettre en place des politiques éducatives qui garantissent l'égalité des chances pour tous les étudiants, quels que soient leur milieu social ou leur lieu de résidence. En conclusion, il est important de tirer les leçons des erreurs du passé si nous voulons continuer à améliorer le système éducatif français et préparer les générations futures à un avenir incertain mais prometteur.