Liste de peintures de Mohammed Khadda

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L'atelier de Mohammed Khadda à Alger en 1986

Cet article dresse la liste des peintures de Mohammed Khadda.

Liste non exhaustive des peintures (huile sur toile)[modifier | modifier le code]

  • 1954
Saisons II, 52 × 63 cm, ancienne collection Abdallah Benanteur ; Contemporary Art Platform, Koweït
Haleine du Sahara; Aube; c. 1954[1]
  • 1958
Méridien 0, 100 × 81 cm[2]
Sans titre, 38 × 55 cm
Sans titre, 54 × 65 cm
  • 1959
Dahra, 116 × 89 cm[3]
Filet, 81 × 65 cm[4]
Le Filet, 55 × 46 cm, ancienne collection Geneviève Rodis-Lewis
La Manifestation, 65 × 81 cm, ancienne collection Geneviève Rodis-Lewis
Terre IV, 38 × 46 cm
Totem, 120 × 60 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[5]
Frontière
  • 1960
Bateaux, 54 × 65 cm
Hommage à Maurice Audin, 195 × 130 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[6]
Kabylie, 114 × 162 cm, Institut du monde arabe, Paris[7]
Sans titre, 14,5 × 20 cm
Jeu d'échecs, 19 × 24 cm
Manifestation, vers 1960-1965, 65 × 81 cm; ancienne collection Hermine Chastanet[8]
Ciel et champs; Territoire, Signes[9]
Montagnes vivantes; Sahara envahissant; Légende usée; Mémoire; Saison; Point du jour; Mélopée; c. 1960[10]
  • 1961
Dahra II, 60 × 120 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[11]
Trame pour une légende, 46 × 33 cm
Bivouac, 90 × 100 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[12]
  • 1963
Chardons, 46 × 27 cm[13]
Moissons, 55 × 46 cm
Moissons, 81 × 65 cm, ancienne collection Abderrahmane Kaki[14]
Afrique avant 1, 65 × 81 cm, ancienne collection Mustapha Kaïd ; Paris, Institut du monde arabe (Donation Claude & France Lemand)[15]
  • 1964
Alphabet libre, 100 × 81 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[16]
Atlas, 73 × 92 cm
Gestes, 60 × 81 cm, ancienne collection Geneviève Rodis-Lewis
Le Camp, 65 × 92 cm
  • 1965
Printemps dans la vallée, 73 × 92 cm, Ministère du Tourisme, Alger
Silex éclaté, 92 × 73 cm[17]
Terres vives, 50 × 61 cm[18]
  • 1966
Chuchotement, 46 × 33 cm
Pierres et ronces, 81 × 100 cm[19]
Simoun 73 × 60 cm[20]
  • 1967
Automne, 81 × 60 cm, Société nationale de sidérurgie, El Hadjar[21]
Corail, 61 × 50 cm
Mécanisme d'une vague, 61 × 50 cm[22]
Soleil d'août, 81 × 100 cm, Ambassade d'Algérie à Bonn[23]
Souche, 50 × 61 cm, Ministère du Tourisme, Alger
Sans titre, 100 × 81 cm
  • 1968
Capricorne, 46 × 33 cm
Chant des Hauts-Plateaux, 73 × 92 cm, Compagnie Nationale Algérienne de Navigation, paquebot El Djazaïr[24]
Haleine des steppes, 81 × 100 cm, Ambassade d'Algérie à Lima[25]
L'Appel et l'écho, 89 × 116 cm, Ambassade d'Algérie à Varsovie[26]
L'étudiant, 162 × 130 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[27]
Torture ou Martyre, 162 × 130 cm[28]
Méridien 0, 92 × 73 cm
Mouvement du Guebli, 91 × 60 cm, Armée Nationale Populaire, Blida
Oued Rmel I, 61 × 50 cm[29]
Terre VI, 50 × 61 cm
  • 1969
Annonce du printemps, 92 × 65 cm, Armée nationale populaire46 × 33 cm, Blida[30]
Comme un bateau épousant la mer, 61 × 50 cm
Germination, 65 × 54 cm[31]
La grande menace, 61 × 46 cm, Siège du F.L.N., Alger
Matinale pour N., 27 × 35 cm[32]
Oliviers-nerfs, 60 × 73 cm[33]
Portée de ceps, 27 × 35 cm[34]
