Utilisateur:Leznodc/Western Music

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La Western Music[1] est une forme de musique traditionnelle d'Amérique du Nord. Souvent appelée « Cowboys Music » ou « Wild Wide West Music », elle repose avant tout sur les traditions musicales originaires des iles britanniques que les pionniers de la conquête de l'Ouest (ou conquête du Far West[2]) ont emmenées avec eux dans leur voyage.

La Western Music est née avec les pistes (trails) que suivaient les chariots (chuckwagons) des pionniers (pioneers). Ceux-ci comprenaient des migrants d'origine Irlandaise, Écossaise, les descendants de familles Anglaises, Françaises, Pays-Bas, ou Allemandes installées depuis longtemps sur la côte est des États-Unis, mais aussi des Suédois, des Finlandais et de nouveaux venus de tous les pays déjà cités.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les temps héroïques[modifier | modifier le code]

Mines, Chemins de fer, Télégraphe et Presse[modifier | modifier le code]

Les années 1870 avec le développement des chemins de fer et celui des activités minières marquèrent la disparition de l'ouest sauvage des temps mythiques. Cette transformation s'accompagna de migration de populations dont les compétences, les objectifs, les moyens et les points de vues étaient différents de ceux de leurs prédécesseurs.

Royal Gorge 1900

Le Colorado qui était, jusque là, un territoire de l'Union et qui était administré par un gouverneur que le Président des États-Unis nommait, devint, le Jour invalide (1°), le le trente-huitième État de l'Union. John Long Routt (en), dont la carrière dans l'administration avait commencé dans l'Illinois, son premier gouverneur, était un administrateur expérimenté qui préférait se déplacer lui-même pour négocier que d'envoyer la troupe et qui soutint le mouvement en faveur du droit de vote des femmes, en escortant personnellement Susan B. Anthony au cours de l'une de ses tournées dans le Colorado[3].

Frederick Walker Pitkin (en) qui fut le second gouverneur du Colorado de 1879 à 1883, était né dans le Connecticut, avait exercé la profession de juriste à Milwaukee, dans le Wisconsin, pendant les années 1860, et s'était installé, vers 1874, pour des raisons liées à sa santé, dans le Comté de San Juan dans le Colorado. L'une des premières crises qu'il dut affronter au cours de son mandat, fut la guerre que provoqua, en 1879, la découverte de minerai, et qui opposa les compagnies de chemin de fer Atchison, Topeka and Santa Fe Railway et Denver and Rio Grande Western Railroad, pour la possession du segment de la voie de la Royal Gorge Route (en) qui conduisait à la cité minière de Leadville[4].

Utes, by C. W. Carter

La seconde grande affaire du mandat de Frederick W. Pitkin fut l'affrontement avec les amérindiens du Colorado qui passa à la postérité sous le nom de Guerre des Utes (en), dont les évènements les plus fameux furent le Massacre de Meeker, et la Bataille de Milk Creek[4].

Les Utes qui constituaient deux tribus d'amérindiens éleveurs de chevaux du Colorado, les Utes de la White River et les Utes Uncompahgre, avaient vécu plutôt pacifiquement aux côtés des hommes blancs, notamment avec John Wesley Powell qui avait vécu deux ans (de 1868 à 1869) parmi eux, jusqu'au campagnes de presse que montèrent contre eux Frederick Walker Pitkin (en), William Vickers, un éditeur et un politicien de Denver, et Nathan Meeker (en), un Agent des affaires indiennes (en) qui avait entrepris de « civiliser » à sa manière les Utes, dans les principaux journaux de la région à cette époque : le « Denver Tribune » et le « Greeley Tribune ». Ces politiciens, souvent mus par leurs propres intérêts n'hésitaient pas à dépeindre les Utes comme des sauvages qui allumaient des incendies volontaires et causaient quantité d'autre problèmes, afin d'engendrer la crainte, d'encourager la méfiance et la haine, et d'inciter les citoyens du Colorado à réclamer la relégation des Utes dans une réserve[5].

