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Utilisateur:Conbotian/Brouillon

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Jean Bougret
Portrait de Jean Bougret
Naissance

Tours
Décès
(à 57 ans)
Saint-Fargeol
Nom de naissance
Jean Maurice Bougret
Nationalité
Activités
Artiste peintre, sculpteur
Autres activités
Professeur de dessin et arts plastiques


Jean Bougret[modifier | modifier le code]

Biographie[modifier | modifier le code]

Sources:[1] [2] [3]

  1. Commune de Tours (Indre-et-Loire) , Acte de naissance n° 476, année 1922, (avec mentions marginales de mariage, de divorce et de décès)
  2. Curriculum Vitae de Jean Bougret, Archives municipales, Mairie de Montluçon
  3. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :1

Jean Bougret né à Tours le 9 avril 1922, d’une mère grecque Louise Karikiopoulo que son père Emile a rencontré et épousé en septembre 1919 alors qu’il effectuait son service militaire à Istanbul.

Emile se sépare de Louise en 1929. Louise repart à Istanbul sans son fils. Emile se remarie et se désintéresse de son fils Jean qu’il confie à son père Joseph, lui-même veuf.

Joseph Bougret et son petit fils Jean s’installent à Montluçon au début des années 30.

Il passe en 1939 le concours d’entrée à l’Ecole Normale Primaire de Moulins, obtient le Brevet Supérieur le 26 juin 1941. Il effectue ensuite divers stages pratiques avant d’être nommé instituteur stagiaire à Deneuilles-les-Mines du 1er au 30 octobre 1942

Il est incorporé dans les Chantiers de Jeunesse du 7 novembre 1942 au 31 mai 1943 puis est requis en Allemagne au titre du Service du Travail Obligatoire (STO) du 1er juin 1943 au 31 mai 1945.

Il se marie à Montluçon le 13 septembre 1945 avec Odette Thomas. Ils eurent 3 filles: Catherine née en 1945, et 2 jumelles, Françoise et Anne-Marie nées en 1955. Anne-Marie [1]embrasse actuellement une carrière de romancière.

Après la guerre, devenu instituteur, il enseigna dans diverses écoles de l'arrondissiment de Montluçon: Isle-et-Bardais d'octobre 1945 à septembre 1947, Villefranche-d'Allier d'octobre 1947 à septembre 1950, Désertines d'octobre 1950 à septembre 1953.

Après avoir résidé à Isle-et-Bardet puis à Villefranche d'Allier, la famille s'installe fin 1950 à Montluçon, avenue de Néris (actuellement boulevard Kennedy) jusqu'en 1952.

De 1952 à 1955 ils habitent chez la mère d'Odette, à la maison des 12 Apôtres. La belle mère de Jean en effet possèdait le fond de commerce de cette ancienne demeure (Café Restaurant "Au vieux Montluçon"), demeure que Jean achètera secondairement à la ville de Montluçon.

En 1955 la famille intègre une maison 22 rue Charles Péguy à Montluçon

A partir d'octobre 1953, sa carrière professionnelle s’effectue à Montluçon, d’abord dans deux écoles primaires de la ville.

Le 1er octobre 1955, il est nommé à l'Ecole Nationale d'Enseignement Technique (E.N.E.T.) en qualité de délégué maitre auxiliaire de dessin d’art

Il prépare ensuite le diplôme de Dessin et Arts Plastiques du second degré, diplôme qui lui est accordé le 7 août 1959.

Le 8 septembre 1960, il est autorisé à subir les épeuves du certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement technique (CAPET)

Le 1er janvier 1961, il est nommé professeur de Collège d'Enseignement Général et exercera au Lycée de garçons jusqu'en 1970.

A compter du 7 septembre 1970, il est professeur de dessin au Lycée d'Etat Mixte (LEM) avant de prendre sa retraite en octobre 1977.

Il était très apprécié de ses élèves qui le surnommaient affectueusement « Barbouille »

Ayant acquis une maison de campagne à Villejaveix[2], un hameau de Saint-Fargeol, un village des Combrailles Bourbonnaises, il fut élu maire de cette commune en 1977.

Après son divorce avec Odette le 17 février 1978, il fit de cette maison de campagne sa résidence principale

Il disparut précocement le 27 mai 1979, à l’âge de 57 ans

Biographie artistique[modifier | modifier le code]

Privé d’amour maternel dès son plus jeune âge, élevé par un grand père veuf, Anne-Marie émet l'hypothèse que l'enfance brisée de son père Jean est la source de sa carrière d’artiste[3] : "Le garçon se tourna alors vers le dessin pour réinventer et embellir son existence d’orphelin"

Peintre autodidacte, son art fut reconnu par une première exposition remarquée à Montluçon en 1948 au salon d’automne des «Amis des Arts», association nouvellement créée et dont Jean Bougret fut un des membres fondateurs.[4]

Thématiques[modifier | modifier le code]

Commentaires[modifier | modifier le code]

Expositions[modifier | modifier le code]

Expositions permanentes[modifier | modifier le code]

  • Maison des 12 Apôtres, Montluçon
  • Galerie Grife et Escoda, Palma de Mallorca
  • Restaurant le Grand Large, Port-Joinville▶
  • Restaurant l'Estrambord, La Grande Motte
  • Librairie Royale, Vichy

Expositions temporaires[modifier | modifier le code]

A Paris[modifier | modifier le code]

  • Galerie de Bourgogne, 1963
  • Galerie R.G., 1965
  • Galerie Agora, 1968 et suivantes

A Berlin

  • Centre culturel Français, exposition "Paysages de France", avril 1968

Au Japon

  • Galerie Anne Johns, Tokyo, 1970
  • Nakamura Gallery, Nagoya, 1971 et 1973
  • Fujidaimaru Gallery, Kyoto, 1972
  • Estel Gallery, Tokyo, 1972
  • Asahi Gallery, Tokyo, 1972, 1973 et 1974

L’œuvre[modifier | modifier le code]

Peintures sur toile[modifier | modifier le code]

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Œuvres sur papier[modifier | modifier le code]

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Sculptures[modifier | modifier le code]

  1. « Anne-Marie Bougret. Romancière. »
  2. « La maison de campagne de Jean Bougret », ALLIER MAGAZINE, mensuel, no 19,‎
  3. Anne-Marie Bougret, Les Souvenirs d'Anna B., BoD - Books on Demand, , 160 p. (ISBN 978-2-3223954-7-7), p. 37
  4. « Jean Bougret donne une nouvelle impulsion à l'art sacré », ALLIER MAGAZINE, mensuel, no 35,‎