Utilisateur:Collectif9juillet/Brouillon4
Le ton de cet article est trop promotionnel ou publicitaire ().
Vous êtes invité à améliorer l'article de manière à adopter un ton neutre (aide quant au style) ou discutez-en. Vous pouvez également préciser les sections non neutres en utilisant {{section promotionnelle}} et de souligner les passages problématiques avec {{passage promotionnel}}.
Cet article peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées ().
Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
| Activité principale |
Écrivain, artiste |
|---|
| Genres |
Histoire, sociologie, ésotérisme |
|---|
Ecrivain et artiste francophone né au Burkina Faso.
== Biographie ==
Mehdi de Graincourt se définit par le métissage. Attaché à son ethnie mossie, à l’animisme et l’art premier , il découvre au Maroc les cultures musulmane, berbère, juive et gnawa et s’intéresse au soufisme. Après des études à la Sorbonne et à Paris-Descartes, il devient psychanalyste.
== Soutien à la francophonie ==
Etabli au Maroc depuis les années 90, dans la médina de Marrakech, chroniqueur culturel pour des magazines marocains, il soutient la francophonie et participe à la découverte puis à la notoriété de nombreux écrivains, tels Henri-Michel Boccara, Jean-Pierre Koffel[1], Jacob Cohen, Najia Bennani, Yamina Gouba... En 2007, il fonde le Prix Littéraire Graincourt[2], qui sera remis entre autres à Zakya Daoud[3] et à Rita El-Khayat[4].
== Histoire et soufisme ==
Mehdi de Graincourt se consacre à l’étude du soufisme. Sa biographie romancée d'Ibn al Arabî, publiée en français et en anglais, est étudiée à la Colombia University[5] de New York.
Destiné à la jeunesse "Raconte-moi Ibn Battouta"[6], illustré par ses soins et ceux de Mireille Goëttel, figure sur la liste des livres enseignés en France et au Maroc dans le programme de l’Education Nationale, Mehdi de Graincourt reçoit Grand Prix Atlas de l’ambassade de France en 2010, le Prix de la Jeunesse [7]. qui lui est remis par le ministre Azouz Begag, président du jury[8]. Sa traduction et édition en arabe classique est financée par la famille Royale d’Arabie Saoudite en 2011 et soutenue par la Fondation Cheikh Abdelaziz.
== Engagement social ==
Auprès de l'enfance
En 2007, son livre "Moi Habiba petite bonne"[9][10][11][12], récits de cas réels, attire l'attention sur le sort de ces petites filles exploitées comme domestiques. Soutenu par le ministère de la culture du Maroc, sa publication aux éditions Aïni Bennaï, à Casablanca, dirigée par la psychiatre et anthropologue Rita El-Khayat, entame un débat national. Suite à une enquête du Haut Commissariat au Plan, en partenariat avec l'Unicef et le Fonds des Nations Unies pour la Population, une commission de l'Unesco se sert de cet ouvrage comme référence. Dès lors, un projet de loi luttant contre le travail des enfants de moins de quinze ans est élaboré, avec une scolarisation obligatoire. Mehdi de Graincourt soutient des associations humanitaires et culturelles destinées à améliorer l'enfance et a publié plusieurs livres pour la jeunesse.
Auprès des personnes en situation de handicap
Très sensibilisé au sort des personnes mal voyantes depuis son enfance au Burkina où des maladies endémiques entraînent la perte de la vue, Mehdi de Graincourt veille à ce que ses livres soient transcrits en braille, tels "Moi Habiba petite bonne" et "Raconte-moi le luth".. En 2017, il accueille bénévolement des groupes de lycéens marocains mal voyants dans le cadre du Jardin Majorelle à Marrakech. Cette visite sera à l'origine de l'écriture de son beau livre "Parfums l'inspiration Marrakech, d'Yves Saint Laurent à Serge Lutens"[13][14].
== Arts ==
En 1996, Mehdi de Graincourt assiste à la création du Musée de Marrakech sous l'égide de la Fondation Omar Benjelloun. Ses articles dans la presse font découvrir au public des peintres contemporains, Nourredine Chater, Habib Kibari, Farah Chaoui..., tout en mettant la génération précédente à l'honneur, Abbès Saladi Farid Belkahia, Chaïbia Talal... En juin et juillet 2009, son exposition à la Villa des Arts/Fondation ONA de Casablanca est sur le thème des cinq éléments[15][16].
De février à mai 2014, il présente au Musée de Marrakech une soixantaine de peintures à l'huile et acrylique, exposition saluée par plus d'un million de visiteurs[17][18]. Ses œuvres sont reproduites dans "Leur Maroc, regards d'écrivains, artistes, voyageurs, venus d'ailleurs" qui sera édité plusieurs fois, sous l'égide de la Fondation BMCI avec une préface de Michel Jobert puis soutenu par la Fondation Jardin Majorelle et préfacé par Pierre Bergé[19].
Ouvrages publiés[modifier | modifier le code]
Les conventions bibliographiques ne sont pas respectées ().
La bibliographie et les liens externes sont à corriger. Améliorez-les !