Procession 100 × 81 cm, Consulat général d'Algérie à Paris[35]
Ravines 81 × 65 cm, Société nationale de sidérurgie, El Hadjar
Singulier 81 × 65 cm
Talisman rouge pour exorciser les phantoms, 130 × 162 cm[36]
Vent sur la plaine, 24 × 65 cm, Ambassade d'Algérie à Madrid[37]
  • 1970
Anatomie d'un olivier, 61 × 50 cm
Carcasse, offert par l'Algérie à Fidel Castro
Esquisse d'un olivier, 81 × 65 cm
Frontière, 54 × 73 cm, offert par l'Algérie à Fidel Castro
Icare triomphant, 92 × 65 cm
J'ai pour totem la paix, 116 × 81 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[38]
Le Lierre et l'olivier, 73 × 60 cm
Les Taudis ne se ravalent pas, 33 × 46 cm
Métamorphoses de l'olivier, 73 × 60 cm, Ministère des Affaires étrangères, Alger[39]
Olivier blanc, 73 × 60 cm[40]
Oliviers foudroyés, 89 × 130 cm[41]
Quartier périphérique, 73 × 92 cm
Sable, silence, soleil, 46 × 33 cm
Trame pour un conte d'enfants, 46 × 33 cm, A.P.C. d'Alger
Rythmes africains, 100 × 81 cm
Ravines, 34 × 18 cm[42]
Parc sur les ruines d'une prison, c. 1970
Éclaircie, c. 1970
Crépuscule, c. 1970
  • 1971
B 26 contre le printemps, 81 × 65 cm
Gesticulation, 35 × 27 cm
Les Sables n'ont pas de mémoire, 73 × 60 cm[43]
Repères pour une plaine, 65 × 54 cm, Société Nationale de Sidérurgie, Alger[44]
Sève aboutie, 81 × 65 cm, Ambassade d'Algérie à Paris[45]
  • 1972
Couple végétal, 116 × 89 cm
Oliviers gisants, 65 × 81 cm, Consulat général d'Algérie à Paris[46]
Roches assiégées, 50 × 61 cm[47]
Toujours la terre s'offre aux semailles, 162 × 130 cm[48]
Vol de signes, 65 × 54 cm[49]
Confluent, ancienne collection Hédi Nouira, Tunis
Ronces rouges et roses
  • 1973
Au terme de la moisson, 73 × 60 cm[50]
Blue note, 55 × 46 cm
Chaleur éclairante 50 × 61 cm[51]
Chemins contrariés, 54 × 65 cm, Ambassade d'Algérie à La Havane
Damas, fines lames, 73 × 60 cm, Ministère du Tourisme, Alger[52]
Diwan pour El Wassiti, 54 × 73 cm[53]
Écho, 46 × 55 cm
Geste clair, 65 × 54 cm, Société nationale de Sidérurgie, El Hadjar
Je te dédicace la mer, 46 × 55 cm[54]
Les Oliviers, la Méditerranée, 89 × 116 cm, Ambassade d'Algérie à Moscou[55]
Lettre d'Afrique, 73 × 60 cm[56]
Lyres croisées, 46 × 38 cm, Société nationale de Sidérurgie, Alger
Mur d'enfants, 33 × 46 cm[57]
Olivier-sirène, 65 × 81 cm
Rumeurs du port, 73 × 92 cm[58]
Signe-envol ou Signe clair 41 × 33 cm, Société nationale de Sidérurgie, Alger
Signe moissons, 35 × 27 cm[59]
Signe sécheresse, 41 × 33 cm[60]
Tendre, féconde comme l'humus des plaines, 55 × 46 cm[61]
Vent du Sud, 130 × 162 cm, Représentation algérienne à Genève[62]
Rythmes africains, 73 × 54 cm[63]
  • 1974
Anatomie d'un olivier II, 50 × 61 cm[64]
Brise sur l'estuaire 100 × 73 cm[65]
Ronces rouges II, 65 × 81 cm (modification de Odalisque, 1968)
Ville frontière menacée, 61 × 50 cm[66]
  • 1975
Agression Tel Ez Zaatar, 73 × 60 cm
Automne, 100 × 81 cm, Ministère des Affaires étrangères, Alger
Buisson, 92 × 65 cm, Ministère des Affaires étrangères, Alger
Fragment d'olivier, 50 × 61 cm, Ministère de Affaires étrangères, Alger
Souche, 50 × 61 cm[67]
  • 1976
Bijou, 46 × 33 cm
Le Dit du scribe, 46 × 33 cm[68]
Olivier-aube ou Olivier vert olive, 92 × 65 cm[69]
Olivier et ronces, 65 × 92 cm[70]
Reflets et ronces, 54 × 81 cm[71]
  • 1977
Carrefour, 33 × 46 cm[72]
Écriture, 33 × 46 cm