Délégation d'indiens Utes[6], à Washington, en 1880.

L'administration utopique de Nathanial Meeker (en), calquée sur les modèles communautaires qui avaient été développés par Horace Greeley, qui prétendit transformer les Utes de la White River en fermiers modèles américains et qui négligeait le rôle que jouait le cheval dans l'économie et dans les représentations de leur société, provoqua au bout d'un an leur révolte, son massacre et celui des hommes qui l'entouraient, et la prise en otage des femmes et des enfants, cinq personnes en tout, qui se trouvaient sur les lieux.

La médiation de Chef Ouray (en)[7] et de Charles Adams (en)[8] permit de libérer les otages, mais après la défaite des Utes à la bataille de Bataille de Milk Creek, ceux-ci furent contraint d'accepter l'exil des tribus vers les territoires arides de l'Utah. Le traité de paix et son exécution furent assez iniques car il imposait l'exil aux Utes Uncompahgre qui ne s'étaient pas révoltés, et ils furent chassés de leurs terres ancestrales avant les Utes de la White River qui étaient les auteurs des affrontements et des massacres[4].

Tout allait de pair dans les modèles économiques de cette époque. Les découvertes de gisements de minerais, nécessaires au développement de 'l'industrie de l'Est permettait d'assurer aux investisseurs la rentabilité des nouvelles voix de chemin de fer. Le Chemin de fer, à son tour, impliquait le développement du télégraphe électrique moins couteux et plus rapide, pour transmettre l'information que le télégraphe optique. Les réseaux ferrés du XIX° siècle, aux États-Unis étaient quasiment tous pourvu d'une voie unique. Deux principaux types d'accidents : la collision frontale de trains, et l'emboutissement d'un train à l'arrêt par celui qui le suivait. Le doublement des voies permettait de résoudre le risque de collision frontale, mais n'assurait pas réellement que la voie, devant le train, était effectivement libre. Adopté à partir de 1851 par les compagnies de chemin de fer pour communiquer entre les gares, le télégraphe permettait de réduire considérablement les risques pour des couts très inférieurs. On estime à 967 millions de dollars, le cout du doublement des voies de chemin de fer en 1893[9]. Le capital de la société de télégraphe Western Union, qui était en situation de quasi monopole à cette époque, s'élevait à 123 millions de dollars. Le télégraphe permettait à son tour le développement de l'activité minière car il permettait de faire connaitre rapidement aux investisseurs les opportunités et les espoirs déçus, et informait en retour les lecteurs à propos des évènements qui pouvaient influencer le cours des matières premières. Les journaux servaient d'abord à traduire, sous une forme accessible aux lecteurs, le mystérieux langage du télégraphe de Morse. Mais elle servait aussi, dans des régions où les gens bougeaient fréquemment à informer le public des emplois à saisir, des marchandises que les magasins venaient de recevoir, des fermes, des locaux et des moyens que les lecteurs pouvaient louer. Les journaux poussaient dans les états de l'ouest comme des champigons : fondée en 1879, Tombstone possédait en 1881 trois gazettes locales.

La presse contribua ainsi à définir différents archétypes. Le cowboy héroïque qui affrontait des indiens hostiles et sauvages en fut un, mais celui de l'indien mal compris ou systématiquement roulé par les affairistes ou l'indifférence des autorités y apparut aussi. Elle publia aussi les premiers poèmes, nouvelles et romans qui contribuèrent à construire un univers poétique associé à l'âge des pionniers et aux grands espaces sauvages qui devint une source d'inspiration quasi inépuisable pour la littérature, le cinéma et la Western Music. Home on the Range, par exemple, qui est l'hymne officiel de l'état du Kansas fut d'abord un poème, écrit par Brewster Higley (en) dans le journal « Smith County Pioneer » en 1873.