*Amadeus n'est pas un ours, Yomad éditions, publié avec le concours de l'Agence intergouvernementale de la Francophonie, 2003
*Sur la voie d'Ibn Al-Arabi les révélations de Fes et Marrakech, biographie du soufi andalou des XII et XIIIème siècle, préface de Djibaïl Mandel Khan, éditions Senso Unico, 2005
*On the path of Ibn Al-Arabî, the revelations in Fez and Marrakesh, preface by Djibraîl Mandel Khan, Senso Unico, 2005. Livre de reference sur le soufisme enseigné à la Columbia University, New York
*Moi Habiba petite bonne, Editions Aïni Bennaï, publié avec le concours du Ministère de la Culture du Maroc, 2007, transcrit en braille. Cet essai a servi de base de travail à l’Unesco pour établir une loi au Maroc sur l’obligation de scolariser les enfants.
*Raconte-moi le luth, en collaboration avec Amina Alaoui, éditions Yanbow al Kitab, publié avec le concours du Ministère de la Culture du Maroc, 2007
*Raconte-moi Ibn Battouta, illustré par l'auteur et Mireille Goëttel, éditions Yanbow al Kitab, publié avec le soutien de la Fondation BMCI Groupe BNP Paribas, 2009.
*Leur Maroc, regards d'écrivains, artistes, voyageurs, venus d'ailleurs, Malika éditions, publié avec le soutien de la Fondation BMCI Groupe BNP Paribas, préface de Michel Jobert, 2010[20]
*Leur Maroc, regards d'écrivains, artistes, voyageurs, venus d'ailleurs, Malika éditions, publié avec le soutien de la Fondation Jardin Majorelle- Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent, préface de Pierre Bergé, 2016[21]
*Their Morocco: A Kingdom seen through the eyes of artists, writers and explorers from other countries, foreword by Pierre Bergé
*Parfums l'inspiration Marrakech, d'Yves Saint Laurent à Serge Lutens, publié avec le soutien de la Fondation Majorelle, éditions Malika, 2022[22]
Préfaces et collaboration ː
*Najia Bennani Juste comme vient la vie éditions Aïni Bennaï 2010
*Patrice Bellon Livre d’art éditions Bellon 2016
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jean-Pierre Koffel, « Réfléchir », Médina,, juin-août 2004,, p. 81,82,83,84
- Citadine, « « Prix Mehdi de Graincourt » », Citadine, , p. 36
- Zakya Daoud, « Prix de l'essai », Citadine, , p. 36
- Rita El Khayat, « Prix du roman », Citadine, , p. 36, 37
- (en) Colombia University, « Ibn Arabi »
- La rédaction, « Raconte-moi Ibn Battouta », Fémina n°30, , p. 18
- Siham Jadraoui,, « Mehdi de Graincourt : Le prix Grand Atlas Jeunesse est une magnifique consécration » , ,27 octobre 2011
- Leïla Slimani, « « Maroc : les trois lauréats du Prix Grand Atlas sont... », », Jeune Afrique,
- Citadine, « Le coup de cœur de la rédaction », Citadine, , p. 38
- Jean-Pierre Koffel, « "Moi Habiba petite bonne" Le livre et des extraits », Al Bayane,, du jeudi 20 au dimanche 23 décembre 2007, p. 6
- Géraldine Dulat, « Bouleversant ! », Femmes du Maroc, , p. 34
- Abdallah Duboy, « Il y a des centaines, des milliers de "Habiba" », Citadine, , p. 70, 71, 72
- Serge Lutens, « Le parfum est arabe », Médina, , p. 61,62, 63, 64, 65, 66, 67, 68
- Famille Actuelle, « Partez à la découverte du pays des mille et une senteurs avec l'écrivain Mehdi de Graincourt » ,
- A.C., « Mehdi de Graincourt à la Villa des Arts », Femmes du Maroc, , p. 12
- A.G., « Mehdi de Graincourt expose à la Villa des arts de Casablanca jusqu'au 3 juillet », Au fait journal quotidien d'information générale, , p. 4
- Keltoum Ghazali, « Mehdi de Graincourt expose au Musée de Marrakech », Citadine n°193,, , p. 26, 27
- Mélanie Polatova, « Au Musée de Marrakech avec Mehdi de Graincourt », La Tribune de Marrakech, du 29 novembre 2013 au 15 février 2014, p. 16
- Pierre Bergé, Notre Maroc, Casablanca, Maroc, éditions Malika, , 256 p. (ISBN 978-9954-9470-4-3), p. 8,9,10,11
- Siham Jadraoui, « Mehdi de Graincourt dévoile le Maroc des grands artistes », Aujourd'hui le Maroc, (lire en ligne )
- Aujourd'hui le Maroc, « Mehdi de Graincourt rend hommage aux mille facettes du Maroc », Aujourd'hui le Maroc, (lire en ligne)
- Aujourd'hui le Maroc, « Une invitation à la découverte du pays des mille et une senteurs », Aujourd'hui le Maroc,
Liens externes[modifier | modifier le code]