Ils tissent des barbelés, 55 × 46 cm, Barjeel Art Foundation, Sharjah, Émirats arabes unis[73]
Lettres de Koufa I, 146 × 89 cm[74]
Lettre du bord de l'eau, 54 × 65 cm[75]
  • 1978
Automne, 100 × 89 cm
Esquisse pour le Guergour, 50 × 61 cm[76]
  • 1979
Calcaire exhumé ou Guergour, 89 × 146 cm[77]
Lettres de Koufa II, 89 × 146 cm
Ronces, 55 × 46 cm
Village suspendu, 73 × 60 cm[78]
Banderole pour le Chili ou Révolution, 130 × 162 cm, Paris, Institut du monde arabe (Donation Claude & France Lemand)
  • 1980
Écrire la ville, 41 × 27 cm
La Lettre et le chant, 92 × 60 cm[79]
Mémoire-clairière, 146 × 89 cm[80]
Nœud couleur d'automne, 65 × 54 cm[81]
Olivier calciné, 46 × 33 cm
Oued Rmel II, 73 × 60 cm, ancienne collection Claude & France Lemand[82]
Plaine dévastée, 73 × 60 cm[83]
Rythmes africains II, 73 × 54 cm
Sur l'olivier ou Olivier-aube, 65 × 54 cm[84]
Signes sur sable, 54 × 65 cm[85]
  • 1981
Collier de signes, 81 × 60 cm, Ambassade du Danemark à Alger[86]
Plage, 30 × 60 cm
Repères, 41 × 27 cm[87]
Rives du Jourdain, 73 × 60 cmMinistère de l'Intérieur, Alger[88]
Signe bleu, 41 × 27 cm[89]
Tatouage, 41 × 27 cm[90]
  • 1982
À la brisure des roches, 61 × 50 cm[91]
Banderoles pour Beyrouth, 65 × 81 cm[92]
Comme un bateau épousant la mer II, 65 × 92 cm[93]
Les qasbahs ne s'assiègent pas, 1962-1982, 122 × 244 cm, Musée national des beaux-arts d'Alger[94]
Oued Chlef, 73 × 50 cm[95]
Solstice d'été, 92 × 65 cm[96]
Taillis, 73 × 60 cm[97]
  • 1983
Calme midi, 65 × 54 cm[98]
Cascade, 73 × 60 cm[99]
Été africain, 100 × 81 cm, Ministère de l'Intérieur, Alger
Saisons fiancées, 81 × 65 cm[100]
Mur d'enfants, 33 × 46 cm[101]
Signes obliques, 33 × 41 cm
  • 1984
L'Appel et l'écho II, 81 × 100 cm[102]
Olivier écorché, 73 × 92 cm
Sans titre, 41 × 33 cm
  • 1985
Bruissements du sol, 81 × 65 cm
Calligraphie des algues, 81 × 100 cm[103]
Femme et cactus, 100 × 81 cm[104]
  • 1986
Conte d'Orient, 92 × 65 cm[105]
Écrits au jour, 54 × 65 cm[106]
Été flamboyant, 92 × 73 cm[107]
Psalmodie pour un olivier, 65 × 92 cm, Paris, Institut du monde arabe (Donation Claude & France Lemand)[108]
Olivier écorché, 60 × 73 cm[109]
  • 1987
Acanthes en sud, 146 × 114 cm, Siège de l'OUA
Allée des citronniers, 92 × 73 cm[110]
Aux sources du sel, 100 × 81 cm[111]
Icare, 81 × 65 cm[112]
Litanie de pierres ou Palabre des pierres, 92 × 65 cm[113]
Pièges, 84 × 116 cm[114]
Roches et ronces I ou Ronces et roches, 130 × 162 cm[115]
Roches et ronces II, 130 × 162 cm, Dalloul Art Foundation, Beyrouth
Pierres suspendues, 92 × 65 cm[116]
Sables, 65 × 81 cm[117]
  • 1988
Aloès, 100 × 81 cm[118]
Village suspendu, 65 × 54 cm[119]
Réminiscence, 97 × 130 cm, Dalloul Art Foundation, Beyrouth
Rendez-vous des pêcheurs, 92 × 73 cm[120]
Ligne de démarcation, 60 × 81 cm[121]
  • 1989
A l'entour des pierres ou Dialogues de pierres, 81 × 60 cm
Campement, 130 × 97 cm[122]
Chapelet de pierres, 54 × 65 cm[123]
Carrefour, 116 × 89 cm, Dalloul Art Foundation, Beyrouth
Delta, 89 × 116 cm
Faille fertile, 130 × 97 cm[124]
Feu ami, 130 × 97 cm[125]
Palimpseste, 100 × 81 cm, Dalloul Art Foundation, Beyrouth[126]
Remparts de Koufa, 97 × 130 cm, Dalloul Art Foundation, Beyrouth[127]
Sahel sous le vent, 89 × 116 cm, Paris, Institut du monde arabe (Donation Claude & France Lemand)[128]