Wild West Shows[modifier | modifier le code]

Buffalo Bill's Wild West Show


Roy Rogers[modifier | modifier le code]

Gene Autry[modifier | modifier le code]

Cowboys chantants et Cowboys chanteurs[modifier | modifier le code]

Home on the Prairie - movie poster

Texas Swing[modifier | modifier le code]

Country and Western[modifier | modifier le code]

Ken Curtis[modifier | modifier le code]

Marty Robbins[modifier | modifier le code]

Le déclin[modifier | modifier le code]

Urban Cowboys et revendications d'authenticité[modifier | modifier le code]

Au début des années 1980, l'industrie de la musique basée à Nashville tenta d'étendre son marché en envahissant de ses productions le marché de la pop-music et celui du rock. Le symbole de cette période reste la bande originale du film Urban Cowboy de James Bridges. Les chansons étaient loin d'être mauvaises car la plupart d'entre elles (« Cherokee Fiddle », écrite par Michael Martin Murphey et « Lookin' for Love », interprétées toutes deux, dans le film, par Johnny Lee, ou « Look What You've Done to Me » de Boz Scaggs, notamment) ont survécu à la mauvaise réputation qui leur fut faite. Mais la manière dont elles étaient arrangées, interprétées et enregistrées, éloignait considérablement la Country Music de ses origines rurales et la privait de toute particularité par rapport à la variété internationale[10].

Le phénomène fut renforcé par le succès du film Comment se débarrasser de son patron et de la chanson 9 to 5, interprétée par Dolly Parton, un morceau de honky tonk enregistré de manière très rock, qui fut un succès dans les Hit parades et valut à la chanteuse quatre nominations et deux prix (« Meilleure chanson country » et « Meilleure interprète féminine ») aux Grammy Awards en 1982[10].

Les vieilles gloires de l'Outlaw Country (Johnny Cash, Waylon Jennings, Kris Kristofferson, Merle Haggard, George Jones, David Allan Coe, Willie Nelson) disparurent du devant de la scène et furent remplacées par des artistes qui tendaient à mieux s'adapter à la demande du marché international. Les principaux succès des années qui suivirent furent « Elvira » des Oak Ridge Boys et « Queen of Hearts » de Juice Newton[10] qui sont par bien des aspects des œuvres de pop-music. Certains critiques ont jeté sur le phénomène un regard plus malicieux que catastrophé. De leur point de vue « J. R. Ewing[11] [12] avait plus de responsabilités dans cette mode que le film Urban Cowboy[13]

L'évolution des productions n'en finit pas de déclencher des réactions, aussi bien parmi les musiciens de Country que parmi ceux qui travaillaient pour les entreprises qui les mettaient sur le marché. Elle fut ressentie de manière plus menaçante par les gens qui aimaient la Western Music que par d'autres secteurs du public et ils entreprirent de la doter de moyens et d'institutions qui la rendraient moins dépendante des producteurs de Nashville ou d'Hollywood, sur le modèles de celles qui existaient déjà pour la Old-time music ou le Bluegrass que l'enracinement sur le territoire rendaient moins vulnérables à l'éloignement de l'industrie du disque vis à vis de la musique rurale américaine.

La résurrection[modifier | modifier le code]

Artistes[modifier | modifier le code]

Pionniers[modifier | modifier le code]

Vedettes historiques[modifier | modifier le code]

Vedettes contemporaines[modifier | modifier le code]

Indépendants contemporains[modifier | modifier le code]

Ce paragraphe présente des artistes, des groupes et des orchestres de Western Music qui gagnent principalement leur vie en donnant des spectacles ou en organisant des évènements festifs. Beaucoup d'entre eux ne connaitrons sans doute jamais une renommée internationale quoique leur célébrité dépasse souvent celle de l'état dans lequel ils sont installés. La variété de leurs entreprises permet néanmoins de fournir un éclairage intéressant sur la créativité et la popularité de la Western Music contemporaine. Elle peut aussi donner des idées de loisirs culturels et originaux pour ceux qui entreprennent un voyage ou un séjour aux États-Unis.

