Laetitia Garriott de Cayeux
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Laetitia Garriott de Cayeux, née le 4 février 1978 à Angers, est une entrepreneuse américaine. Elle occupe le poste de PDG de Global Space Ventures.
Enfance et études
[modifier | modifier le code]Née à Angers, Laetitia Garriott de Cayeux a grandi entre la France et Hong Kong.[réf. nécessaire]
Elle est la petite-fille du géologue André Cailleux considéré comme l'ancêtre de la planétologie française[1].
A l'âge de 17 ans, elle est sélectionnée pour se rendre au Japon afin de représenter la France au GII Junior Summit, une conférence sur Internet[2].
Elle déménage au Royaume-Uni en 1999[réf. nécessaire] puis en 2002 aux États-Unis[3].
Elle est diplômée de l'ESSEC et titulaire d'un MBA de la Harvard Business School[4],[2]. Au cours de ses études, elle développe un projet pour une entreprise pratiquant la congélation d'ovocytes[3].
Carrière
[modifier | modifier le code]Carrière dans les affaires
[modifier | modifier le code]En 1999, elle commence sa carrière chez Goldman Sachs où elle travaille sur des opérations de fusion - acquisition transfrontalières[5],[6].
Elle rejoint[Quand ?] Renaissance Technologies[7] avant de créer la société d'investissement Ajna Capital LLC en 2008[2].
En 2014, elle cofonde l'entreprise Escape Dynamics (en), située au Colorado, « qui travaille sur un système de propulsion pour lancement spatial avec une technologie inspirée du fonctionnement des micro-ondes »[6].
Elle est également un des investisseurs dans SpaceX[8] et cofondatrice de Global Space Ventures où elle occupe actuellement[Quand ?] le poste de PDG et à travers laquelle elle soutient[C'est-à-dire ?] des entreprises de Deep tech dans des domaines allant de l'intelligence artificielle et l'aérospatiale à la biotechnologie.[réf. nécessaire]
Activités associatives et soutien aux candidats démocrates
[modifier | modifier le code]Laetitia Garriott de Cayeux est membre du think tank Council on Foreign Relations[9].
Elle est membre du conseil d'administration du Musée national de mathématiques[7] et de la fondation XPRIZE[10].
Elle soutient Hillary Clinton à partir de 2014 après avoir acheté le nom de domaine Entrepreneurs for Hillary[11],[2],[12] puis Joe Biden à partir des sénatoriales de 2018 en organisant des levées de fonds[13],[3].
Récompenses
[modifier | modifier le code]En 2010, elle figure parmi 31 individus travaillant dans le secteur des fonds spéculatifs distingués par Institutional Investor [14] .
Vie privée
[modifier | modifier le code]En 2011, elle épouse Richard Garriott, un homme d'affaires américain évoluant dans le domaine du jeu vidéo[15] . Leur premier enfant, Kinga Shuilong, naît en 2012. Ronin Phi naît en 2014[16].
Références
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Laetitia Garriott de Cayeux » (voir la liste des auteurs).
- Guillaume Grallet, « Objectif Terre pour les start-up de l'espace », sur Le Point, (consulté le )
- Alexis Buisson, « Laetitia Garriott de Cayeux, la Franco-Américaine derrière Hillary Clinton », sur French Morning,
- JC Agid, « Laetitia Garriott de Cayeux, l’Amérique de Joe Biden en partage », sur lepetitjournal.com, (consulté le )
- (en) Doina Oncel, « How One Woman Is Democratizing the Final Frontier », sur Blog HuffPost,
- « Laetitia Garriott Veterans On Wall Street Profile » (consulté le )
- Basile Dekonink, « Les 15 entrepreneurs français les plus influents au monde selon Vanity Fair », sur Les Echos Executives, (consulté le )
- (en) Bradley Hope, « Billionaires and Mathematicians Crack Jokes at Geekiest Event of the Season », sur The Wall Street Journal,
- « Latest SpaceX valuation shows an unlimited amount of funding available in private markets », CNBC
- « CFR Membership Roster », Council on Foreign Relations
- (en) « XPRIZE Foundation Bio - Laetitia Garriott de Cayeux », sur XPRIZE (consulté le )
- (en) Alex Seitz-Wald, « Ready for Hillary raises $2 million in 3rd quarter », sur MSNBC,
- Jannick Alimi, « La Frenchy de Hillary Clinton », sur Le Parisien, (consulté le )
- (en) Shane Goldmacher, « The First 2020 Race Is Underway », The New York Times,
- (en) Imogen Rose-Smith et Julie Segal, « Rising Stars Shine Through the Gloom », sur Institutional Investor,
- « An Astronaut's Wedding », Sun Dial
- (en) « Congratulations to the Garriott de Cayeux », sur Ultima Codex,