Dialogue des pierres, 92 × 65 cm[129]
Simoun exhibant la légende, 81 × 65 cm[130]
  • 1990
Arbre et bête équarris, 81 × 116 cm
Au cadran des saisons, 89 × 146 cm
Brumes du nord, 62 × 45 cm
Clairière aux vanneaux, 73 × 54 cm[131]
Dérive des pierres, triptyque, 92 × 73 cm x 3[132]
Eaux mêlées, 89 × 146 cm
Enjamber la faille, 54 × 73 cm[133]
Passage du gué, 54 × 73 cm[134]
Icare et Dédale, 65 × 46 cm[135]
Falaises, acrylique
Maghreb déployé, 1965-1990, 66 × 205 cm (modification de Oppression, c. 1965)
Sous-bois, 92 × 65 cm[136]
Signes obliques, 33 × 46 cm,}[137]
Traces du sel, 46 × 61 cm[138],[139]
Sans titre ou Symphonie inachevée I, toile inachevée, 100 × 81 cm
Sans titre ou Symphonie inachevée II, toile inachevée, 100 × 81 cm
Sans titre ou Symphonie inachevée II, toile inachevée, 61 × 46 cm

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Peintures exposées au Salon des réalités nouvelles, Paris, juillet-août 1955 (Khadda, Alger, 2002, p. 32)
  2. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 28 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 38. Ce titre fait allusion à l'embouchure de la Chiffa à proximité de Mostaganem, ville natale du peintre, qui se situe sur le méridien de Greenwich.
  3. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 72
  4. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 45
  5. Cette peinture entre en 1963 dans les collections du Musée national des beaux-arts d'Alger à l'initiative de son conservateur, Jean de Maisonseul (Khadda, collection du Musée national des beaux-arts d'Alger, textes de Malika Bouabdallah, Alger, 1992, p. 7).
  6. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 198 ; Anissa Bouayed, « Alger des peintres, l'autre regard », dans Les artistes internationaux et la révolution algérienne, Musée national d'art moderne et contemporain d'Alger, Alger, 2008, reproduction p. 23 et 30
  7. Art contemporain arabe, Collection du Musée, Paris, Institut du monde arabe, s.d., reproduction p. 127 ; Khadda, Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 27; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 50-51
  8. La Gazette de l'Hôtel Drouot 28 juin 2019, reproduction p. 53
  9. exposition collective inaugurale, Galerie 54 (Jean Sénac), catalogue, Alger, avril-mai 1964
  10. Peintures exposées au club des Quatre-Vents, Paris, novembre 1960 (Khadda, Alger, 2002, p. 35)
  11. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 52-53
  12. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 46. Cette peinture entre en 1963 dans les collections du Musée national des beaux-arts d'Alger à l'initiative de son conservateur, Jean de Maisonseul (Khadda, collection du Musée national des beaux-arts d'Alger, textes de Malika Bouabdallah, Alger, 1992), p. 7.
  13. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 113
  14. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 42
  15. Le titre de cette peinture est un hommage de Khadda à la première pièce de théâtre produite par Abderrahmane Kaki au lendemain de l’accession de l’Algérie à l’Indépendance et par référence à l’année qui a précédé celle-ci. Khadda, Kaki et le journaliste Mustapha Kaïd, étaient tous trois amis d’enfance depuis leur ville natale, Mostaganem.