  • Joe Bethancourt
  • Broken Chair Band
  • Buckshot Dot
  • Chuck & Mae Camp
  • Dean Cook
  • Jan Corey
  • Jim Dalglish
  • Larry Desert Dean
  • The Honey Dews
  • Dennis Knill
  • Will Merritt
  • Jon Messenger
  • Mountain Saddle Band
  • Lee Robert
  • Rockin' M Wranglers
  • Clyde Score
  • Gail Starr
  • Steve Taylor
  • Sherry Walker


  • Gary Allegretto
  • Barbara Benefield-Peck
  • John Bergstrom
  • Terry Brown
  • Les Buffham
  • California Cowboy Band
  • Jim Cardwell
  • Buck Corbett
  • The Cross Town Cowboys
  • Steve Deming
  • George Dickey
  • Ray Doyle
  • Jerry Hall and Trick Shot
  • Joe Herrington the Campfire Storyteller
  • Tom Hiatt
  • Buck Howdy est un artiste qui produit des récits destinés aux enfants. Plusieurs fois nominé aux Grammy Awards, il en a reçu en 2010 une récompense pour le « Meilleur album de récits destinés aux enfants ». L'activité de Buck Howdy est aujourd'hui basée à San Diego, en Californie, mais il a grandi dans un ranch près de Grants Pass dans l'Oregon où l'on élevait plus d'une centaine de boeufs Angus. Il possède sa propre ferme en Virginie, dans la vallée de la Shenandoah. Il s'est produit sur la scène du Grand Ole Opry et fut invité à participer à un spectacle à la Maison-Blanche[14].
  • Cisco Jim
  • Jennifer Lind
  • Mike Mahaney
  • Skeeter Mann and the Lost Canyon Rangers
  • Rodger Maxwell
  • Austin O'Dell
  • Marvin O'Dell
  • Old West Trio
  • Susan Parker
  • Susan Parker
  • L.K. Potts
  • The Red Hot Rhythm Rustlers
  • Rusty Richards
  • Gary Robertson
  • The Saddle Cats
  • Sourdough Slim
  • Dan Steadman
  • Sunrise
  • Bob Thomas
  • Trails & Rails

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Recueils de textes originaux[modifier | modifier le code]

Écrivains et auteurs compositeurs historiques[modifier | modifier le code]

La préservation des traditions de l'époque des pionniers de la conquête de l'ouest, s'appuie sur les écrits ou les récits de la vie de nombreux personnages.

  • Abigail Scott Duniway (1834-1915), de son nom de jeune fille Abigail Jane Scott , fut une romancière et une activiste qui milita en faveur du droit de vote des femmes. Née dans l'Illinois d'une famille originaire du Kentucky, elle suivit vers 1851, sa famille qui déménageait dans l'Oregon, elle y épousa, en 1853, Benjamin C. Duniway avec lequel elle eut une fille et cinq fils. Elle milita en faveur du vote des femmes dans l'Oregon et dans l'Idaho où elle vécut de 1887 à 1895. Elle fut notamment l'auteure de « Captain Gray's Company », qui fut en 1859, le premier roman publié commercialement en Oregon. Elle publia en 1905, « From the West to the West » dont le personnage principal déménage depuis l'Illinois vers l'Oregon. Elle eut la satisfaction de voir reconnu en 1912 de voir l'Oregon reconnaitre le droit de vote des femmes[16].
  • Curley Fletcher (1892-1954), Carmen William "Curley" Fletcher pour l'état civil, naquit a San Francisco et grandit à Bishop (Californie). Il fut cowboy, poète, musicien, organisateur de rodéos, éditeur, et prospecteur. Son œuvre la plus connue du grand public, « The Strawberry Roan » devint une chanson populaire dans les années 1920, et a sa propre histoire.


Organisations publiques et associations[modifier | modifier le code]

  • La Santa Fe Trail Association est un association, qui fut fondée en 1986 et dont l'objectif consiste à préserver les vestiges de l'époque glorieuse de cette piste qui fut, pendant soixante ans la première route de commerce internationale des États-Unis, et qui constitua l'un des principaux vecteurs de la conquête de l'Ouest[17].