  16. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 72
  17. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 29 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 41
  18. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 37
  19. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 54-55
  20. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 61
  21. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 62
  22. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 65
  23. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 56 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 71
  24. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 11
  25. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 19
  26. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 27
  27. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 190. Le titre donné par Khadda à sa peinture est une allusion aux manifestations d'étudiants qui ont lieu à Alger en 1967 et 1968. « Cette toile a quelque chose de commun avec celle dédiée à Bachir Hadj Ali » [Torture ou Martyre]. « Elle en est contemporaine et s'inscrivait dans une série de quatre grandes toiles figuratives qualifiées par l'auteur d'affiches. Deux d'entre elles ont été transformées dans le sens de l'abstrait, ce qui fait des deux "affiches" restantes des pièces exceptionnelles dans l'œuvre du peintre », note Malika Bouabdallah (Khadda, collection du Musée national des beaux-arts d'Alger, textes de Malika Bouabdallah, Alger, 1992), p. 8.
  28. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 192. La peinture est dédiée par Khadda à son camarade et ami le poète Bachir Hadj Ali qui, après la prise du pouvoir par Houari Boumediène le , est en septembre arrêté et torturé dans les locaux de la Sécurité militaire à Alger. Transféré en novembre à la prison de Lambèse il écrit L’Arbitraire sur des feuilles de papier toilette qu'il parvient à transmettre. Le texte qui décrit les tortures qu'il subit et dont il conservera de graves séquelles, est publié en 1966 aux Éditions de Minuit. Libéré en 1968 mais interdit de séjour dans les grandes villes algériennes, Bachir Hadj Ali est assigné à résidence à Saïda puis Ain Sefra. Khadda reprend en 1969 le thème de sa peinture pour une estampe, Martyr, technique mixte, 29 × 16,5 cm. À l'occasion d'une exposition en 1970 de ses peintures à Alger il consacre à Bachir Hadj Ali l'essentiel de la préface qu'il écrit sous le titre de Dédicace, pour Bachir : « On me dit que mon ami risque, faute de soins, de perdre la vue. Nous voilà donc privés de la musique et du chant, voilà la pensée confinée... Mais enterrer les vigies ou transplanter les phares ne suffit pas à brouiller les latitudes. » (Mohammed Khadda, Feuillets épars liés, Alger, SNED, 1983, p.131. Nouvelle édition, Barzakh, 2015). Bachir Hadj Ali ne regagne Alger qu'en 1974. Khadda illustrera deux recueils du poète, en 1980 Actuelles - partitions pour demain (16 dessins) et en 1986 Soleils sonores (6 dessins). Khadda meurt le 4 mai 1991, Bachir Hadj Ali le 8 mai. Le 16 mai Tahar Djaout publie dans Algérie-Actualité un hommage sous le titre « Frères pour l'éternité » (repris dans Tahar Djaout, Une mémoire mise en signes, Écrits sur l'art, textes réunis par Michel-Georges Bernard, préface de Hamid Nacer-Khodja, El Kalima Éditions, Alger, 2013, p. 42-43.
  29. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 117
  30. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 77
  31. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 69
  32. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 42 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 104
  33. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 18-19 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 98 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 89
  34. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 63
  35. Khadda, Centre culturel algérien, Paris, 1992, p. 13 ;Khadda, Alger, 2002 p. 64
  36. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 191 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 105
  37. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 35
  38. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 21 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction en couverture et p. 188. « En 1971, on [le Musée national des beaux-arts d'Alger] lui achète J'ai pour totem la paix qui semble avoir un rapport avec la guerre du Vietnam et dont le titre reproduit un vers du poète antillais Daniel Boukman avec lequel Khadda entretenait des liens d'amitié », note Malika Bouabdallah (Khadda, collection du Musée natioonal des beaux-arts d'Alger, textes de Malika Bouabdallah, Alger, 1992, p. 7).
  39. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 17
  40. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 21 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 77
  41. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 228
  42. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 14
  43. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 15 ;Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 101
  44. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 68
  45. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 70
  46. Khadda, Centre culturel algérien, Paris, 1992, p. 12.
  47. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 111
  48. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 83
  49. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 37
  50. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 121
  51. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 118
  52. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 206
  53. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 30 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 90-91 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 69
  54. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 5
  55. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 25
  56. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 163
  57. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction en couvertures
  58. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 39
  59. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 29
  60. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 7
  61. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 117
  62. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 33
  63. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 156
  64. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 111
  65. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 23; « Peinture algérienne moderne », La Gazette de l'Hôtel Drouot 21 mai 2019, reproduction p. 156
  66. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 201 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 105
  67. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 97
  68. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 81
  69. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 31 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 110 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 35
  70. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 108-109 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 43
  71. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 124-125
  72. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 79
  73. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 31 ; Sous le même titre Khadda écrit : « Des régimes, des hommes, par aberration, tissent des barbelés, clôturent des parcelles de terre et enferment dans les idées à coups de triques. Mais les gémissements et les cris des victimes de la barbarie ont cette faculté de vriller les consciences, ils portent loin. Si bien que les camps palestiniens sont à deux pas et Santiago n’est pas aux antipodes et nul ne peut feindre la surdité. Durant dix ans le peuple chilien a souffert le martyre, les meurtres innombrables, les pires tortures. Atteignant les limites de l’extravagance, les bourreaux ont détruit des livres, brûlés les poèmes de Neruda. Aux confins de l’odieux, ils ont mutilé le musicien Jarre pour faire taire une guitare. D’autres hommes et femmes coupables d’être lumineux ont été assassinés. Aujourd’hui la Résistance chilienne accule le dictateur, Pinochet est aux abois et de toute évidence, ce peuple endolori va parvenir au bout du cauchemar. Artiste, nous ne savons pas opposer la haine à la haine, nous ne proposons ici que des oeuvres d’art avec notre solidarité et notre entêtement à l’espoir. » (préface au catalogue de l’exposition Peintres algériens solidaires avec le peuple chilien. Alger, septembre 1983).
  74. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 82 et 84-85 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 63
  75. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 9
  76. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 75
  77. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 126-127
  78. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction en couverture et p. 35 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 128
  79. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 58
  80. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 199 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 39. Le titre est celui d'un recueil de poèmes de Bachir Hadj Ali publié par les Éditeurs français réunis en 1978.
  81. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction p. 41
  82. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 115
  83. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 200
  84. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 94
  85. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 33 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 100
  86. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 59
  87. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 20
  88. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 204-205 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 67
  89. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 80
  90. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 168
  91. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction en couverture ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 225
  92. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 196. Le titre fait allusion à l'invasion en 1982 par l'armée israélienne du sud du Liban.
  93. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 86-87
  94. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 202-203
  95. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 129 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 51
  96. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 32
  97. Khadda, Centre culturel algérien, Paris, 1992, p. 6.
  98. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 212
  99. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 9 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p 15 et 16-17
  100. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 211 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 41. Ce titre est l'une des images que l'on rencontre dans le poème Liberté de Paul Éluard.
  101. Alger, Musée national des beaux-arts, 1983, reproduction en couverture
  102. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 13 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 59
  103. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 53. Le peintre a confié avoir extrait ce titre d'un poème de Michel-Georges Bernard.
  104. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 217
  105. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 33 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 99
  106. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 221 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 85
  107. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 208 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 103
  108. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 112-113
  109. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 101 et 102-103
  110. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 34 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 218
  111. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 159
  112. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 40 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 222
  113. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 47
  114. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 220
  115. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 4 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 130-131 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 61 ; Tahar Djaout, Une mémoire mise en signes, Écrits sur l'art, textes réunis par Michel-Georges Bernard, préface de Hamid Nacer-Khodja, El Kalima Éditions, Alger, 2013, p. 40
  116. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 16 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 224
  117. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 24-25 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 132-133
  118. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 134
  119. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproductions en couverture et p. 35
  120. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 219 et 227
  121. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 242-243
  122. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 11 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 231
  123. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 37
  124. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 36 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 82
  125. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 232 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 95
  126. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 6 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 78
  127. Château de Saint-Ouen, 1994, reproduction p. 12 ; Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 88-89
  128. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 240-241
  129. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 226
  130. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 236
  131. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 97
  132. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 238-239 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction en couverture. Ce titre est une allusion à celui d'un recueil de poèmes de Michel-Georges Bernard, ami et auteur des préfaces de plusieurs des expositions du peintre. « J'étale posément pour la énième fois Dérives que je relis systématiquement, que je pille. Entre l'arbre et le vent, respiration minérale, le peuple exact des pierres, et je n'en suis qu'au début, sont des titres d'aquarelles. Je procède à la manière de ces anciens qui ouvraient la Bible pour nommer le nouveau-né, enfin presque. » (« Khadda : trois lettres à M.-G.B », dans Algérie Littérature/Action, n° 55-56, novembre-décembre 2001, p. 117.
  133. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 91
  134. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 81
  135. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 39
  136. Khadda, Alger, 2002, reproduction p. 237
  137. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 44
  138. Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 42 ; 37
  139. Mohammed Khadda, Florilège, Alger, 2006, reproduction p. 79

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Mohammed Khadda, vers 1981

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Monographie[modifier | modifier le code]

Catalogues[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]