Glossaire[modifier | modifier le code]

La Western Music utilise de manière redondante certains termes qui sont assez spécifiquement associés au mode de vie des cowboys. La liste n'en est évidemment pas limitée, mais les plus importants sont recensés ci-dessous.

  • Tumbleweed, en français « Virevoltant » ou « l'herbe qui tourne » désigne les boules qui sont formées par certains végétaux et que l'on peut voir rouler dans des régions arides des États-Unis et qui ont été insérées dans les plans de nombreux westerns.

Notes et References[modifier | modifier le code]

  1. Le terme Western Music est ambigu, en Anglais, car il sert d'abord à désigner la Musique occidentale par opposition aux musiques orientales
  2. Le terme « Farwest » est rarement utilisé aux États-Unis où on lui préfère souvent « Old-time West » pour faire référence à son passé, ou « Wild Wide West » pour évoquer les grands espaces qui continuent à en modeler les styles de vie.
  3. (en) « John Long Routt - First state governor of Colorado - Biography », sur le site des archives de l’État du Colorado (consulté le )
  4. a b et c (en) « Biography of Frederick Pitkin - Second state governor of Colorado - by Jason Brockman », sur le site des archives de l’État du Colorado (consulté le )
  5. (en) « History of the American West, 1860-1920: Photographs from the Collection of the Denver Public Library (Teachers, Classroom Materials, Collection Connections. », sur le réseau de la Libray of congress (consulté le )
  6. Photographie prise par Mathew Brady à Washington, D.C. en 1880, à l'occasion des négociations du traité de paix entre une délégation d'Utes et le gouvernement américain. De gauche à droite : Chef Ignacio des Utes du sud, Carl Shurz, le secrétaire à l'Intérieur, Chef Ouray et son épouse Chipeta. Debout derrière eux : Woretsiz et Charles Adams qui exerçait les fonctions de général de la Milice du Colorado
  7. Chef Ouray constituait une excellent démonstration de la malveillance des propos des adversaires des amérindiens du Colorado, il parlait sa langue maternelle, le Ute, mais aussi l'Apache, l'Espagnol et l'Anglais
  8. Charles Adams était un immigrant d'origine Allemande, né en Poméranie qui s'était exilé après la révolution de 1848, et qui avait fini par s'installer dans le Colorado à la fin de la Guerre de Sécession. Il avait été jusqu'en 1874, l'Agent des affaires indiennes (en) et avait développé des liens d'amitié avec Chef Ouray (en) et son épouse Chipeta qui était une Ute Uncompahgre
  9. (en) « History of the U.S. Telegraph Industry », sur l'encyclopédie en ligne de la Economic History Association (consulté le )
  10. a b et c (en) « Roughstock History of Country Music - Urban Cowboy - 17 janvier 2009 », sur le site du magazine Roughstock (consulté le )
  11. Johnny Lee épousa en 1982 la starlette Charlene Tilton qui jouait le rôle Lucy Ewing dans le feuilleton Dallas. Leur divorce, en 1987 fut un sujet d'importance pour les tabloïdes qui conduisit, pour diverses raisons Johnny Lee à enregistrer quantité de morceaux qui nuirent plutôt qu'ils ne contribuèrent à sa carrière, et finirent par l'écarter de l'avant scène de la Counrty Music
  12. (en) « Johnny Lee - Biography - Tom Roland », sur all Music (consulté le )
  13. (en) « Urban Coboy soundtrack review - Tom Roland », sur all Music (consulté le )
  14. (en) « About Buck Howdy », sur le site officiel de Buck Howdy (consulté le )
  15. (en) « Smokey Hills Wranglers® - Mark Bridge - Historical Music & Old West History Show », sur le site de Lone Hand Western (consulté le )
  16. (en) « Abigail Scott Duniway par Jone Johnson Lewis, About.com Guide », sur about.com (consulté le )
  17. (en) « Welcome to the Santa Fe Trail Association » (consulté le )